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7 trucs qui se passent quand tu vis hors du métro-boulot-dodo

pleindetrucs.frOn va pas se bercer d’illusions…

Même si « techniquement » on peut tous y arriver.

C’est pas un mode de vie pour tout le monde.

Pourquoi ?

Parce que ça chamboule furieusement le modèle standard de « la vie normale » qu’on nous a fait bouffer depuis qu’on est gamins.

C’est pas mieux ou moins bien. C’est juste différent.

Pour les fervents défenseurs du status quo, c’est le gros coup de flip…

Mais pour les gens comme nous – ceux qui rentrent pas dans le moule et qui ont soif de liberté – c’est la terre promise :

La vie hors du métro-boulot-dodo.

Alors accroche tes bretelles moussaillon, ça va zooker !

1. L’océan de possibilité

Le premier truc qui t’assaille quand tu es libre du métro-boulot-dodo…

C’est que personne ne te dit quoi faire de tes journées.

Tu te lèves quand tu veux. Tu fais ce que tu veux. Tu vas où tu veux.

Avec tous les avantages et inconvénients que ça confère.

Et ça engage une bataille épique entre nos voix intérieures.

D’un côté, t’as le gardien du status quo qui défend ses positions. Et de l’autre, t’as l’aventurier de la liberté qui imagine de ce que la vie pourrait être.

Donc t’as le gardien du status quo qui te dit des trucs comme ça :

Défenseur du status quo

M’enfin, mais… mais c’est risqué quand même. T’imagines ? Si t’as pas d’emploi, si tu vas pas au travail tous les jours, tu sais pas combien tu vas gagner à la fin du mois. Puis faut s’organiser du coup. Je sais pas toi mais moi, si j’avais pas de structure, je crois pas que j’arriverais à bosser !

Et t’as l’aventurier de la liberté qui répond :

Aventurier de la Liberté Je te comprends mon ami ! Tu deviens responsable de ton emploi du temps et de tes finances et ça peut être flippant. Mais regarde : t’as la possibilité de faire ce que tu veux ! T’es libre de bosser ou de ne pas bosser. T’es libre de créer quelque chose qui a du sens pour toi et qui peut aider les autres. T’es plus obligé de te pointer au taf 8h par jour à faire ce qu’on te dit de faire. Et avec cette opulence d’autonomie, t’es enfin libre d’utiliser ton temps de vie pour expérimenter tout ce qui te chante !

2. Responsabilité max

Vu que c’est toi qui choisis ce que tu fais…

…t’es responsable des résultats que t’obtiens.

Les gardiens du status quo peuvent se planquer derrière leur patron et les blâmer quand tout ne se passe pas comme ils le veulent.

Mais quand t’es libre du métro-boulot-dodo, tu peux pas ^^ C’est à toi de te bouger le *rododinboule* pour gagner ta pitance.

Du coup faut gérer la pression des périodes creuses (notamment la période où tu te lances !) et avoir une foi énorme en ce que tu peux faire !

3. Les vies non-vécues

Puis il se passe un truc subtil…

Tant que t’as un taf d’employé, tu te poses pas trop de questions : tu te lèves, tu vas au boulot, et t’es pas obligé de réfléchir beaucoup plus que ça.

Mais quand c’est toi qui décides de tout, tu te retrouves à REJETER un tas d’options.

Et si tu choisis d’aller quelques mois au Japon (parce que tu peux), tu fais aussi le choix de ne pas rester proche de ta famille pendant cette période (sauf si… well… ta famille habite au Japon hein…).

Pareil si tu choisis de t’installer quelques années au Viêtnam ou aux Canaries.

En fait, tu fais consciemment le choix de ne pas poursuivre des tas d’options.

Et pour les gardiens du status quo, c’est horrible de faire autant de choix ! Ils ont l’impression de passer à côté d’un tas de choses. Alors ils préfèrent ne pas trop y penser. Parce qu’ils aiment avoir un cadre. Et ils préfèrent limiter leurs décisions à la marque de la voiture qu’ils vont acheter ou au plat qu’ils vont choisir au resto.

