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Pleindetrucs.fr, Damien Fauché en Indonésie

Comment prendre confiance en soi et amorcer un changement de vie

C’était courant 2012. Ça faisait deux ans que je bossais comme salarié.

Et chaque matin, c’était la même rengaine : dès que l’alarme de mon réveil venait interrompre mon sommeil, j’appuyais sur le bouton « Repeat », encore et encore, jusqu’à ce que ce soit presque l’heure de partir.

Je me préparais alors en coup de vent, sans même prendre le temps de petit déjeuner et je filais dans ma BMW vers une autre journée de travail.

Sensiblement similaire à celle de la veille.

J’étais concepteur de jeux-vidéos. « Le boulot de rêve » pour un fan de MMORPG comme moi… mais en apparence seulement.

La réalité du travail était loin de mes fantasmes de gamin.

Et les obligations et les deadlines serrées prenaient souvent le pas sur l’inspiration et la créativité.

On en était là :

J’avais un boulot.

Plutôt sympa même.

Des collègues et des patrons sympas aussi.

Et une furieuse impression que j’étais en train de gâcher chaque jour de ma vie.

Comme emprisonné dans un tunnel dont je ne ressortirais la tête que 40 ans plus tard, à l’heure de la retraite.

Ça puait du cul.

Évidemment, il n’y avait pas que ça dans ma vie.

Et si je me mettais à comparer ma situation à celle de mon entourage, je n’étais pas à plaindre. J’étais en très bonne santé, j’avais de bonnes relations familiales, de bons amis, un CDI et une BM. Tout ce qu’il faut quoi, merde !

Et pourtant, j’avais cette frustration grandissante. Comme un cancer. Qui me rongeait de l’intérieur.

J’allais passer ma vie dans cette zone grise. Qui était « bonne pour la société ».

Certains auraient même appelé ça  du « succès ».

Mais je me sentais limité, misérable, enchaîné.

Et pourtant : « Je n’avais pas le DROIT » de me sentir comme ça !

« Tu te rends compte de la CHANCE que tu as d’avoir un boulot ? »

Pour qui je me prenais ?

« Dans la vie faut trouver un emploi… et le garder ».

Était-ce un crime de vouloir autre chose ?

Était-ce seulement possible de faire autre chose ?

Et surtout, est-ce que j’en étais capable ?

Alors pour ne pas affronter ces démons, je me mentais à moi-même : je me disais que ma situation n’était pas si terrible (elle ne l’était pas). Je me disais que j’avais de la chance (c’était pas si mal après tout). Je me disais que rester dans cette situation c’était ce que je voulais (en effet, je ne manquais de rien).

Et la vie continuait son cours.

Jusqu’au jour où j’ai cessé d’y croire :

Ça ne me suffisait pas et JE VOULAIS passer à autre chose.

Amorcer un changement de vie.

Mon boulot de concepteur de jeu vidéo était sympa, j’y ai appris plein de trucs, j’y ai rencontré des gens qui m’ont beaucoup apporté MAIS je voulais passer à autre chose.

C’était aussi simple que ça :

Accepter que je voulais faire autre chose de ma vie.

Et à partir de là, j’ai pu dessiner ma future existence.

Je voyagerai autour du monde. Je gagnerai ma vie en faisant ce que j’aime. J’aiderai des milliers de personnes. J’irai dans la cordillère des Andes. Sur la muraille de Chine. Je plongerais avec les requins aux Galapagos. Je parlerai plusieurs langues. Je jouerai de la musique.

« C’est pas un métier ça ».

Rien à foutre.

Parce qu’un jour je vais mourir. Alors en attendant, je veux vivre. Pas subsister dans une « zone grise ».

Parce que chaque jour qui passe ne se retrouve pas. Et que ma seule limite, c’est mon conditionnement.

Aujourd’hui, comme tu le sais sûrement si tu me suis sur ce blog, cette existence que j’ai dessiné il y a quelques années, c’est celle que je mène.

Et on continue de me dire que « j’ai de la chance ». Parce que c’est plus facile de penser ça.

Mais je vais te dire ce que je pense : la chance n’a pas grand-chose à voir dans tout ça.

Certes j’ai rencontré des personnes exceptionnelles. Certes j’ai reçu de l’aide de 1001 façons.

Mais la vérité, c’est que cette soi-disant « chance », elle se provoque.

Et dans cet article, je vais te montrer exactement comment.

Comment tu peux prendre confiance en toi et amorcer un changement de vie.

Quelle que soit ta situation actuelle.

