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Le technique de l'autopilote sur PleinDeTrucs.fr

Comment avancer dans tes projets quand tu réfléchis trop

Quand tu veux faire un truc qui te tient à cœur :

Genre avancer sur ton business, écrire un bouquin, faire régulièrement du sport, te mettre sérieusement à l’anglais, ou quoi que ce soit qui a du sens pour toi…

Tu peux te retrouver face à un fat challenge :

Organiser cette *lutin* d’activité en fonction de tes journées déjà bien chargées.

Parce que, certes, t’aimerais progresser en salsa, mais quand tu termines une grosse journée de boulot, t’as peut-être pas la foi de te taper 20 minutes de trajet pour aller bouger ton body sur « Yo vengo de Cuba ».

Donc le problème c’est d’arriver à surmonter cet « effort » monstruous de te mettre et te remettre à faire quelque chose pour avoir des résultats dans le domaine que t’as choisis.

Pour moi, c’était une grosse galère pendant longtemps.

Puis à force de lire des bouquins et d’expérimenter plein de trucs…

J’ai trouvé une solution. Et certes, il doit y en avoir d’autres !

Elle est pas parfaite mais elle marche 90% du temps.

Enjoy nuggets 😉

 

La technique de l’autopilote

Le principe clef, c’est que chaque prise de décision te bouffe de l’énergie.

Et que chaque action te bouffe aussi de l’énergie.

Exemple :

  1. Décider d’aller faire ton sport te prend de l’énergie.
  2. Faire ton sport te prend de l’énergie.

Ma solution, c’est d’automatiser la prise de décision.

Pour économiser une partie de mon énergie.

En d’autre terme : tu ne choisis plus d’aller faire ton sport on non, tu vas faire ton sport un point c’est tout.

Et toute ton énergie est focalisée sur l’action plutôt que la prise de décision.

Ça peut paraître un peu simpliste comme théorie mais dès que tu creuses un peu, tu vas voir que c’est ultra-puissant.

Je te donne un exemple pour illustrer ça.

Une bonne partie de mon taf consiste à écrire.

Et quand j’ai commencé, il y avait simplement des jours où j’en avais pas envie.

Donc je me disais : « Bah… tu feras ça demain gros… en plus, y’a la nouvelle saison de Viking qui vient de sortir ! ».

Et je me retrouvais à suivre les aventures de Ragnar Lothbrok au lieu de bosser.

Vikings

« Aller man, t’écriras demain ! Ramène ton boule à Kattegat !!! »

Sur le coup c’était sympa mais le lendemain, j’avais pas avancé d’un broc sur les projets qui avaient du SENS pour moi.

C’était frustrant.

Donc je me suis mis à chercher des solutions.

J’ai lu pas mal de choses sur la procrastination et la formation d’habitudes.

Plein de trucs intéressants que je partage dans ma structure de la réussite.

Et l’un des concepts qui a le mieux marché, c’était donc d’automatiser ma prise de décision.

Les résultats ont étés explosifs en terme de productivité.

Du coup j’utilise ce système pour tout et n’importe quoi à l’heure actuelle.

Par exemple, par rapport à l’écriture :

J’écris dès que je me lève.

J’ouvre les yeux, puis ma fenêtre et je regarde l’océan pendant 2 ou 3 minutes avec un grand sourire sur ma tronche.

Puis je vais dans mon bureau et je me pose sur une chaise – toujours la même – et j’écris pendant 30 minutes à une 1h. Pas plus.

Puis je petit-déjeune. Je me lave les dents. Je me douche.

Et je retourne à mon bureau pour écrire jusqu’à midi. Je peux dépasser midi mais pas 13h.

Ça, c’est ma routine du matin.

Et elle marche du tonnerre du point de vue productivité !

La puissance du truc réside dans le fait que je ne pense pas à ce que je vais faire de mes matinées.

Je me lève, puis j’écris, un point c’est tout.

Pas de Facebook. Pas de coup de téléphone. Rien d’autre.

Résultat, je commence mes journées en ayant fait quelque chose qui a du SENS pour moi (article à venir pour définir ce qui a du sens pour toi !).

Et je me sens bien !

Une petite note : je m’accorde tout de même une bonne grosse flexibilité par rapport à ces matinées en autopilote. J’ai complètement le droit d’avoir des plans différents : par exemple si je veux aller surfer avec mes potes, Skyper mes clients, faire des crêpes avec ma copine ou partir une semaine en rando, je peux du moment que j’ai prévu ça au moins un jour à l’avance ! La technique de l’autopilote prévaut seulement pour tous les jours où je n’ai pas de plan spécifique. C’est-à-dire la majorité du temps. Et ça suffit amplement !

Donc…

 

Comment créer ton propre mode autopilote productif

Par défaut, tu as DÉJÀ un mode autopilote.

Autopilote

« C’est pas moi qui conduit ! »

Le matin, tu te lèves puis tu fais des trucs.

Peut-être que tu petit-déjeunes en premier. Peut-être que tu fonces dans ta bagnole pour aller direct au boulot. Peu importe.

Quand tu te mets au boulot, tu fais aussi des trucs en autopilote.

Pareil quand tu finis ta journée de taf.

Le but ici est de modifier consciemment ton mode autopilote pour avancer sur les projets qui ont du sens pour toi. Ou tout simplement sur les projets que t’as envie de faire ^^

Prenons l’exemple de te mettre à la guitare.

T’es pas obligé de faire ça le matin au réveil.

Mais disons que la situation suivante s’est déjà présentée un tas de fois :

Tu rentres chez toi, tu regardes ta guitare posée dans ton salon. Tu regardes en direction de ta télé. Tu regardes ta guitare. Tu regardes ta télé. Puis tu réalises que t’en es à ton cinquième épisode des aventures de Ragnar Lothbrok !

Maaaaaaaaaaaaarde !

T’as kiffé la série…

Mais t’as pas progressé d’un chouya dans l’art délicat de produire des sons harmonieux avec ton instrument à six cordes.

Donc…

Pour reprogrammer ton mode autopilote pour apprendre la guitare, voici comment t’y prendre :

1/ Quand tu arrives chez toi, tu prends ta guitare et t’en joue pendant 30 minutes.

Fin de la technique.

Ça va ? Pas trop compliqué ?

Tous les jours. Sauf si t’as déjà autre chose de prévu, par exemple une sortie avec des amis. Mais tous les jours « normaux » : tu prends ta guitare et t’en joue avant de penser à autre chose.

C’est le moyen le plus incroyablement efficace pour être productif(ve) et avoir des résultats.

NOTE : Évidemment, tu peux remplacer « faire de la guitare » par « lire un bouquin en anglais », « envoyer des emails à des clients potentiels », « écrire ton nouveau roman », « aller courir », etc…

Ne te contente pas de lire mes mots et de te dire :

« Hmmm… ça a l’air sensé ce que tu me dis-là Damien ! ».

Mets le concept en application et tu m’en diras des nouvelles.

Choisis un moment de la journée.

Choisis une action.

Fait systématiquement cette action à ce moment-là de la journée.