Mais pour nous… c’est de l’excitation en barre ! Toutes ces vies non-vécues, on a choisi de ne pas les vivre. On ne s’est pas laissés portés passivement par le courant de la « normalité » : et si on est là où on est, c’est parce qu’on a voulu explorer activement cette voie-là 😀

4. L’argent va et vient

Avec ton business, tes investissements et tous ces trucs

Parfois tu gagnes un max. Et parfois tu gagnes que dalle.

Ça dépend aussi de ton état d’esprit du moment et des efforts que tu mets dedans.

De temps en temps, t’as envie de bosser comme un dingue à coup de 12h par jour parce que t’es passionné(e) par un projet. Puis t’as envie de te la couler douce sous les cocotiers pendant quelques semaines avec les gens que t’aimes.

Donc tu fais un peu selon l’envie.

Tu n’es plus « abonné(e) » à un salaire fixe (à part les loyers qui tombent quand t’as de l’immobilier) : t’as des mois de vache maigre et des mois d’abondance furibarde où tu renfloues les caisses pour un bon moment ^^

Et t’apprends à gérer ton fric en fonction.

5. Nouvelles références

Tu oublies que la plupart des gens dans le monde utilisent un réveil pour se lever avant d’aller au boulot… et qu’ils y passent environ 8h… quasiment tous les jours… et tu te demandes avec empathie comment ils supportent des contraintes pareilles !

Puis parfois… tu les envies d’avoir un mode de vie aussi simple : il leur suffit de se pointer au boulot, et même s’ils font un travail « passable » ce jour-là, ils auront leur paye à la fin du mois. C’est un luxe que tu ne peux pas te permettre ^^

Tu as une liberté énorme et des possibilités virtuellement infinies mais tu dois gérer tes priorités tous les jours !

6. Grands yeux ébahis ou froncement de sourcils

Quand tu expliques ce que tu fais au gens, les réactions sont généralement de deux ordres :

  • Grands yeux ébahis : tu sens qu’ils sont intrigués (voire fascinés !) par cette vie hors du métro-boulot-dodo « classique » et que ça les stimule. Ils se demandent s’ils pourraient faire de même (ou tout du moins ils respectent que ça puisse te plaire ^^). Dans ce cas-là, t’as affaire à quelqu’un sensiblement comme nous qui en est à un point différent de son cheminement. Peut-être qu’il/elle passera à l’action ou peut-être pas !
  • Froncement de sourcils interrogateurs : tu sens qu’ils ne voient pas du tout l’intérêt de ce mode de vie sans la sécurité de l’emploi et avec autant de temps libre. Ça leur paraît dingue de vouloir prendre autant de « risques » et ils te regardent comme un(e) personnage de roman de fiction à moitié cinglé(e). Dans ce cas, t’as affaire à un bon vieux défenseur du status quo :-p

7. Les sens exaltés par l’incertitude

C’est peut-être le point le plus important…

Quand tu vis hors du métro-boulot-dodo, tu troques la monotonie de la normalité pour l’excitation du renouveau au quotidien.

En somme, ta vie devient une aventure !

Tes décisions ont plus d’impact. Tes choix et tes actions quotidiennes façonnent ta destinée. Et tout ça te mène vers ton propre idéal.

Le mien, c’est d’être ce que j’appelle un Homme Libre au Repos : me construire une vie avec une abondance de sécurité et où je suis libre de tout mon temps 😀

Chacun a ses priorités, ses rêves, et sa manière de les atteindre.

Certains trouvent leur bonheur dans le confort rigide de la norme… mais pas tout le monde.

Pour d’autres, l’appel de la liberté est trop fort. Et cette liberté ne se trouve pas dans le moule.

Alors on prend la vie à bras le corps et on sort des sentiers battus pour explorer fièrement la vie hors du métro-boulot-dodo.

Comme je le disais au début de l’article, c’est pas un mode de vie pour tout le monde…

Mais pour les gens comme nous, c’est la plus belle manière de dépenser nos années 🙂

Love,

► Damien

PS : Si t’es nouveau(elle) par ici et que ça résonne chez toi, je t’invite à rejoindre la bande amig@ 😉


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