Mon pote Hervé de changeons.fr vient de sortir un bouquin pour devenir super sociable en 30 jours. Je l’ai lu en avant-première. Et je l’ai trouvé méga-bien :p
L’histoire d’Hervé est super intéressante : il y a quelques années, c’était un timide maladif, je le connaissais pas encore à l’époque. Quand je l’ai rencontré (en 2014), j’aurais pas imaginé un instant qu’il puisse avoir été timide un jour dans sa vie ^^
Son truc, c’est qu’il a « appris » à devenir social. Avec du courage et beaucoup de pratique. Et ses résultats sont vraiment balèzes.
Du coup, je l’ai invité à partager ses connaissances avec nous pour devenir « super social ». Il a été carrément généreux dans cet article : il nous offre une myriade de réflexions intéressantes et pratiques qu’on peut appliquer illico pour développer nos compétences sociales immédiatement !
C’est du lourd. Enjoy amig@ :
On a tous plus ou moins intuitivement déjà réussi à se faire des potes. À force de passer du temps avec un collègue ou un camarade de classe, ça crée des liens naturellement.
Parce que le fond de ta personnalité, elle est cool.
Mais des fois, t’as peut-être du mal à la mettre en avant. Surtout avec des inconnus, ou des gens que tu connais peu.
Ça devient moins évident de se faire des amis régulièrement et quand on veut, surtout à l’âge adulte.
Du coup, la plupart des gens ont un cercle social un peu par défaut. Soit par la quantité d’amis (quelques très bons potes et derrière c’est le désert), soit par la qualité de certains amis qui ne nous correspondent pas vraiment. Ou qui nous tirent vers le bas. On a tous eu dans nos amis le ou la relou(e) de service qui passe son temps à se plaindre de tout, ou le pote un peu trop vanneur qui passe son temps à rabaisser les autres.
Et souvent, on s’en contente.
Parce qu’on ne s’en rend pas compte, ou parce qu’on ne se pose pas les bonnes questions.
Par exemple, est-ce que tu savais que d’après une étude scientifique (de James Fowler et Nicholas Christakis), si tu as un ami obèse dans ton entourage tu multiplies les chances de devenir toi aussi obèse ?
Et c’est vrai pour toutes les caractéristiques de tes proches.
On devient la somme des 5 personnes qu’on fréquente le plus souvent.
Et les 5 personnes qu’on côtoie le plus, on a le pouvoir de les choisir avec attention.
Si tu t’entoures de personnes plaintives, qui te répètent que c’est la crise en ce moment et que le monde est dangereux, il y a fort à parier que d’ici un an tu n’auras pas un état d’esprit très positif : tu ne vas pas vouloir monter ta boîte (c’est la crise ma bonne dame !), tu ne vas pas beaucoup voyager (c’est dangereux !).
Si au contraire tu choisis de t’entourer de personnes positives (j’insiste sur le mot choisir, car ça ne dépend vraiment que de toi) qui voyagent beaucoup, sont ouvertes aux rencontres et sont elles-mêmes entreprenantes, alors dans un an ton vœu de monter ta société au Pérou sera peut-être déjà exaucé.
Juste parce que ton entourage t’aura envoyé les bons signaux, t’aura encouragé, tiré vers le haut.
Tes potes, ils peuvent être inspirants. Ils peuvent t’aider à faire ce que tu as envie de ta vie.
Si tes amis actuels sont juste sympas, c’est cool tu passes des bons moments avec, mais tu pourrais vraiment passer au niveau supérieur.
Tu pourrais dans un premier temps compléter ton cercle social actuel, en rencontrant des personnes qui t’inspireront par leur passion ou leur comportement.
Bon, c’est bien beau tout ça, mais comment on fait pour rencontrer des gens qui nous correspondent vraiment ?
Let’s go !
Améliore dès aujourd’hui ton cercle social
On va faire un petit exercice pratique pour t’aider à améliorer dès aujourd’hui ton cercle social. Prêt ?
1/ Détermine tes valeurs importantes
Autrement dit, les valeurs qui te semblent indispensables parce qu’elles comptent pour toi.
Pour moi, ça pourrait être le respect, la tolérance, l’honnêteté.
