^
Voir :Tous les articlesLe dernier article :
pleindetrucs.fr

Mes 54 objets (et quelques idées sur minimalisme)

Comme je suis minimaliste, on me demande souvent ce que j’ai comme possessions matérielles, concrètement.

Alors, j’ai fait une liste.

La voilà :

Habits

  1. T-shirt bleu
  2. T-shirt vert
  3. T-shirt noir
  4. T-shirt gris à manches longues
  5. Chemise
  6. Sweat à capuche
  7. Sweat noir
  8. Veste chaude à capuche
  9. Veste
  10. Jean bleu
  11. Caleçon coloré
  12. Caleçon funky
  13. Caleçon marron
  14. Caleçon bleu-gris
  15. Caleçon noir
  16. Chaussettes noires
  17. Chaussettes noires
  18. Chaussettes noires
  19. Chaussettes noires
  20. Chaussettes grises chaudes en laine
  21. Short de sport bleu
  22. Short beige en toile
  23. Short maillot de bain rouge

Accessoires

  1. Sac de voyage
  2. Bandeau cheveux noir
  3. Bandeau cheveux Galápagos
  4. Bonnet
  5. Claquettes
  6. Chaussures de sport
  7. Chaussures cuir multifonction (ville, marche, etc…)
  8. Sac d’ultra book 11’
  9. Sac d’ordinateur 17’
  10. Carnet de note (le plus important de tout !)
  11. Stylo noir

Technologie

  1. Ultra book 11’
  2. Ordinateur 17’
  3. Enceinte portative bluetooth
  4. Clef USB
  5. Enregistreur audio
  6. Micro-cravate
  7. Écouteurs
  8. Caméra appareil photo waterproof
  9. Trépied caméra
  10. Téléphone cassé mais qui fonctionne
  11. Chargeur universel
  12. Chargeur d’ordinateur portable

Toilette

  1. Trousse de toilette
  2. Brosse à dent
  3. Ciseaux
  4. Pince à épiler
  5. Serviette

Et bien sûr les savons, shampoings, dentifrices, déodorants et autres consommables qui ne sont pas à proprement parler des « possessions ».

Loisir

  1. Guitare cassée avec un bon son
  2. Housse de guitare
  3. Rubik’s cube (et ouais !)

À noter aussi que je suis propriétaire d’un appart meublé que je loue à l’heure actuelle. Il n’est pas dans la liste parce que ce n’est pas quelque chose que j’utilise et que je transporte au quotidien.

Donc, voilà : 54 objets.

Je pourrais bien en avoir 70 ou 200. C’est pas le nombre qui compte.

Ce qui m’intéresse, c’est de ne pas m’encombrer de matériel inutile.

De ne pas « acheter pour acheter » et avoir 37 pulls que je ne mets jamais.

Peut-être qu’un jour, j’aurais davantage de choses. Peut-être pas.

Le minimalisme n’est pas une contrainte.

C’est plutôt une envie.

L’envie de se focaliser sur l’essentiel et de faire un maximum de place à tout ce qui n’est pas matériel.

Alors, certes, ce n’est pas pour tout le monde.

En tout cas, ça permet d’avoir des résultats sympatoches.

Et si ça t’intéresse, j’ai écrit cet article pour devenir minimaliste.

Bonne journée amig@ !

^
Voir :Tous les articlesLe dernier article :
pleindetrucs.fr

*Phoque* trouver sa passion

Tu te dis peut-être que si tu trouvais ta passion et que tu parvenais à en vivre, ce serait la panacée.

Tu ferais enfin un travail que tu aimes. Ton quotidien serait pur bonheur et fini les soucis.

La patate tous les matins. Chanter en sortant du lit. Pas de patron i tutti cuanti.

Ça, c’est le concept.

Seulement le concept.

Dans cet article, je vais tartiner une bonne couche de réalité sur le gâteau.

En mode ninja.

Premièrement : « trouver ta passion ».

Haha…

Hahahaha !

HAHAHAHAHAHAAAAAH !!!

Ok, je me calme.