Pas de place pour s’apitoyer sur son sort, juste des idées concrètes, précises et applicables pour changer de vie.

Et prends bien le temps de lire cet article jusqu’à la fin. J’ai une annonce à te faire.

Prêt(e) pour la suite ?

Le secret de la confiance en soi réside en UNE SEULE chose.

Appliquer des décisions.

C’est tout.

Une fois que tu as pris une décision, ton esprit et ton corps peuvent agir en ce sens.

Tant que tu ne prends pas de décision, tu vis en auto-pilote.

Et ne pas prendre de décision est une décision en soi.

C’est faire le choix de maintenir le statu quo. C’est faire le choix de ne rien changer.

Et comme tu as pu le remarquer des milliers de fois dans ta vie, chaque chose que tu fais ou ne fais pas, en chaque instant, t’amène à un résultat donné.

Lorsque tu t’avoues à toi-même : « Mon boulot ne me convient pas et je vais passer à autre chose ».

Ou « Mon couple / Mon corps / Mon cercle social », peu importe.

Du moment que tu prends la décision de passer à autre chose, c’est à ce moment-là que le changement opère.

Pas avant.

Parce que la confiance en toi pour effectuer quoi que soit vient de ta décision d’accomplir cette chose.

Et attendre béatement que le changement apparaisse de lui-même, c’est naïf. Et c’est illusoire.

Ton travail ne va pas se changer tout seul du jour au lendemain. Ton couple, ton corps, ton cercle social non plus.

Il te faut d’abord accepter que tu veux changer puis définir ce que tu veux.

Et c’est seulement là que tu pourras atteindre de nouveaux résultats.

Pour faire simple :

Tant que tu ne sais pas exactement ce que tu veux, tu ne peux pas l’avoir.

Et là certains d’entre vous auront tôt fait de me répondre : « Oui, bin justement, je ne sais pas ce que je veux ».

Et évidemment, je leur répondrais que c’est bien là le problème. Savoir ce que vous voulez. Et de manière spécifique.

Personne ne peut choisir votre vie à votre place.

« Avoir plus de liberté », « Contribuer au monde » et même « Gagner ma vie en faisant ce que j’aime » comme je le disais, ça ne veut pas dire grand-chose.

En revanche, « Pouvoir travailler de n’importe où dans le monde » est un objectif spécifique.

« Aider 100 personnes à créer leur business nomade » est un objectif spécifique.

« Gagner 5000€ par mois grâce à mon écriture » est un objectif spécifique.

Comment savoir si un objectif est spécifique ?

Quand tu peux objectivement vérifier si oui ou non il est atteint.

Petite démonstration rapide :

« Est-ce que j’ai plus de liberté ? ». Oui ? Non ? C’est subjectif. C’est un objectif non spécifique.

« Est-ce que je peux travailler de n’importe où dans le monde ? ». Oui ? Non ? Je voyage depuis 4 ans, je viens de rentrer de 3 mois en Italie, je suis en train d’écrire ces mots confortablement installé dans mon canapé depuis un vieux mas rénové dans les Cévennes et je viens d’acheter un billet d’avion pour partir au Viet-nam le mois prochain. Oui, l’objectif est atteint.

Je pense que chacun sait ce qu’il veut. C’est juste qu’il ne se l’avoue pas franchement.

Et souvent, ce n’est même pas volontaire.

C’est juste qu’on se cache derrière des excuses toutes faites pour ne pas affronter ses démons.

Et comme tu l’as vu dans l’introduction de cet article, je sais de quoi je parle.

Alors pour donner le coup de grâce et avant de faire mon annonce, voilà le top des excuses que je reçois par email :

« J’aimerais changer de vie mais… »

« …il me faut de l’argent. »

De l’argent pour quoi ? Pour continuer de financer ton quotidien dans la zone grise ?

En quoi avoir besoin d’argent t’empêche de penser à ce que tu veux ?

Pense à ce que tu veux et cherche ensuite un moyen de te financer pour l’avoir. Pas le contraire.

Tant que tu attends l’argent sans savoir ce que tu attends de la vie, tu te diriges juste vers un quotidien similaire. Sans échappatoire. Pris au piège comme un hamster dans sa roue.

« …j’ai une famille et des enfants. C’est facile pour toi qui n’a pas d’attache. »

Premièrement, d’où tu sors que j’ai pas d’attaches ? Je suis en couple, j’ai une famille et des amis que j’aime. Et c’est loin d’être facile de combiner mon envie d’aventure avec l’envie d’être proche de ma tribu.

