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Le meilleur moyen de gagner de l’argent dès aujourd’hui EN ÉTANT LIBRE

Parce que concrètement, il y a pas 50000 solutions…

En fait, dans les grandes lignes, pour gagner de l’argent il y a deux axes :

  • Être employé
  • Ou développer ta propre activité

Et comme être employé et avoir des horaires fixes et un patron sur ton dos qui te dit quoi faire, c’est pas vraiment la liberté…

Ça nous laisse avec une seule option ^^.

Le hic ?

C’est que d’une part, développer ta propre activité, selon comment tu fais ça, ça peut être aussi aliénant – voire plus – que d’être employé. Et je me rappelle avec douleur le nombre invraisemblable d’heures que j’ai passé à trimer comme un esclave derrière mon bureau dans ma première entreprise de jeux-vidéos.

Et d’autre part, développer ta propre activité, quand tu sais pas comment t’y prendre, ça peut ressembler à un parcours du combattant en pleine jungle.

Alors rassure-toi my beautiful muffins, dans cet article, je vais te débroussailler ça au coupe-coupe pour te montrer le meilleur moyen de gagner de l’argent avec ta propre activité. Rapidement. Sans t’embourber dans les méandres de la sur-intellectualisation ou de l’auto-esclavage. Sans avoir un capital gigantesque. Et sans attendre que quelqu’un te donne l’autorisation de passer à l’action.

En gros, tu peux lire l’article, passer à l’action directo et commencer à gagner des sous.

Parce que le principe est relativement simple. Même si la mise en pratique demande du taf.

Déjà, il y a UN TAS d’activités possibles : de lancer ta propre société de maçonnerie à créer une boutique de dropshipping en passant par devenir coach sportif ou rédacteur freelance…

Les possibilités sont gigantesques !

Du coup, on va couper au cœur et aller au plus simple :

Avant même de définir la forme finale qu’aura ton activité, je vais te présenter les principes inhérent à un business qui marche.

Et un business simplifié qui marche : C’est ce que j’appelle un mini-business.

Ensuite, à partir de cette définition de mini-business, je te montrerai mes ingrédients spéciaux que j’ajoute pour transformer ce mini-business en un instrument de liberté.

C’est parti !

Première étape : Mini-business

La base d’un mini-business, c’est d’être fonctionnel rapidement et à moindre coût.

Et les facteurs décisifs sont les suivants :

  • Une seule personne s’occupe de tout : toi
  • Tu as quelque chose à vendre : soit une compétence soit un produit
  • Ton offre répond à une demande : il y a des personnes qui VEULENT ce que tu as à offrir
  • Tu as un moyen de trouver des clients
  • Tu as un moyen d’être payé(e)
  • Tu améliores sans cesse tes compétences pour satisfaire tes clients

Je te donne un exemple :

Il y a pas mal d’années (c’était avant que je crée le blog !), j’avais vendu mes parts de ma société de jeux vidéos et j’étais en train de développer une boîte de création de site web avec deux amis (dédicace les gars, je sais que vous me lisez !). En parallèle de ça j’avais envie d’explorer d’autres pistes.

Et au détour de plusieurs conversations j’avais remarqué que pas mal de gens s’intéressaient au montage vidéo. Alors, j’ai mis une annonce sur leboncoin pour proposer mes services de cours de montage vidéo en ciblant les personnes qui bossaient en entreprise et qui voulaient faire des présentations en public ou en réunion (je me suis dit qu’ils avaient de d’argent ET de la motivation pour suivre ce genre de cours).

Résultat : j’ai trouvé ma première cliente en quelques jours à peine. On a organisé le cours, à mon domicile (j’habitais en France à ce moment-là). Elle était ravie du cours. Et à partir de là, elle m’a pris 3h de cours par semaine.

Puis elle a parlé de moi en bien à ses connaissances. Et d’autres personnes ont vu mon annonce sur leboncoin. Rapidement, j’avais un mini-business en place.

