Est-ce que t’as un mal de chien à affirmer ce que tu veux ?
Genre, t’arrives pas à dire « non » par exemple.
Et du coup, tu te retrouves à faire des choses que t’as pas envie…
…avec ce vieux sentiment dégueulasse de passer pour « la bonne poire » ?
Ou t’oses pas dire « oui » dans d’autres situations.
Et dans ce cas, c’est encore pire… t’as l’impression de passer À CÔTÉ des bonnes occasions…
AAAAAaaaargh !
Pas oser s’affirmer, c’est l’ENFER.
Alors si ça t’es déjà arrivé… ou que ça t’arrive souvent… pas de panique mon choupinet(te) cet article is just 4 you.
Je vais te montrer 3 astuces pépères pour faire ENTENDRE tes idées, tes désirs et tes émotions à la planète entière… ou au moins aux gens qui t’entourent, ce sera un bon début.
Et ça, sans devoir enfiler un masque pour autant.
Juste en étant vraiment toi-même et en (retrouvant et en) posant tes *imposantes nouilles* sur la table, en mode Tony Robbins.
Et pour être bien sûr du sens qu’on va donner à « s’affirmer », je laisse la définition magistrale de mon tonton Christophe André :
« L’affirmation de soi est la capacité de dire ce que l’on pense, ce que l’on veut, ce que l’on éprouve, sans anxiété excessive et en tenant compte de ce que l’interlocuteur pense, veut ou ressent. »
C’est bien dit n’est-ce pas ?
Donc on va voir 3 manière d’avancer sur ton chemin de l’affirmation de toi.
Et d’ici la fin de cet article, tu sauras exactement quoi faire pour commencer à t’affirmer davantage d’ici la fin de la journée !
On commence tout de suite, je te révèle la terrible vérité sur l’affirmation de soi…
C’est parti !
1. C’est en forgeant…
Ok, je vais pas y aller par quatre chemins…
Si tu veux t’affirmer, VA Y AVOIR DU SPORT !
Regarde les choses sous cet angle…
Si tu galères à t’affirmer, c’est probablement à cause d’une des trois raisons suivantes :
- Tu flippes comme un(e) dingue d’être dans une situation de conflit (genre, tu veux pas faire de peine), du coup, tu dis rien parce que t’imagines le pire…
- T’es stressé comme un scoubidou au moment d’affronter des situations « à risque » (genre t’as une grosse anxiété sociale donc t’as le cœur qui bat à 10000 à l’heure et tu transpires à grosses goûtes quand tu dois t’exprimer devant des gens… j’étais comme ça au collège… et tu vas voir… ça se soigne !)
- T’as tellement pris l’habitude d’éviter le conflit que c’est devenu un putain d’AU-TO-MA-TI-SME (et va falloir dégommer ça !)
Ils en parlent très bien sur le site anti-déprime (un gros site avec plein de trucs intéressants pour les gens qui veulent « cultiver leur optimisme »).
Dans TOUS LES CAS, le truc qui va vraiment t’aider à t’affirmer…
…c’est…
…roulements de tambours…
…te CONFRONTER aux situations d’inconfort et de malaise !
BIM !!!
La dure vérité.
Si tu t’attendais à autre chose que ça, c’est que tu te racontes des salades à toi-même.
Donc, ça, c’est une petite claquounette de réveil.
Et tu peux à présent te tatouer ça sur le front :
« M’affirmer ça commence par me frotter aux situations qui me font flipper »
Ça fait peur hein ?
Mais ça fait OBLIGATOIREMENT parti de la solution.
Et au fond de toi, tu le sais déjà n’est-ce pas ?
Tu peux pas vaincre ton anxiété grâce à une formule magique…
Tu peux vaincre ton anxiété en l’apprivoisant et en la dominant.
C’est TOUT.
Donc, là, je te mets l’évidence SOUS LES YEUX. Plus d’excuse. Plus d’évitement.
Et même si c’est douloureux d’imaginer te confronter à tes peurs pour le moment… dans quelques semaines, quand tu pourras enfin affirmer avec clarté et assurance ce que tu penses, ce que tu veux et ce que tu éprouves… tu me voueras un culte de reconnaissance éternelle pour cette claquounette de réveil !
