Ce qu’il te “reste” à faire pour vivre de ton business online

Ok…

À ce stade du cours, tu sais déjà faire un paquet de truc pas trop naze :

Tu sais comment trouver une offre qui a du SENS pour toi et que les gens seraient PRÊTS À PAYER. (Cours 2)

Puis justement, tu sais OÙ TROUVER ces gens prêts à acheter ^^ ! (Cours 3)

Et tu sais QUOI LEUR DIRE pour leur DONNER ENVIE d’acheter ce que tu fais. (Cours 4)

Donc déjà…

…bien ouèj nuggets !

Rien qu’en appliquant tout ça, t’es capable de gagner des sous depuis ton ordi… en apportant de la VALEUR aux gens.

Champagne !

Mais avant de se siffler toute la bouteille…

…il reste à rendre tout ça pérenne.

C’est-à-dire que savoir comment gagner de l’argent via internet c’est bien…

…et le faire concrètement entrer régulièrement sur ton compte en banque, c’est mieux 😉

Donc, flip, flop, tagadaplop, c’est le sujet de cette cinquième et dernière leçon.

On va d’abord voir les trucs de BASE : genre les moyens de paiement en ligne et l’aspect légal. Donc ceux qui sont déjà bien avancés dans leur biz peuvent sauter cette première partie (sauf si vous voulez des blagues à base de T-Rex et de Fée avec un accent)…

…Puis on va voir des trucs carrément plus poussés : genre comment faire grossir ton biz et gagner suffisamment d’argent pour en vivre. Donc là, ça s’adresse à tout le monde (et particulièrement à ceux qui sont plus avancés !).

Alors grimpe sur mon fier destrier et c’est parti pour une balade au galop vers le soleil levant de ta liberté pro !

 

Les bases pour faire rentrer de l’argent sur ton compte en banque

Techniquement

Donc tout d’abord… pour faire rentrer de l’argent dans tes pockets…

…Il y a l’aspect purement technique.

Comment les gens peuvent t’envoyer des sous ?

Et tu vas voir, c’est archi-simple, même si t’es une quiche en informatique.

Le moyen le plus pratique, c’est probablement d’ouvrir un compte Paypal ou Stripe.

En gros, c’est un genre de compte en banque numérique qui te permet de recevoir des paiements en quelques clics.

Et ton compte en banque habituel communique avec ce compte en banque numérique (tu peux faire des transferts dans les deux sens en somme ^^).

Tu t’inscris gratuitement soit sur le site de Paypal soit celui de Stripe et t’as la possibilité de créer des formulaires de paiement en quelques minutes en suivant leurs tutoriels.

C’est tellement facile que même ma grand-mère pourrait le faire… de la main gauche… dans le noir… en train de faire du rodéo sur un tyrannosaurus rex… en chute libre… dans l’hyper-espace. Sérieux.

C’est pas plus compliqué que ça.

Et si tu sais pas quoi choisir entre Paypal et Stripe, prends Paypal, c’est le plus connu.

Une autre option − encore plus simple − c’est de donner ton RIB à tes clients.

Donc comme tu peux le constater… l’aspect technique pour recevoir de l’argent online, c’est pas bien compliqué !

Et une fois que tu permets aux gens de pouvoir t’envoyer des sous via le web…

…tu te demandes probablement comment ça se passe au niveau légal.

 

Légalement

Pour t’éclairer sur tes obligations légales, je vais inviter Fufu, la petite Fée de la législation française (elle est gentille mais elle est un peu chiante parfois) :

“Fonchour, che suis Fufu !

Foici ce que dit la loi française, ya :

La fente par des particuliers est encadrée par les dispositions guénérale du code de commerce, du code guénéral des impôts et du code du travail.

En l’absence de caractère habituel et répété des fentes, des particuliers qui réalisent des fentes à titre occasionnel n’ont pas la qualité de commerçant. Nein.

En refanche, dès lors que des actes de commerce sont exercés de manière habituelle et répétée, la personne physique qui les exerce est tenue à l’immatriculation au registre du commerce et des sociétés (artikel L. 121-1 du code de commerce).

Foilà, à pientôt !”

Merci Fufu Auf Wiedersehen !

Donc, ce qu’elle veut dire par là, c’est :

Te mets pas trop la pression sur l’aspect légal quand tu commences à peine ton activité.

Tu peux monter ton biz pépère tant que tu fais pas des ventes “habituelles” et “répétées”.