À noter que je n’ai pas de formation « officielle » de montage vidéo : je suis juste compétent parce que j’ai pratiqué pendant longtemps en amateur. Et à noter également que ça ne m’a rien coûté de mettre en place ce mini-business.

En pratique, je répondais aux critères d’un mini-business :

  • Une seule personne s’occupe de tout – OUI : moi
  • Tu as quelque chose à vendre – OUI : cours de montage vidéo
  • Ton offre répond à une demande – OUI : il y a des gens intéressés
  • Tu as un moyen de trouver des clients – OUI : leboncoin puis le bouche-à-oreille
  • Tu as un moyen d’être payé(e) – OUI : en liquide après le cours
  • Tu améliores sans cesse tes compétences pour satisfaire tes clients – OUI : à chaque fois en fonction de leurs feedbacks

Comme je te le disais plus tôt, dans le principe, c’est très simple.

Mais en pratique, ça demande du boulot.

Et quand tu envisages de créer ton mini-business toi-même, tu peux te retrouver face à ces trois blocages qui s’immiscent dans ton cerveau en sifflant de leurs voix vicieuses :

  • « Je suis pas assez compétent »
  • « J’oserai pas vendre mes compétences (ou mon produit) »
  • « Ce que je veux faire est plus compliqué »

Et c’est NORMAL de penser à ça ! Ce sont des mécanismes de défense automatique : pour se protéger – consciemment ou inconsciemment – de sortir de notre zone de confort.

Donc rapido, je te commente chacun de ces points :

« Je suis pas assez compétent »

Le but n’est pas d’être le meilleur du monde dès le départ. Le but est de pouvoir AIDER quelqu’un qui s’y connaît moins bien que toi. Par exemple, quand j’ai appris la guitare, j’en avais rien à faire que mon prof soit meilleur que Jimi Hendrix, je voulais juste qu’il m’apprenne à jouer les morceaux que j’aime bien. De la même manière, tant que tu as des compétences que quelqu’un n’a pas, tu peux lui être UTILE. Et si la personne VEUT apprendre cette compétence, elle sera prête à te payer pour ça.

« J’oserai pas vendre mes compétences (ou mon produit) »

Ça, c’est typique ! C’est lié à notre peur du jugement. Ça a même un nom « le syndrome de l’imposteur ». Comme si tu ne méritais pas d’argent pour ce que tu fais. La solution est ultra-simple : offre gratuitement ton offre ou ton produit jusqu’à ce que tu réalises à quel point les gens l’apprécient et que tu te sentes à l’aise pour la vendre.

« Ce que je veux faire est plus compliqué »

Par exemple mettre un audio en ligne et le vendre via Paypal. Effectivement, ça demande quelques compétences en plus que tu n’as pas forcément à la base… mais t’arrêter sur ça est une excuse facile : concrètement, tu peux trouver des solutions à toutes ces « complexités » en quelques minutes sur internet. Et dans le cas où tu ne trouves pas la solution, tu peux toujours prendre un cours ou un coach.

Ceci étant dit, un mini-business à ses limites. Notamment le fait de devoir voir ses clients en présence.

Dans ma quête de liberté et de sens, il manquait quelque chose.

Je voulais faire quelque chose qui me passionne vraiment. Je voulais que les clients viennent à moi d’eux même sans que j’ai à les chercher. Je voulais pouvoir bosser de n’importe-où dans le monde. Et je voulais avoir un impact : faire quelque chose qui a du sens pour moi et qui touche la vie des gens pour le meilleur.

C’est comme ça que j’en suis arrivé à développer mon concept d’Easy Business.

Easy Business

Déjà, pour que ce soit clair :

Le nom « Easy-Business » ne veut pas dire que c’est FACILE de créer ce genre de business.

« Easy » fait référence au mode de vie que t’offre ce business UNE FOIS QUE TU L’AS MIS EN PLACE.

Et ça… ça demande du taf ! Il m’a fallu des années pour développer le concept. Et une fois le concept développé, il m’a fallu une grosse année pour que mon premier Easy Business tourne.