Bon… à mon avis, on ne trouve pas sa passion.

La passion, c’est pas un truc qui se cherche, c’est quelque chose qui t’apparaît tellement évident que tu ne vois que ça.

Si tu avais une passion bien distincte, tu le saurais déjà.

Ça ne sert à rien de se triturer les méninges avec ça.

Et si tu n’as pas de passion dévorante, c’est pas grave amig@ !

Moi non plus j’en ai pas.

On est des gens (plus ou moins) normaux. Et c’est très bien comme ça.

Il y a quelques cas extrêmes qui savent exactement ce qu’ils veulent et qui n’en démordent pas. C’est super rare. C’est assez flippant.

C’est OK de ne pas être comme ça.

*Phoque* trouver sa passion !

En revanche, il y a des tas de choses que tu aimes.

Et ça, c’est une bonne base pour trouver/créer un travail qui te plaît.

Ce que tu aimes, en y réfléchissant un peu, tu le sais déjà.

Ce n’est pas une activité mystérieuse à découvrir, c’est devant tes yeux, tous les jours.

Qu’est-ce que tu fais de ton temps libre ?

Des trucs qui te plaisent, j’imagine. Sinon tu ne les ferais pas.

Obviously my wonderful schpetzle !

Alors, peut-être que tu fais de la cornemuse, peut-être que tu fais du poney, peut-être que tu lis des BD, peut-être que tu joues aux jeux vidéos toute la journée, peut-être que tu sculptes des autobus en papier mâché, etc…

En tout cas, dans une certaine mesure, ça te plaît.

Alors autant partir de là pour choisir ton activité.

Et là, j’entends vrombir le bruit assourdissant de la réplique :

« Ouieeeuh, mais si je faisais ça tout le temps, j’en aurais marre à un moment. Je préfère que ça reste un plaisir à côtéeeeuh. »

Et là, mes amis :

Gainage des abdominaux. Rotation du bassin. Bras lancé vigoureusement vers l’avant. Le boomerang est lancé. Il décrit une courbe majestueuse dans les airs, il revient… Et paf, dans ta tronche !

À ma connaissance, tu ne peux pas faire un truc qui te plaît à 100% tous les jours.

Non, non, non.

C’est n’importe quoi.

Même si tu avais le boulot de tes rêves, il y aurait toujours des complications de temps à autres. Des jours de galère. Des difficultés. Et des matins où tu n’as pas envie de te lever.

Il n’y a pas de solution miracle. La vie ça ne peut pas être tout rose tous les jours, même si un tas de films veulent te le faire penser.

Alors on en est là :

Te servir de ce que tu aimes pour le transformer en métier.

Ou alors :

Laisser ce que tu aimes à distance de ton activité professionnelle pour que ça reste tel quel immaculé.

Encore une fois, c’est ton choix. Pas le mien. Il n’y en a pas de bon ni de mauvais.

Perso, j’ai choisis de fusionner les deux : ce que j’aime et mon travail.

Je te donne deux exemples pour illustrer.

1. Avant de quitter la « vie normale », j’étais concepteur de jeu vidéo. Et même s’il y avait des tas de contraintes (horaires, choix des projets, etc…), je pouvais de temps en temps faire ce que j’aimais : créer des choses, dessiner…

Ce n’était pas ma « passion » absolue, c’était juste des trucs que j’aimais faire. Dans mon cas, davantage par exemple que faire des comptes ou ranger des paquets.

2. Maintenant, je peux voyager, écrire, aider des tas de personnes et partager des idées. J’adore ça. Et je gagne ma vie avec.

Le truc, c’est qu’il y a des jours de galère, des problèmes techniques, des obstacles imprévus et des difficultés. Et tout ça, ça fait aussi partie de l’équation.

Vivre de sa passion, c’est un concept raccourci.

Une image sexy qui occulte un gros pourcentage de la réalité.

Tu te rappelles ? Le prix à payer.