Évidemment, les termes “habituels” et “répétés” laissent quand même pas mal place à interprétation.

Donc, dès que tu commences à avoir un truc qui se vend…

…pense à t’immatriculer.

“T’immatriculer”… lol…

C’est un terme un peu barbare mais en fait… c’est méga-simple aussi ^^

En France, pays des droits de l’homme et du fromage qui pue, on a un truc sympatoche qui s’appelle “auto-entrepreneur”.

En gros, il te suffit de remplir un formulaire avec quelques questions sur le site officiel : http://www.lautoentrepreneur.fr/ pour t’inscrire à ce régime (ça se fait assez vite et tu reçois ton autorisation en une semaine environ).

Bref, à partir de là, tu peux exercer ton activité de manière 100% légale jusqu’à ce que t’atteignes le seuil de 33.100 € annuel (Seuil en vigueur au moment où j’écris ces lignes : juin 2017).

Ça fait quand même 2.758€ par mois.

Et c’est seulement à partir de ce seuil qu’il te faudra découvrir les joies de posséder une “vraie” société, avec statuts, justification de siège social, attestation de parution, expert comptable et tout le fatra !

Mais t’inquiètes, quand t’en seras là, tu laisseras ton expert comptable se débrouiller 😉

Donc, easy-peazy-lemon-squeezy et reste relax sur l’aspect officiel, c’est un truc qui se règle en trois coups de cuillère à pot…

…surtout quand tu débutes !

NOTE : Et pour ceux qui se faisaient une montagne de l’aspect légal, je vais vous dire une bonne chose : c’est UN MILLIARD de fois plus important d’avoir une offre, de trouver des clients et de la vendre que de remplir ces petits papiers.

Développer un business online, à 99,9% ça se passe pas dans l’administration 😉

Ceci étant dit, on passe aux choses sérieuses !

 

Développer ton biz jusqu’à en vivre

Donc là, t’as ton biz en place.

Tu sais gagner de l’argent avec.

T’as des clients de temps en temps.

Et c’est plutôt coolos… mais t’aimerais passer au niveau supérieur :

En vivre complètement !

Donc déjà, félicitations d’en être arrivé(e) jusque-là, c’est pas rien 😉

Check m’en cinq coquinou(ette) !

Ensuite, écoute bien ce qui arrive…

…Parce que passer d’un petit business qui génère quelques ventes à un business qui “tourne” et qui te permet de gagner ta life, c’est une étape bigrement importante…

…qui demande elle aussi une bonne dose d’implication.

 

Donc pour pouvoir complètement VIVRE de ton business, il y a trois éléments clefs à développer :

On va les appeler les 3 A.

Améliorer ta réputation, Augmenter ta visibilité, et Avoir un panel d’offres qui se complètent pour te rapporter plus d’argent.

Vu que tu sais DÉJÀ vendre, c’est le perfectionnement de ces trois domaines qui va t’ouvrir les portes de ta liberté professionnelle.

Donc dans cette deuxième partie du cours 5, je te montre comment les développer 😉

Go !

 

1. Améliorer ta réputation

Ce point là, c’est un peu la pierre angulaire de ton business.

Parce que sans une bonne réputation, ton business est voué à se manger les dents.

En d’autres termes : Tu pourras pas attirer suffisamment de clients si les gens que tu as déjà attiré disent que ce que tu fais est pourrave.

Donc ta réputation, c’est ce que les gens pensent (et disent) de CE QUE TU FAIS.

Si tu fais du bon boulot, les gens vont adorer ce que tu proposes et en parler en bien autour d’eux.

Si tu fais n’importe quoi, ça va pas leur plaire et ils vont en parler en mal.

Et si ce que tu fais n’apporte pas de valeur… personne ne va en parler et tu vas tomber dans les méandres de l’oubli.

Alors, qu’est-ce que tu peux faire pour améliorer ta réputation ?

C’est simple : Faire un putain de bon boulot pour tes clients !

Parce que les personnes les plus importantes pour ton business, ce sont tes clients.

Alors montre-le leur.

Aide-les de toutes tes forces.

Fais en sorte qu’ils soient comblés par tes offres.

Il n’y a pas de raccourci à une bonne réputation, il te faut la mériter :

Offrir à tes clients des prestations qui sont à la hauteur − ou encore mieux qui DÉPASSENT − leurs attentes !

Et pour ça, sois attentif(ve) à ce qu’ils te disent… Prends leurs avis en considération…

…Et améliore sans cesse la qualité de ton travail !