Par rapport à un mini-business, les principes d’un Easy Business sont les suivant :

  • Tu as donné un sens profond à ton activité (une mission qui te touche personnellement)
  • Tu attires tes clients à toi au lieu de devoir les chercher
  • Tu impactes la vie des gens au-delà du service/produit que tu leur offres
  • Tu as une offre qui te permet de bosser de n’importe où dans le monde
  • Tu peux faire évoluer ton activité en même temps que tu évolues
  • Tu as un processus qui te permet d’automatiser la plupart des tâches répétitives
  • Tu es libre de prendre des vacances quand tu en as envie

Là aussi, je te donne un exemple :

Quand je suis revenu en France en 2013, j’étais encore en pleine réflexion sur mon concept d’Easy Business. Et un jour avec un pote, dans un resto Viêt (je m’en souviens comme si c’était hier) on a eu une grosse discussion sur le sens de passer sa vie à faire un travail. Et on trouvait que la raison « gagner de l’argent » était certes pragmatique mais aussi terriblement frustrante. Est-ce que ce ne serait pas plus stimulant de poursuivre une quête ? Défendre des idées qui nous tiennent à cœur ? Alors on a fait la liste des choses qui nous semblaient importantes (sur le petit carnet que je trimballe toujours avec moi).

Pour l’anecdote : il y a trois semaines environ, alors que je cherchais un vieux disque dur dans un tiroir qui n’avais pas vu la lumière du jour depuis des années, je suis retombé sur ce carnet ! Grosse émotion ^^

C’est de cette liste que l’idée de PleinDeTrucs.fr est née. De mon désir de partager ce que j’avais découvert au-delà du métro-boulot-dodo et d’ouvrir de nouveaux horizons à celles et ceux qui – comme moi – s’étaient retrouvés coincés dans le salariat en suivant les recommandations standards de la société et des médias. J’avais envie d’hurler au monde qu’il y avait d’autres options !

Restait à voir comment gagner de l’argent avec ça. Et la solution s’est présentée d’elle-même quelques années plus tard. J’avais attiré pas mal d’attention avec mon expérience de sommeil polyphasique. Un ami de l’époque m’a conseillé d’écrire un ebook sur le sujet. Et dès que le bouquin a été terminé, des tas de personnes s’y sont ruées dessus, sans que j’ai besoin d’aller les chercher. C’était juste incroyable de me balader dans la Cordillère des Andes ou dans les rues de Santiago (j’habitais un Chili à ce moment-là) et de constater à chaque fois que je rentrais chez moi et que j’allais sur ma boîte mail que j’avais fait de nouvelles ventes !

Ce guide du sommeil polyphasique, c’était pas encore la solution complète pour aider les gens à se sortir du salariat mais c’était déjà un moyen original de leur faire gagner du temps pour se consacrer à leurs projets d’indépendance. Et dans les centaines de feedbacks que j’ai reçu, j’ai constaté qu’un paquet de personnes me remerciaient autant pour la philosophie que je partageais dans le bouquin que pour les conseils sur le sommeil. À partir de là, j’ai fait évolué mon business en créant un livre de philosophie de vie, des programmes et des coachings en ligne.

J’étais sur une bonne piste ! Et j’ai peaufiné mon approche. J’ai simplifié chaque étape pour que les contraintes me prennent de moins en moins de temps (par exemple un framework pour faire les tâches répétitives, un assistant dans les périodes de rush, des logiciels pour me simplifier la vie, etc…).

Et le plus beau dans tout ça, c’est que j’étais libre d’intervenir sur TOUT. Si j’avais envie de bosser 16h par jour parce que j’étais à fond sur un sujet, je pouvais. Et si au bout d’un mois je voulais arrêter complètement de travailler et me prendre un mois de vacances, je pouvais aussi !

