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pleindetrucs.fr - Damien Fauché sur Koh Tunsay

Le véritable intérêt de créer ta liberté professionnelle

Il y a 6 ans de ça (édit 2022 : 12 ans maintenant !), par un beau matin de Juin, j’entrais fièrement dans la pépinière d’entreprise où je venais de trouver le boulot de mes rêves.

J’étais officiellement concepteur de jeux vidéos. J’avais un job. Du haut de mes 23 ans, le monde s’ouvrait à moi.

Après les petits boulots étudiants, la vraie vie professionnelle venait de commencer.

Et alors que je prenais place à mon bureau, la réalité du travail s’est installée elle aussi à mes côtés.

Face à l’écran, 8h par jour à subir les projets selon le bon vouloir des clients. Les deadlines serrées. La créativité bridée.

Je tiens à préciser que mon boulot était quand même cool dans l’ensemble. Que l’équipe et les patrons étaient super sympas. Je peux même dire que j’aimais bien mon job.

Et pourtant, il y avait trois problèmes qui bouffaient ma réalité :

  • Je devais aller au boulot 5 JOURS PAR SEMAINE, du matin au soir. Pas le choix. 70% de mon temps de vie était réservé. Peu de chance de diminuer le rythme tant que je serais employé. Est-ce que j’allais faire ça pendant encore 40 ans ?
  • Je devais aller AU BOULOT 5 jours par semaine. Pas le choix. Je devais me rendre à un lieu précis, chaque jour, quasiment toute la journée. Est-ce que j’allais y retourner pendant encore 40 ans ?
  • Je devais faire ce qu’on me disait. Peu importe que le projet me semble intéressant ou non. Peu importe que je me sente en accord avec le projet. Je devais faire ce qu’on me disait. Point. Est-ce que je voulais qu’on me dise quoi faire pendant les 40 prochaines années ?

Mon excitation fondait au rythme des journées.

Je me sentais de plus en plus comme un automate. Comme un putain de zombie.

Petite note : Alors, là j’introduis une grosse nuance pour éviter l’amalgame, je ne dis pas qu’être employé, c’est être un zombie. C’est pas du tout ça que je pense.

Je dis simplement que MOI j’étais un zombie PARCE QUE je vivais comme ça alors que ce n’était pas en accord avec ma vision de mon existence.

Il m’a fallu deux ans pour prendre la décision d’arrêter.

 

J’aimerais pouvoir te dire que quitter mon boulot était un moment de gloire. Que je marchais au ralenti avec des lunettes noires alors qu’il y avait des explosions en arrière-plan et que je plissais à peine les yeux comme Clint Eastwood.

En pratique, je ne savais pas du tout où j’allais.

Je savais juste ce que je ne voulais pas. Et j’avais une vague idée de ce que je cherchais.

Je ne voulais pas passer 40 ans de ma vie à aller au même endroit, presque tous les jours, faire la même chose, sans choisir ce que je faisais.

Même si l’école et la société m’avaient bombardé cette image dans le crâne comme une définition du succès.

En pratique, ça ressemblait plutôt à ça :

Une cage. Une grosse cage. Avec une roue qui te donne de l’argent. Pour l’activer, il faut courir dedans. 70% de ton temps.

Avec cet argent, tu peux habiter dans une autre cage et te payer à manger, des loisirs, une télé.

La roue est toujours là, jamais bien loin. Tu t’en échappes seulement quelques jours par mois.

Et elle sera là demain. Pour des dizaines d’années. Ça craint.

Quand tu vois les choses comme ça, il te reste deux choix.

Anesthésier ton cœur, tes ressentis, porter haut ton masque et te dire que ça pourrait être pire, et continuer la course en étouffant tes sentiments.

Ou sortir de là. Peu importe le prix. Ta vie, tu n’en as qu’une et tu ne veux pas la passer ainsi.

Alors, j’ai choisis la deuxième option.

Ce que je voulais, c’était être libre.

Libre de comment utiliser mon temps de vie.

Et quand je dis libre de comment utiliser mon temps de vie, ça ne veut pas dire rien glander.

Je pense que travailler c’est bien. Je pense que travailler, c’est fondamental pour que la société puisse fonctionner. Si personne ne faisait rien, nous n’aurions rien à manger.

Travailler, c’est produire de la valeur pour les autres. De la nourriture, des soins, des produits, des services, de l’éducation.

À mon avis, le principe du travail dans la société est plutôt bon. Le principe de l’argent est plutôt bon. Ce sont les dérives qui font tout déconner.

Alors au lieu de maugréer et chercher des responsables, je pense que c’est plus judicieux de passer à l’action.

Et la plus petite action concrète que j’ai trouvé, c’est de créer de la valeur.

J’ai appelé ça un Easy Business ! Pas parce que c’est facile. Mais parce que la structure est simple et authentique.

