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Bilan de mes 30 ans

Je viens d’avoir 31 ans aujourd’hui.

Oooooooh !

Et je me suis dit que c’était l’occase de faire un point sur l’année qui vient de passer.

Prendre du recul sur le bon, comme sur le moins bon.

Histoire d’en tirer quelques leçons et apprentissages qui me serviront pour la suite.

Le but, c’est d’être aussi objectif que possible.

Pas seulement pour analyser ce qui s’est passé ces 12 derniers mois, mais surtout pour voir si j’avance dans une direction qui me plaît et prévoir mes prochaines étapes.

Je pense que ça vaut le coup de faire ça.

Pour chacun d’entre nous.

Que ce soit pour ton anniversaire, le jour de l’an ou une date arbitraire – genre aujourd’hui !

Parce que notre passé est figé mais notre interprétation de celui-ci est un atout pour nos choix futurs.

Donc pour ce bilan de mes 30 ans, je vais répondre à ces 3 questions ¹ – t’es bien entendu libre de les utiliser aussi :

  • Qu’est-ce qui s’est bien passé cette année ?
  • Qu’est-ce qui aurait pu mieux se passer cette année ?
  • Qu’est-ce que j’ai appris cette année ?

Go !

1. Qu’est-ce qui s’est bien passé cette année

Voyages. J’ai passé mon trentième anniversaire à Taiwan. Et je me suis rasé la tête pour l’occasion… lol.

La preuve ! Pour les septiques : ouais, c’est bien moi ^^ Certes, c’était pas un franc succès mais c’était fun !

Avant ça, j’étais au Viêtnam pendant 4 mois. Après Taiwan, je suis parti 3 mois au Japon. Un mois au Canada. Puis un mois et des brouettes en France. Et je me suis installé aux Canaries depuis Octobre (ça fait environ 7 mois donc et c’est d’ici que j’écris cet article !). J’ai adoré toutes ces destinations et j’ai une gratitude immense d’avoir un mode de vie qui me permet de voyager de la sorte 😀

Moments partagés. Mes voyages n’auraient pas la même substance sans les  personnes avec qui je les ai partagés. Que ce soit de nouvelles personnes, ma famille ou des amis de toujours. Que ce soit Tinh et sa famille au Viêtnam, Lupi à Taiwan, Toshiomi, Toshi et Sascha au Japon. Gu, Karla, Julie, Alex, Boris, Gonzalo, Guru, Lea, Erica, la famille au Canada et aux Canaries. Merci infiniment de faire partie de ma vie !

Programmes en ligne. Cette année, j’ai créé un nouveau programme dont je suis très fier : Ton Chemin vers l’Indépendance. L’objectif étant de permettre à mes clients de trouver une idée de business pour s’épanouir et gagner de l’argent. Je suis pas forcément méga-fan du nom (« Ton Chemin vers l’Indépendance » abrégé CVI), mais le contenu est au top – en toute objectivité :p ! J’ai passé 5 mois à créer ce programme, dont 2 avec un super groupe : Le Golden Nuggets Gang (dédicace !) qui m’a permis d’améliorer le programme grâce à leurs feedbacks continus. Merci le gang ! Je suis particulièrement fier d’avoir créé un programme online de cette qualité et de le proposer à un prix aussi bas pour aider les aspirants entrepreneurs à trouver quoi faire. Surtout quand je le compare à des programmes que j’ai acheté cette année dans les 500 balles ( juste pour comparer avec le mien) et dont le contenu et le suivi sont clairement moins bons :s

Investissements en cryptomonnaies. J’ai eu la chance d’investir dans les cryptomonnaies il y a deux ans. Grâce aux conseils d’un de mes meilleurs amis, Max. Et cette année de mes 30 ans a aussi été lucrative de ce point de vue. Ma technique d’investissement consiste à appliquer ce que Max m’a enseigné sur l’analyse de courbe et les comportements du marché. Et ça a marché du tonnerre pour moi ! Un énorme merci à toi man 😉

Surf. J’ai découvert le surf la VEILLE de mes 30 ans. Ça a été une révélation ! J’avais rencontré Kumi, une japonaise à Taiwan qui m’avait motivé pour en faire… et ça a été une expérience incroyable. À partir de mes premières vagues à Dulan (au Sud-Est de Taiwan), j’ai eu envie de surfer encore et encore. Je suis ensuite allé surfer quelques mois au Japon dans la région de Miyazaki. Et c’est une des raisons pour lesquelles j’ai choisi les Canaries pour m’installer un peu plus longtemps à l’heure actuelle (le surf est excellent par ici !). La semaine dernière, j’ai eu la chance de surfer avec ma famille : mes parents, mon frère et ma belle-sœur et c’est probablement l’un de mes meilleurs souvenirs de l’année ! Gratitude max.

Lecture. Même si j’ai moins lu qu’à d’autres périodes, j’ai quand même maintenu une moyenne supérieure à 1h de lecture par jour cette année. (NOTE : Je viens de finir de lire Man’s Search for Meaning de Victor Frankl ce matin avant de commencer à écrire ce bilan !). Pour moi, la lecture est l’une des activités les plus gratifiantes : l’acte de s’immerger dans un bon bouquin est en soi une finalité (Cf. Flow de Mihaly Csikszentmihalyi) et les retombées d’une bonne lecture en termes de divertissement et/ou d’apprentissage se font ressentir pendant des années – voire même potentiellement toute la vie. On a une chance incroyable de pouvoir accéder à tant de richesse aussi facilement et je suis reconnaissant envers les esprits qui ont eu la générosité de poser leurs réflexions en mots ! Et je suis plutôt satisfait d’avoir maintenu un rythme de lecture régulier tout au long de cette année.

2. Qu’est-ce qui aurait pu mieux se passer cette année ?

Couple. Je me suis séparé après 3 ans de relation. Le cœur n’y était plus vraiment. Et ça fait du bien quand ça s’arrête ^^. J’ai appris un tas de choses et hâte pour la suite !

Programmes en ligne. J’avais mis « programmes en ligne » dans le chapitre sur « Qu’est-ce qui s’est bien passé cette année ? » mais je le mets ici également. Parce que bien que mes programmes permettent à la grande majorité de mes clients d’atteindre le résultat escompté (que ce soit trouver une idée de business qui leur permet de s’épanouir et gagner de l’argent (Ton Chemin Vers l’Indépendance), de trouver la confiance pour se lancer dans de grands projets (La Structure de la Réussite) ou carrément de créer leur propre business online éthique (Easy Business)), certains n’atteignent pas ces résultats. Dans ces cas-là, la raison principale c’est souvent qu’ils arrêtent en cours de route, ou qu’ils ne suivent carrément pas le programme (certains ont même acheté un des programmes et ne se sont JAMAIS connectés à leur espace membre !). Pour ceux qui arrêtent en cours de route, ce n’est pas vraiment de leur faute, c’est peut-être que certaines parties de certains programmes sont trop difficiles ou que leurs impératifs du quotidien les obligent à passer à autre chose. En tout cas, je reste très attentif aux feedbacks que je reçois pour améliorer mes programmes en continu et les rendre les meilleurs possibles. Mon objectif est d’avoir les meilleurs programmes qualité-prix dans chacune des thématiques que je prends le temps de couvrir. À l’heure actuelle : trouver une idée de business pour s’épanouir et gagner de l’argent (Ton Chemin Vers l’Indépendance), développer la confiance en soi pour se lancer dans de grands projets (La Structure de la Réussite) et créer son propre business online éthique (Easy Business).

Optimisation. Cette année − et particulièrement après ma rupture − j’ai été moins focalisé sur mes objectifs qu’à mon habitude… surtout parce que ça m’a fait changer d’objectifs en cours de route ! Du coup, j’ai laissé plus de place à l’improvisation et au divertissement. Ce qui n’est pas une mauvaise chose en soi ^^. Par exemple j’ai fait beaucoup de rencontres, je me suis mis aux échecs (j’ai même carrément développé une sorte d’addiction !!!) et à la salsa. Ce genre d’activité est gratifiant sur le court terme mais m’apporte moins de satisfaction sur le long terme. Donc pour l’année qui vient, j’aimerais redéfinir mes « grands » projets et me focaliser  dessus davantage !

Rester en contact avec certains amis. Même si j’ai eu la chance de voir et voyager avec certains de mes amis et membres de ma famille, il y en a d’autres que j’ai trop peu vus. J’aurais aimé faire un meilleur job à garder le contact. Cette année, je compte prendre davantage le temps d’appeler ou d’envoyer un message lorsque je penserai à l’un d’entre eux spécifiquement. Parce que même si je le fais déjà, je pourrais (et voudrais) le faire davantage !