C’est comme ça que j’ai complété les critères d’un Easy Business :

  • Tu as donné un sens profond à ton activité – OUI : donner aux gens une alternative au métro-boulot-dodo classique
  • Tu attires tes clients à toi au lieu de devoir les chercher – OUI : grâce à mon blog
  • Tu impactes la vie des gens au-delà du service/produit que tu leur offres – OUI : philosophie de vie
  • Tu as une offre qui te permet de bosser de n’importe où dans le monde – OUI : ebooks, programmes, coachings en ligne
  • Tu peux faire évoluer ton activité en même temps que tu évolues – OUI : liberté dans mes choix d’offres
  • Tu as un processus qui te permet d’automatiser la plupart des tâches répétitives – OUI : logiciels, frameworks, assistants
  • Tu es libre de prendre des vacances quand tu en as envie – OUI : responsabilité totale de mon organisation

Évidemment, comme je te le disais, ça demande du boulot d’en arriver là. Et ça se fait pas du jour au lendemain.

Et encore une fois, tu peux entendre ces voix vicieuses susurrer à tes oreilles :

  • « C’est pas pour toi, tu peux pas y arriver »
  • « Ça demande trop de travail »
  • Et d’autres saletés qui te parasitent le ciboulot

Alors je vais te dire un truc…

Oui, c’est du boulot. Oui, ça prend du temps. Mais avec du dévouement, de la persévérance et du travail, tu peux y arriver.

Et ça va pas se faire d’un seul coup. Ça se passe par étape.

D’abord, trouve une idée de business qui te va bien.

Puis organise-toi pour être efficace.

Et crée ta première offre.

Quand tu auras gagné en expérience, il sera temps d’avoir ton propre Easy Business.

Chaque chose en son temps.

Ce qui est sûr c’est que si tu ne fais pas un pas dans la bonne direction… tu restes sur place.

Donc la question à te poser pour gagner de l’argent en étant libre c’est :

En fonction de là où tu en es à l’heure actuelle… qu’est-ce que tu peux faire dès aujourd’hui ?

Prends le temps d’y réfléchir un instant. Ça peut changer ta manière de gagner ta vie.

Et peu importe que tu en sois aux balbutiements de ton projet ou que t’aies déjà un tas de choses en place, j’ai déjà créé un tas de choses sur PleinDeTrucs.fr pour t’aider !

D’ailleurs en ce moment j’ai créé cette page pour répondre à tes questions sur TA situation.

Profites-en, je sais pas combien de temps je vais laisser cette page active 😉

Et à très vite pour de nouvelles aventures,

► Damien

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« Viens, on s’en fout ! » : Une histoire d’entrepreneuriat – avec Morgane Sifantus

Aujourd’hui, je reçois Morgane Sifantus de canardalorange.com.

Morgane, elle s’est créé son alternative au métro-boulot-dodo dans le domaine de l’écriture.

Ça fait un moment qu’on se suit mutuellement via nos newsletter − deux ans environ − et je suis ravi de l’accueillir aujourd’hui !

Elle a une approche de l’entrepreneuriat qui est pleine de bon sens qui résonne à fond chez moi.

Donc aujourd’hui  on parle de :

  • Comment elle s’est lancée dans l’entrepreneuriat
  • Comment elle a trouvé ses premiers clients
  • Comment elle a fait évoluer son activité entre ses débuts et maintenant

Plein de trucs pour t’aider à te créer toi aussi ton alternative au métro-boulot-dodo !

Enjoy :

Dans cette conversation, on aborde :

0’43 – Comment elle s’est lancée dans l’entrepreneuriat

3’55 – Ce qu’elle a fait au tout début de son aventure entreprenariale

5’18 – Comment elle a trouvé ses premiers clients

7’23 – Comment son activité a évoluée à partir de là

9’46 – La formule pour découvrir ce qui nous plaît vraiment

12’42 – Comment elle en est arrivée à son activité actuelle

19’39 – Comment « être juste avec soi-même »

22’36 – Comment elle organise sa vie (pro et perso) en fonction de sa connaissance d’elle-même

24’10 – Le danger de suivre les conseils généralistes et comment tourner un désavantage en atout