Sans réfléchir.

Paradoxalement, c’est le meilleur remède pour contrer le mode zombie.

 

Réveiller le zombie

Le mode zombie, c’est lorsque t’es en autopilote mais que t’as pas choisis délibérément ce que tu fais à ce moment-là.

C’est le phénomène « créature de circonstance » : tu fais ce que tu fais parce que tes conditions extérieures t’ont menée dans cette voie.

Zombies

« Mangeeeeeeeer !!! »

En mode zombie, chaque jour ressemble à la veille sans forcément t’avancer dans une direction qui a du sens pour toi.

Et dès qu’on n’y prête pas attention, on devient des zombies.

Toi, moi, Ragnar Lothbrok, tout le monde.

D’où l’importance de te créer un autopilote qui a du sens.

Et de l’actualiser régulièrement.

Tous les 3 mois par exemple, ça vaut le coup de faire un point sur ton autopilote pour voir s’il est toujours en accord avec ce qui a du sens pour toi.

Et t’es libre de l’adapter en fonction.

 

Contrer le mode zombie, c’est probablement l’une des meilleures choses que l’on peut faire pour mener une vie libre et pleine de sens.

Parce qu’une fois que t’as mis en place un mode autopilote qui te permet d’avancer « par défaut » dans les projets qui ont du sens pour toi

tu te sens incroyablement bien !

T’es fier(e) de ce que tu fais.

Et tu vis pleinement dans le présent tout en ayant le sentiment que t’avances dans la bonne direction.

Puis à chaque fois que t’as accompli tes tâches importantes de la journée grâce à ton nouvel autopilote flambant neuf… tu peux mater autant de séries que tu veux sans culpabiliser !

Et ça, c’est la classe XD

 

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Si tu l’as pas déjà fait – ou que tu le savais pas ! − tu peux rejoindre la bande des dissidents et recevoir mes meilleurs conseils pour mener une vie libre et pleine de sens directo dans ta boîte mail.

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Bilan de mes 30 ans

Je viens d’avoir 31 ans aujourd’hui.

Oooooooh !

Et je me suis dit que c’était l’occase de faire un point sur l’année qui vient de passer.

Prendre du recul sur le bon, comme sur le moins bon.

Histoire d’en tirer quelques leçons et apprentissages qui me serviront pour la suite.

Le but, c’est d’être aussi objectif que possible.

Pas seulement pour analyser ce qui s’est passé ces 12 derniers mois, mais surtout pour voir si j’avance dans une direction qui me plaît et prévoir mes prochaines étapes.

Je pense que ça vaut le coup de faire ça.

Pour chacun d’entre nous.

Que ce soit pour ton anniversaire, le jour de l’an ou une date arbitraire – genre aujourd’hui !

Parce que notre passé est figé mais notre interprétation de celui-ci est un atout pour nos choix futurs.

Donc pour ce bilan de mes 30 ans, je vais répondre à ces 3 questions ¹ – t’es bien entendu libre de les utiliser aussi :

  • Qu’est-ce qui s’est bien passé cette année ?
  • Qu’est-ce qui aurait pu mieux se passer cette année ?
  • Qu’est-ce que j’ai appris cette année ?

Go !

1. Qu’est-ce qui s’est bien passé cette année

Voyages. J’ai passé mon trentième anniversaire à Taiwan. Et je me suis rasé la tête pour l’occasion… lol.

La preuve ! Pour les septiques : ouais, c’est bien moi ^^ Certes, c’était pas un franc succès mais c’était fun !

Avant ça, j’étais au Viêtnam pendant 4 mois. Après Taiwan, je suis parti 3 mois au Japon. Un mois au Canada. Puis un mois et des brouettes en France. Et je me suis installé aux Canaries depuis Octobre (ça fait environ 7 mois donc et c’est d’ici que j’écris cet article !). J’ai adoré toutes ces destinations et j’ai une gratitude immense d’avoir un mode de vie qui me permet de voyager de la sorte 😀

Moments partagés. Mes voyages n’auraient pas la même substance sans les  personnes avec qui je les ai partagés. Que ce soit de nouvelles personnes, ma famille ou des amis de toujours. Que ce soit Tinh et sa famille au Viêtnam, Lupi à Taiwan, Toshiomi, Toshi et Sascha au Japon. Gu, Karla, Julie, Alex, Boris, Gonzalo, Guru, Lea, Erica, la famille au Canada et aux Canaries. Merci infiniment de faire partie de ma vie !

Programmes en ligne. Cette année, j’ai créé un nouveau programme dont je suis très fier : Ton Chemin vers l’Indépendance. L’objectif étant de permettre à mes clients de trouver une idée de business pour s’épanouir et gagner de l’argent. Je suis pas forcément méga-fan du nom (« Ton Chemin vers l’Indépendance » abrégé CVI), mais le contenu est au top – en toute objectivité :p ! J’ai passé 5 mois à créer ce programme, dont 2 avec un super groupe : Le Golden Nuggets Gang (dédicace !) qui m’a permis d’améliorer le programme grâce à leurs feedbacks continus. Merci le gang ! Je suis particulièrement fier d’avoir créé un programme online de cette qualité et de le proposer à un prix aussi bas pour aider les aspirants entrepreneurs à trouver quoi faire. Surtout quand je le compare à des programmes que j’ai acheté cette année dans les 500 balles ( juste pour comparer avec le mien) et dont le contenu et le suivi sont clairement moins bons :s

Investissements en cryptomonnaies. J’ai eu la chance d’investir dans les cryptomonnaies il y a deux ans. Grâce aux conseils d’un de mes meilleurs amis, Max. Et cette année de mes 30 ans a aussi été lucrative de ce point de vue. Ma technique d’investissement consiste à appliquer ce que Max m’a enseigné sur l’analyse de courbe et les comportements du marché. Et ça a marché du tonnerre pour moi ! Un énorme merci à toi man 😉

Surf. J’ai découvert le surf la VEILLE de mes 30 ans. Ça a été une révélation ! J’avais rencontré Kumi, une japonaise à Taiwan qui m’avait motivé pour en faire… et ça a été une expérience incroyable. À partir de mes premières vagues à Dulan (au Sud-Est de Taiwan), j’ai eu envie de surfer encore et encore. Je suis ensuite allé surfer quelques mois au Japon dans la région de Miyazaki. Et c’est une des raisons pour lesquelles j’ai choisi les Canaries pour m’installer un peu plus longtemps à l’heure actuelle (le surf est excellent par ici !). La semaine dernière, j’ai eu la chance de surfer avec ma famille : mes parents, mon frère et ma belle-sœur et c’est probablement l’un de mes meilleurs souvenirs de l’année ! Gratitude max.

