Est-ce que…
Ça va vraiment me rendre heureux(se) ?
Est-ce que créer mon business online va vraiment me rendre plus libre et plus indépendant(e) ?
Est-ce que voyager va vraiment me rendre plus épanoui(e) ?
Pif, paf, des doutes plein le crâne.
En tant qu’humains, c’est notre lot quotidien.
Comment savoir si nos décisions nous apporteront les fruits sucrés que l’on veut récolter ?
Ou si on se lance vers une quête désespérée dans un désert de poussière ?
Alors on fait tourner ces questions en boucle dans nos tête avec le bruit assourdissant d’un moteur de voiture de course :
Est-ce que ça, ça ou ça, va vraiment me rendre heureux(se) ?
Et évidemment, la voiture tourne en rond, sans jamais s’arrêter pour te laisser entendre une réponse claire.
La vérité, c’est qu’au fond, on a tous des envies.
Le souci, c’est qu’on ne sait pas si ces envies nous apporteront du positif ou non.
Donc notre tendance naturelle, c’est de réfléchir comme des malades en espérant que la réponse à nos interrogations se manifeste par enchantement un beau matin…
…et qu’on sache enfin précisément quoi faire.
Youpi !
Sauf qu’en réalité, ça se passe jamais comme ça.
Argh !
Le temps passe et les doutes subsistent.
Alors on rationalise.
Par exemple, imaginons que quelque part dans ton cerveau, t’aies envie de faire un grand voyage − disons aux USA, un road-trip California, Nevada, Arizona, Utah (ou si t’as pas envie de faire un grand voyage imagine autre chose qui te parle davantage !).
Tu te dis que ça pourrait être génialissime, et chaque parcelle de ton corps t’encourage comme une pom-pom girl pour FAIRE CE *LUTIN* DE VOYAGE !
Mais…
Ton cerveau t’envoie aussi des informations comme quoi ça pourrait ne pas être à la hauteur de tes attentes.
Et si tu n’arrivais pas bien à communiquer à cause de ton niveau d’anglais ? Et si ça ne se passait pas bien avec la ou les personnes avec lesquelles tu serais parti(e) ? Et puis ça coûte assez cher quand même, est-ce que ce ne serait pas mieux d’investir cet argent dans une nouvelle voiture ?
Tu vois l’idée ?
C’est la rationalisation de l’enfer.
Du coup, le réflexe automatique, c’est de reporter le projet à un futur hypothétique.
“On verra plus tard, je suis trop occupé(e) en ce moment de toute façon”.
Tu connais cette sensation, je la connais, on est tous passés par là.
Pourtant…
Ce qu’on fait vraiment dans cette situation, c’est loin d’être un choix rationnel et mesuré : c’est simplement un acte de protection.
En réprimant nos désirs, on supprime également les risques associés.
C’est une astuce du mental pour fuir une douleur potentielle et éviter la déception.
Si je ne fais pas ce grand voyage − ou si je ne crée pas mon business, que je ne me mets pas à la guitare, etc… − au moins, je suis certain(e) de ne pas être déçu(e) !
Et ça fonctionne.
Le hic, c’est qu’en se protégeant de tout type de déception…
…on s’empêche également de vivre des expériences exceptionnelles.
Et c’est ça le piège.
C’est ça la limite de la réflexion.
Parce que tu ne trouveras jamais les réponses à :
“Est-ce que ça me rendra heureux(se) ?”
Seulement avec ton mental.
Le mental est limité par son champ d’expériences.
Et il ne peut évaluer une expérience hors de son champ de compréhension.
Ou plus précisément, il tente de l’évaluer à l’aune de ce qu’il connaît déjà − et c’est justement ça sa limite !
Tu ne peux pas savoir si tu vas aimer la papaye avant d’en avoir goûté une.
Tu ne peux pas savoir si tu vas aimer voyager sur du long terme tant que tu ne l’auras pas fait.
Tu ne peux pas savoir si tu vas aimer avoir un business online tant que tu n’en auras pas créé un.