Ne pas dépendre d’une entreprise ou d’une multinationale pour me dire ce que je dois créer.

Plante des tomates. Quand elles sont mûres : vends-les. C’est de la valeur. C’est un business. C’est concret. C’est sain.

Les tomates, c’est juste un exemple. Ça marche aussi avec donner des cours de piano ou faire de la comptabilité pour un restau.

Ce qui compte, c’est de le faire de ton propre chef, pas d’attendre qu’on te l’intime.

On nous a inculqué l’assistanat, ne pas prendre de risque, attendre les ordres, rechercher la « sécurité ». Ça marchait il y a 50 ans pendant l’essor économique. À l’époque actuelle, c’est du flan.

Adam Smith et les fondateurs de l’économie moderne ont fondé le système sur le fait que l’humain moyen était un feignant qui devait être motivé par le gain financier.

Je pense que c’est faux. L’humain est créatif, sensible et a un désir intrinsèque d’évoluer.

Ceux qui ont succombé à ce système sont devenus des produits de la société.

Le monde ne peut pas continuer dans cette direction. Il faut se réveiller.

Chacun doit prendre sa responsabilité.

Et même si je n’ai pas toutes les réponses, je propose au moins quelques idées : assumer d’être un humain, assumer d’évoluer dans la société et produire de la valeur sans attendre qu’on nous l’ait demandé.

Et faire tout ça avec un minimum de contrainte, en respectant notre identité.

Travailler quand on veut, d’où on veut et faire ce qu’on veut, du moment qu’on apporte de la valeur aux autres et au monde pour contribuer à la cohésion de la société.

Par faire ce qu’on veux, ça ne veut pas dire forcément des choses agréables. Ça veut dire qu’on est prêt à les faire en échange d’une rétribution adaptée ET définie par soi-même.

Par travailler quand on veut, ça ne veut pas nécessairement dire travailler peu. Ça veut dire qu’on peut choisir la quantité de travail qu’on veut fournir en fonction de la rétribution qu’on souhaite.

Par travailler d’où on veut, ça ne veut pas obligatoirement dire voyager toute l’année. Ça veut aussi dire qu’on a le choix de travailler au même endroit si on décide de faire un travail qui implique une présence localisée.

Cette liberté professionnelle, depuis 2012, c’est la vie que j’ai décidé de mener.

Peu importe que certains me prennent pour un fou. Peu importe que mes choix soient critiqués.

*Phoque* mon CDI. *Phoque* ma BMW. L’argent arrive toujours mais mes priorités ont changées.

J’avance en accord avec mes valeurs. Et je continuerai d’avancer.

Parce qu’il ne suffit pas de critiquer le monde pour le faire évoluer. Parce que passer à l’action, c’est le seul moyen de faire changer les choses. Et même si c’est une goutte d’eau dans l’océan, c’est quand même une goutte d’eau.

Parce que chacun est capable de redessiner sa place dans la société. Et que c’est ainsi, que un par un, on redessine la société.

Le monde change. Et il faut faire évoluer notre manière de penser.

 

Je ne veux pas être un esclave qui passe sa vie à trimer pour maintenir un système en train de sombrer.

Je veux apporter ma valeur au monde, ma créativité.

Je veux être libre.

Et quand je te parle de liberté professionnelle, je ne te parle pas seulement d’une situation confortable et pleine d’aventures, je te parle aussi d’un positionnement éthique pour le monde de demain.

Avoir une belle vie et être en accord avec ses valeurs.

Plutôt que d’avoir une vie creuse en captivité.

Lever la tête, ouvrir son cœur et poser un regard neuf sur la société.

On ne peut pas prendre la responsabilité de tous les malheurs du monde, mais on peut agir sur sa propre existence. Assumer son humanité et ne pas se contenter d’acquiescer.

On peut vivre libre. Se lever chaque jour pour offrir au monde ce qui nous plaît et être remerciés en retour.

Je ne vais pas te dire que c’est une idée largement accepté. La plupart des gens se contente de chercher un emploi et évite d’y penser.

Mais c’est faisable.

Et ça rend le travail plus sensé.

Tu veux que je t’aide à avancer vers cette liberté ?

Alors inscris toi à mes emails nuggets, ça pourrait t’intéresser.

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pleindetrucs.fr - Damien Fauché au Cambodge dans un temple paumé dans les colines

Comment trouver ce que tu veux vraiment

Comment trouver ce que tu veux vraiment ?

Booyah ! Fat questions dis-donc !!

Parfois, la vie, c’est flou.

On file dans le quotidien comme un fou dans une forêt touffue et on se fait fouetter la face par les feuilles et les branches des facéties du destin.

C’est un gros bordel en somme.

Chaque jour a sa dose d’évènements. Et parfois ces évènements perdent leurs sens. Alors on subit sa vie sans savoir pourquoi on fait ça.

Ça pue.