En pratique, voilà quelques idées clés :

  • Tu n’as pas besoin de trouver ta passion au sens ésotérique du terme
  • Tu peux être passionné(e) par un tas de choses diverses et variées
  • Tu es libre de trouver/créer un travail en fonction de ce que tu aimes

L’étape suivante, c’est de transformer tes centres d’intérêt en métier. C’est-à-dire, gagner de l’argent avec.

Parce que c’est possible.

Même si ton entourage te dit que c’est un meilleur avenir de devenir comptable plutôt que de faire de la BD.

Même si ça implique un prix à payer.

C’est une voie dissidente qui mérite d’être considérée.

Trouver ta passion n’est pas le vrai problème.

C’est une illusion qui te distance de la réalité.

Ça te permet de te dire que si tu la trouvais tout serait plus facile.

Mais si tu regardes dans le fond, tu sais bien que ce n’est pas vrai.

Le vrai problème c’est de trouver le courage de transformer ce que tu aimes en activité.

J’en ai déjà parlé ici.

Et  j’en reparlerai.

Si à l’heure actuelle tu ne vois pas comment gagner de l’argent de cette manière, la bonne nouvelle, c’est que ça s’apprend.

Et si ça te branche, je suis en train de créer tout un programme pour ça !

Avec des vidéos gratuites et un max de contenu.

Pour être tenu au courant, ça se passe par là :

Comment gagner de l’argent en faisant ce que tu aimes

Merci de partager l’article amig@. Mes idées, c’est tes idées, et elles ne peuvent vivre que si elles sont partagées ! Alors merci de cliquer sur les jolis boutons de partage ci-dessous pour que les gens que tu apprécies puissent aussi en profiter !

À très vite 😉

^
Voir :Tous les articlesLe dernier article :
pleindetrucs.fr, Damien au Chili

La question la plus importante de ta vie

Ok… Si je pose la question : « Qu’est-ce que tu veux vraiment dans la vie ? »

Un tas de personne va me répondre un truc du genre « Oh, bin moi, je veux surtout être heureux(se), être avec des gens que j’aime, profiter de la vie, être en bonne santé, avoir un travail qui me plaît, donner et recevoir beaucoup d’amour ».

Et c’est très bien !

La plupart des individus qui peuplent notre belle planète bleue veulent la même chose. Tu veux la même chose. Je veux la même chose. Youpi ! Dansons ensemble et faisons-nous des câlins !

Une autre question à te poser – et qui est beaucoup plus intéressante à mon avis – c’est : « À quel point tu es prêt(e) à galérer pour ça ? »

Pif, paf, karaté kick dans ta face !

C’est pas vraiment le genre de questions auxquelles je pensais il y a quelques années. Et que tu te la sois ou non posée, je t’invite chaleureusement à lire la suite de ce frétillant billet.

Voilà notre histoire :

On veut le succès. Les résultats. Le corps de rêve. L’argent facile. La passion au travail. L’Amour avec un grand A.

On ignore le sang et les larmes. La sueur et l’effroi.

On vie avec du rêve plein les yeux. Relayé à grand renfort de médias. De blogs. De vidéos. D’aventures exceptionnelles. De triomphes sans émoi.

C’est de la connerie. De la bonne grosse connerie.

La vie, c’est du risque.

Et il n’y a pas de victoire sans combat.

La question la plus importante à te poser, c’est :

« À quel point tu es prêt(e) à galérer pour avoir ce que tu veux dans la vie ? »

Pour désigner ça, j’aime bien parler du « prix à payer ». C’est un terme cinglant, qui claque et qui fait flipper. Mais au cœur du sujet, c’est bien de ça qu’on parle. Peu importe que la formulation puisse bousculer.

Ce n’est pas seulement qu’on n’a rien sans rien. Ni une question de volonté. C’est juste une constatation simple.

Tu ne peux pas avoir ta liberté géographique et ton indépendance financière si tu n’as pas pris le temps de créer une activité qui t’en donne l’occasion.

Tu ne peux pas trouver l’amour parfait sans aucune complications.

Tu ne peux pas baigner dans le bonheur sans ne jamais mettre quoi que ce soit en question.