J’ai trouvé mon équilibre, pas parce que je n’ai pas d’attaches ou que c’est facile mais parce que je l’ai décidé ainsi : revenir régulièrement passer quelques mois en France pour être avec les gens que j’aime.

Ensuite, en quoi le fait d’avoir une famille t’empêche de déterminer ce que tu veux ? Évidemment si ton seul plan c’est « quitter ton boulot », c’est un peu faible comme projet pour soutenir ta famille.

Une fois que tu auras déterminé précisément tes objectifs en incluant ta famille dedans, tu pourras te diriger vers eux en confiance, sans te planquer derrière une excuse.

« …je risque de ne jamais retrouver une situation comme la mienne. »

Effectivement, c’est une possibilité et alors ? Ce qui est sûr, c’est que si tu ne fais rien, ta situation ne va pas s’améliorer.

Et si ta situation actuelle ne te satisfait pas :

Le plus grand risque, c’est de ne rien faire.

« …je n’ai pas le temps. »

Tout le monde a le même temps. 24h par jour.

C’est comment tu l’utilises qui compte. Si tu n’as pas le temps de penser à ta vie, personne ne va le faire à ta place. Et personne ne va la vivre à ta place non plus.

Tu as probablement quelques années à vivre devant toi, ça peut valoir le coup de réfléchir une heure par jour pour savoir ce que tu vas en faire.

 

Ceci étant dit, et les excuses principales étant soulevées et traitées en bonne et due forme, qu’est-ce que tu peux faire aujourd’hui pour prendre confiance en toi et amorcer ton changement de vie ?

Voici un exercice très simple, que je fais environ tous les 6 mois (oui, c’est pas un exercice que je sors d’un chapeau et qui sert à rien).

Action

Prends une feuille. De papier ou un document texte.

Et note 10 objectifs spécifiques et mesurables.

Voici les miens pour dans 6 mois :

  • Gagner plus de 5000€ par mois de revenus
  • Avoir accompagné en tête-à-tête 10 nouvelles personnes pour qu’elles gagnent plus de 1500€ par mois grâce à leur business nomade
  • Avoir habité dans une villa avec des potes au Vietnam
  • Être capable d’avoir une conversation de base soit en Vietnamien, soit en Chinois
  • Pouvoir chanter 5 chansons à la guitare devant un public
  • Peser plus de 80kg (de muscle hein, j’ai pas envie d’être gras)
  • Avoir fait au moins 10 000 pompes et abdos
  • Passer mon niveau supérieur en plongée
  • Acheter un autre appart à mettre en location
  • (note : les initiales sont des prénoms d’amis) Passer au moins une semaine avec J., J. et A., J. et M., M. et P, Y., mes parents, mes grands-parents et aller voir C., G., G., M., M., J., C., S., L.

Tout, ça, ce sont des choses que j’ai profondément ENVIE de faire ou d’avoir.

Pourquoi ?

Certaines parce qu’elles m’apportent du bien-être immédiat (voir les personnes que j’aime ou passer mon niveau de plongée), d’autres parce qu’elles représentent un challenge (sport, musique et revenus) et d’autres parce qu’elles me semblent un bon investissement de mon temps et de mon argent (villa au Vietnam et nouvel appart).

Et comme elles sont mesurables, il me reste juste à trouver un moyen de les atteindre… et de les atteindre !

Je sais que je n’arriverai pas à tout faire.

Et encore une fois, OSEF.

Je vais essayer. Sans me prendre la tête. En avançant tranquillement, un jour après l’autre et en appréciant le voyage.

La pire chose à faire c’est de dériver sans but en se plaignant de sa situation.

Je t’invite donc à dessiner tes objectifs, aussi vivement et précisément que possible.

10 objectifs. Concrets.

Qui te donneront une vision tangible d’où te diriger.

Écrire cette liste, c’est une simple petite étape.

Qui prends seulement quelques minutes.

Et de mon expérience, c’est le truc le le plus puissant rapide et concret à faire pour prendre confiance en soi et amorcer un changement de vie.

 

Pourtant, la plupart d’entre vous ne vont pas le faire. Par manque de motivation. Par doute. Par « ça ne marchera pas pour moi ».

Sans essayer.

Mais d’autres vont le faire. Et c’est pour eux que j’écris.

Si tu as lu jusqu’ici, c’est pour toi que j’écris.

On ne peut pas accomplir quelque chose que l’on n’a pas défini.

Donc si tu veux changer des choses, quoi que ce soit, détermine d’abord en quoi tu veux les changer.