Et pour te donner un exemple concret, écoute ça mon petit apfelstrudel :
Quelques lignes plus haut, je te disais qu’au collège je flippais comme un flipper à l’idée de parler en public…
Et comme t’es rusé comme un renard… et que je viens juste d’en parler… t’as deviné LE TRUC qui m’a permis de me libérer de cette hantise :
Faire des actions hors de ma zone de confort.
= Me confronter aux situations d’inconfort.
C’est ÇA qui été le plus efficace !
NOTE EXPRESS : Et d’ailleurs, ça a été le cas aussi pour mon pote Hervé de Changeons.fr – qui était timide maladif jusqu’à 29 ans !!! Pourquoi ? Parce que ça marche !
D’abord des petites actions vraiment simples… genre demander l’heure à des gens dans la rue… ou mon chemin…
Puis petit à petit, j’ai pris goût à ça : sortir de ma zone de confort !
T’imagines même pas à quel point ça a changé mes perspectives d’avenir.
Et t’imagines encore moins à quel point ça peut changer TES perspectives d’avenir !!!
Au fil des années j’en suis arrivé à des trucs un peu plus costauds…
…du genre partir un weekend par mois dans une ville que je connaissais pas et parler à des gens pour qu’ils m’invitent à dormir chez eux (avec interdiction d’aller à l’hôtel ou d’appeler quelqu’un que je connais… du coup, ça m’est arrivé une paire de fois de me rater et de pioncer à la belle étoile dans des parcs XD)…
… ou partir seul rejoindre un pote dans la jungle en Guyane en pirogue-stop…
…quitter mon job, créer ma boîte, acheter un appart, etc…
BREF !
Ce que je veux dire, c’est que c’est incrémental : c’est en commençant à te frotter à des « petites » situations qui te font flipper, que tu vas t’améliorer !
Et c’est ça aussi qui va te permettre d’être de plus en plus en accord avec pensées, tes désirs et tes émotions.
Donc garde ça en tête : « C’est en te confrontant aux situations qui te font flipper que tu vas vraiment pouvoir t’affirmer »… et on passe à la suite !
La deuxième étape… elle est encore plus pernicieuse…
2. Shooter le zombie qui dort en toi
Si tu galères à t’affirmer, c’est que t’as probablement un dialogue interne complètement pourrave.
Du genre « Pas la peine d’essayer, j’y arriverai pas/ça marchera pas » et d’autres discours limitants du genre.
Et tu sais quoi mon(ma) jeune et malicieux(se) ami(e) d’internet ?
C’est des CONNERIES. Ouep. Des bonnes grosses conneries.
Dans une certaine mesure, tu es ce que tu penses être.
(Diantre, ça claque cette phrase dis-donc !)
Donc si tu penses que tu n’es pas capable de quelque chose, tu ne vas pas en être capable.
Et le contraire est juste aussi.
Ça me fait penser à une citation de mon papi Henri Ford (le mec des voitures), il me disait tout le temps :
« Que tu penses en être capable ou non my little muffin (ouais c’est un américain), dans les deux cas, tu as parfaitement raison ».
J’ai mis un moment à comprendre sa formulation bizarre. Mais il était pas con le papi Ford !
Donc pour résumer l’idée, en gros, si t’as un dialogue interne super négatif, ça va t’affecter négativement.
Alors pour t’affirmer il faut que tu ARRÊTES D’ÉCOUTER CES PENSÉES LIMITANTES DE BASE.
Même si elles sont là.
Dis-leur poliment : « Oui, je sais, tu me dis que ça va pas marcher… mais juste… ta gueule… laisse-moi essayer quand même… merci et au revoir ! »
Et BIM !!! Encore une fois ça te permet de surmonter tes blocages et de t’affirmer un peu plus.
Donc changer ton dialogue interne, c’est maxi-important.
D’ailleurs, si t’es en train d’entreprendre et que t’as besoin de soutiens pour ça, je te recommande un milliard de fois le groupe Facebook de ma pote Lyvia (LyviaDebloque.com), c’est plein de gens sympas qui s’entre-motivent pour éclater leurs blocages et passer le turbo.
Et tu vas voir que lorsque ton cerveau aura compris que finalement tu ARRIVES à faire les choses, il arrêtera de t’envoyer ce dialogue interne de merde.