Les doutes, les peurs, les prises de décisions, le grand saut en avant, croquer à pleines dents tes passions, toutes ces choses sont des fragments indissociables de l’équation.

Regarder le risque, l’échec, la difficulté, puis leur sourire avec compassion. Et continuer d’avancer, le cœur ouvert, tête haute, en honorant tes émotions, tes valeurs, tes convictions et ta raison.

À mon humble avis, c’est ce qui fait le charme de la vie.

Ne pas savoir. Tenter.

Ne pas fomenter un rêve illusoire. Jouer.

Personne ne peut savoir de quoi demain sera fait.

La pire chose qu’il puisse t’arriver, ce n’est pas de mourir, c’est d’oublier de vivre.

Peu importe ce que tu cherches, seule la vie te donne l’occasion de le trouver.

Comme je le disais dans l’intro, tout le monde veut le bonheur.

Et il existe probablement autant de manières que d’individus pour le rencontrer.

Par exemple, ce qui m’attire c’est une vie simple, libre et connectée. C’est assez banal en somme. Probablement des millions d’autres personnes éprouvent ce même attrait.

On en arrive alors à la question du prix à payer.

Perso, j’ai chamboulé mon monde, je me suis expatrié, j’ai plongé dans l’inconnu et créé plusieurs sociétés, développé des compétences, j’ai perdu des amis en cours de route, j’en ai beaucoup rencontré, j’ai pris beaucoup de plaisir, j’ai été déprimé, j’ai eu des joies et des calvaires, des échecs et des succès.

La route est pavée de verre brisé, d’espoirs utopiques, d’obstacles à surmonter. Cette route, c’est ma vie et peu importe l’incertitude, je veux qu’elle soit belle.

Vivre à fond, sans regret.

Ce n’est peut-être pas la voie la plus facile mais c’est celle que j’ai envie d’emprunter.

Alors, bien entendu je ne peux pas répondre à ta place.

J’espère seulement que cet article te fera aborder une des questions de la vie sous un nouvel aspect :

« À quel point tu es prêt(e) à galérer ? »

Merci d’avoir pris le temps de me lire. J’espère que ça t’aura inspiré. Et si l’article t’a plu, merci d’en faire profiter tes amis. Merci de le partager 😉

Aussi, j’ai créé un programme du tonnerre, tu peux y jeter un œil par ici :

Gagne de l’argent en faisant ce que tu aimes.

En bonus : je t’invite à lire cet article de Mark Manson (en anglais du coup) qui m’a inspiré à écrire celui-ci.

^
Voir :Tous les articlesLe dernier article :
pleindetrucs.fr

Comment avoir de l’argent

Je viens de faire un tour en ligne en cherchant « Comment avoir de l’argent ».

Woaw ! On trouve des tas de choses dis donc.

Et objectivement, pour la plupart des conseils que j’ai pu trouver, j’ai aucune idée de si ça marche ou pas. Les options binaires à la bourse, remplir des sondages pour gagner quelques euros, tester des médicaments, etc…

Chaque site propose ses solutions en les présentant comme les meilleures ou les plus honnêtes ou les plus rapides ou les plus efficaces ou les plus faciles etc…

J’imagine que dans le lot, il doit y en avoir un paquet qui fonctionne.

Mais…

À chaque fois, ces sites proposent des méthodes pour gagner de l’argent ou économiser de l’argent.

Et par méthode, j’entends : un processus à appliquer.

Alors évidemment, c’est accrocheur comme idée : un genre de recette de cuisine à appliquer pour avoir de l’argent.

En gros, ils proposent un « traitement symptomatique » : Tu n’as pas d’argent, voilà comment en gagner.

C’est un peu comme présenter des recettes de régime à des personnes obèses : ça peut leur faire perdre quelques kilos d’ici de là mais ça ne va pas pour autant les rendre sveltes et musclées sur le long terme.

Dans cet article, je te propose un truc différent :

Quelques idées sur un mode de vie à adopter pour avoir de l’argent.

Et pourquoi je te parle de ça ?