Ton esprit peut tenter d’imaginer si tu aimeras telle ou telle chose en les mettant en parallèle de ce qu’il connaît déjà.
Par exemple si tu aimes faire des voyages courts, il peut imaginer que tu aimeras probablement faire des voyages plus longs.
Mais si tu n’as aucune expérience de voyage, il se base sur des réflexions complètement arbitraires, par exemple des vidéos que t’as vu sur Youtube.
Et ton expérience réelle pourrait être très différente de tes expectatives.
Par exemple, un des mes meilleurs amis est venu me rendre visite quand j’étais au Cambodge. J’ai habité un peu plus d’un an là bas.
Avant de venir, il rêvait de voyages, de découvrir les temples bouddhistes, de partir en bateau sur les îles, de côtoyer les locaux et de vivre un tas d’aventures.
Il est venu pendant un mois. Et c’est ce qu’on a fait.
À la fin du voyage, il m’a dit un truc du genre :
“C’était vraiment génial mais ça n’a rien à voir avec ce que j’imaginais… c’est épuisant en fait… je pourrais pas voyager autant que tu le fais nuggets !”
Du coup, à l’heure actuelle, il aime toujours voyager, mais seulement pour des périodes courtes !
Il a confronté ses attentes avec la réalité et en a tiré de nouvelles conclusions.
Et son envie “idéaliste” de voyage a été remplacée par une connaissance concrète de l’expérience.
Au lieu de penser pour le reste de sa vie qu’il aurait aimé être un grand voyageur, il a réalisé que ce mode de vie ne lui correspondait pas…
…et il s’épanouit autrement !
En revanche, un autre de mes meilleurs amis est lui aussi venu me rendre visite au Cambodge à peu près à la même période.
Et pendant ce voyage, il a réalisé que c’était exactement le genre de vie qu’il rêvait de mener lui aussi.
Depuis, il voyage à peu près autant que moi et sa vie n’a plus rien à voir avec celle qu’il menait jusqu’alors.
Pourquoi ?
Parce qu’il a lui aussi EXPÉRIMENTÉ son envie et en a tiré de nouvelles conclusions.
Pour mes deux amis, le processus a été le même et les conclusions ont été différentes.
L’un est devenu voyageur, l’autre à réalisé que ce n’était pas pour lui.
C’est seulement de l’expérience que naissent les réponses à tes questions.
Parce que personne ne peut savoir si telle ou telle chose va te permettre d’être heureux(se) avant d’avoir essayé.
Peut-être que l’idée de voyager te semble synonyme de liberté et de joie mais peut-être que tu vas détester ton premier grand voyage.
Peut-être que tu penses que créer ton business te permettra d’exprimer ta créativité et t’épanouir au travail mais peut-être que tu ne supporteras pas l’absence de directives.
Ou peut-être, au contraire, que tu vas réaliser que tu es fait(e) pour voyager et avoir ton business en ligne et que c’est comme ça que tu t’épanouiras pleinement !
Personne ne peut le savoir avant que tu aies expérimenté.
Et ce qui est sûr, c’est que tant que tu réprimes tes envies et qu’elles restent au stade d’embryon tu ne sauras pas si elles peuvent te rendre heureux(se) ou non.
La pire chose n’est pas d’être déçu de ton expérience.
La pire chose, c’est de ne jamais savoir à quoi ta vie aurait pu ressembler si tu avais essayé.
D’ailleurs, mon ami qui a réalisé que le voyage n’était pas pour lui n’a même pas été déçu de son expérience, bien au contraire.
Il a réalisé que voyager ne correspondait pas à l’image idyllique qu’il se faisait du voyage, et il a pu passer à autre chose.
Récemment, il m’a dit :
“Je suis vraiment content d’avoir fait ce voyage au Cambodge avec toi, sinon j’aurais pu me bercer d’illusions sur le voyage toute ma vie en croyant que je passais à côté de quelque chose qui au final ne me correspondait pas”.
Il a trouvé sa propre réponse à “Est-ce que voyager va me rendre heureux ?”.