Tu auras tué le zombie intérieur… et tu seras devenu un DISSIDENT ! Yeeeeah !!!
En mode Rick Grimes
Et tu te sentiras léééééégeeeeeeeer(e) !!!
Ce qui nous amène à la troisième étape…
3. Utilise la légèreté comme une arme redoutable
On va faire simple :
Quand t’as envie de demander un truc ou de donner ton avis…
…au lieu de te faire cinquante milliards de scénarios possibles dans ta tête et d’évaluer toutes les retombées possibles pour chacun d’entre eux…
…à la place…
…formule juste les choses de la manière la plus simple possible !
Concrètement ?
Disons que tu veux inviter quelques potes à sortir.
Par exemple pour faire… voyons voir… du canyoning !
Mais évidemment, ça te paraît ingérable parce que t’as peur de les déranger… de te prendre un refoul… et de sentir que t’es « pas assez bien » pour eux.
Le canyoning, c’est ça ! Et ouais, c’est wam il y a quelques semaines ! Et c’est même pas photoshopé BIATCH !!!
Donc, au lieu de faire un flan sur ce qu’ils pourraient penser de ta demande ou de toi si tu leur proposes ça.
Présente les choses le plus simplement et le plus légèrement possible :
« Salut [nom de ton pote, genre Muxmixme] ! J’ai pensé à toi pour faire une sortie canyoning ça te branche bro’ ? »
Et là, soit il/elle te répond oui, soit il/elle te répond non.
Au moins : t’avais envie de faire quelque chose et tu t’es affirmé en le proposant ouvertement.
Bien joué champion !
T’as juste fait une proposition. Ça t’as pas mis(e) en porte-à-faux. Et t’as pu exprimer ton désir simplement.
Eeeeeeeet là, tu vas peut-être me dire… « Ouaaaais mais avec mes potes, ça va encore… c’est avec les inconnus que je galère… »
Ok.
Ok…
Deuxième exemple !
Disons que t’es méga pressé… tu dois être chez ta mamie pour le goûter à 4h… et avant ça, tu dois poster un coli super important pour un gros client de ta boîte.
Et là, évidemment, il y a 37 personnes dans la file d’attente à la poste.
Une option serait de leur demander de te laisser passer (mais on en est pas encore à ce niveau-là hein !)
Donc t’attends.
Et au bout de 4h53 d’attente, quand il reste plus qu’une paire de personnes devant toi, il y un gros bonhomme (du nom de Bébert mais c’est pas important) qui – en faisant mine de pas trop savoir ce qu’il faut faire (se mettre à la fin de la file d’attente) – te grille ta place comme un gros bâtard !
Et là…
Tu vois rouge !!!
Et pourtant… comme d’hab… tu t’apprêtes à rien dire… ravaler ton amour propre… sourire bêtement… et attendre un peu plus.
Que nenni !
Avec cette technique de la légèreté, tu as juste à lui dire les choses le plus simplement possible, dans le respect le plus total :
« Monsieur ? Vous venez de passer devant moi et je suis très pressé, merci de me laisser récupérer ma place »
Et avec ces simples mots… à la place de ruminer ta rancœur, attendre 40 minutes de plus et pourrir ton estime de toi-même… tu te sens bien…
…et tu as fort probablement récupéré ta place !
Donc cette troisième astuce, pense à l’utiliser tout le temps.
Tiens, je te donne même une méthode en deux étapes pour la mettre en pratique :
La formule de l’affirmation de soi :
- Décrit la situation rapidement. « Ça fait 2h qu’on est en train d’avoir cette réunion, il est 13h et on est loin d’avoir fini. J’ai faim. »
- Exprime ton désir. « Ça vous dirait qu’on aille manger et qu’on reprenne après ? »
C’est aussi une formule qui te permet de t’exprimer le plus simplement et authentiquement possible.
D’autres exemples :
« Tu viens de me traiter de [insère un mot pas cool]. Ça me blesse. J’aimerais que tu me parles autrement. »
Plus efficace que de rien dire ou que de rétorquer « C’est toi le gros [mot encore moins cool], et en plus t’es [Aïe !] ! »
« Ça fait plusieurs fois que tu prends le dernier Prince de Lu. J’aimerais que tu me le laisses de temps en temps. » NOTE PERSO : je dis pas ça pour toi ma chérie hein… mais bon…
Plus efficace que de rien dire ou de hurler « Rhooo ! Tu me saoules à toujours finir les gâteaux. »
« Tu m’as appelé « l’autre » devant nos amis. Je me suis senti vraiment méprisé(e). J’aimerais que tu ne m’appelles pas comme ça. »
Plus efficace que de faire la gueule.