25’07 – Comment trouver les choses qui TE conviennent

26’52 – Ses projets du moment

32’40 – Comment « s’autoriser » à faire ce qu’on a envie

37’44 – Comment éviter le piège du perfectionnisme

41’00 – Le paradoxe entre résultat visible et travail invisible

43’08 – L’état d’esprit pour se développer et se sentir bien quand on est dans l’action

44’50 – Un concept sous-évalué pour atteindre les résultats auxquels on aspire

46’11 – Comment se différencier avec courage dans l’entrepreneuriat

47’21 – Quelques mots d’amour et où retrouver Morgane !

En bonus

Je t’ai préparé un petit résumé en pdf avec les points clefs de toute la conversation.

Et le titre de trois livres que m’a conseillé Morgane après l’interview.

Je t’enverrai aussi mes meilleurs conseils pour te créer ton alternative au métro-boulot-dodo par la suite et je te tiendrai au jus des prochaines interviews :

 

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Ryan Merabet, Selma Païva, Théophile Eliet, Kalagan, Damien Fauché, André Dubois, Greg Lagrange, Tony et Haydée sur pleindetrucs.fr

Qui suivre sur le web francophone pour créer un business en ligne (et leurs conseils)

Note : La semaine dernière, j’interviewais Ev Bogue (un gros blogueur américain dont je suis fan) qui évoquait la difficulté de gagner sa vie online.

Suite à notre conversation, j’ai décidé d’investiguer sur les personnes qui gagnent bien leur vie sur le net en francophonie pour voir comment elles s’y prennent.

En ce moment, tout le monde parle de gagner de l’argent sur internet, être indépendant, ce genre de choses.

Résultat, des tas de données dans tous les sens.

Alors si tu sais pas qui écouter dans ce tintamarre, je t’ai fait une petit sélection de celles et ceux qui se démarquent sur le net francophone, histoire que tu voies un peu la philosophie de chacun et voir ce qui te convient le mieux. J’ai interviewé des voyageurs, des marketeurs, des consultants, des coach, etc… qui gagnent leur vie sur internet.

Pour que tu te fasses ton avis, j’ai posé la même question à tout le monde :

Si tu devais créer un business de zéro, avec 500€ et en une semaine, tu ferais quoi ?

Bon évidemment, on peut pas vraiment créer un business de zéro en une semaine (au cas où il y ait des bisounours parmi vous), l’idée, c’était plutôt de mettre une contrainte temps et argent pour qu’ils mettent en avant leurs priorités et leur vision des choses.

Pour chacun(e), j’ai aussi mis des liens vers 3 articles à eux que je trouve vraiment bien. C’est une mine d’or. Sans déconner. C’est pas des articles qui se lisent une fois à la va-vite, c’est du méga-lourd à lire et à relire !

Voilà les personnes à suivre sur le net pour devenir indépendant et leur réponse à la question :

Greg Lagrange – Lifestylers

Greg Lagrange Lifestylers sur pleindetrucs.fr« – Le premier jour, je chercherais quel est le problème le plus pénible, frustrant, urgent qui concerne une majorité de personnes sur la thématique sur laquelle je compte me lancer. Je chercherais un moyen efficace, plus rapide, si possible jamais vu ailleurs, qui permet de résoudre ce problème (et, idéalement, sans les choses que les gens ne veulent pas faire pour le résoudre)

– Le second jour, j’enregistrerais une formation sur le sujet, et je rédigerais un argumentaire de vente qui enseigne des choses aux gens, de façon à ce qu’ils retirent déjà de la valeur, avant même de voir l’offre, et qui casserait toutes les objections qui constituent les freins à l’achat les plus répandus.