Mon autre ami à trouvé une toute autre réponse !
Perso je n’avais aucune idée des choses que j’allais aimer ou pas aimer dans mes voyages et dans mon aventure entrepreneuriale.
C’est seulement en vivant ces choses là − voyager pendant des années autour du monde, créer plusieurs business − que je me suis rendu compte que certaines choses me plaisaient et d’autres ne me plaisaient pas.
J’ai pensé à ça hier soir avant d’aller me coucher parce qu’à l’heure actuelle je me sens un peu perdu sur mes objectifs de vie et je me suis souvenu de l’importance de l’expérimentation.
Je me suis séparé il y a quelques semaines après 3 ans de relation. Ça a complètement chamboulé mes plans et mes envies.
Et en partant de cette nouvelle situation, j’essayais de trouver des réponses dans ma tête sur ce qui pourrait bien me rendre heureux.
La vérité, c’est que j’en ai aucune idée.
Je peux seulement envisager des pistes. Mais ça me fait flipper.
Après 5 ans de voyage, d’aventures à travers le monde, et 3 ans de couple, je me dis que j’aimerais plus de stabilité : me créer un quotidien, prendre des habitudes.
Probablement à un endroit chaud, proche de la mer, et où je puisse faire du surf et bien manger ^^.
C’est seulement une hypothèse.
Du coup, je vais partir aux îles Canaries la semaine prochaine (je suis en rentré en France depuis un mois et demi environ). Avec des amis. Et un aller simple.
Je ne sais pas si ça va me plaire. Je ne sais pas si je vais trouver une maison/appart en bord de mer qui me plaît. Je ne sais pas si je voudrais y rester.
Mais je vais tenter le coup et on verra bien.
Parce que tant que je n’expérimenterai pas mes hypothèses, je sais que je n’aurai pas de réponse !
Et c’est la même chose pour toi.
Peu importe tes envies − que ce soit créer ton business, voyager, adopter un mammouth ou quoi que ce soit d’autre − tu peux les réprimer et ne jamais découvrir si elle t’apporteraient la satisfaction que tu recherches…
…ou tu peux mettre ton scepticisme de côté et expérimenter.
C’est seulement à ce moment-là que tu trouveras tes réponses.
Au delà des limites de la réflexion.
En regardant tes désirs dans les yeux.
Et en faisant ce qu’il faut pour les saisir.
Tu vois ce que je veux dire ?
Je sais que le simple fait d’envisager de te donner à 100% une chose pour laquelle tu n’as aucune garantie de satisfaction est méga flippant.
Tout comme c’est flippant pour moi de mettre de côté ma vie de voyages pour commencer une aventure de stabilité sur un territoire que je ne connais pas.
Et ni toi, ni moi ne savons à coup sûr ce que ça va donner en pratique.
Mais ce qui est sûr, c’est que si on veut se donner la chance de mener une vie sans regrets, il faut faire face à cette peur…
…et avancer quand même !
Du coup, j’ai deux petites questions pour toi nuggets :
1. Quel est LE truc que tu veux faire au fond de toi mais que tu n’as pas encore concrétisé jusqu’à aujourd’hui ?
Perso, à l’heure actuelle, c’est me caler quelque part et construire une vie équilibrée avec un tas d’activités fun et des gens super cool.
2. Et qu’est-ce que tu pourrais faire pour expérimenter ça concrètement ?
Perso, ce serait d’aller chercher une maison/appart aux Canaries en bord d’océan à partir de la semaine prochaine et voir comment je m’y sens.
Donc maintenant, à toi de jouer !
J’espère que t’as kiffé l’article.
Donne-moi tes réponses dans les commentaires.
Et à bientôt aux îles Canaries nuggets 😉
– Damien
PS: Et si tu veux me donner un coup de main pour propager le virus de la pensée dissidente, pense à partager l’article amig@ !!! Merci à toi de donner de la voix à ces idées !