2/ Détermine qui dans ton entourage ne respecte pas tes valeurs importantes
On va voir quelques exemples :
Ta copine Caro est super marrante, mais elle fait des remarques racistes. Comme tu l’aimes bien, tu ne la reprends pas à chaque fois, tu fais même semblant de rire à ses remarques déplacées parfois. Et paf, viol de tes valeurs respect et tolérance.
Ton pote Ludo est carrément cool, mais il trompe sa copine tous les week-ends et te demande de mentir pour le couvrir. Pourtant sa copine tu l’aimes bien, et ça te fait des noeuds au cerveau de devoir lui mentir. Et paf, viol de tes valeurs respect et honnêteté.
Ton oncle Dédé est un bon vivant, mais il te raccompagne en voiture alors qu’il est bourré après les repas de famille, et te dit qu’il n’a pas bu. Bim, dans ta face les valeurs honnêteté et respect.
Ces exemples ils concernent mes valeurs, pour toi ça sera peut-être complètement autre chose.
À ce stade, tu devrais déjà avoir repéré quelques personnes dans ton entourage qui violent certaines de tes valeurs.
3/ Fais du tri dans ton entourage actuel
Le but ça ne va pas être de juger les autres, mais juste de déterminer ceux et celles qui ne correspondent pas à tes valeurs principales.
Ce n’est pas un jugement dans le sens où quelqu’un qui arrive tout le temps en retard ça va me souler moi, mais ça ne sera pas un problème pour mon voisin qui lui aussi est tout le temps à l’arrache.
Là on parle de ce que tu veux. De tes goûts et de tes valeurs personnelles.
Dans la liste des personnes qui violent une ou plusieurs de tes valeurs, tu vas te demander lesquelles sont les plus négatives pour toi.
Je te conseille d’en choisir 3.
Ces trois personnes, tu peux choisir dès aujourd’hui de beaucoup moins les côtoyer.
Moins voir les personnes qui ont une influence négative sur toi, ça va changer ta façon de voir les choses.
Continuer à les voir régulièrement, c’est comme nager avec un poids de 2 kilos attaché à chaque pied : ce n’est pas impossible, mais c’est épuisant, et ça risque de t’entrainer vers le fond un jour ou l’autre.
Imagine maintenant qu’à la place de ces trois personnes plutôt négatives, on mette trois personnes qui t’inspirent vraiment, qui partagent tes envies, tes passions, qui te poussent à te dépasser.
Ça sonne déjà un peu mieux, tu ne penses pas ?
On va donc voir comment faire pour trouver des personnes qui correspondent à cette définition.
4/ Détermine tes rêves et tes passions
Tu vas lister au moins 2 ou 3 de tes rêves ou passions.
Si tu n’en as pas, essaie des choses nouvelles régulièrement, ça t’aidera à trouver ce qui te motive vraiment. Ça n’a pas besoin d’être la passion de ta vie (si c’est le cas tant mieux !), une activité qui te rend curieux ou qui t’amuse ça suffit dans un premier temps.
Disons que c’est la musique, les voyages et la danse.
Tu vas ensuite te poser la question :
« Où se trouvent les autres gens passionnés par ces domaines ? »
Si je cherche au hasard dans la rue, j’ai peu de chance de trouver des gens passionnés de danse. Surtout si c’est un type de danse spécifique, tomber sur un danseur de cha-cha-cha par pure coïncidence ça relève du gros coup de bol, autant jouer au loto.
La chance, on va la provoquer.
5/ Fais un pas vers l’entourage de tes rêves
On va donc faire un premier pas dans l’univers où se trouvent les gens qui partagent nos passions.
Pour la musique, tu peux par exemple commencer à rechercher des concerts autour de chez toi.
T’inscrire à un cours de guitare ou de batterie.
T’inscrire sur le forum de ton groupe préféré.
Ça, tu peux le faire, dès cette semaine.
Fais cet exercice sur tes trois rêves ou passions. En faisant ça, tu enclenches la première pièce de l’engrenage.
Mine de rien, si tu appliques vraiment ça, tu vas te donner la chance d’être plus heureux. Et c’est vraiment pas dur à mettre en place.
Parce que si tu t’entoures de potes musiciens, tu multiplies par 100 ou par 1000 tes chances de vivre ton rêve de monter un groupe et de jouer sur scène par rapport à un entourage qui n’aime pas la musique. Parce qu’ils te tireront vers le haut, te présenteront d’autres passionnés de musique, peut-être même ton futur bassiste ou ton manager, et ils t’encourageront dans tes projets musicaux.