Et une fois que tu as défini ta destination, il te reste juste à mettre un pied devant l’autre pour l’atteindre.

N’attend pas demain. Parce que demain repousse à demain. Et que la vie s’écoule en attendant.

Enfin, c’est juste une idée.

Et au final, c’est ta décision.

J’espère que cet article t’aura donné envie d’agir. Et qu’il sera le point d’impulsion des changements que tu souhaites voir en ton monde.

Et pour conclure ce billet, voici mon annonce : dans quelques jours (sûrement mardi), je vais envoyer un email à ceux qui me suivent.

Dans cet email, je vais proposer un accompagnement personnalisé pour « Se débloquer » concrètement : dessiner et mettre en application ta transition de vie. Ça va être exclusif (j’en parlerai pas ailleurs). Ça va être limité (5 places). Les inscriptions vont durer quelques heures seulement.

Si tu ne reçois pas encore mes emails, tu peux t’inscrire ici.

À très vite.

– Damien

PS: Et merci de partager l’article si il t’a plu. C’est le meilleur moyen de m’aider à toucher de nouvelles personnes avec ces idées. Et ton rôle, en tant que confrère/consœur dissident(e) est d’une importance capitale pour contribuer à répandre cette philosophie de vie.

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Damien Fauché PleinDeTrucs.fr

#PC1. Décide de ce que tu vas faire de ta vie

Dans ce FAT guide (7 chapitres biatch !) sur les prises de contrôle de ton cerveau (#PC)

…je te propose tout d’abord une petite balade au pays du conditionnement.

Dit comme ça, ça sonne pas folichon à plein tube pour un premier chapitre mais détrompe-toi mein klitze klein apfel shtrudel :

L’objectif de cet article, c’est de te faire sentir la caresse du vent de la liberté au-delà du gros nuage nauséabond qui émane de l’asphalte et du béton de la prétendue normalité.

En gros, ça va t’apporter une bonne bouffée d’air frais et te mettre en jambe pour amorcer la domination totale de ton mental. Mwahahahaha !!!

D’ici la fin de ce chapitre #1, tu seras en face d’un choix. Le premier de la série. Ta réponse déterminera probablement le reste de ta vie. Rien que ça ^^

L’idée d’aujourd’hui, c’est que notre société n’est pas une forme ultime de légitimité.

As-tu accepté le « rêve » ?

Notre société expose ses STANDARDS et c’est NOUS qui acceptons de nous les imposer pour, sans faire de vague, s’y intégrer.

Depuis l’enfance, de toute part c’est le rêve de cette société qui nous est inculqué, par la télévision et par tous ceux qui l’ont accepté.

« Il faut travailler dur, faire de grandes études, gagner de l’argent, être beau ou belle, mince, cultivé… » La liste est longue. La liste est frustrante. La liste est impossible à être complétée.

Fight Club

Le conditionnement est extrême. Au point même qu’il en devient tabou de le questionner.

C’est comme ça. C’est comme ça que ça marche. Point.

Tous dans la même direction, 5 jours par semaine, à fond la caisse, jusqu’à la tombe !

Pourquoi ?

Parce qu’on a accepté le rêve de la société. Parce que tout le monde semble aller dans cette même direction. Parce qu’on a dit « Oui, c’est ça la normalité ».

Et pourtant… pourtant on se dit qu’il y a quelque chose qui cloche. Chacun dans son monde de verre. Chacun derrière son masque. Chacun noyé dans ses émotions.

Coincé dans son boulot. Coincé dans son couple. Coincé dans son milieu social.

Tout est passé sous silence

« Je ne suis pas normal. » « Les autres ont l’air de savoir comment faire. » « Je ne suis pas à ma place. »

Solitude, peine, souffrance, honte, réjection.

C’est très fin, c’est diffus, ça s’infuse dans nos veines.

Ça suinte et ça pue, ça incite à la haine.

Seul. Seul avec les autres.

Mais heureusement, il y a du bon dans tout ça !

Il y a les amis (parfois), la famille (parfois), le succès (parfois), les vacances (parfois)

On se dit que c’est bien, que ça rend le reste supportable. On peut même être heureux comme ça. C’est une belle compétence que de pouvoir l’accepter.

Cependant, ce n’est pas à la portée de tout le monde.

Accepter la fatalité de son existence, ça demande de faire taire son enfant intérieur, ses rêves, ses aspirations.

Dans ton fort intérieur, y'a un enfant qui pleure

Ça demande aussi de s’imposer de nouveaux rêves, les rêves proposés par la société.