Investissements immobiliers. J’avais envisagé d’acheter un petit immeuble ou au moins un nouvel appartement cette année, et je l’ai pas fait. Arf ! J’ai mis l’immobilier de côté parce que j’avais d’autres priorités (notamment trouver « mon endroit » pour vivre − et on dirait bien que ça pourrait être les Canaries !). Cette année, j’aimerai me repencher sur le sujet et éventuellement faire un nouvel achat.

Écriture d’articles. J’ai écrit seulement 10 articles cette année. C’est pas des masses. Par contre j’ai envoyé des tas de mails à la place. J’aimerai écrire plus d’articles cette année, environ 2 par mois minimum serait un bon objectif ! J’adore écrire et avoir des feedbacks sur mes idées, donc c’est décidé, j’augmente mon rythme d’écriture : un article toutes les deux semaines minimum pour les 3 prochains mois ! Bim !

3. Qu’est-ce que j’ai appris cette année ?

Rien n’est figé et l’imprévisible se cache où l’on s’y attend le moins. Et comme le stipule la fameuse loi de Babeul-Razmeul : Peu importe ce qui se passe, tu vas t’en sortir. Parfois, les événements de la vie te secouent dans tous les sens et tu peux avoir l’impression que tout s’écroule… pourtant, concrètement c’est juste la vie que t’es en train de mener ! Rien ne s’écroule : les expériences s’accumulent et c’est ce qui constitue « Ta vie ». C’est ton interprétation des faits qui agence le tout en une histoire cohérente et qui te permet de prendre de nouvelles décisions aujourd’hui.

Damien PleinDeTrucs.fr

Le surf, c’est cool. Au cas où je l’ai pas encore assez dit ^^.

Le plus important, c’est les relations. C’est peut-être pas nouveau mais je l’ai encore ressenti à fond cette année. Peu importe les aventures que tu vis ou les projets que tu réalises, au final, les meilleurs moments sont ceux qui sont partagés. Devenir le roi du monde ne sert à que dalle si t’es seul sur ton trône. Donc encore un fat merci à tous ceux qui partagent un bout de chemin avec moi !

On se définit par nos actions, pas par nos mots. Tout le monde « veut » des choses, tout le monde a « des idéaux » mais c’est seulement nos actions qui déterminent la personne que l’on est. J’ai pas mal réfléchi à mes valeurs principales et mon job numéro #1, c’est de vivre avec intégrité par rapport à ces dernières.

Ce qui vaut la peine d’être accompli mérite d’y passer du temps et de faire l’impasse sur d’autres projets. Les résultats dont on est le plus fier sont ceux qui nous ont demandé le plus d’implication et dans une certaine mesure de sacrifices. Notre énergie est furieusement limitée et on ne peut pas tout faire. Prioriser tes objectifs, c’est l’étape la plus importante pour pouvoir les accomplir : les objectifs secondaires ne passent pas « après », ils sont simplement supprimés !

La vie est trop cool ! Sans déconner : Respire à fond, va faire du surf (je t’ai déjà dit que c’était cool ?), lis un bon bouquin, fais un job qui a du sens, passe du temps avec les gens que t’aimes, et embrasse même les jours où t’as l’impression que c’est la cata ^^ Chaque instant, c’est de l’or. Parce que t’es en vie nuggets et que t’as le choix d’y donner le sens que tu veux ! Alors autant en faire quelque chose de magnifique n’est-ce pas 😀 ?

Voilà pour mon bilan de mes 30 balais !

Hâte de partager cette nouvelle année avec toi et t’apporter un max de réflexions fraîches et funkies pour avoir une vie simple et pleine de sens  !!!

Love,

► Damien

¹ Ces questions sont inspirées des Annual Review de James Clear !
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Comment je gagne ma vie online

« Wow ! Ça fait 5 ans que tu voyages !! Et t’as un appart comme ça ici ? Mais… comment tu gagnes ta vie en fait ? »

La réponse tient en 8 mots :

J’ai trouvé un trésor sur une île.

Naaaaaaaaaaaan ! Je déconne ^^

En général quand on me pose cette question, je réponds avec une « version rapide » du genre :

« J’ai un business online ».

Évidemment, c’est pas super précis comme réponse et si la personne en a quelque chose à carrer, elle me demande : « Un business de quoi ? ».

« J’apprends aux gens à lancer leur propre activité : se différencier de la concurrence, trouver quoi offrir, savoir le vendre. Je suis consultant en gros. »

Et encore une fois, c’est une réponse raccourcie. Le but c’est de leur donner une explication générale sans forcément rentrer dans les détails.

Mais de temps en temps, certaines personnes sont VRAIMENT intéressées pour savoir comment je finance ma life.

Et les questions pleuvent !

Dans la vraie vie et par email.

Du coup, j’écris cet article (qui va être assez FAT) pour répondre en détail à comment je gagne ma vie.

L’objectif, c’est d’une part de t’expliquer comment je me finance hors du métro-boulot-dodo classique

…et d’autre part de te permettre d’avoir des conseils applicables si tu veux en faire de même !

Ça va bombarder sévère !

Bombardage !

Go !!

D’abord… Les principes de l’alternative au métro-boulot-dodo

Avant de rentrer dans les détails d’où je tire mes revenus, c’est méga-important de faire un petit point sur les principes psychologiques qu’il y a derrière.

Parce que si tu ne les prends pas en compte, rien de ce qui suit ne sera applicable pour toi.

On va en voir 3 ici.

DONC…

1/ La psychologie de l’acquisition d’argent

Le changement de perception le plus important si tu veux gagner ta vie autrement qu’avec un métro-boulot-dodo, c’est de réaliser que l’argent peut venir d’une autre source que d’un employeur.

Ça peut paraître évident à certains.

Mais ça ne l’était pas forcément pour moi au début.

Même si « dans l’idée » je comprenais… j’avais du mal à l’internaliser.

Du coup, je vais te formuler ça en d’autres termes pour clarifier le concept :

L’argent n’est pas forcément une récompense que tu obtiens de la main d’une entreprise en échange de ton temps.

L’argent est quelque chose que tu obtiens pour une valeur que tu apportes.

En d’autres termes, dans un emploi : tu apportes de la valeur à ton employeur et c’est pour ça qu’il te paye.

Lorsque tu réalises ça EN PROFONDEUR, tu réalises également par extension que cette « valeur apportée » s’étend au-delà du temps consacré au salariat.

En gros : si tu apportes suffisamment de valeur à quelqu’un, il te donnera de l’argent en retour.

Identifier la valeur que TU peux apporter aux autres − même avec les compétences que tu as DÉJÀ − c’est un point tellement important que j’y consacre plusieurs leçons dans mon centre de formation.

Et c’est le premier principe que je voulais partager avec toi.

2/ Ta gestion financière

Ce que tu gagnes est à mettre en corrélation avec comment tu le dépenses.

Si tu gagnes 2800 balles par mois et que t’en dépenses 1800 dans ton loyer, t’as 1000 balles pour tes frais de vie.

Si tu gagnes 1800 balles par mois et que tu achètes un logement dont tu rembourses 800€ par mois, t’as aussi 1000 balles pour tes frais de vie.

La grosse différence, c’est que même si t’auras un style de vie plus « fancy » avec ton loyer à 1800 euros… au bout de 10 ans, tu te retrouveras avec quasi 100.000 balles investis dans ton bien immobilier si t’as choisi l’option d’acheter un logement… et que dalle dans l’autre cas.

Et ça malgré une différence de 1000€ de revenus !

Pas mal non ?

Évidemment, dans cet exemple, je prends pas en compte les impôts, les frais de crédits, les autres placements, le fait que ce serait plus judicieux de louer l’appartement plutôt que d’y vivre dedans, etc… le but ici c’est juste de te montrer que :

Ce que tu fais de l’argent que tu gagnes est aussi important, voire plus, que l’argent que tu gagnes.

Un mec qui gère pas mal son fric
Un mec qui gère pas mal son fric : mon papi Warren

C’est le deuxième principe.

3/ Ce qui est prioritaire

J’aime avoir ce qu’il y a de mieux.

Mais j’ai relativement peu de besoins.

C’est comme ça que je définis mon niveau de confort.

Je te donne un exemple :

Quand j’achète un appartement, une voiture, ou même des vêtements je veux la meilleure qualité.

Mais je vais pas m’acheter un milliard de fringues, ni rajouter des tas de gadgets sur ma bagnole ou rénover en boucle mon appart.