6/ Va à des évènements liés à ta passion
Maintenant que tu es inscrit, tu vas aller à ces évènements. Seul ou avec un ami pour t’accompagner, peu importe. Évite juste d’y aller en groupe, ça te donnerait moins envie d’échanger avec de nouvelles personnes.
Peu importe que tu sois débutant complet ou confirmé.
Le but, ça va être de passer un bon moment en exerçant une de tes passions.
Et de te connecter aux autres qui sont là pour la même raison !
Si tu débutes, dis-toi que tu n’es surement pas le seul dans ce cas. Repère les autres débutants et va leur parler !
Parce qu’ils n’attendent surement que ça. Ils seront contents que quelqu’un brise la glace.
Demande aussi des conseils aux plus confirmés, sans être insistant.
Finalement, dans le contexte de ta passion, c’est assez facile de parler avec les gens autour, parce que les sujets de conversation sont déjà tout tracés au début !
Tu as très peu de risques de te tromper si tu parles escalade à un fan de grimpe pour l’aborder.
Si tu aimes les voyages, tu peux soit commencer à voyager, soit faire une activité liée (j’appelle ça une activité connexe) : apprendre une langue étrangère par exemple.
Pour ça, prends des cours collectifs, ou va à des soirées polyglottes ou meetups : c’est un moyen génial de rencontrer des gens qui viennent d’autres pays ou qui ont cette envie d’apprendre une autre langue, et avec qui tu pourras parler voyages sans problème !
En plus tout le monde est là pour la même chose : parler anglais / espagnol / moldave ou la langue de ton choix et rencontrer des gens.
Tu n’auras donc pas la pression de te demander si tu les déranges ou s’ils sont ouverts aux rencontres.
7/ Apprends à avoir une conversation intéressante
Pour intéresser tes nouveaux interlocuteurs, tu vas, à un moment ou à un autre, parler d’autre chose que de la passion commune, forcément.
Et là, tu te demandes peut-être : mince, de quoi je vais bien pouvoir parler….
La réponse : de ce que tu as envie.
Avec des inconnus, fais comme avec tes potes : si tu as envie de faire une blague ou un jeu de mots pourri fais-le, si tu as envie de parler de spaghettis bolognaise ou du dernier film que tu as vu, ce n’est pas un souci !
Souvent avec des inconnus, on se met des limites. Auto-censure power.
Du coup ça donne des conversations hyper ennuyeuses, du type :
Tu t’appelles comment ?
Tu travailles dans quoi ?
Tu habites où ?
Tu viens souvent ici ?
Il fait beau hein?
Oaaaahhhh (bruit de bâillement) !
Démarque-toi de 95% des gens qui vont avoir cette approche (ce chiffre est tiré de mon chapeau magique, mais d’après mes expériences on est pas loin de la vérité !).
Sors du schéma classique. Comment ? En te comportant avec des inconnus comme tu te comportes avec tes potes.
Fais comme si vous vous connaissiez depuis longtemps.
Zappe la phase CV.
Passe direct à des conversations qui te plaisent. Ne filtre pas. Laisse aller.
Au début ça va peut-être te paraître contre-intuitif, mais en réfléchissant : tes potes t’aiment pour ta personnalité. Sans filtre.
Bien sûr, en étant toi-même dès le début, tu vas polariser davantage. Mais c’est une bonne chose.
Plus de gens vont t’aimer. Certains n’accrocheront pas à ton humour ou à ton style. Pas grave, ça n’aurait pas collé avec ces gens de toutes façons, plus vite tu t’en rends compte et moins tu perds de temps.
Si tu n’as pas d’idées de sujets de conversation, tu peux demander à l’autre s’il a voyagé récemment par exemple, et embrayer sur le sujet des vacances et voyages : c’est un sujet que la plupart des gens apprécient (c’est plus agréable de se souvenir de ses voyages que de parler de son boulot en général !).
8/ Le réflexe pour transformer l’essai
Une fois que tu as parlé à ces gens, passé un bon moment avec eux, il y a une chose à faire, systématiquement : c’est de prendre leurs coordonnées.
C’est tout con, mais souvent on se dit : « À une prochaine ! ». Et si on vit dans une grande ville (donc quasiment aucune chance de se recroiser par hasard), autant se dire : « Adieu, on ne se reverra jamais ! ».
