^ pleindetrucs.fr

Comment surmonter la peur de l’échec

Peut-être que tu es parfois en prise au terrible : « Je vais pas y arriver ». L’effroyable peur de l’échec.

Que ce soit pour créer ton propre business, commencer la guitare, apprendre une nouvelle langue ou partir tout(e) seul(e) à l’autre bout de la planète, la peur de l’échec pointe le bout de son nez.

Il y a cette voix dans ta tête qui te dit « Et si ça ne marchait pas » et « Je n’ai pas envie de faire tous ces efforts pour RIEN » ou encore « Je ne sais pas comment passer à l’étape suivante » ou tout simplement « J’ai peur de l’échec ».

Et cette voix, elle te retient de passer à l’action, comme des chaînes invisibles et pourtant très solides.

Aujourd’hui, je te propose un moyen de les faire exploser.

Et là, il y a deux trucs à prendre en compte :

Premièrement, la peur de l’échec ne s’en va jamais. Paf dans ton * fuchsbau* !

Deuxièmement, tu peux quand même surmonter ta peur de l’échec. Ouf, on a eu chaud !

Échouer, c’est quelque chose d’assez commun en somme.

Par exemple, un bébé qui apprend à marcher échoue des dizaines de fois, voire des centaines avant de tituber maladroitement sur ses petites gambettes. Un jour, éventuellement, il arrive à marcher.

Tout processus d’apprentissage est similaire.

Personne n’a la science infuse.

Les échecs amènent au succès.

Papi Winston Churchill présente les choses sous cet angle :

« Le succès c’est d’aller d’échec en échec sans perdre ton enthousiasme gamin. »

Alors évidemment, ça fait peur de se planter.

Et c’est là que je te présente le code secret que j’utilise pour surmonter la peur de l’échec :

N’envisage pas l’échec.

Ça ne veut pas dire que tu ne vas pas échouer. Perso, je me ramasse la gueule trois fois par semaine !

Ça veut dire que quand tu commences un truc, n’importe quoi, tu le fais de tout ton cœur sans envisager que tu vas échouer.

Comme le disait mon prof de judo, Jean-Claude Yoda :

« N’essaie pas. Fais-le, ou ne le fais pas. Il n’y a pas d’essai. »

Quand j’ai quitté ma situation « confortable » CDI, BMW, villa pour créer mon entreprise de jeux-vidéo et bosser avec une ONG au Cambodge, tout le monde m’a demandé horrifié : « Olala mais si ça ne marche pas, que tu n’arrives pas à t’en sortir, comment tu vas faire ? »

Et ma réponse : « Plan B : pas de plan B ».

Alors là, attention, j’introduis une méga-nuance : ça ne veut pas dire que je faisais ça sur un coup de tête, ni que je sautais dans la gueule du loup sans aucune préparation, loin de là.

Ça veut dire que je ne me laissais pas d’autre issue possible que la réussite. En pratique, j’avais un matelas financier assez confortable, et je savais très bien que je pouvais toujours retrouver un travail d’employé en cas de grosse galère.

Le truc, c’est que ce n’était pas réellement une option que je m’autorisais à prendre.

Si tu t’autorises à échouer, tu vas échouer.

Pourquoi ?

Parce que ton cerveau envisage une fuite dans l’échec.

Du genre « Si je n’y arrive pas, je peux toujours faire ceci ou cela ».

Et la dure et froide vérité, c’est que tu vas échouer. Des tas de fois. Tout comme j’ai échoué des tas de fois.

Mais ce n’est pas grave. Parce que ce n’est pas une fin en soi.

Nouveau tatouage pour ton front :

« L’échec n’est pas une fin en soi, c’est une étape vers la réussite »

– Damien Fauché, pleindetrucs.fr. Auto-citation power !

Concrètement, tu vas te manger les dents cinquante fois. Tu vas te dire que c’est trop dur. Tu vas vouloir abandonner.

Ça fait partie du processus.

Et un beau jour, tu vas voir que tous tes efforts ont payé.

Tu vas encaisser un chèque de 8000€.

Tu vas voir un levé de soleil sur la Cordillère des Andes et ce sera juste parfait.

Tu vas partager un repas avec des minorités autochtones dans l’arrière-pays Chinois et tu t’y sentiras comme chez toi. Cf. photo en haut de l’article.

Et à ce moment-là, tu réaliseras que chaque seconde de doute qui t’a mené jusqu’ici en valait la peine.

Ce qui est sûr, c’est que si tu ne tentes rien, rien de nouveau ne va arriver.

Comment surmonter la peur de l’échec ?

En l’accueillant à bras ouvert.

Voilà le script que tu peux te graver au fond de ton être :

« Oui, je vais me planter. Non, ce n’est pas une fin en soi. L’échec est seulement une étape vers le succès et peu importe le nombre de fois où je vais échouer, à la fin, j’atteindrai mon objectif. Il n’y a pas d’autre option ».

La société nous encourage à ne pas prendre de risque, à ne rien tenter pour ne pas se taper la honte de nos échecs. C’est naze.

Vivre, c’est prendre des risques mesurés. Pas des risques mortels, hein, on est bien d’accord.

Quand je dis « pas de plan B », ce n’est pas tout à fait exact. Prépare tout de même une solution de secours (et prépare-la bien). Par contre, ne l’envisage pas comme une option possible en cas de difficulté. Considère-la plutôt comme un échappatoire en cas de catastrophe.

Quand un avion décolle, il y a un plan B qui implique des masques à oxygène, des parachutes, des pertes humaines et des centaines de milliers d’euros de dommages matériels. Les plan B, ça pue du *brushmol*.

Si tu décolles, c’est pour arriver à destination.

Souris. Profite de la vie. Maintenant.

Je te souhaite une bonne continuation dans tes projets !

Et si tu veux m’aider à secouer le monde avec ces idées, merci de partager l’article amig@. Les idées ne servent à rien si elles ne sont pas diffusées. Ton rôle est super important 🙂


Reste en contact :