Parce que ce n’est pas « important » à mes yeux.

Et pour les choses que ne sont pas « importantes » pour moi, je choisis les options moins coûteuses.

Par exemple, je prends souvent l’avion en low-cost. Parce qu’une fois à destination, le fait que t’aies payé ton billet 400€ ou 2600€ ne fait pas beaucoup de différence.

Peut-être que si je gagnais 50.000€ par mois, je voyagerais davantage en première classe parce que la somme ne me paraîtrait plus « importante » ? J’en sais rien. Et, on verra bien quand j’en serai là !

En attendant, ce qu’il faut retenir de ce point, c’est :

Qu’est-ce que tu fais passer en priorité ?

Pas seulement ce que tu fais de ton argent au niveau des placementsn (ça c’était le point précédent), mais ce que tu en fait au niveau de ta consommation.

Quand j’ai commencé mon aventure entrepreneuriale, j’ai fait pas mal de bouleversements sur mes priorités.

Et c’est en grande partie grâce à cette re-priorisation que j’ai pu financer ma nouvelle vie. Sans ça, je serai toujours à me taper 1h de route tous les matins et tous les soirs avec ma jolie BMW pour aller m’enfermer dans un bureau toute la journée ^^.

Parce que quand tu gagnes une somme donnée, si tu l’alloues à certaines choses, tu ne peux pas l’allouer à d’autres.

Si tu passes 600€ par mois en sortie et shopping, certes, ça peut te faire sentir bien sur le coup, mais ça aura moins d’impact sur ton avenir que si tu décides de les investir dans des formations professionnelles ou de les économiser pour les placer (Hop : point 2 sur Ta gestion financière encore une fois !).

À l’heure actuelle, certains investissements matériels que j’avais fait ont disparus dans les limbes de l’oubli alors que chaque minute que j’ai passé à lire des bouquins ou suivre des formations m’ont apporté des bénéfices au centuple !

Tu vois le principe ?

Donc maintenant que t’as un aperçu de ces quelques concepts de base, voilà comment je gagne ma life :

Mes produits et services online

PleinDeTrucs.fr, c’est un blog qui parle de la vie hors du métro-boulot-dodo.

Et je propose les outils pour ceux qui veulent se créer ce mode de vie indépendant en pratique :

La Danse de l’air pour ouvrir ton champ des possibles et te permettre de réaliser ce dont t’es capable grâce aux micro-actions.

Le guide polyphasique pour dormir moins sans manquer de sommeil et avoir plus de temps pour tes projets.

Ton Chemin vers l’Indépendance (CVI) pour trouver quoi faire pour t’épanouir et gagner de l’argent.

La Structure de la Réussite (SDR) pour avoir la confiance de te lancer dans tes grands projets.

Et Easy Business pour carrément construire ton business online éthique et gagner régulièrement de l’argent avec.

En plus de ça, j’offre ponctuellement des coachings et des suivis persos pour un petit nombre de personnes.

Et la vente de tous ces produits et services, c’est ma première source de revenus.

D’ailleurs, si t’en as pas encore acheté… ACHÈTE !

Si tu kiffes mon blog et mes mails, mes programmes sont encore un niveau en dessus et chacun te permettra d’atteindre un objectif précis.

J’ai passé un temps fou sur ces offres et j’en suis fier !

Parce que me lancer dans cette aventure hors du métro-boulot-dodo est la meilleure chose que j’ai faite professionnellement.

Et aujourd’hui, pouvoir aider d’autres humains à avancer sur cette voie, suivre leurs avancées, et recevoir leurs remerciements, ça me remplit de gratitude : je me dis que ce que je fais a du sens.

Et même si la plupart des gens suivent les autoroutes de la normalité, je me dis qu’on est quelques dissidents à poursuivre des voies alternatives et je suis content de pouvoir les aider 😀

Mes investissements locatifs

J’ai acheté un appartement. En 2014. Il est loué non-stop.

Jusqu’à présent, ça a été une source fiable de revenu.

J’ai presque remboursé le prêt (il me reste 3 ans !).

Je compte en acheter d’autres (avec un s), voire un immeuble bientôt.

Mes investissements en crypto-monnaies

Peut-être que t’as entendu parler du bitcoin et des autres crypto-monnaies.

Tout le monde semble s’y mettre ces temps-ci.

J’ai eu la chance de m’y mettre plus tôt : il y a un an et demi environ.

Notamment grâce aux conseils d’un de mes meilleurs amis.

Résultat : gros bénéfices.

Si tu veux en savoir un peu plus sur comment ça fonctionne, je te mets un lien externe bien écrit.

Des trucs en plus

En plus de ces 3 sources principales, ça m’arrive de faire d’autres petits projets quand ça me branche ^^

Par exemple, en ce moment… je donne des cours de surf, hahaha XD

En plein boulot !

L’intérêt est pas vraiment financier parce qu’en comparaison de mes autres activités, ça rapporte quasiment que dalle, mais ça me fait furieusement tripper de me dire que je suis payé pour être « prof de surf » (même si en vrai je suis pas très bon et que l’école de surf me prend surtout pour mon enthousiasme et mes compétences en langues ^^).

Ça m’est aussi arrivé quelques fois de proposer mes services contre le logement pendant mes voyages : en gros, j’aide quelqu’un dans son business et il me loge dans un hôtel ou un appart pour quelques mois en échange.

Encore une fois dans ces cas-là, l’objectif c’est surtout de bosser sur un projet fun plutôt qu’une finalité financière !

Combien de temps pour en arriver là ?

C’est une question qui revient souvent…

…mais qui n’est pas forcément pertinente.

Parce que ce n’est pas seulement le temps passé qui détermine un résultat – bien qu’évidemment ce soit un facteur important – c’est aussi l’implication dans le projet et les choix stratégiques.

Par exemple, je n’ai pas monétisé PleinDeTrucs.fr la première année, ça ne veut pas dire que tu ne peux pas monétiser un blog dès sa première année.

Ensuite, je n’ai pas transformé mon blog en business tout d’un coup sans aucune expérience.

J’avais déjà créé des activités dans des domaines aussi variés que la création de chemises sur mesure, l’exportation de poivre, la conception de jeux-vidéos, d’applications mobiles, de sites web et de montage vidéo.

En plus de ça, avec le recul, je réalise qu’un paquet de mes choix n’ont pas été les plus efficaces à certaines étapes parce que mes sources d’informations n’étaient pas idéales.

Par exemple contrairement à ce que disent un paquet de marketeurs internet : « créer un blog » n’est pas une super idée pour commencer à gagner de l’argent online.

Pourtant, à l’heure actuelle, un tas d’entre eux continue de dire qu’il faut en priorité créer un blog et construire une liste mail…

…et même si dans l’idée, le concept a du sens, c’est looooooooooooin d’être le plus efficace pour gagner de l’argent !

Pourquoi ?

Parce que c’est incroyablement chronophage et que les retours sur investissement sont difficilement mesurables les premiers temps.

La meilleure solution pour gagner de l’argent tout en faisant un truc que t’aimes hors du métro-boulot-dodo, c’est de lancer un business fonctionnel le plus simple possible, puis de le faire grandir à partir de là.

Parmi mes clients, en suivant cette stratégie, la plus rapide a gagné ses premiers euros en une semaine à peine.

Et je dirai qu’il faut environ 3 mois de manière plus générale.

C’est une approche complètement différente du « marketing internet classique » et leurs techniques qui te donnent l’impression d’être productif sans te faire gagner d’argent pour autant ^^.

Donc, maintenant que tu sais que « combien de temps pour en arriver là ? » n’est pas une question super pertinente, voilà la réponse la plus cohérente que je puisse te donner :

Il m’a fallu toute ma vie pour en arriver là.

Apprentissage continu

Parce que dans entrepreneuriat, ce n’est pas juste le temps que tu consacres à ton projet « une fois que tu es lancé » qui compte : c’est aussi le temps qu’il t’a fallu pour te lancer !

Quand je me suis lancé dans l’aventure entrepreneuriale en pratique : j’ai eu rapidement de bons résultats financiers (notamment parce que j’avais choisi les bonnes personnes, comme mon premier associé par exemple).

Ensuite, ça m’est arrivé d’écouter des conseils moins pertinents (l’exemple du blog que je te donnais juste avant). Et ça m’est arrivé de faire des erreurs.

J’ai eu des hauts et des bas.

J’ai gagné plus de 8.000€ certains mois et j’ai fait des mois quasiment à vide. Je me suis senti le roi du monde à certains moments et je me suis senti désespéré à d’autres.