C’est comme ça que tu vas être bien vu de ton public.

Et c’est comme ça que tu vas construire une “marque” solide et éthique, réputée pour apporter de la VALEUR aux gens.

À partir de là, pour vendre plus, il te reste encore à être davantage VISIBLE…

 

2. Augmenter ta visibilité

C’est logique après tout.

Si personne ne sait que tes offres existent, personne ne va les acheter ^^.

Donc pour augmenter la visibilité de tes offres, il va falloir atteindre ton public de manière plus large.

Tu peux faire ça par exemple en publiant des articles de blog d’excellente qualité qui sont partagés en masse (bouche à oreille), ou en publiant des articles invités sur des sites référents (c’est-à-dire “très connus” dans ton domaine) ou encore en faisant de la publicité (par exemple sur Facebook), etc…

Il y a UN TAS de méthodes différentes. Tu es libre de les expérimenter pour trouver celle qui te convient le mieux.

En tout cas, ce qu’il faut bien que tu gardes en tête, c’est que pour gagner ta vie avec ton business, tu vas avoir besoin de faire un certain nombre de ventes.

Par exemple, si ton offre principale coûte 100€ et que t’as un objectif financier de 2.000€ par mois…

…il te faudra faire 20 ventes par mois pour atteindre ton objectif.

Ou 240 ventes sur l’année.

C’est des maths ultra-simples mais pense à garder TES propres chiffres à l’esprit (nombre de ventes nécessaires pour atteindre tes objectifs financiers).

Ça te permettra d’avoir une vision concrète de là où tu te diriges.

Et si à l’heure actuelle, tu fais… disons…. 5 ventes par mois… une option qui fonctionne pour atteindre tes objectifs financiers, c’est d’en faire quatre fois plus…

…et c’est là où ta visibilité devient un atout précieux 😉

Et enfin, au-delà de ta visibilité d’ailleurs…

..Il y a aussi un troisième moyen d’atteindre tes objectifs financiers :

 

3. Avoir un panel d’offres qui se complètent pour te rapporter plus d’argent

Pour vivre de ton biz…

…rien ne t’oblige à vendre uniquement UNE SEULE offre.

Ce serait même te tirer une balle dans le pied.

Parce qu’en proposant trop peu d’options à ton public cible… tu perdrais un tas d’opportunités de faire des ventes !

Alors assure-toi d’avoir un panel de propositions qui peut toucher la majeure partie de ton public.

ATTENTION : Ça ne veut pas dire pour autant de créer des centaines de milliers d’offres pour qu’il y en ait pour tous les goûts. Nonono.

Ça veut simplement dire de bien prendre en considération ce qui compte le plus pour ton public cible (Cf. Cours 4 ;-)) et de lui proposer différents moyens de résoudre ses “problèmes” et d’avancer vers les résultats qu’il désire.

Trois à sept offres suffisent amplement.

Au-delà de ce nombre, ton public peut se sentir confronté à TROP de choix et ne plus être capable d’en faire un de peur de “se tromper d’offre”.

C’est ce que le psychologue américain Barry Schwartz appelle “Le paradoxe du choix”.

Chacune de tes offres peut proposer une approche différente pour améliorer la situation de ton client.

Pour reprendre notre exemple du mec qui veut faire de la muscu pour se trouver plus beau physiquement :

• Tu pourrais offrir un programme vidéo “Des abdos de dieux Grec en 8 semaines” à 200€,
• Un autre programme vidéo “Biceps hypnotiques – Tous les regards seront tournés vers vous” (lol) à 200€ aussi
• Des consultations privées d’une après-midi à 200€ pour expliquer individuellement à tes clients quels muscles développer en fonction de leur morphologie actuelle pour devenir mannequin professionnel
• Un accompagnement sur 6 mois pour devenir mannequin homme à 600€ par mois
• Et un “Camp d’entraînement Apollon” d’une semaine dans un hôtel privé dans le Jura pour 2000€ la semaine, tout compris, que t’organises trois fois par an.

Par exemple ^^.

Ça te fait un ensemble d’offres suffisamment diverses pour gagner complètement ta vie avec ton business.

Disons que ton objectif financier est de 2.000€ (HT) par mois, donc 24.000€ sur l’année.

Sur toute une année, il te faut vendre par exemple :

20 de chacun de tes programmes (8.000€), 20 consultations privées (4.000€), 2 accompagnements sur 6 mois (7.200€), et avoir 6 personnes à chacun de tes 3 camps d’entraînement (5.400€ si tu considères que ton bénéfice est de 300€ par personne une fois que tu as déduis les frais de logement, de nourriture, de location de matériel de muscu, etc…).