Partager la publication "Un principe à suivre pour trouver ce qui te rendra VRAIMENT heureux(se)"
Bah écoute Damien, j’ai juste envie de t’envoyer un hug virtuel (en vrai je suis trop timide pour faire ça ^^) et plein de coeurs pour toi. bizzz
Héhé ! Merci Morgane, ça fait plaisir 😀
Merci Damien pour ce super article !
J’ai la chair de poule en le lisant parce que tout ça est VRAI.
Je suis bloquée avec des « Et si » et une certaine peur du changement. Alors pour répondre à tes 2 questions :
LE truc que je veux faire au fond de moi c’est d’avoir un boulot sans contraintes géographiques et avec beaucoup d’autonomie (gestion du temps, congés)
Qu’est-ce que je peux faire pour expérimenter ça ?
Répondre à cette annonce qui regroupe tout ce que je souhaite au lieu de tergiverser 4000 ans avec des « mais si » et autres excuses du type « ça va pas faire plaisir à mon boss actuel si je pars » !!
Je m’y mets de ce pas.
Yééééééh Steph :p
Parfait que ça t’ait donné un coup de boost !
Et super que t’aies trouvé et partagé tes deux réponses ici !!
Fonce, je te souhaite un max de réussite avec cette annonce 😉
Hello Damien,
Super article, merci !
Un truc qui me manque un peu dans cet article, c’est la place au doute. Parfois, après une première expérience, on ne sait toujours pas, et on a besoin d’une deuxième expérience pour kiffer ou non.
Par exemple, ma première expérience de l’Asie ça a été le Japon. J’ai ni kiffé ni detesté, mais si j’avais du tirer une conclusion définitive à ce moment là je me serais dit : c’est surement pas pour moi l’Asie. Mais je me suis laissé le droit de me dire : ok je n’ai pas d’avis tranché après ce voyage, et de tenter le vietnam pour voir qu’en fait c’était cool et que ça me plaisait. Finalement même le Japon, j’y retournerai peut-être pour me faire un second avis un de ces 4 🙂
Après dans 90% des cas je me retrouve à fond dans ton article et dans ce que tu dis, y’a juste ce petit pourcentage des projets qui nécessitent de tester plusieurs fois. Mais ça ne change pas le fond du message : tester pour savoir si ça nous plait 🙂
En tout cas c’est cool, ça donne envie d’agir quand on hésite, et c’est clair que ce n’est qu’en testant qu’on peut réellement savoir si ça nous fait vibrer !
Carrément d’accord avec toi.
Parfois la première expérimentation peut ne pas être concluante et une deuxième tentative peut faire pencher la balance.
Bien vu nuggets 😉
Après comme tu dis, le principe reste le même : Tester pour voir − et même tester plusieurs fois ^^
Cimer pour ton ajout !
Salut Damien,
Entièrement d’accord avec toi. Il faut faire, essayer pour savoir. Et comme tu le dis la plupart des gens ne font rien car le changement fait peur. J’entends souvent les gens répéter: « Je sais ce que je perds, je ne sais pas ce que je gagne ». Ce qui signifie que ne rien faire est plus rassurant. Comment se booster, comment trouver la motivation de faire les choses? Je crois qu’à un moment il faut se faire confiance et écouter sa voix intérieure. Et c’est loin d’être évident. Mais si tu n’essayes pas tu ne sauras pas!
Yes Olivier !
On est bien sur la même longueur d’onde 😉
Et bonne remarque pour le fameux « Je sais ce que je perds, je ne sais pas ce que je gagne » qui bloque totalement l’ouverture au changement !
Merci pour ton com et à très vite :p
Salut Damien,
Je n’ose pas toujours commenter, mais cet article a tellement fait résonner mes propres conclusions actuelles que je ne peux pas m’en empêcher. Je suis d’accord, tellement, avec cette expérimentation coûte que coûte, malgré la peur du changement, malgré les risques d’échec, malgré les peurs et les craintes d’être nul ou « pas assez » pour ça. Ça nécessite un certain lâcher-prise et une grande confiance, ce qui n’est pas facile pour tout le monde. Et pas toujours accepté ; tu parlais de rationalisation… le monde se croit raisonnable en ne faisant que des choses utiles qu’ils connaissent bien ou qui sont à « leur niveau »… mais est-ce bien raisonnable de rester planqué derrière ses certitudes et son égo ?