Ça pue parce que trouver ce que tu veux vraiment, ça te permettrait d’arrêter de courir. Ou alors  continuer de courir mais dans la bonne direction, une qui a du sens pour toi.

Et ça, ça fait du bien.

Quand tu commences à comprendre ce que tu veux vraiment, tu peux enfin apprécier tout ce que tu fais.

Sans te sentir à cent à l’heure. Ton mental est calmé. Paisible. Focalisé.

Dans cet article, on va voir une idée pour y arriver.

Et même si ces mots s’adressent davantage à certaines personnes qu’à d’autres, c’est toujours bon de se les rappeler. À moi le premier d’ailleurs…

Trouver ce que tu veux vraiment, c’est une question qui arrive assez tard dans la vie. Tard, à partir de 18 ans quoi. Pas tard à partir de 1h du mat, hein…

Perso, j’ai commencé à vraiment me poser la question vers 22 ans, à l’approche de la fin de mes études.

Après avoir somnolé dans la matrice de l’école et des médias pendant de nombreuses lunes…

Pif, paf, un jour, comme ça, tu réalises que t’es responsable de ce que tu fais de ta vie !

Et là, il y une question qui te met un reverse karaté kick dans ta tronche : « Comment trouver ce que tu veux vraiment ? »

Parce qu’au final, c’est un choix qui va déterminer le reste de ta vie. Et mine de rien, ça a l’air important !

Alors évidemment, c’est pas vraiment le genre de question qu’on nous a encouragé à nous poser jusqu’alors… Ni à l’écoleNi dans les médias

On nous a peut-être demandé si on préférait faire L, S ou ES au lycée. On nous a peut-être dit d’acheter telle ou telle marque de papier WC.

On a eu un semi-choix, semi-conscient, on a suivi le flot… Et là ! Bim ! Culbuto shot frontal de la réalité : tu es responsable de ta vie biatch !

Alors, qu’est-ce que tu veux vraiment ?

Whaaaaaaaaat ?

Et ta réponse qui vient percer le silence béat d’années d’obédience incontestée quand tu te la poses pour la première fois c’est à peu près ça : « Bin… j’en sais rien moi ! »

Rush d’adrénaline. Recherche de réponse extérieure. Je vais bien trouver la solution à l’école. Ou à la télé. Ou peut-être que ma maman/ma meuf/mon mec/mon banquier/mon prof de yoga/ce type sur internet/Sylvain Durif a la solution.

« Et je cours, je me raccroche à la vie… » Disait tonton Daniel.

On fait avec ce qu’on connaît. Et pourtant, la réponse est ailleurs.

Ladies and gentlemen, bienvenus dans le « mode par défaut ».

Trouver ce que tu veux vraiment, c’est une nouvelle phase de l’existence. C’est pas une réponse prémâchée par un gourou bon marché.

C’est un voyage intérieur.

Ok, je sais que je sonne comme un moine bouddhiste là. Mais pourtant, c’est exactement ce que c’est.

Un voyage dans ta connaissance de toi… un voyage… euh… intérieur quoi.

Ta réponse pour trouver ce que tu veux vraiment, c’est une illusion de la chercher à l’extérieur de toi.

Au mieux, tu trouveras les réponses d’autres personnes. Eckhart Tolle a de super bonnes idées. Matthieu Ricard aussi.

Si tu attends que ta réponse s’impose d’elle-même, elle n’arrivera jamais. Trouver ce que tu veux vraiment, c’est une épopée.

Et comme toute épopée, ça te demande d’avancer. Un pied devant l’autre. Cheminer dans ta tête, un peu plus, chaque jour. Grandir. Rêver. Te connaître. Évoluer !

Alors bien sûr, je peux pas te dire ce que tu veux vraiment, personne ne peut à par toi même ! Par contre je peux te partager une méthode pour trouver ce que c’est.

Cette méthode, c’est de trouver un espace mental calme. Bouddha mode réactivé ^^

Laisser la place à tes pensées de s’exprimer. On pourrait appeler ça de la méditation mais le terme est tellement connoté qu’il veut plus rien dire du tout.

À la place, on va appeler ça un temps temps-boussole. Ouais, je viens de l’inventer !

Un temps consacré à te repérer et trouver ton chemin.

C’est un principe méga simple :

Tu te bloques un moment – tu peux commencer avec 5 minutes seulement – et tu te poses pépère avec tes pensées.

Tu peux faire ça assis, debout ou couché. Essaye d’être dans un contexte où tu ne seras pas dérangé.

Et là, pour commencer, pas d’histoire de vide mental ou de respiration – même si en pratique, ça aide bien quand même – tu te poses juste et tu observes tes pensées.

Tranquille.

Tu vois tes préoccupations. Tu vois tes doutes. Tu vois tes désirs. Tes joies, tes peines, tes aspirations.

Et tu les acceptes. Parce que tu les ressens. Parce qu’elles existent pour toi.