Entreprendre, ce n’est pas une route constante vers une destination à laquelle tu arrives « au bout d’un certain temps ».

Cette perception est complètement faussée par les études : fais 5 ans d’études et tu seras ingénieur, fais en 10 et tu seras médecin.

Là, les résultats ne sont pas linéaires.

Tu peux bosser pendant 20 ans et avoir un business minable qui te bouffe ton temps, ton énergie et te rapporte des peccadilles.

Et tu peux potentiellement bosser 2 ans et te retrouver millionnaire !

Les challenges et les avantages

Une des difficultés principales avec ce mode de financement hors du métro-boulot-dodo, c’est l’apparence du manque de sécurité :

« Si c’est pas « garanti » qu’une personne/entreprise me donne la même somme d’argent tous les mois alors c’est risqué. »

Dans un premier temps, ça peut donner cette impression-là. Mais en creusant davantage, tu réalises que cette soi-disant « sécurité » repose sur la personne/entreprise qui te donne de l’argent.

Si elle arrête de te financer, tu n’as plus de rentrées d’argent.

Ouch !

Le vrai challenge avec la vie hors du métro-boulot-dodo, c’est de devenir EN CONTRÔLE de tes finances.

Arrêter de voir tes finances comme un plein d’essence qui se remplit et se vide chaque mois, mais plutôt comme un réservoir d’essence dont tu contrôles les entrées et la consommation.

Et aussi étrange que cette comparaison puisse paraître, elle est assez pertinente ^^

Lorsque tu contrôles ton réservoir – qui correspond donc à l’ensemble de tes finances dans cette frétillante métaphore – tu n’as plus à courir faire ton plein au même endroit tous les mois.

En d’autres termes, t’es un peu libre de gérer ton temps comme ça te chante… tant que tu penses à remplir ton réservoir aux moment où TU le décides.

Cool huh ?

Alors, évidemment, tu vas avoir des périodes un peu tendues du slop lorsque le pétrole se fait rare.

Et tu vas avoir des périodes de succès intense où l’essence coule à flot (lol).

Mais surtout, dans le tableau d’ensemble :

Tu vas te sentir profondément libre de gérer ton temps de travail comme tu l’entends…

…tout en gagnant potentiellement plus d’argent que quelqu’un qui passe toutes ces journées derrière un bureau.

Et ça… c’est quand même une manière pas trop pourrave de gagner ta vie ^^

Conclusion

Le truc à retenir de cet article my lovely bretzel aux framboises :

C’est qu’on peut gagner nos vies autrement qu’avec un métro-boulot-dodo classique.

Autrement qu’avec une création d’entreprise standard (qui au final est simplement une autre forme de métro-boulot-dodo d’ailleurs !).

Et autrement qu’en suivant les techniques marketing internet habituelles.

On peut gagner nos vies en prenant le contrôle de nos rentrées et sorties d’argent.

Sur 3 axes :

  • Créer de la valeur et la vendre directement à un public
  • Investir intelligemment l’argent que l’on gagne
  • Contrôler où vont nos propres dépenses

C’est une voie qui demande de l’implication et du courage parce qu’elle va à l’encontre de la « normalité » qu’on nous agite sous le nez à l’école et dans les médias.

Ce n’est pas « mieux » ni « moins bien » en revanche.

C’est juste différent ^^

Et c’est une voie incroyablement gratifiante.

Parce qu’elle te permet de te sentir en adéquation avec ton environnement :

À la fois en tant que créateur de valeurs (ce que tu offres aux autres et tes investissements) et en tant que consommateur (les dépenses que tu priorises).

Tu n’es plus une petite pièce coincée dans l’engrenage de la grosse machine, tu es un petit moteur indépendant qui devient de plus en plus puissant et autonome de jour en jour.

C’est le chemin que j’ai choisi.

Et si tu veux avancer toi aussi sur cette voie, tu sais que t’as accès à tout mon blog et mes programmes pour t’y aider 😉

Donc voilà pour l’article sur comment je gagne ma vie.

J’espère que t’as appris plein de trucs !

Si ça t’a plu, tu peux faire un truc qui me ferait bien plaiz : partage l’articlePasse le lien à un ami par mail, partage sur ton Facebook, discutes-en autour de toi.

Parce que ça me prend du temps d’être le porte-parole de ces idées alternatives au métro-boulot-dodo, au marketing classique et aux entreprises standard…

…et franchement, sans toi et sans les autres dissidents qui partagent cette vision du monde, je serais juste un mec marginal qui parle tout seul ^^.

Grâce à tes interactions, tes partages, tu donnes de la voix au mouvement et on devient plus nombreux et plus forts à oser sortir des sentiers battus !

Donc merci pour ton partage nuggets, j’apprécie 😀

Et à très vite pour de nouvelles aventures !

► Damien | « Prof de surf pour le fun » en direct des Canaries XD

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pleindetrucs.fr Damien Fauché

Si je devais re-créer mon indépendance professionnelle depuis le début

Imagine un instant que tu viennes de te lever

T’es à côté de la piscine, dans un pays exotique, il fait chaud et tu viens de dévorer une délicieuse omelette aux petits légumes, un pancake à la banane et un tas de fruits frais : de la mangue, des ramboutans et de la pastèque.

Et alors que l’hivers pose son voile glacé sur la France, tu regardes le soleil du Vietnam illuminer les rizières autour de toi, et tu allumes ton ordi… pour travailler.

Et le mieux, c’est que tu vas faire quelque chose qui te plaît. T’es excité(e) à l’idée de partager tes connaissances avec les autres. Et en plus, tu es payé pour ça.

T’es avec ta/ton conjoint(e) et des gens que t’apprécies.

Et bien entendu, c’est pas des vacances, c’est ta vie normale. Donc tu peux continuer ce rythme de vie aussi longtemps que tu le souhaites (et si tu veux bouger au Japon ou rentrer en France faire du ski dans un mois ou deux, tu peux aussi).

Tu vas bosser environ 4h et tu seras libre pour le reste de ta journée.

Qu’est-ce que tu penses de ça ?

Plutôt correct comme quotidien hein !

Certes, ça t’empêche pas de te taper occasionnellement la honte au karaoké quand tu chantes Céline Dion avec les locaux mais c’est quand même sympa :p

Alors si ça te branche d’avoir ce genre de liberté, prends-toi une bonne dizaine de minutes, je viens d’écrire un FAT article sur mes 8 conseils pour créer son indépendance professionnelle depuis le début.

C’est des choses qui j’aurais aimé réaliser plus tôt.

Et ces 8 trucs, tu peux les appliquer. Dès aujourd’hui. Et tout le temps.

Pour créer ton indépendance professionnelle à ton tour.

Enjoy cousin(e) !

C’est parti 😉

Premier truc

Arrête de te reposer sur les autres.

Sans déconner.

Si tu attends que les autres : tes profs, tes parents, tes amis, ton/ta partenaire, ton patron, la télé, le dalaï-lama, ton pote Norbert, moi, l’état ou qui que ce soit s’occupe de tes problèmes et t’apporte des solutions prémâchées, tu vas rien faire de ta vie.

Toutes ces personnes ont des éléments de réponses. Pas des solutions toutes faites qui vont t’aller sur-mesure.

Alors voilà une manière plus productive de voir les choses :

Chaque personne à quelque chose à t’apporter.

Et en fonction de ce que tu cherches personnellement, certaines personnes ont davantage à t’apprendre que d’autre.

Peut-être que le dalaï-lama a plus à t’apprendre sur le bonheur que ton oncle dépressif. Peut-être pas, je connais pas ton oncle.

À toi de sélectionner et d’UTILISER ce que tu apprends.

Tous les points de vues sont bons à entendre mais pas forcément à suivre.

Donc une question intéressante à te poser, c’est « ok, mais qui écouter alors ? »

Et ma réponse est maxi-simple : les gens qui ont déjà accomplis ce que tu cherches à accomplir.

Pas ceux qui ne font que parler sans rien faire.

Petite illustration : Il y a une paire de semaine, dans une soirée où j’étais, il y avait  un gars qui expliquait qu’il n’avait jamais investi dans l’immobilier et qu’il ne fallait surtout pas le faire parce que c’était risqué, que souvent les locataires ne payaient pas, etc…

Mais est-ce que t’as vraiment envie d’écouter ses conseils à lui ?

Toi, j’en sais rien. Mais moi, ça ne m’intéresse pas des masses.

Pourquoi ?

Parce que ce gars n’a jamais investi dans l’immobilier ! Tout ce qu’il fait, c’est parler. Je respecte son point de vue (parce que chacun pense ce qu’il veut !) mais il ne m’intéresse pas.