Pour moi, pour trouver quoi expérimenter, rien de tel que l’intuition. Il y a plein de choses qu’on a envie de faire depuis notre enfance, plein de choses qu’on a enfoui parce que « pas le temps », « pas l’occasion », « ah c’est la honte quand même, j’assume pas ». Je suis persuadée que tout le monde sait certaines de ces possibilités qui pourraient les faire vibrer. Ils peuvent le sentir s’ils regardent bien. Et ce n’est pas que des voyages, mais jouer de la flûte ou apprendre à danser ou faire du saut à l’élastique ou apprendre à faire des bracelets ou à réciter les constellations ou à reconnaître les nuages. Moi, c’était la danse. Ça faisait 5 ans que je pensais vaguement que je voulais apprendre à danser et je me suis lancée pour la première fois cette année avec du tango. Maintenant, je réalise que ça déclenche des tas de trucs en moi et je m’imagine danser toute la nuit dans les rues de Buenos Aires. Et je sais que je veux aussi apprendre à jouer de la trompette, faire du stop en Europe, me mettre à la philo.
Une goutte d’eau déclenche des ouragans et j’espère que partir aux Canaries sera ta goutte d’eau qui te permettra d’y voir plus clair. C’est normal d’avoir des périodes de vide, mais les possibilités de chemin de vie sont infinies ! Mais tu sais déjà tout ça 🙂
Merci en tout cas pour ce bel article !
Merci pour ce partage d’expérience plein de belles émotions Ambre !
J’adore 😀
Et merci pour tes réflexions qui viennent étoffer l’article (t’as bien fait d’oser commenter, héhé !) !!
Je te souhaite un max de bonnes choses dans tes nouvelles expérimentations et à très bientôt 😉
PS: Je viens d’arriver aux Canaries, ça s’annonce du tonnerre !
Hello Damien,
Excellent article comme d’habitude et tellement vrai. On a plein d’envies et de rêves mais effectivement on les repousse toujours par manque de temps, par peur par un manque de confiance en soi et un jour à 58 ans on tombe sur des articles de Damien Fauché et on se remet en question et on se rend compte qu’on est passé à côté de beaucoup de choses. Et que nous n’avons jamais réalisé ni essayé; alors oui faut se lancer; et essayé mais faut encore avoir le courage.
Et en plus on ne peut compter que sur soi et on a la fâcheuse idée que quelqu’un va nous pousser alors que c’est à nous et à nous seul de se lancer.
Merci Damien et il faut vraiment que je me botte les f……sinon je vais me trouver derrière mon bureau encore à la retraite.
Coucou Claudine !
Content d’avoir de tes nouvelles 🙂
Et par rapport à : « on se rend compte qu’on est passé à côté de beaucoup de choses. »
Je vois ce que tu veux dire.
Pourtant au fond, je pense pas qu’on passe à côté de quoi que ce soit. On a juste fait des choix qui nous ont amenés jusqu’à aujourd’hui.
En on ne peut pas changer ce qui est passé.
La seule chose qu’on puisse faire, c’est de faire de nouveaux choix aujourd’hui.
Même si on n’a aucune garantie de résultat. Même si ça nous fait peur.
Dans l’hypothèse de trouver ce qui nous plaira vraiment.
Et c’est de là que naissent les réponses à nos interrogation !
Merci pour ton message et à bientôt Claudine 😉
Merci Damien pour tous tes articles en général et celui ci en particulier!!
J’essaye d’appliquer cela, d’experimenter, d’essayer au dela des peurs, pour vivre pleinement ☺
Je te souhaite plein de nouvelles decouvertes pour la suite 🙂
À bientot
Yes !
Bon état d’esprit Carole !!
Avec plaisir pour l’article et merci à toi pour ton message 😉
À bientôt !