Tu vois ce qui sonne juste. Tu vois ce qui ne te convient pas.

Sans juger : tu constates.

Tu dessines une carte de ce qui te paraîtrait bon pour toi. Tu respires. Tu souris.

Parce que ta vie en est exactement là où elle en est. Et que c’est une bonne chose.

Peu importe tes conditions de vie actuelle. Peu importe ton stress. Peu importe les aléas.

Dans cet espace de réflexion, tu es libre de choisir ce que tu veux vraiment.

Tu ne trouveras probablement pas en 5 minutes.

Mais marche après marche, tu prendras de la hauteur dans ta réflexion…

Et ta réponse se fera plus précise. Plus aérienne. Plus légère aussi.

Comment trouver ce que tu veux vraiment ?

Je crains qu’il n’y ait pas de réponse magique à cette question.

Ma seule réponse est que ça prend du temps et que personne ne peut le faire à ta place.

Crée-toi un temps-boussole, chaque jour, et poursuis ton aventure. Parcours cet espace précieux et découvres ses trésors et ses révélations.

Et c’est seulement en explorant ce sanctuaire que tu feras le lien entre ton être et tes conditions de vie.

Pour trouver ce que tu veux vraiment… et l’honorer.

Aussi, j’ai écrit un livre. Et en vrai… tu n’en a pas besoin.

Ok, c’est un peu nul comme pub ce que je viens d’écrire là…

Tu n’en a pas besoin mais c’est un guide. Un guide de 201 pages pour t’aider à te connecter à qui tu es, à ce que tu veux, et à comment t’y diriger.

Je l’ai relu cette semaine et je pense sincèrement qu’il peut t’inspirer. C’est pour ça que je t’en parle.

Son titre, c’est la Danse de l’Air. C’est une métaphore pour aborder la vie sous un autre angle, plus léger, plus aérien, plus libre. Pour prendre du recul et choisir consciemment ta voie.

Évidemment, il va pas faire la démarche spirituelle à ta place. Mais si tu suis les étapes, il peut te permettre de voir comment procéder.

Il y a une première partie théorique. Et une seconde pratique, avec des exercices concrets.

Tu pourras y voir comment découvrir tes envies profondes, surmonter tes peurs et construire une vie dans laquelle tu puisses t’épanouir. Je suis fier de ce bouquin. Et les témoignages que j’ai reçus, m’ont vraiment beaucoup touché.

Comme celui de Claudine par exemple

« Ton livre m’a ouvert les yeux et chaque soir, je le relis, et franchement cela m’aide beaucoup. À présent, je suis décidée et sûre de moi pour faire autre chose.

Merci d’être présent, merci de me donner chaque jour l’envie d’avancer et de faire autre chose de ma vie. »

Ou celui de Kevin :

Le guide pour mener une vie libre de pleindetrucs.fr - Damien Fauché

Même si tu n’en as pas « besoin », j’espère qu’il pourra t’inspirer et te donner quelques idées !

Tu peux acheter la Danse de l’Air ici :

Recevoir la Danse de l’Air

Et que tu la lises ou non, j’espère que cet article t’a plu !

Si c’est le cas, merci de le partager. C’est en partie grâce à toi que ce blog a le privilège d’exister. Alors merci de le faire vivre 😉

À très vite amig@ !

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*Phoque* trouver sa passion

Tu te dis peut-être que si tu trouvais ta passion et que tu parvenais à en vivre, ce serait la panacée.

Tu ferais enfin un travail que tu aimes. Ton quotidien serait pur bonheur et fini les soucis.

La patate tous les matins. Chanter en sortant du lit. Pas de patron i tutti cuanti.

Ça, c’est le concept.

Seulement le concept.

Dans cet article, je vais tartiner une bonne couche de réalité sur le gâteau.

En mode ninja.

Premièrement : « trouver ta passion ».

Haha…

Hahahaha !

HAHAHAHAHAHAAAAAH !!!

Ok, je me calme.

Bon… à mon avis, on ne trouve pas sa passion.

La passion, c’est pas un truc qui se cherche, c’est quelque chose qui t’apparaît tellement évident que tu ne vois que ça.

Si tu avais une passion bien distincte, tu le saurais déjà.

Ça ne sert à rien de se triturer les méninges avec ça.

Et si tu n’as pas de passion dévorante, c’est pas grave amig@ !

Moi non plus j’en ai pas.

On est des gens (plus ou moins) normaux. Et c’est très bien comme ça.

Il y a quelques cas extrêmes qui savent exactement ce qu’ils veulent et qui n’en démordent pas. C’est super rare. C’est assez flippant.

C’est OK de ne pas être comme ça.

*Phoque* trouver sa passion !

En revanche, il y a des tas de choses que tu aimes.

Et ça, c’est une bonne base pour trouver/créer un travail qui te plaît.

Ce que tu aimes, en y réfléchissant un peu, tu le sais déjà.