Bref ! Tu vois l’idée 😉
Et tu peux utiliser la formule à volonté !
Donc, pour résumer…
- Te confronter aux situations qui te mettent mal-à-l’aise
- Ne pas obéir à ton discours intérieur négatif
- Et dire les choses aussi simplement que possible
Ça te permettra PETIT À PETIT de t’affirmer de plus en plus.
Et tu constateras que non-seulement les gens tiendront de plus en plus compte de ce que tu penses, de ce que tu veux et de ce que tu éprouves…
Mais EN PLUS tu éprouveras de moins en moins d’anxiété à exprimer ces choses-là.
(Ça fait beaucoup de « plus » et de « moins » dans ces dernières phrases mais au moins, c’est clair !)
Tu seras en accord avec tes pensées, tes envies et tes émotions… tout en pouvant respecter celles des autres…
Et tu seras zeeeeeeeeeen !
Donc si ça te semble cool d’arriver à ce niveau d’affirmation de toi…
…je t’ai concocté une petite liste de 10 mini-exercices progressifs (sous forme d’une jolie fiche PDF) à faire dès aujourd’hui pour t’affirmer davantage et augmenter ta confiance en toi !
Tu vas voir, il y en a une paire bien marrants, héhéhé !
C’est complètement FREE.
Clique sur ce bon gros lien bleu pour recevoir tes 10 exos !C’est cadeau. En plus de l’article 😉
Enjoy !
– Dà Miêng (c’est mon nom local) | From Hoi An (Vietnam) with Love
PS : Hey ! Tu viens de lire cet article en entier et ça me fait bien plaisir 😉 J’ai passé 7h17 à l’écrire (oui, j’ai un logiciel qui me chronomètre pour savoir comment je passe mon temps sur mon PC… et être sûr que je passe pas trois plombe à regarder des séries par exemple ^^) dans l’intention qu’il aide un maximum de personnes. Ça me ferait très plaisir que tu le partages autour de toi, genre sur ta page Facebook ou sur ton blog. Merci amig@ et à très vite pour de nouvelles aventures !
Partager la publication "S’affirmer : 3 astuces pour ne pas être aussi effacé qu’une marmotte sous sédatif"
Coucou Damien,
Je veux juste te dire qu’il existe une « formule magique » qui permet d’aller vers cet objectif qui est de s’affirmer avant de se confronter à ce qui fait réellement flipper. Cette formule magique est une phrase qui nous vient de l’EFT : emotional freedom technic ou en french : technique de libération émotionnelle qui travaille de manière très simple (du tapping sur des points précis avec une phrase ) sur les mémoires inconscientes qui réactualisent dans le présent des peurs du passé et qui te font agir d’une manière plutôt que d’une autre. Aussi si une personne a appris que s’affirmer est dangereux par exemple à travers une expérience avec un parent, un professeur ou une figure d’autorité. Elle peut arriver en se motivant à apprendre à s’affirmer comme tu le proposes dans l’article, mais elle peut aussi aller directement nettoyer la source avec une phrase du genre : même si j’ai du mal à m’affirmer quand un gros bonhomme me passe devant parce que je suis impressionné et que j’ai peur de sa réaction et peut-être aussi de me sentir encore plus mal et bien je m’aime et je m’accepte tel que je suis. Cette méthode nettoie un truc de dingue même si elle peut paraître simplissime. Cela peut être fait seul ou accompagné d’un accompagnant si la personne en ressens le besoin. Je t’embrasse et bonne continuation ou que tu ailles 😉
Coooooooool !
Merci Sybille pour tes contributions intéressantes (comme d’hab 🙂 )
C’est top d’avoir des alternatives complémentaires !
« Je t’embrasse et bonne continuation ou que tu ailles «
Merci ! Ce sera à Taiwan ^^ L’avion est demain !
Bises à bientôt 😉
Salut Damien !