Lecture. Même si j’ai moins lu qu’à d’autres périodes, j’ai quand même maintenu une moyenne supérieure à 1h de lecture par jour cette année. (NOTE : Je viens de finir de lire Man’s Search for Meaning de Victor Frankl ce matin avant de commencer à écrire ce bilan !). Pour moi, la lecture est l’une des activités les plus gratifiantes : l’acte de s’immerger dans un bon bouquin est en soi une finalité (Cf. Flow de Mihaly Csikszentmihalyi) et les retombées d’une bonne lecture en termes de divertissement et/ou d’apprentissage se font ressentir pendant des années – voire même potentiellement toute la vie. On a une chance incroyable de pouvoir accéder à tant de richesse aussi facilement et je suis reconnaissant envers les esprits qui ont eu la générosité de poser leurs réflexions en mots ! Et je suis plutôt satisfait d’avoir maintenu un rythme de lecture régulier tout au long de cette année.

2. Qu’est-ce qui aurait pu mieux se passer cette année ?

Couple. Je me suis séparé après 3 ans de relation. Le cœur n’y était plus vraiment. Et ça fait du bien quand ça s’arrête ^^. J’ai appris un tas de choses et hâte pour la suite !

Programmes en ligne. J’avais mis « programmes en ligne » dans le chapitre sur « Qu’est-ce qui s’est bien passé cette année ? » mais je le mets ici également. Parce que bien que mes programmes permettent à la grande majorité de mes clients d’atteindre le résultat escompté (que ce soit trouver une idée de business qui leur permet de s’épanouir et gagner de l’argent (Ton Chemin Vers l’Indépendance), de trouver la confiance pour se lancer dans de grands projets (La Structure de la Réussite) ou carrément de créer leur propre business online éthique (Easy Business)), certains n’atteignent pas ces résultats. Dans ces cas-là, la raison principale c’est souvent qu’ils arrêtent en cours de route, ou qu’ils ne suivent carrément pas le programme (certains ont même acheté un des programmes et ne se sont JAMAIS connectés à leur espace membre !). Pour ceux qui arrêtent en cours de route, ce n’est pas vraiment de leur faute, c’est peut-être que certaines parties de certains programmes sont trop difficiles ou que leurs impératifs du quotidien les obligent à passer à autre chose. En tout cas, je reste très attentif aux feedbacks que je reçois pour améliorer mes programmes en continu et les rendre les meilleurs possibles. Mon objectif est d’avoir les meilleurs programmes qualité-prix dans chacune des thématiques que je prends le temps de couvrir. À l’heure actuelle : trouver une idée de business pour s’épanouir et gagner de l’argent (Ton Chemin Vers l’Indépendance), développer la confiance en soi pour se lancer dans de grands projets (La Structure de la Réussite) et créer son propre business online éthique (Easy Business).

Optimisation. Cette année − et particulièrement après ma rupture − j’ai été moins focalisé sur mes objectifs qu’à mon habitude… surtout parce que ça m’a fait changer d’objectifs en cours de route ! Du coup, j’ai laissé plus de place à l’improvisation et au divertissement. Ce qui n’est pas une mauvaise chose en soi ^^. Par exemple j’ai fait beaucoup de rencontres, je me suis mis aux échecs (j’ai même carrément développé une sorte d’addiction !!!) et à la salsa. Ce genre d’activité est gratifiant sur le court terme mais m’apporte moins de satisfaction sur le long terme. Donc pour l’année qui vient, j’aimerais redéfinir mes « grands » projets et me focaliser  dessus davantage !

Rester en contact avec certains amis. Même si j’ai eu la chance de voir et voyager avec certains de mes amis et membres de ma famille, il y en a d’autres que j’ai trop peu vus. J’aurais aimé faire un meilleur job à garder le contact. Cette année, je compte prendre davantage le temps d’appeler ou d’envoyer un message lorsque je penserai à l’un d’entre eux spécifiquement. Parce que même si je le fais déjà, je pourrais (et voudrais) le faire davantage !

Investissements immobiliers. J’avais envisagé d’acheter un petit immeuble ou au moins un nouvel appartement cette année, et je l’ai pas fait. Arf ! J’ai mis l’immobilier de côté parce que j’avais d’autres priorités (notamment trouver « mon endroit » pour vivre − et on dirait bien que ça pourrait être les Canaries !). Cette année, j’aimerai me repencher sur le sujet et éventuellement faire un nouvel achat.

Écriture d’articles. J’ai écrit seulement 10 articles cette année. C’est pas des masses. Par contre j’ai envoyé des tas de mails à la place. J’aimerai écrire plus d’articles cette année, environ 2 par mois minimum serait un bon objectif ! J’adore écrire et avoir des feedbacks sur mes idées, donc c’est décidé, j’augmente mon rythme d’écriture : un article toutes les deux semaines minimum pour les 3 prochains mois ! Bim !

3. Qu’est-ce que j’ai appris cette année ?

Rien n’est figé et l’imprévisible se cache où l’on s’y attend le moins. Et comme le stipule la fameuse loi de Babeul-Razmeul : Peu importe ce qui se passe, tu vas t’en sortir. Parfois, les événements de la vie te secouent dans tous les sens et tu peux avoir l’impression que tout s’écroule… pourtant, concrètement c’est juste la vie que t’es en train de mener ! Rien ne s’écroule : les expériences s’accumulent et c’est ce qui constitue « Ta vie ». C’est ton interprétation des faits qui agence le tout en une histoire cohérente et qui te permet de prendre de nouvelles décisions aujourd’hui.

Damien PleinDeTrucs.fr

Le surf, c’est cool. Au cas où je l’ai pas encore assez dit ^^.

Le plus important, c’est les relations. C’est peut-être pas nouveau mais je l’ai encore ressenti à fond cette année. Peu importe les aventures que tu vis ou les projets que tu réalises, au final, les meilleurs moments sont ceux qui sont partagés. Devenir le roi du monde ne sert à que dalle si t’es seul sur ton trône. Donc encore un fat merci à tous ceux qui partagent un bout de chemin avec moi !

On se définit par nos actions, pas par nos mots. Tout le monde « veut » des choses, tout le monde a « des idéaux » mais c’est seulement nos actions qui déterminent la personne que l’on est. J’ai pas mal réfléchi à mes valeurs principales et mon job numéro #1, c’est de vivre avec intégrité par rapport à ces dernières.

Ce qui vaut la peine d’être accompli mérite d’y passer du temps et de faire l’impasse sur d’autres projets. Les résultats dont on est le plus fier sont ceux qui nous ont demandé le plus d’implication et dans une certaine mesure de sacrifices. Notre énergie est furieusement limitée et on ne peut pas tout faire. Prioriser tes objectifs, c’est l’étape la plus importante pour pouvoir les accomplir : les objectifs secondaires ne passent pas « après », ils sont simplement supprimés !

La vie est trop cool ! Sans déconner : Respire à fond, va faire du surf (je t’ai déjà dit que c’était cool ?), lis un bon bouquin, fais un job qui a du sens, passe du temps avec les gens que t’aimes, et embrasse même les jours où t’as l’impression que c’est la cata ^^ Chaque instant, c’est de l’or. Parce que t’es en vie nuggets et que t’as le choix d’y donner le sens que tu veux ! Alors autant en faire quelque chose de magnifique n’est-ce pas 😀 ?

Voilà pour mon bilan de mes 30 balais !