Ce n’est pas une activité mystérieuse à découvrir, c’est devant tes yeux, tous les jours.

Qu’est-ce que tu fais de ton temps libre ?

Des trucs qui te plaisent, j’imagine. Sinon tu ne les ferais pas.

Obviously my wonderful schpetzle !

Alors, peut-être que tu fais de la cornemuse, peut-être que tu fais du poney, peut-être que tu lis des BD, peut-être que tu joues aux jeux vidéos toute la journée, peut-être que tu sculptes des autobus en papier mâché, etc…

En tout cas, dans une certaine mesure, ça te plaît.

Alors autant partir de là pour choisir ton activité.

Et là, j’entends vrombir le bruit assourdissant de la réplique :

« Ouieeeuh, mais si je faisais ça tout le temps, j’en aurais marre à un moment. Je préfère que ça reste un plaisir à côtéeeeuh. »

Et là, mes amis :

Gainage des abdominaux. Rotation du bassin. Bras lancé vigoureusement vers l’avant. Le boomerang est lancé. Il décrit une courbe majestueuse dans les airs, il revient… Et paf, dans ta tronche !

À ma connaissance, tu ne peux pas faire un truc qui te plaît à 100% tous les jours.

Non, non, non.

C’est n’importe quoi.

Même si tu avais le boulot de tes rêves, il y aurait toujours des complications de temps à autres. Des jours de galère. Des difficultés. Et des matins où tu n’as pas envie de te lever.

Il n’y a pas de solution miracle. La vie ça ne peut pas être tout rose tous les jours, même si un tas de films veulent te le faire penser.

Alors on en est là :

Te servir de ce que tu aimes pour le transformer en métier.

Ou alors :

Laisser ce que tu aimes à distance de ton activité professionnelle pour que ça reste tel quel immaculé.

Encore une fois, c’est ton choix. Pas le mien. Il n’y en a pas de bon ni de mauvais.

Perso, j’ai choisis de fusionner les deux : ce que j’aime et mon travail.

Je te donne deux exemples pour illustrer.

1. Avant de quitter la « vie normale », j’étais concepteur de jeu vidéo. Et même s’il y avait des tas de contraintes (horaires, choix des projets, etc…), je pouvais de temps en temps faire ce que j’aimais : créer des choses, dessiner…

Ce n’était pas ma « passion » absolue, c’était juste des trucs que j’aimais faire. Dans mon cas, davantage par exemple que faire des comptes ou ranger des paquets.

2. Maintenant, je peux voyager, écrire, aider des tas de personnes et partager des idées. J’adore ça. Et je gagne ma vie avec.

Le truc, c’est qu’il y a des jours de galère, des problèmes techniques, des obstacles imprévus et des difficultés. Et tout ça, ça fait aussi partie de l’équation.

Vivre de sa passion, c’est un concept raccourci.

Une image sexy qui occulte un gros pourcentage de la réalité.

Tu te rappelles ? Le prix à payer.

En pratique, voilà quelques idées clés :

  • Tu n’as pas besoin de trouver ta passion au sens ésotérique du terme
  • Tu peux être passionné(e) par un tas de choses diverses et variées
  • Tu es libre de trouver/créer un travail en fonction de ce que tu aimes

L’étape suivante, c’est de transformer tes centres d’intérêt en métier. C’est-à-dire, gagner de l’argent avec.

Parce que c’est possible.

Même si ton entourage te dit que c’est un meilleur avenir de devenir comptable plutôt que de faire de la BD.

Même si ça implique un prix à payer.

C’est une voie dissidente qui mérite d’être considérée.

Trouver ta passion n’est pas le vrai problème.

C’est une illusion qui te distance de la réalité.

Ça te permet de te dire que si tu la trouvais tout serait plus facile.

Mais si tu regardes dans le fond, tu sais bien que ce n’est pas vrai.

Le vrai problème c’est de trouver le courage de transformer ce que tu aimes en activité.

J’en ai déjà parlé ici.

Et  j’en reparlerai.

Si à l’heure actuelle tu ne vois pas comment gagner de l’argent de cette manière, la bonne nouvelle, c’est que ça s’apprend.

Et si ça te branche, je suis en train de créer tout un programme pour ça !

Avec des vidéos gratuites et un max de contenu.

Pour être tenu au courant, ça se passe par là :

Comment gagner de l’argent en faisant ce que tu aimes

Merci de partager l’article amig@. Mes idées, c’est tes idées, et elles ne peuvent vivre que si elles sont partagées ! Alors merci de cliquer sur les jolis boutons de partage ci-dessous pour que les gens que tu apprécies puissent aussi en profiter !