Si je veux investir dans l’immobilier, je demande à quelqu’un qui l’a déjà fait ET pour qui ça se passe bien. Et c’est ce que j’ai fait il y a deux ans quand j’ai acheté mon premier appart. Résultat : ça s’est super bien passé !

Donc, pour résumer : n’attends pas que les autres viennent te livrer des réponses toutes faîtes, va les chercher chez ceux qui savent.

Tu peux être astronaute si tu veux.

Tu peux être indépendant(e).

Tu peux être champion du monde de claquettes acrobatiques.

Et si quelqu’un te dis le contraire, remercie-le de son point de vue et trouve quelqu’un d’autre qui peut t’y aider. Écoute cette personne-là à la place.

Deuxième truc

C’est pas grave de te manger les dents.

C’est-à-dire que tu vas te planter. Plein de fois. Et parfois méchamment.

Et c’est pas grave. Ça fait partie du processus d’apprentissage.

Se manger les dents

Quand tu es encore un bébé, que tu as une dizaine de mois dans ta vie, tu ne peux pas te dire, « ça y est, je suis prêt(e) ! » et te lever puis te mettre à marcher parfaitement.

En pratique, tu vas tomber. Des centaines de fois. Et éventuellement, un jour, tu vas savoir marcher.

Dans la suite de la vie c’est pareil.

Combien de fois j’ai vu des gens qui n’osent pas parler une langue étrangère quand ils en ont l’occasion ?

« Olala, t’imagine la honte ! »

Donc ils font de leur mieux pour cacher leur ignorance et ne « pas perdre la face » et… ils n’apprennent rien. Confortablement planqués dans leur zone de confort.

J’ai encore constaté ça hier à un repas avec des voyageurs de passage.

C’est compréhensible. Mais c’est peu productif !

Mon conseil : quand quelque chose t’intéresse, essaye.

Peu importe que tu passes pour un con ou qu’on te montre du doigt. Le jeu en vaut la chandelle.

Et les moqueries feront bien pâle figure quand tu auras atteint ton objectif.

C’est aussi simple que ça :

Si tu n’essayes pas, tu ne progresses pas.

Donc expérimente. Tout ce qui te fait envie.

Et apprends de tes expériences. Même quand tu échoues avec fracas.

Une mentalité défaitiste, c’est de te dire « J’y arrive pas, je suis vraiment trop bidon ».

Une mentalité de réussite, c’est de te dire « J’y arrive pas, j’ai appris quelque chose, il faut que je fasse des améliorations ».

Je pourrais jamais suffisamment insister sur ce fait : la vie, ça s’expérimente.

Tu ne seras jamais indépendant(e) (ou polyglotte ou quoi que ce soit d’ailleurs) si tu ne fais aucune tentative.

Troisième truc

Abandonne les excuses.

La raison pour laquelle tu peux ou tu ne peux pas faire quelque chose, on s’en fiche.

Ça n’a aucune importance.

Philippe Croizon a traversé la Manche sans bras ni jambes.

Il l’a fait quand même bordel !

Ne cherche pas pourquoi tu ne peux pas faire quelque chose.

Cherche comment tu peux le faire.

Et garde aussi en tête que :

Ce n’est JAMAIS la faute des autres.

Les autres ont pu CAUSER quelque chose – par exemple ton éducation a pu te rendre timide/colérique/feignant/névrosé/etc… – mais c’est de TA FAUTE à toi si tu le reste.

Et pourquoi c’est important de prendre ta responsabilité sur ça ?

Parce que tant que tu responsabilises les autres, tu n’as aucun pouvoir d’action.

Si tu penses que c’est la faute de ton prof de CE1 si tu as peur de t’exprimer devant un groupe de personne parce qu’il t’avait humilié au tableau quand t’étais gamin, alors tu es totalement impuissant(e) et tu te complais dans cette situation de victime.

Tandis que si tu admets que c’est ta propre faute si  tu as peur de t’exprimer devant un groupe de personnes parce que tu n’as rien fait depuis le CE1 pour t’y entrainer, là tu peux te prendre en main et CHANGER TES RÉSULTATS.

Peut-être que ton prof de CE1 s’était levé du pied gauche ce jour-là. Peut-être que de son point de vue c’était « la faute » de sa femme qui l’avait lui-même humilié à leur diner entre amis la veille et qu’il se vengeait en faisant un transfert. Ou peut-être simplement que c’était un gros connard.

La raison, on s’en fiche.

Ce qui est intéressant en revanche, c’est la leçon que tu en tires. Et ce que tu en fais.

Si tu te dis « Je peux pas faire [X] à cause de [Y] », tu as déjà perdu.

Abandonne les excuses, trouve des solutions.

Quatrième truc

Ne cherche JAMAIS  un travail juste pour avoir un salaire.

Chercher un travail juste pour avoir un salaire, c’est la plus grosse connerie du monde.

Et là, je précise ma pensée avant que les yeux de la moitié des personnes qui lisent ces mots sortent de leurs orbites.

CALME-TOI ! CAAAALME-TOI ! Tout va bien. Voiiiilà ! Tu veux un petit jus de fruit ? Hmm ? Ça va ?

Ok, on est tous là, c’est reparti :

Le travail, tel qu’on nous le présente pendant nos études et dans la société, c’est une activité qui permet de gagner de l’argent.

Et pendant la scolarité, on nous invite grandement à devenir ingénieur ou médecin plutôt que plombier ou boulanger parce que… « c’est de meilleurs boulots ».

Évidemment, c’est une connerie intersidérale.

Meilleur boulot, ça veut rien dire. Tout dépend de ce que t’aimes faire.

Exemple : mon petit frère était balèze dans ses études, il était en 3ème ou 4ème année d’Ostéo et il se faisait chier à mort. Il était là parce que justement, c’était censé être un « bon boulot »… et pourtant il détestait ça !

Alors il a arrêté, et maintenant il est chef cuisinier. Il se régale ! Il n’est plus stressé, il prend du plaisir à faire ce qu’il fait ET il est bien payé (bon, il bosse comme un malade aussi !).

Trouver un travail juste pour avoir de quoi se financer c’est une manière pourrie de voir les choses.

Ce qui compte, c’est de trouver ce que tu aimes faire (pour ça, retour au point numéro deux : expérimenter) puis trouver comment tu peux aider les autres avec ça et de te faire payer pour ça !

Alors au lieu de chercher un travail juste pour avoir de quoi payer ton loyer et tes frais quotidiens :

Cherche plutôt ce que tu aimes faire et trouve comment gagner de l’argent en le faisant.

Peu importe que tu sois employé ou que tu crées ton business.

On passe l’essentiel de notre vie à bosser, autant faire quelque chose qui nous plaît !

Et pour vivre de ce qu’il te plaît…

Cinquième truc

Deviens vraiment balèze.

C’est ça qui te permettra de vivre de ce que tu aimes.

À l’école on nous « oblige » à avoir un certain niveau : la moyenne. 10/20. Être bof, bof en tout.

Il faut une note minimale pour « passer ».

Mais dans la vie, il y a pas de notes.

Et être tout juste moyen, ça limite ton champ de possibilités.

Si tu veux vivre d’un truc qui te plaît, il faut que tu maîtrises grave et que tu aies ton propre style.

C’est seulement pour ça que les gens seront prêts à te payer.

Prenons un exemple hyper concurrentiel : imaginons que tu crées des sites internet.

Si tu fais les mêmes sites « classique » que tous tes concurrents, t’es complètement noyé dans la masse et le seul moyen de t’en sortir, c’est de casser tes prix (c’est naze comme stratégie, ça fait chuter ta valeur perçue et tu dois bosser comme un dingue pour avoir des revenus corrects).

En revanche, si tu fais des sites pour les artistes peintres en intégrant leurs propres œuvres à ton design, tu sors du lot.

Et pour faire ça, il te faut sortir des cases : pas seulement connaître les techniques de base pour créer des sites mais entre autre maîtriser l’intégration d’œuvres graphiques dedans, savoir POURQUOI tes clients potentiels ont besoin d’un site (Pour se faire connaître ? Pour avoir une plateforme de vente ? Pour s’en servir de portfolio ? Pour avoir un espace communication avec la presse ?) et répondre au mieux à ce besoin.

Donc, c’est en te formant et en devenant de plus en plus doué(e) dans le domaine qui te plaît que tu pourras te distinguer de manière positive et gagner de l’argent…

…et tu ne peux pas faire ça en étant juste moyen !