Hâte de partager cette nouvelle année avec toi et t’apporter un max de réflexions fraîches et funkies pour avoir une vie simple et pleine de sens  !!!

Love,

► Damien

¹ Ces questions sont inspirées des Annual Review de James Clear !
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pleindetrucs.fr Damien Fauché

Si je devais re-créer mon indépendance professionnelle depuis le début

Imagine un instant que tu viennes de te lever

T’es à côté de la piscine, dans un pays exotique, il fait chaud et tu viens de dévorer une délicieuse omelette aux petits légumes, un pancake à la banane et un tas de fruits frais : de la mangue, des ramboutans et de la pastèque.

Et alors que l’hivers pose son voile glacé sur la France, tu regardes le soleil du Vietnam illuminer les rizières autour de toi, et tu allumes ton ordi… pour travailler.

Et le mieux, c’est que tu vas faire quelque chose qui te plaît. T’es excité(e) à l’idée de partager tes connaissances avec les autres. Et en plus, tu es payé pour ça.

T’es avec ta/ton conjoint(e) et des gens que t’apprécies.

Et bien entendu, c’est pas des vacances, c’est ta vie normale. Donc tu peux continuer ce rythme de vie aussi longtemps que tu le souhaites (et si tu veux bouger au Japon ou rentrer en France faire du ski dans un mois ou deux, tu peux aussi).

Tu vas bosser environ 4h et tu seras libre pour le reste de ta journée.

Qu’est-ce que tu penses de ça ?

Plutôt correct comme quotidien hein !

Certes, ça t’empêche pas de te taper occasionnellement la honte au karaoké quand tu chantes Céline Dion avec les locaux mais c’est quand même sympa :p

Alors si ça te branche d’avoir ce genre de liberté, prends-toi une bonne dizaine de minutes, je viens d’écrire un FAT article sur mes 8 conseils pour créer son indépendance professionnelle depuis le début.

C’est des choses qui j’aurais aimé réaliser plus tôt.

Et ces 8 trucs, tu peux les appliquer. Dès aujourd’hui. Et tout le temps.

Pour créer ton indépendance professionnelle à ton tour.

Enjoy cousin(e) !

C’est parti 😉

Premier truc

Arrête de te reposer sur les autres.

Sans déconner.

Si tu attends que les autres : tes profs, tes parents, tes amis, ton/ta partenaire, ton patron, la télé, le dalaï-lama, ton pote Norbert, moi, l’état ou qui que ce soit s’occupe de tes problèmes et t’apporte des solutions prémâchées, tu vas rien faire de ta vie.

Toutes ces personnes ont des éléments de réponses. Pas des solutions toutes faites qui vont t’aller sur-mesure.

Alors voilà une manière plus productive de voir les choses :

Chaque personne à quelque chose à t’apporter.

Et en fonction de ce que tu cherches personnellement, certaines personnes ont davantage à t’apprendre que d’autre.

Peut-être que le dalaï-lama a plus à t’apprendre sur le bonheur que ton oncle dépressif. Peut-être pas, je connais pas ton oncle.

À toi de sélectionner et d’UTILISER ce que tu apprends.

Tous les points de vues sont bons à entendre mais pas forcément à suivre.

Donc une question intéressante à te poser, c’est « ok, mais qui écouter alors ? »

Et ma réponse est maxi-simple : les gens qui ont déjà accomplis ce que tu cherches à accomplir.

Pas ceux qui ne font que parler sans rien faire.

Petite illustration : Il y a une paire de semaine, dans une soirée où j’étais, il y avait  un gars qui expliquait qu’il n’avait jamais investi dans l’immobilier et qu’il ne fallait surtout pas le faire parce que c’était risqué, que souvent les locataires ne payaient pas, etc…

Mais est-ce que t’as vraiment envie d’écouter ses conseils à lui ?

Toi, j’en sais rien. Mais moi, ça ne m’intéresse pas des masses.

Pourquoi ?

Parce que ce gars n’a jamais investi dans l’immobilier ! Tout ce qu’il fait, c’est parler. Je respecte son point de vue (parce que chacun pense ce qu’il veut !) mais il ne m’intéresse pas.

Si je veux investir dans l’immobilier, je demande à quelqu’un qui l’a déjà fait ET pour qui ça se passe bien. Et c’est ce que j’ai fait il y a deux ans quand j’ai acheté mon premier appart. Résultat : ça s’est super bien passé !

Donc, pour résumer : n’attends pas que les autres viennent te livrer des réponses toutes faîtes, va les chercher chez ceux qui savent.

Tu peux être astronaute si tu veux.

Tu peux être indépendant(e).

Tu peux être champion du monde de claquettes acrobatiques.

Et si quelqu’un te dis le contraire, remercie-le de son point de vue et trouve quelqu’un d’autre qui peut t’y aider. Écoute cette personne-là à la place.

Deuxième truc

C’est pas grave de te manger les dents.

C’est-à-dire que tu vas te planter. Plein de fois. Et parfois méchamment.

Et c’est pas grave. Ça fait partie du processus d’apprentissage.

Se manger les dents

Quand tu es encore un bébé, que tu as une dizaine de mois dans ta vie, tu ne peux pas te dire, « ça y est, je suis prêt(e) ! » et te lever puis te mettre à marcher parfaitement.

En pratique, tu vas tomber. Des centaines de fois. Et éventuellement, un jour, tu vas savoir marcher.

Dans la suite de la vie c’est pareil.

Combien de fois j’ai vu des gens qui n’osent pas parler une langue étrangère quand ils en ont l’occasion ?

« Olala, t’imagine la honte ! »

Donc ils font de leur mieux pour cacher leur ignorance et ne « pas perdre la face » et… ils n’apprennent rien. Confortablement planqués dans leur zone de confort.

J’ai encore constaté ça hier à un repas avec des voyageurs de passage.

C’est compréhensible. Mais c’est peu productif !

Mon conseil : quand quelque chose t’intéresse, essaye.

Peu importe que tu passes pour un con ou qu’on te montre du doigt. Le jeu en vaut la chandelle.

Et les moqueries feront bien pâle figure quand tu auras atteint ton objectif.

C’est aussi simple que ça :

Si tu n’essayes pas, tu ne progresses pas.

Donc expérimente. Tout ce qui te fait envie.

Et apprends de tes expériences. Même quand tu échoues avec fracas.

Une mentalité défaitiste, c’est de te dire « J’y arrive pas, je suis vraiment trop bidon ».

Une mentalité de réussite, c’est de te dire « J’y arrive pas, j’ai appris quelque chose, il faut que je fasse des améliorations ».

Je pourrais jamais suffisamment insister sur ce fait : la vie, ça s’expérimente.

Tu ne seras jamais indépendant(e) (ou polyglotte ou quoi que ce soit d’ailleurs) si tu ne fais aucune tentative.

Troisième truc

Abandonne les excuses.

La raison pour laquelle tu peux ou tu ne peux pas faire quelque chose, on s’en fiche.

Ça n’a aucune importance.

Philippe Croizon a traversé la Manche sans bras ni jambes.

Il l’a fait quand même bordel !