À très vite 😉

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pleindetrucs.fr, Damien au Chili

La question la plus importante de ta vie

Ok… Si je pose la question : « Qu’est-ce que tu veux vraiment dans la vie ? »

Un tas de personne va me répondre un truc du genre « Oh, bin moi, je veux surtout être heureux(se), être avec des gens que j’aime, profiter de la vie, être en bonne santé, avoir un travail qui me plaît, donner et recevoir beaucoup d’amour ».

Et c’est très bien !

La plupart des individus qui peuplent notre belle planète bleue veulent la même chose. Tu veux la même chose. Je veux la même chose. Youpi ! Dansons ensemble et faisons-nous des câlins !

Une autre question à te poser – et qui est beaucoup plus intéressante à mon avis – c’est : « À quel point tu es prêt(e) à galérer pour ça ? »

Pif, paf, karaté kick dans ta face !

C’est pas vraiment le genre de questions auxquelles je pensais il y a quelques années. Et que tu te la sois ou non posée, je t’invite chaleureusement à lire la suite de ce frétillant billet.

Voilà notre histoire :

On veut le succès. Les résultats. Le corps de rêve. L’argent facile. La passion au travail. L’Amour avec un grand A.

On ignore le sang et les larmes. La sueur et l’effroi.

On vie avec du rêve plein les yeux. Relayé à grand renfort de médias. De blogs. De vidéos. D’aventures exceptionnelles. De triomphes sans émoi.

C’est de la connerie. De la bonne grosse connerie.

La vie, c’est du risque.

Et il n’y a pas de victoire sans combat.

La question la plus importante à te poser, c’est :

« À quel point tu es prêt(e) à galérer pour avoir ce que tu veux dans la vie ? »

Pour désigner ça, j’aime bien parler du « prix à payer ». C’est un terme cinglant, qui claque et qui fait flipper. Mais au cœur du sujet, c’est bien de ça qu’on parle. Peu importe que la formulation puisse bousculer.

Ce n’est pas seulement qu’on n’a rien sans rien. Ni une question de volonté. C’est juste une constatation simple.

Tu ne peux pas avoir ta liberté géographique et ton indépendance financière si tu n’as pas pris le temps de créer une activité qui t’en donne l’occasion.

Tu ne peux pas trouver l’amour parfait sans aucune complications.

Tu ne peux pas baigner dans le bonheur sans ne jamais mettre quoi que ce soit en question.

Les doutes, les peurs, les prises de décisions, le grand saut en avant, croquer à pleines dents tes passions, toutes ces choses sont des fragments indissociables de l’équation.

Regarder le risque, l’échec, la difficulté, puis leur sourire avec compassion. Et continuer d’avancer, le cœur ouvert, tête haute, en honorant tes émotions, tes valeurs, tes convictions et ta raison.

À mon humble avis, c’est ce qui fait le charme de la vie.

Ne pas savoir. Tenter.

Ne pas fomenter un rêve illusoire. Jouer.

Personne ne peut savoir de quoi demain sera fait.

La pire chose qu’il puisse t’arriver, ce n’est pas de mourir, c’est d’oublier de vivre.

Peu importe ce que tu cherches, seule la vie te donne l’occasion de le trouver.

Comme je le disais dans l’intro, tout le monde veut le bonheur.

Et il existe probablement autant de manières que d’individus pour le rencontrer.

Par exemple, ce qui m’attire c’est une vie simple, libre et connectée. C’est assez banal en somme. Probablement des millions d’autres personnes éprouvent ce même attrait.

On en arrive alors à la question du prix à payer.

Perso, j’ai chamboulé mon monde, je me suis expatrié, j’ai plongé dans l’inconnu et créé plusieurs sociétés, développé des compétences, j’ai perdu des amis en cours de route, j’en ai beaucoup rencontré, j’ai pris beaucoup de plaisir, j’ai été déprimé, j’ai eu des joies et des calvaires, des échecs et des succès.

La route est pavée de verre brisé, d’espoirs utopiques, d’obstacles à surmonter. Cette route, c’est ma vie et peu importe l’incertitude, je veux qu’elle soit belle.

Vivre à fond, sans regret.

Ce n’est peut-être pas la voie la plus facile mais c’est celle que j’ai envie d’emprunter.

Alors, bien entendu je ne peux pas répondre à ta place.

J’espère seulement que cet article te fera aborder une des questions de la vie sous un nouvel aspect :

« À quel point tu es prêt(e) à galérer ? »

Merci d’avoir pris le temps de me lire. J’espère que ça t’aura inspiré. Et si l’article t’a plu, merci d’en faire profiter tes amis. Merci de le partager 😉

Aussi, j’ai créé un programme du tonnerre, tu peux y jeter un œil par ici :

Gagne de l’argent en faisant ce que tu aimes.

En bonus : je t’invite à lire cet article de Mark Manson (en anglais du coup) qui m’a inspiré à écrire celui-ci.

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Où est-ce que tu vas dans ta vie ?

Au cas où tu vivrais terré(e) dans une cave au fin fond de l’arctique et que tu tomberais par enchantement sur cet article, on vient de passer en 2016.