Note : Évidemment, pour cet exemple, je pars du principe que l’art t’intéresse. Tu peux bien sûr aller dans la direction qui te branche : la nourriture bio, l’aïkido, le macramé…

Alors comment tu peux faire pour être vraiment balèze ?

Forme-toi !

Suis des cours. Demande aux personnes que tu admires.

Lis chaque jour. 2h par jour si tu peux. Lis à propos de ton sujet de prédilection et des sujets qui gravitent autour.

Deviens excellent(e).

Rocky est balèze

Plus tu es bon(ne) dans ce que tu fais, plus tu pourras facilement te faire payer pour ça.

Si tu veux être indépendant, deviens une brute en création de valeur, en psychologie, en science sociale, en marketing, en copywriting.

Évidemment, tu ne peux pas devenir balèze dans tout ces domaines du jour au lendemain, alors progresse petit à petit.

La clef du succès professionnel, c’est d’avoir quelque chose de remarquable à apporter aux autres.

Personne ne s’intéresse à ce qui est moyen. Alors deviens exceptionnel(le).

Et exceptionnel(le), ça ne veut pas dire « le meilleur », ça veut dire : « extrêmement bon et avec ton style perso ».

C’est en apportant ta touche perso que tu te distingues de la masse lobotomisée qui répète les mantras de la normalité.

Un exemple perso :

J’apprends aux gens à créer leur business en ligne. Il y a plein de monde qui fait la même chose. C’est un business sérieux.

Mais au lieu d’utiliser des formulations pompeuses et d’embrouiller les esprits avec un jargon technique, je m’adresse à mes clients comme à des amis ! Je parle de ce qu’ils peuvent appliquer immédiatement pour avoir des résultats. Je désacralise la création de business et je la rends accessible aux personnes qui n’ont pas fait d’études de commerces ou qui n’ont pas 30 ans d’ancienneté dans leur boîte.

Et pour pouvoir faire ça, je l’ai pas sorti de mon chapeau… j’ai créé cinq sociétés, lu des centaines de livres, écrit des milliers de pages, et aidé des dizaines de personnes à créer leur propre business online à leur tour.

Ça n’a rien de magique. Ça implique juste beaucoup d’entrainement. Et n’importe qui peut en faire autant.

C’est cette grosse implication qui permet d’avoir les compétences pour apporter des résultats à tes clients. Et d’être payé pour tes compétences.

Et cette grosse implication, elle vient du fait que tu te donnes les moyens de progresser : lire des bouquins de psychologie, de philosophie et de marketing, écrire, échanger avec tes lecteurs, partager tes connaissances et voir leurs avancées.

Donc, si tu veux vivre de ce que tu aimes, il y a pas de raccourci : donne-toi les moyens d’exceller dedans.

Sixième truc

Choisis bien qui tu vas aider.

Tu ne peux pas aider tout le monde.

Et quoi que tu fasses, il y a des gens qui vont adorer, et d’autre qui vont détester.

Alors n’essaye pas de plaire à tout le monde… ou tu vas créer une bouillie fade qui ne plaît finalement à personne.

Identifie les gens que tu veux (et peux) aider et concentre-toi sur eux.

Pourquoi ?

Parce que si tu essayes de te travestir pour plaire à des personnes qui ne reflètent pas tes valeurs et ta philosophie de vie, tu vas être misérable.

Et pour illustrer ça, je m’en vais te raconter une petite fable improvisée de derrière les fagots. Ambiance basse-cours :

Si t’es un lapin et que t’es entouré de poulets, tu vas galérer à faire ton commerce de carotte (ce que tu aimes). Alors pour que ce soit lucratif et que tu te régales, trouve une bande de lapins qui seront ravis de t’acheter ce que tu offres. Fin de la fable.

Pour être indépendant(e), il faut que tu saches à qui tu t’adresses et comment tu peux les aider.

Septième truc

Montre ce que tu fais avec fierté.

Parce que c’est en montrant ce que tu sais faire que tu vas pouvoir te faire payer pour ça.

Et effectivement, dans une certaine mesure, ça fait flipper de s’exposer et de dire aux autres : je peux t’aider avec [insère ici une compétence que tu as].

Mais c’est juste une peur primaire : la peur de ne pas être à la hauteur.

Et cette peur, elle se dompte.

Par l’action.

Si tu n’es pas à l’aise de te faire payer pour ta compétence, offre-là gratuitement dans un premier temps !

Tu sais combien de coaching gratuits j’ai offert avant de me faire payer ? Quasiment 100 ! Presque cent coaching offerts sur une période d’un an et demi avant de commencer à me faire payer pour ça (chaque coaching durait entre 20 minutes et 2h). Crois-moi que ça dompte tes peurs !

Et qu’est-ce qui m’a donné la confiance de me faire payer un jour : la pratique et les résultats de ceux que j’ai coaché.

Parce qu’une fois que tu SAIS que les gens ont les résultats qu’ils veulent quand ils travaillent avec toi, ça devient une évidence que tu te fasses payer pour ça.

Et tu leur RENDS SERVICE en mettant tes compétences à leur disposition. Parce que c’est ça qu’ils achètent : une compétence qui va les rapprocher d’un de leurs objectifs de vie.

Comme Candy, une cliente qui assure grave :

« Avant de [travailler avec Damien], j’avais une idée mais c’était encore flou, alors j’ai suivi son programme et depuis, mon idée à pris forme. Tout est devenu de plus en plus clair.

J’ai aujourd’hui deux cours de Yoga en place (en parallèle de mon travail). J’ai créé un site internet avec un cadeau offert. La promotion de mon produit est en cours, je n’ai jamais autant avancé vers mes objectifs !

Je suis très reconnaissante de m’être autorisée à m’inscrire ce programme. Merci beaucoup Damien de l’avoir créé ! » – Candy R.

Alors, montre ce que tu fais ! Parce que tu vas aider les autres grâce à ça !

Et si tes premiers retours sont critiques : apprends et améliore-toi. Peaufine tes compétences. Encore et encore.

Il suffit pas d’être balèze dans ton domaine, il faut aussi que les autres comprennent que tu PEUX les aider.

Donc prends l’habitude de montrer ce dont tu es capable.

C’est la voie vers ton indépendance professionnelle.

Et bien sûr…

Huitième truc

Garde le cap.

Une des phrases fétiches de mon papi Winston, c’est :

« La réussite, c’est d’aller d’échec en échec sans perdre son enthousiasme »

Il y a des tas de gens qui essayent de faire quelque-chose, qui se plantent et qui disent « j’y arrive pas ».

Alors ils abandonnent.

Ne fais pas comme eux !

Adapte-toi.

Modifie légèrement ta trajectoire. Et continue ta route.

Comme le dit mon autre papy, Albert :

« La folie, c’est de toujours faire la même chose et de s’attendre à un résultat différent. »

Et pour continuer cette frénésie de citations, voilà ce dit le cousin Claude :

« Ne crois pas que tu t’es trompé de route quand tu n’es pas allé assez loin. »

Tous ces conseils sont super pertinents.

L’échec. L’abandon. Ça arrive seulement quand TU choisis d’arrêter.

Tant que tu continues ton chemin, ça s’appelle de l’expérience.

Et c’est cette expérience qui te permet d’atteindre tes objectifs.

Ne laisse personne te dire ce que tu ne peux PAS faire.

Trouve un moyen.

Et fait-le !

J’espère que ce bon gros article t’aidera à être indépendant(e).

C’est pas un texte qui se consume une fois pour te divertir. Ce sont des principes à garder en tête chaque jour pour vivre ta vie selon tes propres termes.

Alors, force et honneur cher frère/sœur dissident(e) !

Je te souhaite bon courage dans ton aventure vers l’indépendance professionnelle.

Et si l’article t’a plu, est-ce que tu veux bien faire quelque chose pour moi ?

Ce serait génial que tu partages l’article.

Parce que ça permettrait de faire passer le message à plus de monde : comment se donner les moyens de créer son indépendance professionnelle.

Et j’espère que ça en inspirera quelques uns !

Alors merci du partage et à très vite pour de nouvelles aventures 😉

– Damien

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pleindetrucs.fr - Damien Fauché sur Koh Tunsay

Le véritable intérêt de créer ta liberté professionnelle

Il y a 6 ans de ça (édit 2022 : 12 ans maintenant !), par un beau matin de Juin, j’entrais fièrement dans la pépinière d’entreprise où je venais de trouver le boulot de mes rêves.

J’étais officiellement concepteur de jeux vidéos. J’avais un job. Du haut de mes 23 ans, le monde s’ouvrait à moi.