Si tu veux te donner une chance de revoir ces personnes et d’en faire des futur bons amis ou bonnes copines, tu vas prendre l’habitude de leur demander leur numéro ou leur facebook.
En général on demande ça à la toute fin. C’est bien, mais je préfère le faire de manière plus fluide au cours de la conversation.
On parle d’un endroit sympa : hop, je lui demande son numéro en lui disant que je lui enverrai le lien.
On parle de notre passion commune et j’ai prévu une activité liée à ça ? Je lui dis que je lui proposerai quand j’irai, et je prends son facebook.
Ça n’a pas besoin d’être compliqué. C’est normal de prendre des coordonnées des gens avec qui tu as passé un bon moment.
Évite juste de te barrer juste après avoir pris le numéro, ça donne un peu l’impression que ton seul but c’était de chopper son 06 ou 07. C’est pour ça que je préfère le faire au milieu.
9/ Sois actif avec tes contacts.
Pour transformer tes rencontres récentes en amitié, je te conseille de proposer rapidement aux gens de les revoir, et de le faire de la bonne manière.
Utilise des formulations qui donnent envie, oublie le texto : « Je m’ennuie, quelqu’un veut sortir ce soir ? » et opte pour des formulations plus enthousiastes.
« Demain soir je vais à un concert gratuit dans mon bar rock préféré, j’ai écouté la démo du groupe et ça a l’air vraiment cool ! » ça donnera plus envie à un fan de rock de te suivre.
En début d’amitié, l’intérêt décroit très vite, donc mon conseil c’est de proposer ce plan dans les jours qui suivent la prise de coordonnées, une semaine max, sinon l’envie de se voir diminuera des deux côtés.
Si elle n’est pas dispo, tu peux proposer un second plan quelques jours après, un troisième si tu sens que la personne a vraiment des excuses valables. Au delà, laisse tomber et rencontre d’autres gens, ou laisse la personne revenir d’elle-même vers toi : tu n’as pas envie de devoir supplier les gens de te voir.
10/ Expérimente, et amuse toi.
Enfin, dernier conseil pour cet article, sois toujours dans l’amusement et la curiosité durant tout le processus.
Se faire des amis, partager des choses, ça ne doit pas être douloureux ou stressant. Ne te mets pas d’enjeu trop important : tu y vas avant tout pour t’amuser, et rencontrer si possible des gens cool.
Parfois ça sera le cas. Parfois non. Mais dans tous les cas si tu prends du plaisir à parler à des nouvelles personnes, tu multiplieras tes chances d’en faire des amis.
Si tu ressens une peur d’aborder des inconnus ou si tu n’es pas à l’aise avec les autres, ne t’en fais pas : ça s’apprend. J’étais timide maladif dans le passé, et j’ai appris et développé toutes ces capacités sociales. Tu peux facilement faire la même chose si tu en as envie.
Un grand merci à mon pote Damien de m’avoir laissé la plume (ou plutôt la souris) pour écrire sur son blog, et te donner des pistes pour te faire des amis les doigts dans le nez !
C’était Hervé Lero, du blog changeons.fr, je te dis à très vite !
Note : Si tu veux jeter un œil au nouveau bouquin d’Hervé, ça se passe par là :
Perso, je le recommande à fond si t’as l’intention de mettre un coup de boost à ta vie sociale. Y’a pas de blabla, c’est concret, le style est sympa, ça donne un tas de pistes à explorer.
Salut Hervé,
merci pour cet article, il est important je pense de souligner effectivement que nos valeurs et ce qu’on met dedans, ce n’est pas forcément la même chose pour les autres, bel exemple avec « quelqu’un qui arrive tout le temps en retard ça va me souler moi, mais ça ne sera pas un problème pour mon voisin ».
Tu évoques les personnes que l’on choisit, et non celles imposées non ? Parce que par ex au boulot, on peut avoir des personnes négatives mais on doit faire avec, donc ça peut quand même nous plomber le moral.
En tous les cas, il semble évident qu’il faut déterminer les points sur lesquels on peut avoir une influence vis-à-vis de nos relations, et agir en conséquence. Si on a une passion pour Y, alors faire en sorte de fréquenter (en vrai, en ligne, etc.) des personnes ayant les mêmes intérêts, ça aide beaucoup.