– Ensuite, je créerais une série de vidéos gratuites qui apportent toutes énormément de valeur, de conseils en rapport avec ce problème et qui proposent toutes de cliquer pour aller voir le contenu de vente

– Puis, je ferais de la publicité sur Facebook pour montrer ces vidéos aux personnes les plus à même d’avoir ce problème avec mes 500 euros (sans oublier de retargeter les gens ayant cliqué sur mon mini site pour leur montrer les prochaines vidéos)

– J’encaisserais les ventes et ré-investirais mes gains dans plus de publicité

– Le plus rapidement possible, je ferais un sondage demandant à mes clients les plus gros problèmes qu’ils ont sur cette thématique, et créerais un second produit à leur proposer qui y réponde. »

3 articles super intéressants chez Greg :

Pour ceux qui veulent vendre facilement : cet exercice fait peur, mais ils change tout
Comment créer des titres qui cliquent et qui claquent, en quelques secondes
Le modèle le plus rapide de gagner sa vie sur le web (et pourquoi les marketeurs vous mentent)

Ryan – Le sac à dos

Lesacados« Déjà j’utiliserai 300 euros pour booker un vol pour Bali. Un lieu magnifique ou des tas d’expats et nomades digitaux vivent. C’est important d’être entouré de personnes dans le même état d’esprit.

Ensuite pour le business en lui-même, j’utiliserai mes compétences pour créer un produit en rapport avec quelque chose qui me passionne énormément et qui pourrait aider les autres.
Le format dépendrait de mes compétences : Une application mobile, un ebook, une formation.
En même temps je commencerai à créer une communauté autour pour promouvoir par la suite le produit.

Le plus important c’est de garder un certain équilibre (pour éviter de tomber dans un burn out), et l’environnement que propose Bali le permet totalement 🙂 »

3 articles super intéressants chez Ryan :
Voyager moins cher partout dans le monde
Voyager Ultra léger
Ne plus payer de frais bancaires en voyage

Théophile Eliet – Blog Influent

Théophile Eliet bloginfluent sur pleindetrucs.fr

« Je créerais des vidéos contentant des mots clefs ultra ciblés et j’utiliserais les 500 euros en déléguant à un monteur vidéo qui améliorerais la valeur perçue d’une formation payante que je lancerais une fois que j’aurais mes 100 premiers emails collectés. »

3 articles super intéressants chez Théo :

Créer un blog qui rapporte
Référencement WordPress
Email marketing

André Dubois – Traficmania

André Dubois traficmania sur pleindetrucs.fr« 1) Étudier LONGTEMPS ma thématique pour être certain qu’elle est porteuse. Un mauvais choix de thématique est la cause n°1 d’échec de monétisation

2) Écrire un excellent Lead magnet

3) Installer un bon thème premium (150 euros) + Thrive leads (100 euros)

4) Faire des articles invités uniquement pour avoir des inscrits avant de publier mes premiers posts. »

3 articles super intéressants chez André :

41 types d’articles de blog: le guide complet anti-page blanche.
Comment réussir ce qui semble impossible à tous
Comment faire connaître son blog

Haydée et Tony – Travelplugin

Haydée et Tony travelplugin sur pleindetrucs.fr Haydée : « Je garderai mes 500€ et ne dépenserai rien au départ.

Je ferai un bilan de mes compétences, points forts et centres d’intérêt. Je choisirai une idée de business en relation avec une de mes meilleures compétences, je déterminerai une niche dont je définirai les besoins pour formuler mon offre accompagnée de ses bénéfices.

Puis je m’adresserai au marché cible pour leur poser des questions en rapport avec mon idée. Ainsi, je déterminerai le besoin réel pour réadapter mon offre. Voilà ce que je ferai la première semaine. »

3 articles super intéressants chez Haydée et Tony :

Être payé sans produit, sans abonnés et sans pub
20 erreurs mortelles au démarrage de votre business en ligne (et comment y remédier)
11 choses que vous devez oublier pour devenir entrepreneur

Kalagan – Kalagan.fr

Kalagan sur pleindetrucs.fr

« Voici un conseil que je répète souvent à mes clients, aux lecteurs de mon blog et à toutes les personnes qui débutent sur le Web et qui veulent suivre le pas des grands blogueurs à succès.