Après les petits boulots étudiants, la vraie vie professionnelle venait de commencer.

Et alors que je prenais place à mon bureau, la réalité du travail s’est installée elle aussi à mes côtés.

Face à l’écran, 8h par jour à subir les projets selon le bon vouloir des clients. Les deadlines serrées. La créativité bridée.

Je tiens à préciser que mon boulot était quand même cool dans l’ensemble. Que l’équipe et les patrons étaient super sympas. Je peux même dire que j’aimais bien mon job.

Et pourtant, il y avait trois problèmes qui bouffaient ma réalité :

  • Je devais aller au boulot 5 JOURS PAR SEMAINE, du matin au soir. Pas le choix. 70% de mon temps de vie était réservé. Peu de chance de diminuer le rythme tant que je serais employé. Est-ce que j’allais faire ça pendant encore 40 ans ?
  • Je devais aller AU BOULOT 5 jours par semaine. Pas le choix. Je devais me rendre à un lieu précis, chaque jour, quasiment toute la journée. Est-ce que j’allais y retourner pendant encore 40 ans ?
  • Je devais faire ce qu’on me disait. Peu importe que le projet me semble intéressant ou non. Peu importe que je me sente en accord avec le projet. Je devais faire ce qu’on me disait. Point. Est-ce que je voulais qu’on me dise quoi faire pendant les 40 prochaines années ?

Mon excitation fondait au rythme des journées.

Je me sentais de plus en plus comme un automate. Comme un putain de zombie.

Petite note : Alors, là j’introduis une grosse nuance pour éviter l’amalgame, je ne dis pas qu’être employé, c’est être un zombie. C’est pas du tout ça que je pense.

Je dis simplement que MOI j’étais un zombie PARCE QUE je vivais comme ça alors que ce n’était pas en accord avec ma vision de mon existence.

Il m’a fallu deux ans pour prendre la décision d’arrêter.

 

J’aimerais pouvoir te dire que quitter mon boulot était un moment de gloire. Que je marchais au ralenti avec des lunettes noires alors qu’il y avait des explosions en arrière-plan et que je plissais à peine les yeux comme Clint Eastwood.

En pratique, je ne savais pas du tout où j’allais.

Je savais juste ce que je ne voulais pas. Et j’avais une vague idée de ce que je cherchais.

Je ne voulais pas passer 40 ans de ma vie à aller au même endroit, presque tous les jours, faire la même chose, sans choisir ce que je faisais.

Même si l’école et la société m’avaient bombardé cette image dans le crâne comme une définition du succès.

En pratique, ça ressemblait plutôt à ça :

Une cage. Une grosse cage. Avec une roue qui te donne de l’argent. Pour l’activer, il faut courir dedans. 70% de ton temps.

Avec cet argent, tu peux habiter dans une autre cage et te payer à manger, des loisirs, une télé.

La roue est toujours là, jamais bien loin. Tu t’en échappes seulement quelques jours par mois.

Et elle sera là demain. Pour des dizaines d’années. Ça craint.

Quand tu vois les choses comme ça, il te reste deux choix.

Anesthésier ton cœur, tes ressentis, porter haut ton masque et te dire que ça pourrait être pire, et continuer la course en étouffant tes sentiments.

Ou sortir de là. Peu importe le prix. Ta vie, tu n’en as qu’une et tu ne veux pas la passer ainsi.

Alors, j’ai choisis la deuxième option.

Ce que je voulais, c’était être libre.

Libre de comment utiliser mon temps de vie.

Et quand je dis libre de comment utiliser mon temps de vie, ça ne veut pas dire rien glander.

Je pense que travailler c’est bien. Je pense que travailler, c’est fondamental pour que la société puisse fonctionner. Si personne ne faisait rien, nous n’aurions rien à manger.

Travailler, c’est produire de la valeur pour les autres. De la nourriture, des soins, des produits, des services, de l’éducation.

À mon avis, le principe du travail dans la société est plutôt bon. Le principe de l’argent est plutôt bon. Ce sont les dérives qui font tout déconner.

Alors au lieu de maugréer et chercher des responsables, je pense que c’est plus judicieux de passer à l’action.

Et la plus petite action concrète que j’ai trouvé, c’est de créer de la valeur.

J’ai appelé ça un Easy Business ! Pas parce que c’est facile. Mais parce que la structure est simple et authentique.

Ne pas dépendre d’une entreprise ou d’une multinationale pour me dire ce que je dois créer.

Plante des tomates. Quand elles sont mûres : vends-les. C’est de la valeur. C’est un business. C’est concret. C’est sain.

Les tomates, c’est juste un exemple. Ça marche aussi avec donner des cours de piano ou faire de la comptabilité pour un restau.

Ce qui compte, c’est de le faire de ton propre chef, pas d’attendre qu’on te l’intime.

On nous a inculqué l’assistanat, ne pas prendre de risque, attendre les ordres, rechercher la « sécurité ». Ça marchait il y a 50 ans pendant l’essor économique. À l’époque actuelle, c’est du flan.

Adam Smith et les fondateurs de l’économie moderne ont fondé le système sur le fait que l’humain moyen était un feignant qui devait être motivé par le gain financier.

Je pense que c’est faux. L’humain est créatif, sensible et a un désir intrinsèque d’évoluer.

Ceux qui ont succombé à ce système sont devenus des produits de la société.

Le monde ne peut pas continuer dans cette direction. Il faut se réveiller.

Chacun doit prendre sa responsabilité.

Et même si je n’ai pas toutes les réponses, je propose au moins quelques idées : assumer d’être un humain, assumer d’évoluer dans la société et produire de la valeur sans attendre qu’on nous l’ait demandé.

Et faire tout ça avec un minimum de contrainte, en respectant notre identité.

Travailler quand on veut, d’où on veut et faire ce qu’on veut, du moment qu’on apporte de la valeur aux autres et au monde pour contribuer à la cohésion de la société.

Par faire ce qu’on veux, ça ne veut pas dire forcément des choses agréables. Ça veut dire qu’on est prêt à les faire en échange d’une rétribution adaptée ET définie par soi-même.

Par travailler quand on veut, ça ne veut pas nécessairement dire travailler peu. Ça veut dire qu’on peut choisir la quantité de travail qu’on veut fournir en fonction de la rétribution qu’on souhaite.

Par travailler d’où on veut, ça ne veut pas obligatoirement dire voyager toute l’année. Ça veut aussi dire qu’on a le choix de travailler au même endroit si on décide de faire un travail qui implique une présence localisée.

Cette liberté professionnelle, depuis 2012, c’est la vie que j’ai décidé de mener.

Peu importe que certains me prennent pour un fou. Peu importe que mes choix soient critiqués.

*Phoque* mon CDI. *Phoque* ma BMW. L’argent arrive toujours mais mes priorités ont changées.

J’avance en accord avec mes valeurs. Et je continuerai d’avancer.

Parce qu’il ne suffit pas de critiquer le monde pour le faire évoluer. Parce que passer à l’action, c’est le seul moyen de faire changer les choses. Et même si c’est une goutte d’eau dans l’océan, c’est quand même une goutte d’eau.

Parce que chacun est capable de redessiner sa place dans la société. Et que c’est ainsi, que un par un, on redessine la société.

Le monde change. Et il faut faire évoluer notre manière de penser.

 

Je ne veux pas être un esclave qui passe sa vie à trimer pour maintenir un système en train de sombrer.

Je veux apporter ma valeur au monde, ma créativité.

Je veux être libre.

Et quand je te parle de liberté professionnelle, je ne te parle pas seulement d’une situation confortable et pleine d’aventures, je te parle aussi d’un positionnement éthique pour le monde de demain.

Avoir une belle vie et être en accord avec ses valeurs.

Plutôt que d’avoir une vie creuse en captivité.

Lever la tête, ouvrir son cœur et poser un regard neuf sur la société.

On ne peut pas prendre la responsabilité de tous les malheurs du monde, mais on peut agir sur sa propre existence. Assumer son humanité et ne pas se contenter d’acquiescer.

On peut vivre libre. Se lever chaque jour pour offrir au monde ce qui nous plaît et être remerciés en retour.

Je ne vais pas te dire que c’est une idée largement accepté. La plupart des gens se contente de chercher un emploi et évite d’y penser.

Mais c’est faisable.

Et ça rend le travail plus sensé.

Tu veux que je t’aide à avancer vers cette liberté ?

Alors inscris toi à mes emails nuggets, ça pourrait t’intéresser.

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pleindetrucs.fr - Damien Fauché au Cambodge dans un temple paumé dans les colines

Comment trouver ce que tu veux vraiment

Comment trouver ce que tu veux vraiment ?