Merci pour le conseil sur les conversations avec les gens qu’on ne connaît pas, c’est intéressant comme approche, et très censé en fait, d’agir et parler le plus authentiquement qu’on peut : comme ça, si on est apprécié tant mieux, sinon tant pis, on ne va pas perdre beaucoup de temps avec la ou les personnes, on passe à autre chose, comme tu l’écris aussi « tu n’as pas envie de devoir supplier les gens de te voir », on mérite mieux c’est clair !
@+
Salut Marine !
Oui tu as raison d’insister sur les gens qu’on subit, parce que c’est souvent ces gens là qui nous plombent sans qu’on s’en aperçoive vraiment.
Dans ce cas, il n’y a pas de recette miracle, mais des ajustements à faire, notamment choisir de moins interagir avec eux : se contenter d’échanges polis dans le cadre professionnel, manger ou faire tes pauses avec d’autres gens, ou quand tu es dans un groupe où la personne est présente tu peux choisir de te mettre de préférence près des gens que tu aimes bien et de parler davantage avec les gens positifs.
Tu peux aussi recadrer les discussions : si la personne commence à se plaindre ou à parler d’un sujet qui heurte tes valeurs, ne subis pas le truc et tu peux soit parler d’un sujet différent, soit montrer ton opposition dans le cas de propos choquants par exemple.
C’est valable à court terme, mais dans l’idéal il faut choisir de t’entourer de personnes plus positives pour toi.
Dans les cas extrêmes de personnes qui te sapent ton moral au quotidien, tu peux demander à être mutée dans un autre bureau, choisir un stagiaire ou des collaborateurs positifs, ou encore mieux si l’ambiance est plombante pour ton bien-être tu peux choisir de voir ailleurs (en changeant de poste ou d’entreprise).
Ou de faire ce que préconise Damien : monter ton propre easy business pour avoir le choix des personnes avec qui tu vas travailler. C’est peut-être la recette miracle finalement.;)
Dans l’absolu on a toujours le choix de subir ou non les choses qui nous dérangent, mais on en est pas toujours conscients;)
Salut Hervé,
merci pour tes conseils, effectivement ça peut prendre du temps de bien s’entourer et si on est dans cette dynamique, c’est aussi le principal.
Dans le cadre professionnel, je m’efforce d’interagir le moins possible avec les personnes que je jugent négatives pour moi, et quand c’est le cas, j’essaye de faire en sorte que ce soit court ^^
« Dans l’absolu on a toujours le choix de subir ou non les choses qui nous dérangent, mais on en est pas toujours conscients;) »
Tout à fait. Et prendre conscience que tout dans notre vie est un choix, même si on n’avait pas le choix entre une solution super géniale et une solution toute pourrie – ça peut souvent être des solutions pas top qu’on peut percevoir uniquement – ça aide beaucoup à relativiser, et à être plus responsable !
@+
PS : c’est bizarre, je m’inscris pour recevoir les notifications de réponse aux commentaires mais je ne les reçois pas. Elles sont envoyées avec une adresse spéciale ?
Yes, c’est exactement ça, parfois la tête dans le guidon on ne voit qu’un choix binaire entre une option A et une option B qui sont les plus évidentes, mais il existe peut-être jusqu’à l’option Z des options allant de la plus farfelue à la plus épanouissante, ça vaut le coup de prendre du recul parfois pour s’en rendre compte. 😉
Finalement peu importe si ça te prend un peu de temps de bien s’entourer, du moment que tu es dans la bonne logique et que tu es consciente de l’importance d’un cercle social positif. Si tu es motivée, tu peux faire ça très rapidement, si tu l’es moins tu peux faire ça pépère, ça dépend de tes priorités du moment ! 😉
(Je ne reçois pas non plus les notifs, désolé pour le temps de réponse)
Bonjour,
Pour ma part, j’ai eu la chance de me faire des amis vraiment sympas au bureau. Je suis toujours de bonne humeur quand je vais bosser. 🙂
Oui c’est super d’avoir des bonnes relations avec les gens avec qui tu bosses.
Je conseille juste dans le cas d’amis-collègues d’avoir aussi d’autres cercles sociaux, au cas où une embrouille de boulot te coupe de tes relations (ça arrive : un conflit, un licenciement, des gens qui doivent prendre parti pour garder leur job, etc). Ça évite en cas de coup dur de tout perdre d’un coup (boulot + tous tes amis par exemple) 😉