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*Phoque* trouver sa passion

Tu te dis peut-être que si tu trouvais ta passion et que tu parvenais à en vivre, ce serait la panacée.

Tu ferais enfin un travail que tu aimes. Ton quotidien serait pur bonheur et fini les soucis.

La patate tous les matins. Chanter en sortant du lit. Pas de patron i tutti cuanti.

Ça, c’est le concept.

Seulement le concept.

Dans cet article, je vais tartiner une bonne couche de réalité sur le gâteau.

En mode ninja.

Premièrement : « trouver ta passion ».

Haha…

Hahahaha !

HAHAHAHAHAHAAAAAH !!!

Ok, je me calme.

Bon… à mon avis, on ne trouve pas sa passion.

La passion, c’est pas un truc qui se cherche, c’est quelque chose qui t’apparaît tellement évident que tu ne vois que ça.

Si tu avais une passion bien distincte, tu le saurais déjà.

Ça ne sert à rien de se triturer les méninges avec ça.

Et si tu n’as pas de passion dévorante, c’est pas grave amig@ !

Moi non plus j’en ai pas.

On est des gens (plus ou moins) normaux. Et c’est très bien comme ça.

Il y a quelques cas extrêmes qui savent exactement ce qu’ils veulent et qui n’en démordent pas. C’est super rare. C’est assez flippant.

C’est OK de ne pas être comme ça.

*Phoque* trouver sa passion !

En revanche, il y a des tas de choses que tu aimes.

Et ça, c’est une bonne base pour trouver/créer un travail qui te plaît.

Ce que tu aimes, en y réfléchissant un peu, tu le sais déjà.

Ce n’est pas une activité mystérieuse à découvrir, c’est devant tes yeux, tous les jours.

Qu’est-ce que tu fais de ton temps libre ?

Des trucs qui te plaisent, j’imagine. Sinon tu ne les ferais pas.

Obviously my wonderful schpetzle !

Alors, peut-être que tu fais de la cornemuse, peut-être que tu fais du poney, peut-être que tu lis des BD, peut-être que tu joues aux jeux vidéos toute la journée, peut-être que tu sculptes des autobus en papier mâché, etc…

En tout cas, dans une certaine mesure, ça te plaît.

Alors autant partir de là pour choisir ton activité.

Et là, j’entends vrombir le bruit assourdissant de la réplique :

« Ouieeeuh, mais si je faisais ça tout le temps, j’en aurais marre à un moment. Je préfère que ça reste un plaisir à côtéeeeuh. »

Et là, mes amis :

Gainage des abdominaux. Rotation du bassin. Bras lancé vigoureusement vers l’avant. Le boomerang est lancé. Il décrit une courbe majestueuse dans les airs, il revient… Et paf, dans ta tronche !

À ma connaissance, tu ne peux pas faire un truc qui te plaît à 100% tous les jours.

Non, non, non.

C’est n’importe quoi.

Même si tu avais le boulot de tes rêves, il y aurait toujours des complications de temps à autres. Des jours de galère. Des difficultés. Et des matins où tu n’as pas envie de te lever.

Il n’y a pas de solution miracle. La vie ça ne peut pas être tout rose tous les jours, même si un tas de films veulent te le faire penser.

Alors on en est là :

Te servir de ce que tu aimes pour le transformer en métier.

Ou alors :

Laisser ce que tu aimes à distance de ton activité professionnelle pour que ça reste tel quel immaculé.

Encore une fois, c’est ton choix. Pas le mien. Il n’y en a pas de bon ni de mauvais.

Perso, j’ai choisis de fusionner les deux : ce que j’aime et mon travail.

Je te donne deux exemples pour illustrer.

1. Avant de quitter la « vie normale », j’étais concepteur de jeu vidéo. Et même s’il y avait des tas de contraintes (horaires, choix des projets, etc…), je pouvais de temps en temps faire ce que j’aimais : créer des choses, dessiner…

Ce n’était pas ma « passion » absolue, c’était juste des trucs que j’aimais faire. Dans mon cas, davantage par exemple que faire des comptes ou ranger des paquets.

2. Maintenant, je peux voyager, écrire, aider des tas de personnes et partager des idées. J’adore ça. Et je gagne ma vie avec.

Le truc, c’est qu’il y a des jours de galère, des problèmes techniques, des obstacles imprévus et des difficultés. Et tout ça, ça fait aussi partie de l’équation.

Vivre de sa passion, c’est un concept raccourci.

Une image sexy qui occulte un gros pourcentage de la réalité.

Tu te rappelles ? Le prix à payer.

En pratique, voilà quelques idées clés :

  • Tu n’as pas besoin de trouver ta passion au sens ésotérique du terme
  • Tu peux être passionné(e) par un tas de choses diverses et variées
  • Tu es libre de trouver/créer un travail en fonction de ce que tu aimes

L’étape suivante, c’est de transformer tes centres d’intérêt en métier. C’est-à-dire, gagner de l’argent avec.

Parce que c’est possible.

Même si ton entourage te dit que c’est un meilleur avenir de devenir comptable plutôt que de faire de la BD.

Même si ça implique un prix à payer.

C’est une voie dissidente qui mérite d’être considérée.

Trouver ta passion n’est pas le vrai problème.

C’est une illusion qui te distance de la réalité.

Ça te permet de te dire que si tu la trouvais tout serait plus facile.

Mais si tu regardes dans le fond, tu sais bien que ce n’est pas vrai.

Le vrai problème c’est de trouver le courage de transformer ce que tu aimes en activité.

J’en ai déjà parlé ici.

Et  j’en reparlerai.

Si à l’heure actuelle tu ne vois pas comment gagner de l’argent de cette manière, la bonne nouvelle, c’est que ça s’apprend.

Et si ça te branche, je suis en train de créer tout un programme pour ça !

Avec des vidéos gratuites et un max de contenu.

Pour être tenu au courant, ça se passe par là :

Comment gagner de l’argent en faisant ce que tu aimes

Merci de partager l’article amig@. Mes idées, c’est tes idées, et elles ne peuvent vivre que si elles sont partagées ! Alors merci de cliquer sur les jolis boutons de partage ci-dessous pour que les gens que tu apprécies puissent aussi en profiter !

À très vite 😉


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