Parce que vous êtes des tas à me dire parmi vos réponses au sondage de bienvenue à la newsletter qu’une de vos principale difficulté pour atteindre vos objectifs, c’est vos finances.

Et même si je gagne pas autant d’argent que Warren Buffett ou que j’en économise pas autant que Leo Babauta, j’ai quand même mis plusieurs dizaines de milliers d’euro de côté, voyagé pendant plusieurs années et acheté un appartement l’an dernier.

J’ai pas eu cet argent en jouant à la bourse ou en remplissant des sondages, j’ai eu cet argent en réfléchissant à mes priorités. C’est pas sorcier. Alors, au lieu d’une recette, je te propose déjà deux idées.

 

1. Pondère tes envies

Ok, tu veux un ailPhone 747. Tu veux partir en vacances aux Maldives. Tu veux prendre des cours de Salsa. Tu veux manger au restau tous les midis. Tu veux aller faire du shopping le samedi.

Et c’est très bien. Chacun à ses désirs.

Maintenant, rajoute un facteur : la pondération. Accorder à chaque chose une place proportionnelle à son importance réelle. Et bien sûr dans ce cas, l’« importance réelle » est subjective puisqu’elle dépend de tes désirs personnels.

Par exemple :

Imaginons que tu rêves de voyager. Si tu manges au restau tous les midis et que tu t’achètes ton fameux ailPhone, tes réserves monétaires ne te permettront peut-être pas de faire ce voyage dont tu rêves.

De la même manière si tu préfères ton confort de vie quotidien et que le voyage n’est qu’une envie secondaire, ce sera un vrai sacrifice de « te priver » pour pouvoir le faire.

Et si tu as envie des deux, selon tes revenus, avoir des exigences élevées de confort quotidien et voyager ne seront peut-être pas compatibles. Dans ce cas tu as deux options : pondérer tes besoins ou réfléchir à comment en gagner suffisamment (voir le point suivant !).

C’est simplement un choix. Et toi seul(e) peut le faire.

J’ai un ami qui « n’a jamais d’argent ». Mais il a une voiture de 8000€. Avec 8000€, tu peux vivre bien comme il faut pendant une grosse année dans certains coins d’Asie du sud Est et créer ton propre business pendant cette période par exemple.

Et évidemment, c’est encore une question de choix. Je comprends parfaitement qu’on puisse préférer avoir une voiture. J’avais une BMW bien plus chère que ça quand j’étais un zombie.

Le problème, ce n’est pas tellement de ne pas avoir d’argent, c’est de choisir comment le dépenser pour avoir l’impression d’en avoir.

 

2. Réfléchis à comment gagner de l’argent

Des tas de gens voudraient avoir plus d’argent. Seulement quelques-uns sont prêts à vraiment faire quelque chose pour ça.

Certains choisissent de travailler encore plus, cumuler plusieurs boulots, faire des économies sur tout et n’importe quoi.

D’autres se contentent de râler.

Il y a des tas de manières de gagner plus d’argent : tu peux en trouver des dizaines voire des centaines sur les sites dont je parlais dans l’intro.

Une question intéressante à te poser je pense, c’est comment tu veux investir ton temps pour gagner plus d’argent ?

Passer une heure à remplir un sondage pour gagner 1€, à mes yeux, ça n’a pas beaucoup d’intérêt.

Passer 10 minutes pour choisir chaque produit en fonction de son prix au kilo dans les super marché, ça ne vaut pas trop le coup non plus à mon avis.

Bosser toute la journée et les weekends pour un salaire, ça ne me plaît pas des masses non plus.

Pourquoi ?

Parce que le retour sur investissement est naze.

Investir 1h de mon temps à faire quelque chose qui ne m’intéresse pas forcément pour 1€ ne me semble pas judicieux personnellement.

Gagner quelques centimes sur ma liste de commissions non plus.

Être dépendant d’un patron non plus.

Mais c’est juste mon avis hein. Il n’est pas meilleur ou moins bien qu’un autre.