Ne cherche pas pourquoi tu ne peux pas faire quelque chose.

Cherche comment tu peux le faire.

Et garde aussi en tête que :

Ce n’est JAMAIS la faute des autres.

Les autres ont pu CAUSER quelque chose – par exemple ton éducation a pu te rendre timide/colérique/feignant/névrosé/etc… – mais c’est de TA FAUTE à toi si tu le reste.

Et pourquoi c’est important de prendre ta responsabilité sur ça ?

Parce que tant que tu responsabilises les autres, tu n’as aucun pouvoir d’action.

Si tu penses que c’est la faute de ton prof de CE1 si tu as peur de t’exprimer devant un groupe de personne parce qu’il t’avait humilié au tableau quand t’étais gamin, alors tu es totalement impuissant(e) et tu te complais dans cette situation de victime.

Tandis que si tu admets que c’est ta propre faute si  tu as peur de t’exprimer devant un groupe de personnes parce que tu n’as rien fait depuis le CE1 pour t’y entrainer, là tu peux te prendre en main et CHANGER TES RÉSULTATS.

Peut-être que ton prof de CE1 s’était levé du pied gauche ce jour-là. Peut-être que de son point de vue c’était « la faute » de sa femme qui l’avait lui-même humilié à leur diner entre amis la veille et qu’il se vengeait en faisant un transfert. Ou peut-être simplement que c’était un gros connard.

La raison, on s’en fiche.

Ce qui est intéressant en revanche, c’est la leçon que tu en tires. Et ce que tu en fais.

Si tu te dis « Je peux pas faire [X] à cause de [Y] », tu as déjà perdu.

Abandonne les excuses, trouve des solutions.

Quatrième truc

Ne cherche JAMAIS  un travail juste pour avoir un salaire.

Chercher un travail juste pour avoir un salaire, c’est la plus grosse connerie du monde.

Et là, je précise ma pensée avant que les yeux de la moitié des personnes qui lisent ces mots sortent de leurs orbites.

CALME-TOI ! CAAAALME-TOI ! Tout va bien. Voiiiilà ! Tu veux un petit jus de fruit ? Hmm ? Ça va ?

Ok, on est tous là, c’est reparti :

Le travail, tel qu’on nous le présente pendant nos études et dans la société, c’est une activité qui permet de gagner de l’argent.

Et pendant la scolarité, on nous invite grandement à devenir ingénieur ou médecin plutôt que plombier ou boulanger parce que… « c’est de meilleurs boulots ».

Évidemment, c’est une connerie intersidérale.

Meilleur boulot, ça veut rien dire. Tout dépend de ce que t’aimes faire.

Exemple : mon petit frère était balèze dans ses études, il était en 3ème ou 4ème année d’Ostéo et il se faisait chier à mort. Il était là parce que justement, c’était censé être un « bon boulot »… et pourtant il détestait ça !

Alors il a arrêté, et maintenant il est chef cuisinier. Il se régale ! Il n’est plus stressé, il prend du plaisir à faire ce qu’il fait ET il est bien payé (bon, il bosse comme un malade aussi !).

Trouver un travail juste pour avoir de quoi se financer c’est une manière pourrie de voir les choses.

Ce qui compte, c’est de trouver ce que tu aimes faire (pour ça, retour au point numéro deux : expérimenter) puis trouver comment tu peux aider les autres avec ça et de te faire payer pour ça !

Alors au lieu de chercher un travail juste pour avoir de quoi payer ton loyer et tes frais quotidiens :

Cherche plutôt ce que tu aimes faire et trouve comment gagner de l’argent en le faisant.

Peu importe que tu sois employé ou que tu crées ton business.

On passe l’essentiel de notre vie à bosser, autant faire quelque chose qui nous plaît !

Et pour vivre de ce qu’il te plaît…

Cinquième truc

Deviens vraiment balèze.

C’est ça qui te permettra de vivre de ce que tu aimes.

À l’école on nous « oblige » à avoir un certain niveau : la moyenne. 10/20. Être bof, bof en tout.

Il faut une note minimale pour « passer ».

Mais dans la vie, il y a pas de notes.

Et être tout juste moyen, ça limite ton champ de possibilités.

Si tu veux vivre d’un truc qui te plaît, il faut que tu maîtrises grave et que tu aies ton propre style.

C’est seulement pour ça que les gens seront prêts à te payer.

Prenons un exemple hyper concurrentiel : imaginons que tu crées des sites internet.

Si tu fais les mêmes sites « classique » que tous tes concurrents, t’es complètement noyé dans la masse et le seul moyen de t’en sortir, c’est de casser tes prix (c’est naze comme stratégie, ça fait chuter ta valeur perçue et tu dois bosser comme un dingue pour avoir des revenus corrects).

En revanche, si tu fais des sites pour les artistes peintres en intégrant leurs propres œuvres à ton design, tu sors du lot.

Et pour faire ça, il te faut sortir des cases : pas seulement connaître les techniques de base pour créer des sites mais entre autre maîtriser l’intégration d’œuvres graphiques dedans, savoir POURQUOI tes clients potentiels ont besoin d’un site (Pour se faire connaître ? Pour avoir une plateforme de vente ? Pour s’en servir de portfolio ? Pour avoir un espace communication avec la presse ?) et répondre au mieux à ce besoin.

Donc, c’est en te formant et en devenant de plus en plus doué(e) dans le domaine qui te plaît que tu pourras te distinguer de manière positive et gagner de l’argent…

…et tu ne peux pas faire ça en étant juste moyen !

Note : Évidemment, pour cet exemple, je pars du principe que l’art t’intéresse. Tu peux bien sûr aller dans la direction qui te branche : la nourriture bio, l’aïkido, le macramé…

Alors comment tu peux faire pour être vraiment balèze ?

Forme-toi !

Suis des cours. Demande aux personnes que tu admires.

Lis chaque jour. 2h par jour si tu peux. Lis à propos de ton sujet de prédilection et des sujets qui gravitent autour.

Deviens excellent(e).

Rocky est balèze

Plus tu es bon(ne) dans ce que tu fais, plus tu pourras facilement te faire payer pour ça.

Si tu veux être indépendant, deviens une brute en création de valeur, en psychologie, en science sociale, en marketing, en copywriting.

Évidemment, tu ne peux pas devenir balèze dans tout ces domaines du jour au lendemain, alors progresse petit à petit.

La clef du succès professionnel, c’est d’avoir quelque chose de remarquable à apporter aux autres.

Personne ne s’intéresse à ce qui est moyen. Alors deviens exceptionnel(le).

Et exceptionnel(le), ça ne veut pas dire « le meilleur », ça veut dire : « extrêmement bon et avec ton style perso ».

C’est en apportant ta touche perso que tu te distingues de la masse lobotomisée qui répète les mantras de la normalité.

Un exemple perso :

J’apprends aux gens à créer leur business en ligne. Il y a plein de monde qui fait la même chose. C’est un business sérieux.