Booyah ! Fat questions dis-donc !!

Parfois, la vie, c’est flou.

On file dans le quotidien comme un fou dans une forêt touffue et on se fait fouetter la face par les feuilles et les branches des facéties du destin.

C’est un gros bordel en somme.

Chaque jour a sa dose d’évènements. Et parfois ces évènements perdent leurs sens. Alors on subit sa vie sans savoir pourquoi on fait ça.

Ça pue.

Ça pue parce que trouver ce que tu veux vraiment, ça te permettrait d’arrêter de courir. Ou alors  continuer de courir mais dans la bonne direction, une qui a du sens pour toi.

Et ça, ça fait du bien.

Quand tu commences à comprendre ce que tu veux vraiment, tu peux enfin apprécier tout ce que tu fais.

Sans te sentir à cent à l’heure. Ton mental est calmé. Paisible. Focalisé.

Dans cet article, on va voir une idée pour y arriver.

Et même si ces mots s’adressent davantage à certaines personnes qu’à d’autres, c’est toujours bon de se les rappeler. À moi le premier d’ailleurs…

Trouver ce que tu veux vraiment, c’est une question qui arrive assez tard dans la vie. Tard, à partir de 18 ans quoi. Pas tard à partir de 1h du mat, hein…

Perso, j’ai commencé à vraiment me poser la question vers 22 ans, à l’approche de la fin de mes études.

Après avoir somnolé dans la matrice de l’école et des médias pendant de nombreuses lunes…

Pif, paf, un jour, comme ça, tu réalises que t’es responsable de ce que tu fais de ta vie !

Et là, il y une question qui te met un reverse karaté kick dans ta tronche : « Comment trouver ce que tu veux vraiment ? »

Parce qu’au final, c’est un choix qui va déterminer le reste de ta vie. Et mine de rien, ça a l’air important !

Alors évidemment, c’est pas vraiment le genre de question qu’on nous a encouragé à nous poser jusqu’alors… Ni à l’écoleNi dans les médias

On nous a peut-être demandé si on préférait faire L, S ou ES au lycée. On nous a peut-être dit d’acheter telle ou telle marque de papier WC.

On a eu un semi-choix, semi-conscient, on a suivi le flot… Et là ! Bim ! Culbuto shot frontal de la réalité : tu es responsable de ta vie biatch !

Alors, qu’est-ce que tu veux vraiment ?

Whaaaaaaaaat ?

Et ta réponse qui vient percer le silence béat d’années d’obédience incontestée quand tu te la poses pour la première fois c’est à peu près ça : « Bin… j’en sais rien moi ! »

Rush d’adrénaline. Recherche de réponse extérieure. Je vais bien trouver la solution à l’école. Ou à la télé. Ou peut-être que ma maman/ma meuf/mon mec/mon banquier/mon prof de yoga/ce type sur internet/Sylvain Durif a la solution.

« Et je cours, je me raccroche à la vie… » Disait tonton Daniel.

On fait avec ce qu’on connaît. Et pourtant, la réponse est ailleurs.

Ladies and gentlemen, bienvenus dans le « mode par défaut ».

Trouver ce que tu veux vraiment, c’est une nouvelle phase de l’existence. C’est pas une réponse prémâchée par un gourou bon marché.

C’est un voyage intérieur.

Ok, je sais que je sonne comme un moine bouddhiste là. Mais pourtant, c’est exactement ce que c’est.

Un voyage dans ta connaissance de toi… un voyage… euh… intérieur quoi.

Ta réponse pour trouver ce que tu veux vraiment, c’est une illusion de la chercher à l’extérieur de toi.

Au mieux, tu trouveras les réponses d’autres personnes. Eckhart Tolle a de super bonnes idées. Matthieu Ricard aussi.

Si tu attends que ta réponse s’impose d’elle-même, elle n’arrivera jamais. Trouver ce que tu veux vraiment, c’est une épopée.

Et comme toute épopée, ça te demande d’avancer. Un pied devant l’autre. Cheminer dans ta tête, un peu plus, chaque jour. Grandir. Rêver. Te connaître. Évoluer !

Alors bien sûr, je peux pas te dire ce que tu veux vraiment, personne ne peut à par toi même ! Par contre je peux te partager une méthode pour trouver ce que c’est.

Cette méthode, c’est de trouver un espace mental calme. Bouddha mode réactivé ^^

Laisser la place à tes pensées de s’exprimer. On pourrait appeler ça de la méditation mais le terme est tellement connoté qu’il veut plus rien dire du tout.

À la place, on va appeler ça un temps temps-boussole. Ouais, je viens de l’inventer !

Un temps consacré à te repérer et trouver ton chemin.

C’est un principe méga simple :

Tu te bloques un moment – tu peux commencer avec 5 minutes seulement – et tu te poses pépère avec tes pensées.

Tu peux faire ça assis, debout ou couché. Essaye d’être dans un contexte où tu ne seras pas dérangé.

Et là, pour commencer, pas d’histoire de vide mental ou de respiration – même si en pratique, ça aide bien quand même – tu te poses juste et tu observes tes pensées.

Tranquille.

Tu vois tes préoccupations. Tu vois tes doutes. Tu vois tes désirs. Tes joies, tes peines, tes aspirations.

Et tu les acceptes. Parce que tu les ressens. Parce qu’elles existent pour toi.

Tu vois ce qui sonne juste. Tu vois ce qui ne te convient pas.

Sans juger : tu constates.

Tu dessines une carte de ce qui te paraîtrait bon pour toi. Tu respires. Tu souris.

Parce que ta vie en est exactement là où elle en est. Et que c’est une bonne chose.

Peu importe tes conditions de vie actuelle. Peu importe ton stress. Peu importe les aléas.

Dans cet espace de réflexion, tu es libre de choisir ce que tu veux vraiment.

Tu ne trouveras probablement pas en 5 minutes.

Mais marche après marche, tu prendras de la hauteur dans ta réflexion…

Et ta réponse se fera plus précise. Plus aérienne. Plus légère aussi.

Comment trouver ce que tu veux vraiment ?

Je crains qu’il n’y ait pas de réponse magique à cette question.

Ma seule réponse est que ça prend du temps et que personne ne peut le faire à ta place.

Crée-toi un temps-boussole, chaque jour, et poursuis ton aventure. Parcours cet espace précieux et découvres ses trésors et ses révélations.

Et c’est seulement en explorant ce sanctuaire que tu feras le lien entre ton être et tes conditions de vie.

Pour trouver ce que tu veux vraiment… et l’honorer.

Aussi, j’ai écrit un livre. Et en vrai… tu n’en a pas besoin.

Ok, c’est un peu nul comme pub ce que je viens d’écrire là…

Tu n’en a pas besoin mais c’est un guide. Un guide de 201 pages pour t’aider à te connecter à qui tu es, à ce que tu veux, et à comment t’y diriger.

Je l’ai relu cette semaine et je pense sincèrement qu’il peut t’inspirer. C’est pour ça que je t’en parle.

Son titre, c’est la Danse de l’Air. C’est une métaphore pour aborder la vie sous un autre angle, plus léger, plus aérien, plus libre. Pour prendre du recul et choisir consciemment ta voie.

Évidemment, il va pas faire la démarche spirituelle à ta place. Mais si tu suis les étapes, il peut te permettre de voir comment procéder.

Il y a une première partie théorique. Et une seconde pratique, avec des exercices concrets.

Tu pourras y voir comment découvrir tes envies profondes, surmonter tes peurs et construire une vie dans laquelle tu puisses t’épanouir. Je suis fier de ce bouquin. Et les témoignages que j’ai reçus, m’ont vraiment beaucoup touché.

Comme celui de Claudine par exemple

« Ton livre m’a ouvert les yeux et chaque soir, je le relis, et franchement cela m’aide beaucoup. À présent, je suis décidée et sûre de moi pour faire autre chose.

Merci d’être présent, merci de me donner chaque jour l’envie d’avancer et de faire autre chose de ma vie. »

Ou celui de Kevin :

Le guide pour mener une vie libre de pleindetrucs.fr - Damien Fauché

Même si tu n’en as pas « besoin », j’espère qu’il pourra t’inspirer et te donner quelques idées !

Tu peux acheter la Danse de l’Air ici :

Recevoir la Danse de l’Air

Et que tu la lises ou non, j’espère que cet article t’a plu !

Si c’est le cas, merci de le partager. C’est en partie grâce à toi que ce blog a le privilège d’exister. Alors merci de le faire vivre 😉

À très vite amig@ !