Ayez un modèle économique solide, avec plusieurs activités distinctes.

 
Pour que vous compreniez bien le concept, je vais essayer de prendre un exemple simple. C’est d’ailleurs une idée que j’avais eu il y a quelques années.
Vous êtes un spécialiste du développement d’application mobile et vous avez une idée géniale : vous voulez développer une application mobile qui permet aux utilisateurs de repérer les bars les plus proches de leur position, avec une terrasse ensoleillée, en fonction de l’heure, de la météo… Avouez que l’idée est chouette ! Je l’ai d’ailleurs eu en terrasse d’un bar de Lille 🙂 Vous savez que cela va vous demander beaucoup de travail et que vous n’êtes pas certains d’en vivre. Ne vous y mettez pas à 100% de votre temps ! En tout cas pas pendant une trop longue période. Vous pourriez très bien avec 2 activités distinctes : celle de votre application mobile « Sunbar », mais également une activité qui consiste à maintenir des applications mobiles pour quelques clients (payée à l’heure).

– Si votre projet Sunbar décolle, vous pouvez diminuer votre activité avec vos clients, devenir manager et déléguer le travail, ou tout simplement augmenter vos tarifs et travailler avec moins de clients.

– Si votre projet Sunbar ne décolle pas, vous avez toujours 50% de votre temps qui est rémunéré avec vos clients. Vous pouvez également vous lancer sur d’autres projets. En plus, cela vous permet de vous créér des contacts, de l’expérience, une réputation…

Le fait d’avoir au moins 2 sources de revenus distinctes et indépendantes m’a aidé personnellement à me relever 2-3 fois de situation financière difficile. Aujourd’hui, j’ai plusieurs projets qui m’apportent des revenus « semi-automatiques », et je continue également à équilibrer mon activité en travaillant avec mes clients.

Si vous êtes débutant et que vous avez une ou plusieurs compétences que vous pouvez vendre à vos clients, ce modèle vous permet d’avoir une entreprise plus solide, dès les premiers mois. »

3 articles super intéressants chez Kalagan :

Selma Païva – selmapaiva.com

Selma Païva sur pleindetrucs.fr« Au début, je ne dépenserai rien. Je passerai plusieurs jours uniquement à faire des recherches pour repérer des personnes avec qui j’aurais envie de travailler.

Je les étudierai à fond, pour bien comprendre qui elles sont, comment ça se passe pour elles, ce qui leur fait envie, ce qui leur pose problème. Ensuite, je rentrerai en contact avec elles sur leurs réseaux sociaux, leurs blogs, voir si effectivement j’ai bien ciblé et si le courant passe bien.

A partir de là, j’écrirai 3 à 5 articles correspondant à des sujets qui les intéressent, et en apportant une autre manière de voir les choses. Vu qu’on est déjà en contact sur les réseaux, je leur proposerai de lire les articles, et je leur demanderai un RV pour mieux les connaître : en échange de leurs réponses à mes questions, j’identifierai les points sur lesquelles elles ont besoin d’aide en priorité, on validerait ensemble, et je les aiderai gratuitement.

Ce n’est pas de la fiction, c’est comme ça que j’ai commencé !

Je me rends compte que ça implique de dépenser une centaine d’euros pour un nom de domaine et un hébergement, pour le thème du blog, ça peut varier de quelques dizaines d’euros à moins d’une centaine. Si c’était à refaire en revanche, je demanderai à quelqu’un sur Fiverr de m’installer tout ça plutôt que de transpirer toute seule sur la technologie. On est à moins de 200 euros dépensés environ. Certains RV peuvent avoir lieu autour d’un café, donc bien sûr j’offrirai le café ! Pour skype, c’est gratuit. Un fournisseur de services mails pro, ça coûte environ une vingtaine d’euros par moi tant qu’on a encore une petite liste.