Et BIM ! 24.600€ !

Objectif atteint 😉

Cool huh ?

Bon, là évidemment, pour simplifier le calcul, j’ai pas pris en compte les impôts etc…

Mais tu peux facilement ajuster ça à ta sauce en fonction de TES objectifs financiers.

Et une fois que t’as ce panel d’offres-là…

…t’es plus dépendant(e) de faire un MAXI-GROS nombre de vente de la même offre pour gagner ta life !

L’élément clef ici, c’est d’avoir des offres suffisamment diverses − dont certaines suffisamment chères − pour ne pas dépendre d’un volume de vente gigantesque.

Et comprendre ça, ça te change la vie ^^.

Et ça remplit ton portefeuille !

 

Et quand tu combines ça à une bonne réputation et une bonne visibilité…

…Tu peux… vivre… de ton… business :p

Puis à partir de là… une fois que tu VIS COMPLÈTEMENT de ton activité… tu peux alors envisager de modeler ton business selon ton bon vouloir…

 

Faire décoller ton business, tes revenus et ton impact sur le monde

Tu y es.

À ce niveau-là, tu n’as plus à t’inquiéter d’avoir de quoi financer ton train de vie et celui de ta petite famille.

Tu gagnes autant avec ton propre Easy Business que ce que tu gagnais avec ton emploi.

Voire plus.

Du coup, t’as plus BESOIN d’un emploi du tout d’ailleurs.

T’es libre de bosser quand ça te chante, et − si t’as choisis de proposer que des offres numériques − d’où ça te chante !

Donc qu’est-ce que tu peux faire à partir de là ?

Continuer et profiter.

Continuer d’apporter de la valeur aux autres.

Et profiter pleinement de cette chance exceptionnelle que tu t’es créée.

Chaque doute, chaque goutte de sueur, chaque seconde de remise en question que tu as traversée t’a amené jusque là.

Pense à prendre la pleine mesure de ton accomplissement.

Tu es totalement indépendant(e).

Et tu peux accéder à un monde qui ne t’aurait jamais été accessible en tant qu’employé(e).

Un monde où tu as le contrôle total de tes revenus, de ton temps et de ton lieu de travail.

Un monde où tu peux aller dans la direction qui te fait le plus envie :

Travailler moins (pour passer plus de temps avec tes enfants par exemple) et te concentrer sur un tout petit groupe de clients qui t’adorent ?

Tu peux !

Travailler plus, gagner énormément d’argent et avoir un impact sur le monde ?

Tu peux !

T’améliorer de jour en jour dans ton domaine parce que t’adores ça tout en voyageant autour du globe ?

Tu peux !

Tu es libre.

Évidemment, pour en arriver là, ça demande pas mal de boulot.

Mais chaque pas dans cette direction en vaut mille fois la peine.

Parce que le mode de vie à l’arrivée est tout bonnement exceptionnel.

Et si c’est la route que tu décides d’emprunter, j’aimerais conclure sur ce message :

Fais de ton mieux… tu as le droit de douter, tu as le droit de te planter, ça demande un paquet de rééquilibrage de trouver le business qui te correspond…

…mais avec l’implication nécessaire : tu peux y arriver.

Même si ton entourage ne comprends pas vraiment. Même si certains te critiquent violemment.

En étant focalisé(e) sur ton objectif… Avec résilience face à l’adversité… Et en passant à l’action encore et encore :

Tu peux y arriver !

 

Donc j’espère que t’as kiffé mon FAT cours offert cette semaine !

Ça m’a pris un mois et demi de l’écrire mine de rien (en prenant en compte tous les mails/messages que j’ai reçu et toutes les améliorations que j’y ai apporté au fur et à mesure)  !!

Laisse-moi un petit commentaire en dessous pour me dire ce que t’en as pensé :

1) Qu’est-ce que t’as retenu principalement de l’ensemble du cours ?

2) En quoi ça va t’être utile ?

3) Comment tu te sens maintenant par rapport à avant de lire le cours ?

Et où que t’en sois de l’avancement de ton business…

…Je te souhaite un max de réussite dans tes projets amig@ 😉

À très vite,

– Damien, qui subit l’influence de son voisin surfeur allemand (il s’appelle pas Fufu par contre mais il a un bel accent), ya !