Mais au lieu d’utiliser des formulations pompeuses et d’embrouiller les esprits avec un jargon technique, je m’adresse à mes clients comme à des amis ! Je parle de ce qu’ils peuvent appliquer immédiatement pour avoir des résultats. Je désacralise la création de business et je la rends accessible aux personnes qui n’ont pas fait d’études de commerces ou qui n’ont pas 30 ans d’ancienneté dans leur boîte.

Et pour pouvoir faire ça, je l’ai pas sorti de mon chapeau… j’ai créé cinq sociétés, lu des centaines de livres, écrit des milliers de pages, et aidé des dizaines de personnes à créer leur propre business online à leur tour.

Ça n’a rien de magique. Ça implique juste beaucoup d’entrainement. Et n’importe qui peut en faire autant.

C’est cette grosse implication qui permet d’avoir les compétences pour apporter des résultats à tes clients. Et d’être payé pour tes compétences.

Et cette grosse implication, elle vient du fait que tu te donnes les moyens de progresser : lire des bouquins de psychologie, de philosophie et de marketing, écrire, échanger avec tes lecteurs, partager tes connaissances et voir leurs avancées.

Donc, si tu veux vivre de ce que tu aimes, il y a pas de raccourci : donne-toi les moyens d’exceller dedans.

Sixième truc

Choisis bien qui tu vas aider.

Tu ne peux pas aider tout le monde.

Et quoi que tu fasses, il y a des gens qui vont adorer, et d’autre qui vont détester.

Alors n’essaye pas de plaire à tout le monde… ou tu vas créer une bouillie fade qui ne plaît finalement à personne.

Identifie les gens que tu veux (et peux) aider et concentre-toi sur eux.

Pourquoi ?

Parce que si tu essayes de te travestir pour plaire à des personnes qui ne reflètent pas tes valeurs et ta philosophie de vie, tu vas être misérable.

Et pour illustrer ça, je m’en vais te raconter une petite fable improvisée de derrière les fagots. Ambiance basse-cours :

Si t’es un lapin et que t’es entouré de poulets, tu vas galérer à faire ton commerce de carotte (ce que tu aimes). Alors pour que ce soit lucratif et que tu te régales, trouve une bande de lapins qui seront ravis de t’acheter ce que tu offres. Fin de la fable.

Pour être indépendant(e), il faut que tu saches à qui tu t’adresses et comment tu peux les aider.

Septième truc

Montre ce que tu fais avec fierté.

Parce que c’est en montrant ce que tu sais faire que tu vas pouvoir te faire payer pour ça.

Et effectivement, dans une certaine mesure, ça fait flipper de s’exposer et de dire aux autres : je peux t’aider avec [insère ici une compétence que tu as].

Mais c’est juste une peur primaire : la peur de ne pas être à la hauteur.

Et cette peur, elle se dompte.

Par l’action.

Si tu n’es pas à l’aise de te faire payer pour ta compétence, offre-là gratuitement dans un premier temps !

Tu sais combien de coaching gratuits j’ai offert avant de me faire payer ? Quasiment 100 ! Presque cent coaching offerts sur une période d’un an et demi avant de commencer à me faire payer pour ça (chaque coaching durait entre 20 minutes et 2h). Crois-moi que ça dompte tes peurs !

Et qu’est-ce qui m’a donné la confiance de me faire payer un jour : la pratique et les résultats de ceux que j’ai coaché.

Parce qu’une fois que tu SAIS que les gens ont les résultats qu’ils veulent quand ils travaillent avec toi, ça devient une évidence que tu te fasses payer pour ça.

Et tu leur RENDS SERVICE en mettant tes compétences à leur disposition. Parce que c’est ça qu’ils achètent : une compétence qui va les rapprocher d’un de leurs objectifs de vie.

Comme Candy, une cliente qui assure grave :

« Avant de [travailler avec Damien], j’avais une idée mais c’était encore flou, alors j’ai suivi son programme et depuis, mon idée à pris forme. Tout est devenu de plus en plus clair.

J’ai aujourd’hui deux cours de Yoga en place (en parallèle de mon travail). J’ai créé un site internet avec un cadeau offert. La promotion de mon produit est en cours, je n’ai jamais autant avancé vers mes objectifs !

Je suis très reconnaissante de m’être autorisée à m’inscrire ce programme. Merci beaucoup Damien de l’avoir créé ! » – Candy R.

Alors, montre ce que tu fais ! Parce que tu vas aider les autres grâce à ça !

Et si tes premiers retours sont critiques : apprends et améliore-toi. Peaufine tes compétences. Encore et encore.

Il suffit pas d’être balèze dans ton domaine, il faut aussi que les autres comprennent que tu PEUX les aider.

Donc prends l’habitude de montrer ce dont tu es capable.

C’est la voie vers ton indépendance professionnelle.

Et bien sûr…

Huitième truc

Garde le cap.

Une des phrases fétiches de mon papi Winston, c’est :

« La réussite, c’est d’aller d’échec en échec sans perdre son enthousiasme »

Il y a des tas de gens qui essayent de faire quelque-chose, qui se plantent et qui disent « j’y arrive pas ».

Alors ils abandonnent.

Ne fais pas comme eux !

Adapte-toi.

Modifie légèrement ta trajectoire. Et continue ta route.

Comme le dit mon autre papy, Albert :

« La folie, c’est de toujours faire la même chose et de s’attendre à un résultat différent. »

Et pour continuer cette frénésie de citations, voilà ce dit le cousin Claude :

« Ne crois pas que tu t’es trompé de route quand tu n’es pas allé assez loin. »

Tous ces conseils sont super pertinents.

L’échec. L’abandon. Ça arrive seulement quand TU choisis d’arrêter.

Tant que tu continues ton chemin, ça s’appelle de l’expérience.

Et c’est cette expérience qui te permet d’atteindre tes objectifs.

Ne laisse personne te dire ce que tu ne peux PAS faire.

Trouve un moyen.

Et fait-le !

J’espère que ce bon gros article t’aidera à être indépendant(e).

C’est pas un texte qui se consume une fois pour te divertir. Ce sont des principes à garder en tête chaque jour pour vivre ta vie selon tes propres termes.

Alors, force et honneur cher frère/sœur dissident(e) !

Je te souhaite bon courage dans ton aventure vers l’indépendance professionnelle.

Et si l’article t’a plu, est-ce que tu veux bien faire quelque chose pour moi ?

Ce serait génial que tu partages l’article.

Parce que ça permettrait de faire passer le message à plus de monde : comment se donner les moyens de créer son indépendance professionnelle.

Et j’espère que ça en inspirera quelques uns !

Alors merci du partage et à très vite pour de nouvelles aventures 😉

– Damien

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et les projets de pleindetrucs.fr

L’avenir du travail et les projets de pleindetrucs.fr

Salut l’ami !

Je t’écris un petit article de transition. À la bien. Pépère.

Comme tu le sais sûrement, j’ai sorti mon programme pour créer sa liberté professionnelle.

J’ai bossé à fond dessus parce que je pense que créer sa liberté professionnelle c’est méga important.

Voilà pourquoi :

Le monde du travail « classique » est mourant.

Le salariat, les grosses sociétés, tout cet amas de conventions, ça subsiste encore mais c’est en train de décliner.