Gentiment, en silence, sans se faire remarquer, préférer la sécurité, toujours.

Tout le monde n’a pas envie de suivre ce chemin là.

C’est ce qui fait que j’écris ces lignes. C’est ce qui fait que tu es en train de les lire.

Parce que pour nous, nos rêves, nos aspirations, on ne veut pas y renoncer.

On veut leur donner de la voix. On veut les faire chanter au-delà du tintamarre imposé.

Et on en a parfaitement le droit.

Regardons les choses sous un autre angle :

Le rêve de la société est une construction standardisée. C’est une vue de l’esprit qui s’est imposée progressivement au fil des années. À travers les époques, les philosophies, les religions.

La société n’a pas raison. Elle est juste majoritairement acceptée.

Ses valeurs sont définies, fixes dans une époque donnée, et révérées.

L’humain idéal de la société est hautement standardisé.

Hautement standardisé dans une société pleine d’individualités.

Comment une norme standardisée pourrait-elle s’appliquer parfaitement à une masse d’individus aussi divers que variés ?

Réponse : Elle ne le peut PAS.

Elle peut simplement toucher le plus grand nombre. Ceux qui ont décidé de ne pas l’interroger.

Alors que faire si l’on n’entre pas dans le moule ?

On peut ouvrir les yeux.

On peut se dissocier du rêve de la société.

On peut accepter de vivre son propre rêve.

On peut commencer à considérer la société comme une amie un peu bornée mais pas méchante.

On peut considérer tous ses bons côtés.

On peut même s’en faire une alliée.

On peut changer notre rôle en son sein sans en être éjecté.

Et petit à petit, par l’exemple, on peut la changer, Elle, avec amour, pour la rendre plus agréable à vivre.

Comment ?

Tout d’abord… en changeant légèrement de paradigme.

Parce que ta vision du monde, c’est ce qui va déterminer tes choix de vie.

Matrix

Et que tes choix de vie, ce sont eux qui vont déterminer la vie que tu mènes au quotidien et la personne que tu es.

Au début de ce chapitre, je te disais que t’allais te retrouver face à un choix qui pouvait bouleverser ta life, en mode furious

Le voici :

1/ Préserver le status quo, accepter « le rêve de la société », oublier cet article et gentiment poursuivre la course à la normalité 

OU

2/ Envisager un instant − le temps des 7 chapitres de ce guide − que ton rêve personnel puisse être distinct de celui de la société et qu’il est tout autant LÉGITIME

C’est juste un choix.

Mais c’est un choix qui peut avoir un impact titanesque sur l’aspect que ton quotidien va prendre.

Imagine qu’en changeant simplement quelques-unes de tes perceptions du monde, tu puisses avoir des résultats complètement nouveaux.

Into the Wild

Comme ne plus avoir à porter de masque et embrasser de tout ton être tes aspirations profondes, sans culpabilité et sans peur.

Pas trop naze huh ?

Dans la suite de ce FAT guide sur les Prises de Contrôle de ton mental (#PC), je te propose juste une manière de voir le monde.

Elle n’est pas meilleure ou pire qu’une autre mais au vu de mon expérience − perso et en tant que coach gourou interplanétaire (ok… je m’emballe un peu !) − elle te permettra d’assumer pleinement ta position par rapport aux attentes des autres

…et elle te permettra surtout de te sentir suffisamment PUISSANT(E) pour avoir le courage de construire ta vie en fonction de TES valeurs…

sans te sentir égoïste ou « pas à ta place » pour autant.

Alors si t’as pas froid aux yeux et que t’es prêt(e) à questionner les mantras de la normalité…

Well, well, well my beautiful Muffins

…alors ce FAT guide est pile poil pour wat 😉

Prépare-toi à dominer majestueusement ton mental sans flipper comme une flippette !

Dans le #PC2, on va voir comment tu peux avoir un impact énorme sur ta vie et ton environnement en maîtrisant le jeu de la société.

Ça va dépoter grave !

Puis il y aura encore 5 autres chapitres pour finir la full maîtrise de ton cerveau (7 en tout donc !) ^^

AUSSI…

Si t'as pas le temps de TOUT lire tout de suite… pas de soucis nuggets… je suis en train de t'agencer ce guide des #PC dans un bon gros ebook PDF avec un tas de bonus (notamment des exercices et des checklists avec les points essentiels !).

Comme ça tu pourras le télécharger direct sur ton ordi ou ton tel et le bouquiner au besoin :

Et si trouves ce guide utile :
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