Trouve le truc qui te fasse vivre

Ok, t’as envie de faire quelque chose qui te fait vibrer.

Le souci, c’est que pour l’instant tu sais vraiment pas quoi.

T’as plein d’idées et tout s’embrouille dans ta tête.

Tu n’as pas de « passion » clairement définie et tu es curieux(se) de beaucoup de choses.

Et t’as beau retourner toutes les options dans tous les sens, t’arrives pas à te dire : « C’est ça que je veux faire »

Et ça, c’est seulement une partie du problème…

En plus de tout ça, au fond de toi, ça te fait flipper. Tu doutes de tes compétences. Tu as l’impression de partir presque de zéro. Tu penses que tes idées ne sont pas très rentables.

Et quelque part, t’as cette peur de ne pas trouver ta voie et de passer ta vie à faire des choses qui ne t’apportent pas la satisfaction que tu recherches.

Ce que t’aimerais, c’est comprendre ce que pourrait être un travail FUN dans lequel tu te sentirais bien à ta place, pour ne pas avoir l’impression d’être un peu somnambule.

RHAAAAAAAAAAAaaaaaaaaaa ! Je comprends carrément !!

Ça craint. C’est frustrant. Au fond, ça fout la rage !

Et tu sais quoi, je suis passé par là mon pote. Et j’ai trouvé une méthode pour passer ce cap.

Je vivais ma vie, comme un automate. Boulot de bureau dans la création de jeux-vidéos. Pas mal. Pas exaltant.

Les jours passaient, un peu insipides. Les journées duraient des semaines et les weekends, des secondes.

Le risque, c’était que je reste planté là jusqu’à la retraite.

Je voulais sortir de cette routine qui me tuait à petit feu. Prendre un bol d’air. Vivre quoi ! Merde !!

Et si je me remuais pas un peu la *double colline*, j’allais passer ma vie en autopilote et devenir vieux et aigris. BEURK !

Et quand j’ai cherché des pistes pour m’échapper, évidemment, je me suis fait bombarder dans tous les sens. C’était « risqué » d’envisager autre chose. Est-ce que « j’étais sûr » que j’avais vraiment envie de ça ? Puis fallait bien gagner sa vie, non ? Blablabla…

Ça motive pas des masses. Et ça fout les glandes !

Comme un poids qui s’accroche à nos chevilles pour nous maintenir dans une inertie nulle et puante.

Mais j’ai pas lâché l’affaire.

Et j’ai commencé un voyage. Un méga voyage dans ma tête. Au pays de ce qui était possible et de ce qui ne l’était pas.

J’ai regardé au-delà des murs. J’ai écouté mon cœur. Et j’ai vu de l’espace. Un immense espace.

Je me suis posé des questions. Beaucoup.

J’ai lu. Énormément.

Ça a bouleversé mon monde. Ça m’a ouvert des portes.

Ou plutôt, ça m’a permis de voir les portes qui me paraissaient invisibles jusqu’alors.

J’ai entrevu l’infinie portée de la vie. J’ai entrevu un univers de possibilité.

Et je l’ai regardé, béat, comme un enfant devant le plus magique des parcs d’attraction.

Le monde, la vie, et ce que je peux y faire dedans.

Je venais de trouver des pistes. J’y voyais clair.

C’était pas un chemin facile. Ça m’a secoué. Chamboulé.

Trouver le truc qui te fait vivre, c’est un périple trépidant. Ça ne se passe pas du jour au lendemain. Ça demande de la rigueur, de la persévérance mais ça vaut le coup.

Ça vaut un milliard de fois le coup !

Cette aventure, elle se passe à travers une introspection poussée. Trouver les bonnes questions, celles qui bouleversent et qui font pleurer. Et j’ai pleuré un bon paquet de fois. Pas des larmes de tristesse. Des larmes d’émotions indescriptibles. Quand ça te touche au cœur et que tu peux pas les retenir. Des larmes pleines de sens et de raison.

Celles qui te permettent de trouver une activité qui te plaît, de l’enthousiasme et de l’excitation pour un projet.

Et je crois que tout le monde mérite de trouver sa direction.

Alors si tout ça te parle, laisse-moi te présenter la méthode que j’ai trouvée :

 

Module 1

À continuer… Qu’est-ce que t’en penses ?