Pourquoi ?

Parce qu’ils cherchent des pions, qu’ils ont le choix parmi un bataillon et que ça peut plus durer.

Parce que nous ne pouvons accepter des conditions pourraves ou semi-pourraves et baisser la tête pour l’éternité.

Nous sommes des putains d’Humains et on nous bourre le cervelet : on nous apprend à trouver un métier, à obéir, à s’adapter aux règles.

On est réduits au stade d’automates, juste bons à effectuer des tâches à la con. Avec ou sans motivation.

Travailler pour travailler. 40 années de sa vie. Sans sens. Pour la monnaie. *Phoque*.

Aujourd’hui, c’est pas ça la vie.

Ça marchait il y a 50 ans, à l’époque de nos grands-parents et de nos parents peut-être, parce qu’il y avait de la demande et que chacun y trouvait son compte, mais aujourd’hui y’a plus de travail. C’est la pénurie, c’est la merde.

À l’époque on manquait de main d’œuvre pour accomplir de grands projets.

Maintenant, c’est le contraire, on est tellement lobotomisé qu’on n’ose plus rien proposer.

Alors évidemment, j’extrapole, je pense pas qu’on ne crée plus rien non plus. En vrai il y a plein de personnes exceptionnelles qui proposent des trucs géniaux. Je dis que la tendance générale est à l’accusation passive du système. « Et gnagnagna, mon patron est pas sympa… et gnagnagna, je vais me faire licencier… »

OSEF !

Le problème, c’est ni le travail, ni le système. C’est nous. C’est toi. C’est moi.

T’aime pas ton boulot ? T’es pas assez payé ? T’as pas de travail ?

Tu sais quoi ? Crées ton job. Bim ! Rétroshoot rectal !!

Produit de la valeur pour les autres. Vends-là.

Pleurnicher ça sert à rien.

On vit à une époque où tout peut se monétiser : le divertissement, l’information, l’éducation, le sport, la connaissance et bien entendu les produits, les services, la nourriture, etc…

En haut de la pyramide, il y a la bouffe, et c’est les méga groupes qui dominent le marché. Ils cultivent par centaine de milliers de tonnes dans l’irrespect de l’environnement. Pour réduire les coûts et attirer la préférence du client. Il y a quelques siècles, ce qui comptait le plus c’était d’avoir des terres. Pour cultiver. Ce qu’il y avait de plus précieux, c’était ce qu’on pouvait manger.

Depuis l’ère industrielle, avec les machines, on est arrivés à produire assez (même si on donne pas de la nourriture à tout le monde parce que les dirigeants n’en ont rien à cirer). La nouvelle denrée précieuse, c’était de pouvoir travailler.

Ensuite, c’est à la connaissance qu’on s’est attaqués. Et la génération précédente a dû exploiter l’économie de l’apprentissage et de l’enseignement.

Puis, on arrive à ce jour. On gâche des tonnes de nourriture chaque jour. Le marché du travail est over-saturé. La connaissance est accessible en un clic sur internet. Résultat : on se pose des questions comme « quelle est notre place dans la société ? ». On est en manque d’attention. On a un désir d’être et de s’exprimer. La situation est un peu plus compliquée que quand ton père te disait : « Ok Michocle, tu seras fermier » et que ça traçait le reste de ta destinée.

Le problème, c’est qu’on cherche des réponses à l’école et à la télé. Et que ces derniers fonctionnent à la mode du siècle dernier. C’est des vestiges. Des antiquités.

« Quand le vent du changement souffle, les uns construisent des murs les autres des moulins à vent »

Ta place, c’est toi qui te la crée.

Ça, c’est un morceau de ma réflexion de base.

Pleindetrucs.fr, c’est un exutoire vers la liberté.

Alors je continue de m’exprimer.

Et si ça te chiffonne, t’es pas obligé d’écouter.

J’écris pour les dissidents, ceux qui construisent le monde de demain.

Pour ceux qui ont des rêves, des idéaux, qui veulent donner du sens et apporter leur touche personnelle, peu importe l’échelle, dans l’humanité.

Je prépare un tas de nouvelles choses pour cette année.

Et ça prend du temps.

Je m’occupe aussi de mon groupe Easy Business avec beaucoup d’attention et je veux être disponible au maximum.

J’annonce du coup que j’écrirais moins d’un article par semaine à partir de maintenant. Peut-être un toutes les deux semaines voire un par mois. Mais je continue de produire. Probablement des vidéos aussi. Va y avoir du costaud cette année.

Alors, pour la suite de pleindetrucs.fr je vais continuer de te partager mes réflexions et te donner les outils pour définir ta liberté et la créer. En se focalisant sur trois axes : le plan personnel, professionnel et relationnel.

Parce qu’on veut tous une bonne vie.

Alors je t’écris avec gratitude, beaucoup de tendresse et de considération, même si parfois mes mots claquent comme un nunchaku parce que ta vie, c’est ta meilleure occasion d’exprimer qui tu es.

J’espère que mes idées stimulent les tiennes.

Et merci de me lire, sincèrement. Content que mes lettres résonnent. Content de constater qu’on est plusieurs dans cette épopée.

Je te souhaite le meilleur dans tout ce que tu feras et on se retrouve très vite amig@ !

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pleindetrucs.fr - Damien Fauché sur Koh Tunsay

Le véritable intérêt de créer ta liberté professionnelle

Il y a 6 ans de ça (édit 2022 : 12 ans maintenant !), par un beau matin de Juin, j’entrais fièrement dans la pépinière d’entreprise où je venais de trouver le boulot de mes rêves.

J’étais officiellement concepteur de jeux vidéos. J’avais un job. Du haut de mes 23 ans, le monde s’ouvrait à moi.

Après les petits boulots étudiants, la vraie vie professionnelle venait de commencer.

Et alors que je prenais place à mon bureau, la réalité du travail s’est installée elle aussi à mes côtés.

Face à l’écran, 8h par jour à subir les projets selon le bon vouloir des clients. Les deadlines serrées. La créativité bridée.

Je tiens à préciser que mon boulot était quand même cool dans l’ensemble. Que l’équipe et les patrons étaient super sympas. Je peux même dire que j’aimais bien mon job.

Et pourtant, il y avait trois problèmes qui bouffaient ma réalité :

  • Je devais aller au boulot 5 JOURS PAR SEMAINE, du matin au soir. Pas le choix. 70% de mon temps de vie était réservé. Peu de chance de diminuer le rythme tant que je serais employé. Est-ce que j’allais faire ça pendant encore 40 ans ?
  • Je devais aller AU BOULOT 5 jours par semaine. Pas le choix. Je devais me rendre à un lieu précis, chaque jour, quasiment toute la journée. Est-ce que j’allais y retourner pendant encore 40 ans ?
  • Je devais faire ce qu’on me disait. Peu importe que le projet me semble intéressant ou non. Peu importe que je me sente en accord avec le projet. Je devais faire ce qu’on me disait. Point. Est-ce que je voulais qu’on me dise quoi faire pendant les 40 prochaines années ?