Ensuite, les premiers clients payants seront sûrement une partie des premiers clients gratuits (ça c’est passé comme ça pour moi). Je demanderais aussi à ces premiers clients s’ils ont des personnes de leur entourage à me recommander, et de m’aider à partager mes nouvelles publications. A partir du travail fait avec ces personnes là, j’aurais d’autres idées d’articles, que je publierais chez moi et ailleurs. Comme j’ai un tempérament d’ermite, je suis restée dans ma caverne virtuelle très longtemps, je ferais différemment si c’était à refaire ! J’irais d’avantage vers les autres, c’est ce que je fais maintenant, et que je devrais faire encore davantage d’ailleurs !

Une fois que j’ai à mon actif une dizaine d’expériences acquises sur le terrain, donc, je les mets en avant sur mon site pour vendre mon travail directement, et le proposer à mes nouveaux abonnés.

Ensuite, je m’arme de courage pour affronter le Power Editor de FB et la constitution d’une audience, et je mets un budget d’environ 100-150 dans FB Ad pour offrir un super contenu (à télécharger, ou un webinaire) et avoir de nouveaux abonnés pour mon blog, vu que je peux les contacter par mail. Une fois que j’ai le sentiment de bien maîtriser le sujet,et que mon audience grandit je prépare une 1ère version d’un produit numérique, probablement le même travail que fait précédemment en individuel, mais cette fois en petit groupe pour commencer à générer plus de revenu, en y passant moins de temps. »

3 articles super intéressants chez Selma :

Pourquoi tes clients te mentent (et comment résoudre le problème)
Comment rédiger ta page à propos
Comment lire dans les pensées de tes clients

Et enfin, voilà ma propre réponse à la question :

Damien Fauché – PleinDeTrucs.fr

Damien Fauché sur pleindetrucs.fr

« Jour 1 : Je choisirais une thématique qui me plaît et dans laquelle il y a du monde. Je passerai ma journée sur le web à voir les questions que les gens se posent sur le sujet, leurs difficultés, leurs attentes. Idéalement, je ferai quelques Skypes avec les personnes concernées pour cerner leur contexte. Avec 350€, je réserverais une semaine dans un endroit cool avec AirBnB.

Jour 2 : Je créerai une solution au problème le plus fortement exprimé. Par exemple, je commencerais à tourner une formation vidéo, ou je préparerais une séance de coaching avec une structure qui résous ce problème.

Jour 3 : Je donnerai de la visibilité à cette « solution ». Créer un site sous WordPress (disons 50€ l’année). Préparer un article pour le proposer à un blog qui a de la visibilité. J’en parlerais à mon entourage étendu.

Jour 4 : J’irai à la plage, à la rivière ou à la montagne avec des amis selon le coin du monde où je me trouve (j’aime pas trop travailler plus de 3 jours consécutifs !). Disons que je ferais du canyoning ou une activité du genre (100€).

Jour 5 : J’entrerais en contact avec les personnes qui ont montré de l’intérêt pour ma solution. Je leur proposerai un Skype et je les aiderais au max gratuitement tout en étant attentif à leur feedback.

Jour 6 : J’améliorerais mon offre en fonction des feedbacks.

Jour 7 : Je vendrais ma « solution » probablement sous forme de coaching le temps que ma formation vidéo soit prête. Et bim, j’aurais une base business tout neuf !»

3 articles à lire chez wam :

4 questions pour savoir si tu devrais changer de travail (et trouver ton travail idéal)
*Phoque* trouver sa passion
Pourquoi certaines personnes réussissent ?

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Comment développer son activité en accord avec ses valeurs

Comment développer son activité en accord avec ses valeurs

Aujourd’hui, j’ai invité Selma Païva pour nous parler d’identité de marque et de stratégie marketing.

À quoi ça sert ?

À développer ton activité en accord avec tes valeurs et vendre plus.

Ça s’adresse aux entrepreneur(se)s et aux aspirants entrepreneurs.

On a fait un podcast blindé d’infos pratiques.

Si tu veux développer (ou prévoir) ton activité dans un sens qui te convient, check ça amig@ :

Les liens dont on parle dans le podcast :