Et pour un paquet de personnes, c’est une période de l’année propice à faire le point sur leur vie.

Alors on va profiter du mouvement d’hystérie générale sur les bonnes résolutions (qui tiennent en général jusqu’à février) pour jeter un œil à où est-ce que tu vas dans ta vie, toi, personnellement.

Secouage de *loukoum* en perspective.

Point numéro 1 :

 

La personne que tu es définit la vie que tu mènes

La personne que tu es, c’est toi au moment où tu lis ces lignes. Ce n’est pas toi hier, ce n’est pas toi l’an dernier, ce n’est pas toi quand tu étais à l’école (sauf si tu es à l’école au moment où tu lis ces lignes my dear).

La personne que tu es, ce n’est pas nécessairement la personne que tu étais.

Le truc, c’est que des tas de personnes pensent qu’elles se définissent par ce qu’elles étaient et ce qu’elles ont fait par le passé.

« Je suis comme ça ». « Je sais pas faire ça ». « Je fais toujours ça ». Etc…

Au fond, ce n’est ni bien ni pas bien, c’est juste leur perception d’elles-mêmes. Et c’est une perception super limitante.

Cette mentalité conduit à répéter le passé encore et encore : « Dans la situation X, je fais Y, et j’obtiens Z résultat ».

Une bonne boucle « parce que je suis comme ça ».

Pas de perspective d’évolution. Piétinement intempestif.

Papi Einstein disait :

« Écoute moi bien mon petit strudel aux pommes, la folie c’est se comporter de la même manière et t’attendre à un résultat différent. »

Voilà le nouveau tatouage pour ton front du jour :

« Chaque jour, je détermine qui je suis, et la personne que je suis détermine la vie que je mène »

Et là, on va pousser un peu plus le concept pour que tu n’acceptes pas cette phrase simplement comme telle mais que tu la ressentes vibrer au fond de chacune des particules qui t’animent.

Ce n’est pas une phrase cliché de développement personnel destinée aux hordes de zombie pour qu’elles la répètent comme un mantra dans une transe semi-consciente.

C’est une réalisation profonde qui peut changer le cours de ton existence.

Alors, je vais marteler mon clavier (à plus de 60 mots minutes maintenant nuggets !) jusqu’à ce que le concept soit parfaitement clair pour toi. Et si le concept était déjà clair à tes yeux, ça fera quand même une bonne piqure de rappel de début d’année.

Si tu mènes ta vie en fonction de qui tu étais, tu vas répéter les mêmes schémas de vie et avoir les mêmes résultats que par le passé.

Si tu n’as pas un rond sur ton compte en banque, que tu es gros(se), que tu n’as pas d’ami, que tu détestes ton job, que ta copine ou ton copain te saoule, que tu n’arrives pas à maintenir tes relations plus d’un mois, ou que tu rencontres continuellement une situation qui ne te plaît pas, etc… et bien ça ne va pas changer d’un broc si tu t’identifies à ton passé et que tu agis de la même manière que par ce dernier.

Tu es ce que tu fais à chaque instant.

Alors, certes, tu as des automatismes créés par ton passé.

Par exemple, si tu as l’habitude de manger comme un porc toute la journée et que tu veux perdre du poids : tu ne peux pas être mince à cet instant.

Par contre, tu peux être une personne qui mange équilibré à cet instant. Et quand tu te retrouves face à ce maxi-gâteau au chocolat nappé de foie-gras dans un miam-miam-burger pané dans l’huile enroulé d’une tortilla fourré aux frites et ses 8 boules de glace, tu peux faire le choix de ne pas le manger.

Et ça, c’est la personne que tu es.

Ce genre de choix, tu dois les faire chaque jour. C’est la personne que tu es qui fait ces choix. Pas la personne que tu étais.

La personne que tu étais te donne juste une excuse pour réitérer les choix passés.

Aussi, ne cherche pas à « perdre 50kg », cherche plutôt à « manger équilibré ». Parce que manger équilibré, c’est un choix quotidien. Tu es une personne qui mange équilibré à chaque fois que tu es confronté(e) à de la nourriture.

C’est la même chose pour tous les aspects de ta vie.

Que tu veuilles quitter ton boulot, prendre du muscle, rencontrer quelqu’un, quitter quelqu’un, te faire des amis, partir voyager, te mettre en colère, te soumettre, le choix appartient à la personne que tu es.

Réalise ça et tu pourras rompre n’importe quel cycle établi.

Ça demande des efforts, ça implique parfois de la souffrance, mais c’est une réalisation qui détermine la vie que tu vas mener.

Ce qui nous amène au deuxième point :

 

Quelle vie tu veux mener ?

La plupart des gens ont une réponse bien précise à cette question : « Euh… j’en sais rien… »

Et du coup, c’est à peu près le résultat qu’ils ont.