Il y a encore quelques années, j’avais beaucoup de mal à dire non, et à dire ce que je veux, heureusement ça s’est arrangé depuis, et ça continue.
Car c’est en effet une question de pratique et de persévérance.
On peut avoir l’impression d’être vraiment bizarre au début, d’être « décalé » par rapport à qui l’on est alors que c’est par rapport à un « nous » qui était moins « nous » que nous le sommes lorsque nous nous affirmons (oui, ça fait beaucoup de « nous » ^^).
Ce n’est pas confortable du tout ! C’est bien de le dire et pas de faire genre « c’est le monde des bisounours, ça va aller tout seul, les autres vont comprendre sans souci qu’on agit différemment »
Les raisons, outre la peur (risques, conflits), j’évoquerai aussi l’éducation et notamment le fait de « bien se comporter », de plaire aux autres, etc.
« du genre partir un weekend par mois dans une ville que je connaissais pas et parler à des gens pour qu’ils m’invitent à dormir chez eux »
Ça fait penser au concept « j’irai dormir chez vous » de Antoine de Maximy.
« changer ton dialogue interne, c’est maxi-important »
C’est sûr. Ça ne se fait pas du jour au lendemain, là encore, la persévérance est nécessaire et le principal c’est de faire de son mieux (ça a du te fiche de bons coups d’adrénaline le canyoning non ?!^^)
Super la formule : situation + désir ! ça fait penser à la communication non violente en plus condensé.
Pour en arriver là, il faut avoir passé par les étapes d’avant, avoir pris l’habitude de « se calmer/poser » quand un truc chiant arrive au lieu de s’énerver tout de suite.
En tous les cas, très bon article, s’affirmer ça peut s’apprendre, petit à petit 😉
@+
(PS : désolée pour ton visa pas accordé, j’espère que t’as trouvé où loger à Taïwan ! et d’ailleurs, tu sais déjà comment ça se dit Damien en taïwanais ? ^^)
Yes Marine !
Merci pour tes ajouts pertinents comme d’hab 😉
Et j’ai vu ça récemment sur la gestion des émotions, ça m’a bien plu, peut-être que tu connais : https://www.youtube.com/watch?v=gm9CIJ74Oxw
À très vite 😉
(PS : Yes, j’ai trouvé un appart méga-cool à Taiwan, avec vue sur les montagnes ! Et je sais pas encore la traduction de Damien… mais je sais dire « Je voudrais manger » ^^ Héhé !)
Hello Damien,
Merci pour le lien vers la vidéo, je ne connaissais pas, c’est très intéressant d’avoir une représentation visuelle et physique simple effectivement pour expliquer comment on se sent (quand on sent qu’on risque de partir en vrille).
Nikel pour l’appart à Taïwan, du coup oui effectivement l’un des principaux trucs à apprendre dans la langue c’est lié au fait de se nourrir ^^. J’imagine que tu sais aussi sans doute dire des trucs comme Bonjour et merci 😉
(cool le dernier mail sur le mythe, complètement d’accord, on se base trop souvent là-dessus > teasing pour ceux qui n’auraient pas eu la chance de le lire ^^)
@+
Avec plaisir 😉
Et cool que t’aies kiffé mon dernier mail (je me suis régalé à écrire toute cette série ^^ Le mental c’est un sujet important !)
Et niveau chinois, ça avance ^^ Maintenant j’arrive reconnaître viande 肉 et poisson 魚 ! :p
Zàijiàn (Byebye)
ni hao !
nice pour les idéogrammes, j’espère quand même que pas mal de choses sont écrites en anglais pour t’y retrouver un peu !
ça doit être super de se confronter à toutes ces cultures différentes 🙂
Encore un article qui envoie !
Je le trouve très intéressant ; )
Cool que ça t’ait plu man 😉
Ça fait un moment que je cherche le moyen de m’affirmer ! Je suis plutôt timide et je laisse souvent les gens me marcher sur les pieds. Je suis consciente que ce n’est pas une bonne chose si l’on veut créer son propre business, mais je n’arrive pas à changer mon mental.
C’est clair que c’est pas le genre de chose qu’on peut changer du jour au lendemain ^^
La meilleure chose à faire à mon avis : Un petit pas par jour dans la direction où tu veux aller… même tout petit… et chaque jour 😉