Mon excitation fondait au rythme des journées.

Je me sentais de plus en plus comme un automate. Comme un putain de zombie.

Petite note : Alors, là j’introduis une grosse nuance pour éviter l’amalgame, je ne dis pas qu’être employé, c’est être un zombie. C’est pas du tout ça que je pense.

Je dis simplement que MOI j’étais un zombie PARCE QUE je vivais comme ça alors que ce n’était pas en accord avec ma vision de mon existence.

Il m’a fallu deux ans pour prendre la décision d’arrêter.

 

J’aimerais pouvoir te dire que quitter mon boulot était un moment de gloire. Que je marchais au ralenti avec des lunettes noires alors qu’il y avait des explosions en arrière-plan et que je plissais à peine les yeux comme Clint Eastwood.

En pratique, je ne savais pas du tout où j’allais.

Je savais juste ce que je ne voulais pas. Et j’avais une vague idée de ce que je cherchais.

Je ne voulais pas passer 40 ans de ma vie à aller au même endroit, presque tous les jours, faire la même chose, sans choisir ce que je faisais.

Même si l’école et la société m’avaient bombardé cette image dans le crâne comme une définition du succès.

En pratique, ça ressemblait plutôt à ça :

Une cage. Une grosse cage. Avec une roue qui te donne de l’argent. Pour l’activer, il faut courir dedans. 70% de ton temps.

Avec cet argent, tu peux habiter dans une autre cage et te payer à manger, des loisirs, une télé.

La roue est toujours là, jamais bien loin. Tu t’en échappes seulement quelques jours par mois.

Et elle sera là demain. Pour des dizaines d’années. Ça craint.

Quand tu vois les choses comme ça, il te reste deux choix.

Anesthésier ton cœur, tes ressentis, porter haut ton masque et te dire que ça pourrait être pire, et continuer la course en étouffant tes sentiments.

Ou sortir de là. Peu importe le prix. Ta vie, tu n’en as qu’une et tu ne veux pas la passer ainsi.

Alors, j’ai choisis la deuxième option.

Ce que je voulais, c’était être libre.

Libre de comment utiliser mon temps de vie.

Et quand je dis libre de comment utiliser mon temps de vie, ça ne veut pas dire rien glander.

Je pense que travailler c’est bien. Je pense que travailler, c’est fondamental pour que la société puisse fonctionner. Si personne ne faisait rien, nous n’aurions rien à manger.

Travailler, c’est produire de la valeur pour les autres. De la nourriture, des soins, des produits, des services, de l’éducation.

À mon avis, le principe du travail dans la société est plutôt bon. Le principe de l’argent est plutôt bon. Ce sont les dérives qui font tout déconner.

Alors au lieu de maugréer et chercher des responsables, je pense que c’est plus judicieux de passer à l’action.

Et la plus petite action concrète que j’ai trouvé, c’est de créer de la valeur.

J’ai appelé ça un Easy Business ! Pas parce que c’est facile. Mais parce que la structure est simple et authentique.

Ne pas dépendre d’une entreprise ou d’une multinationale pour me dire ce que je dois créer.

Plante des tomates. Quand elles sont mûres : vends-les. C’est de la valeur. C’est un business. C’est concret. C’est sain.

Les tomates, c’est juste un exemple. Ça marche aussi avec donner des cours de piano ou faire de la comptabilité pour un restau.

Ce qui compte, c’est de le faire de ton propre chef, pas d’attendre qu’on te l’intime.

On nous a inculqué l’assistanat, ne pas prendre de risque, attendre les ordres, rechercher la « sécurité ». Ça marchait il y a 50 ans pendant l’essor économique. À l’époque actuelle, c’est du flan.

Adam Smith et les fondateurs de l’économie moderne ont fondé le système sur le fait que l’humain moyen était un feignant qui devait être motivé par le gain financier.

Je pense que c’est faux. L’humain est créatif, sensible et a un désir intrinsèque d’évoluer.

Ceux qui ont succombé à ce système sont devenus des produits de la société.

Le monde ne peut pas continuer dans cette direction. Il faut se réveiller.

Chacun doit prendre sa responsabilité.

Et même si je n’ai pas toutes les réponses, je propose au moins quelques idées : assumer d’être un humain, assumer d’évoluer dans la société et produire de la valeur sans attendre qu’on nous l’ait demandé.

Et faire tout ça avec un minimum de contrainte, en respectant notre identité.

Travailler quand on veut, d’où on veut et faire ce qu’on veut, du moment qu’on apporte de la valeur aux autres et au monde pour contribuer à la cohésion de la société.

Par faire ce qu’on veux, ça ne veut pas dire forcément des choses agréables. Ça veut dire qu’on est prêt à les faire en échange d’une rétribution adaptée ET définie par soi-même.

Par travailler quand on veut, ça ne veut pas nécessairement dire travailler peu. Ça veut dire qu’on peut choisir la quantité de travail qu’on veut fournir en fonction de la rétribution qu’on souhaite.

Par travailler d’où on veut, ça ne veut pas obligatoirement dire voyager toute l’année. Ça veut aussi dire qu’on a le choix de travailler au même endroit si on décide de faire un travail qui implique une présence localisée.

Cette liberté professionnelle, depuis 2012, c’est la vie que j’ai décidé de mener.

Peu importe que certains me prennent pour un fou. Peu importe que mes choix soient critiqués.

*Phoque* mon CDI. *Phoque* ma BMW. L’argent arrive toujours mais mes priorités ont changées.

J’avance en accord avec mes valeurs. Et je continuerai d’avancer.

Parce qu’il ne suffit pas de critiquer le monde pour le faire évoluer. Parce que passer à l’action, c’est le seul moyen de faire changer les choses. Et même si c’est une goutte d’eau dans l’océan, c’est quand même une goutte d’eau.

Parce que chacun est capable de redessiner sa place dans la société. Et que c’est ainsi, que un par un, on redessine la société.

Le monde change. Et il faut faire évoluer notre manière de penser.

 

Je ne veux pas être un esclave qui passe sa vie à trimer pour maintenir un système en train de sombrer.

Je veux apporter ma valeur au monde, ma créativité.

Je veux être libre.

Et quand je te parle de liberté professionnelle, je ne te parle pas seulement d’une situation confortable et pleine d’aventures, je te parle aussi d’un positionnement éthique pour le monde de demain.

Avoir une belle vie et être en accord avec ses valeurs.

Plutôt que d’avoir une vie creuse en captivité.

Lever la tête, ouvrir son cœur et poser un regard neuf sur la société.

On ne peut pas prendre la responsabilité de tous les malheurs du monde, mais on peut agir sur sa propre existence. Assumer son humanité et ne pas se contenter d’acquiescer.

On peut vivre libre. Se lever chaque jour pour offrir au monde ce qui nous plaît et être remerciés en retour.

Je ne vais pas te dire que c’est une idée largement accepté. La plupart des gens se contente de chercher un emploi et évite d’y penser.

Mais c’est faisable.

Et ça rend le travail plus sensé.

Tu veux que je t’aide à avancer vers cette liberté ?

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