Si tu ne définis pas la vie que tu veux mener, tu mènes une vie par défaut, grandement déterminée par ton environnement.

Ça peut être très bien si tu t’épanouis dans cette vie-là.

Mais ça peut être un supplice si ce n’est pas le cas.

Ou encore, tout le panel d’options entre les deux.

C’est simple, tant que tu mets cette question de côté « Quelle vie je veux mener ? », même si elle te fait peur, tu ne peux pas sortir de ton cycle de vie actuel ou passé.

Autrement dit, si tu veux des résultats différents que tes résultats actuels (être moins gros(se), en meilleure santé, travailler moins, avoir plus d’argent, etc…), il te faut définir précisément quels résultats tu veux avoir.

Par exemple : « Je veux prendre du plaisir à travailler, gagner suffisamment d’argent pour mener une vie confortable, être en bonne santé physique, avoir des relations saines et stimulantes, et apporter mes compétences afin de contribuer à rendre les autres heureux. »

Tant que tu n’as pas défini la vie que tu veux mener, tu tournes en rond. Les jours passent et tu te diriges vers davantage de passé. Parce que le modèle par défaut de l’humain est de répéter ce qu’il connaît déjà.

Changer de direction demande une certaine force pour briser l’inertie.

Et comme nous l’avons vu dans la partie précédente, c’est la personne que tu es qui définit la vie que tu mènes. C’est la personne que tu es dans l’instant présent qui possède cette force-là.

Alors pour définir la personne que tu es, au lieu de te baser sur la personne que tu étais, tu peux choisir de te baser sur la personne que tu veux être.

Et par extension sur la personne que tu ne veux pas être.

Ton « toi » du futur, ton « toi » idéal, est-ce qu’il mange le méga-gâteau chocolat foie-gras ?

Est-ce qu’il reste au lit toute la matinée à glandouiller ? Est-ce qu’il remet son entraînement pompes-abdos-squats au lendemain ? Est-ce qu’il passe ses soirées à regarder la télé ? Est-ce qu’il passe des heures à comparer le prix des pâtes quand il fait les courses ?

Tu choisis qui tu es, à chaque instant, pour le reste de ta vie.

C’est la bataille épique entre le gâteau aujourd’hui et le ventre plat demain.

Le succès se crée bien avant qu’il ne soit visible.

Et si tu veux avoir un corps de Vénus ou d’Apollon grec, selon ou tu en es, ça peut commencer par des semaines ou des mois d’exercices qui ne se verront pas le moins du monde.

Alors, encore une fois, ne vise pas l’objectif (être musclé(e), mince, riche, sociable, etc…) vise la personne que tu veux être (je fais mon entrainement, je mange équilibré, j’améliore mes compétences monétisables, je communique avec les autres, etc…).

Une personne riche l’est bien avant de toucher ses premiers milliers euros. Un champion olympique l’est bien avant d’être champion départemental. Une personne super-sociable l’est bien avant d’avoir son méga cercle social.

C’est la personne que tu es qui t’amène à tes résultats et non tes résultats qui définissent la personne que tu es.

(Édit : Je viens de relire cette phrase et elle envoie du lourd !)

Et voilà la transition vers le troisième point qui est aussi le titre de cet article (Amazing ! On dirait que c’est fait exprès !) :

 

Où est-ce que tu vas dans ta vie ?

Tu vas dans la direction de la personne que tu es chaque jour.

Tu n’as aucun pouvoir sur la finalité de tes résultats. Tu ne peux pas être riche, zen, connu(e), bon(ne) au piano, etc… du jour au lendemain.

En revanche, tu as le pouvoir de choisir qui tu es à chaque instant.

Et ce sont ces 15 minutes de sport, ces 20 minutes consacrées à ton business, ces 10 minutes de piano aujourd’hui qui vont t’emmener progressivement vers 30 minutes de sport, 2h sur ton business et 20 minutes de piano par jour, puis de plus en plus pour éventuellement, un jour ou l’autre, te donner un corps puissant et en pleine santé, une activité lucrative qui te plaît, une sensibilité musicale accrue et atteindre les résultats que tu avais imaginés.

Alors pour cette année, comme pour toutes les suivantes, ne te préoccupe pas tellement d’atteindre tel ou tel résultat, préoccupe-toi surtout d’être la personne que tu veux devenir.

Le résultat se manifestera éventuellement à un moment ou à un autre lorsque tu te comportes comme une personne qui obtient ce genre de résultats. Pas par magie. Mais grâce à ta persévérance. Et quelles que soient tes attentes personnelles.

C’est exactement ce vers quoi tu vas dans ta vie.

La semaine prochaine, on parlera du prix à payer pour devenir la personne que tu veux être et si tu en as le courage, je te montrerai comment payer ce prix.

2016 va bombarder sévère. Accroche-toi à ton slip.

Et merci de partager l’article amig@, ça compte 😉