Tu es en vie.
Le matin, tu te lèves. Le soir, tu te couches.
La journée est régie par des règles. On sait ce qu’on peut faire et ce qu’on ne peut pas.
On peut dire bonjour à ses collègues de bureau, on ne peut pas gifler son boss.
On a un rôle qui nous est plus ou moins attribué.
Pour untel, tu es quelqu’un de discret et serviable, et pour untel tu es un(e) maniaque exigent(e).
De tous côtés, on se laisse définir.
On choisit d’écouter certaines personnes.
On se conforme aux rôles tant et si bien qu’on finit par y croire nous-mêmes.
« Bin oui, moi, je suis comme ça ! »
On garde le masque pour ne pas être rejeté.
Évidemment ! Puisque les autres s’attendent à ce que je sois comme ça, il ne faudrait pas les décevoir.
Plaire. Plaire pour être accepté. C’est ça le gros enjeu.
Ça commence tout petit avec papa et maman.
Il faut faire ceci ou cela pour obtenir leur attention. Donne la patte. Bon garçon ! Bonne fille !
Si on ne fait pas ce qu’ils veulent, on est puni ! On nous enlève l’attention. Tu vas rester tout seul. Sale bête !
Et ça continue. Les professeurs, les amis, les conjoints, les collègues, les patrons… même histoire.
Puis ça ne s’arrête jamais !
Et il y a des tas de gens qui passent leur vie comme ça.
Et si je te disais que ce n’est pas la seule option.
Si je te disais que ce système d’apparence, ce grand manège de la société, c’est juste une immense illusion que tu as plus ou moins acceptée.
Si je te disais que tu as le droit de rompre cette illusion, rompre cet accord.
Cette espèce d’accord à l’échelle de la planète qui définit ce qui est bien et ce qui ne l’est pas, ce qui est normal et ce qui ne l’est pas, ce qui est juste et ce qui ne l’est pas.
Et si je te disais que chaque être humain est unique, et que cette réalité commune c’était la plus grande illusion de tous les temps.
Si je te disais que la réalité, ça n’existe pas.
Si je te disais que la réalité, c’est seulement ta réalité.
Et si je te disais que ta réalité, tu as le droit d’en prendre le contrôle.
Ça ne veut pas dire que tu peux contrôler la réalité mais que tu peux contrôler comment tu interprètes le monde.
C’est ça ta réalité.
Et de ta réalité découle la vie que tu mènes, ton bien-être, ton bonheur, tes souffrances, ton malheur.
Tu n’es pas obligé(e) de souffrir, c’est un choix.
Tu n’es pas obligé(e) d’être heureux(se), c’est aussi un choix.
Comme tu le sais, pleindetrucs.fr, c’est un blog qui t’invite à prendre le contrôle de ta réalité et à construire ta vie autour.
Cet article, c’était juste un petit mémo pour te rappeler que ta réalité, c’est exactement ce que tu veux en faire !
Tu as ici des tas d’articles pour t’aider à définir ta réalité et à bâtir ta vie en fonction.
Si tu ne sais pas par lesquels commencer, tu peux par exemple lire ceux-là :
J’en dis que cela donne à réfléchir avec quelques amis autour d’une bonne bière… #EpicurismeUnJour
Héhé ! Excellent, c’est un bon début 😉
J’adhere complètement à votre vision du monde c paradoxal non?
Par contre, pourquoi appeler tout le monde « nuggets »? Vu le mode de préparation de ces choses, dans ma réalité c’est loin d’etre un compliment… je suis curieuse d’avoir un autre point de vue?
« J’adhere complètement à votre vision du monde c paradoxal non? »
Vive les paradigmes qui se rapprochent :p
Et bonne question pour le « nuggets » XD
Alors, pour la petite histoire, c’est le surnom qu’on se donnait entre potes à l’époque du lycée et ça a un double sens :
– « Nugget » en anglais ça veut dire « Pépite » (par exemple gold nuggets = pépites d’or), donc c’est la partie la plus précieuse d’un tout « les précieuses personnes que je connais » en somme !
– Et c’était aussi un raccourci pour dire « mon poulet »
Donc quand j’appelle mes lecteurs « nuggets », ça signifie affectueusement un truc entre « mon précieux ami » et « mon poulet » ^^