Dans mon idée, l’argent (dans une certaine mesure) correspond au service que tu peux apporter aux autres.

Si tu apportes de la valeur à autrui, ce dernier peut te donner de l’argent en échange.

J’en parle plus amplement dans mon manifeste gratuit et dans mon second livre.

Exemple : tu fais du pain, quelqu’un en veut, il te donne de l’argent contre ton pain.

C’est la même chose avec un travail : tu as une compétence, un patron la veut, il te rémunère contre tes services. L’idée me plaît, mais en pratique : souvent tu ne choisis pas tes horaires, ton salaire ne correspond pas à ta production mais à une base fixée au préalable, tu dois travailler à l’endroit où on te dit.

L’objet de ce deuxième point, c’est simplement de t’inviter à te poser un moment pour réfléchir à comment gagner de l’argent.

Arrêter un instant de vouloir gagner plus ou au contraire de dire que l’argent c’est le mal et te demander comment tu peux gagner de l’argent. Est-ce qu’un emploi est la seule solution ? Est-ce que ton emploi actuel est la seule solution ? Est-ce qu’un autre boulot te plairait davantage ? Est-ce que tu voudrais créer ton business ? Est-ce que tu voudrais investir ? Est-ce que tes revenus actuels te permettront d’atteindre tes objectifs ? En combien de temps ?

Je vois des gens tellement pris dans leurs routines, qu’ils ne questionnent plus rien et foncent dans la même direction. S’ils sont satisfaits alors, c’est probablement une bonne option. Mais si ce n’est pas le cas, faire une pause et regarder les possibilités peut être intéressant.

Ça ne sert à rien de continuer à avancer dans une voie si celle-ci ne te rapproche pas de la destination où tu souhaites aller. Ton énergie est limitée.

 

Avoir de l’argent, n’est peut-être pas juste une activité ponctuelle pour satisfaire des envies.

C’est aussi un état d’esprit pour ne pas se retrouver dans une sensation de manque.

Avoir de l’argent, ça implique de savoir comment le gagner.

Si tu veux t’acheter une villa sur la côte d’azur et que tu bosses en intérim à monoprix, ce n’est peut être pas sur le bon chemin que tu t’es engagé(e).

Avoir de l’argent, ça implique de savoir comment le dépenser.

Et si tu épuises tes réserves financières dans des choses qui ne t’apportent qu’une satisfaction passagère, le problème ne vient peut-être pas de l’argent mais de ta manière de l’utiliser.

Utiliser des astuces ou des recettes te permettra certainement d’économiser de l’argent ou d’en gagner un peu plus. Je t’en propose d’ailleurs 10 ici que j’utilise par exemple.

Cependant, avoir de l’argent ne se limite pas à ça. Et tant que tu ne sais pas ni pourquoi, ni comment tu veux avoir de l’argent, tu auras peut-être l’impression que tes finances t’empêchent d’atteindre tes objectifs.

Et si telle est ton impression, peut-être que tu peux envisager les choses sous cet angle : améliorer tes finances ne t’empêche pas d’atteindre tes objectifs, c’est juste une partie de ton objectif.

Une fois que tu as pondéré tes envies et que tu as bien réfléchi à comment tu veux gagner de l’argent, il te reste à passer à l’action.

Choisis une recette qui correspond à tes objectifs.

Et cuisine !

Mon option favorite est de créer ton propre business. Si ça t’intéresse, je suis en train de créer un programme pour ça. Voilà plus d’infos sur cette page :

Créer ton propre business en fonction de ce que tu aimes

Si tu préfères une autre option, fais comme bon te semble ! Il n’y a pas de bons ou de mauvais choix. Juste des décisions qui entraînent des résultats.

Merci de partager l’article si il t’a plu amig@ 😉

^
Voir :Tous les articlesLe dernier article :

Comment gérer son temps quand on est overbooké

Aujourd’hui*, j’ai trop de choses à faire.

Du coup, je te propose une idée pour gérer son temps quand on est overbooké, avec un exemple maxi-concret en 3 étapes : ma journée d’aujourd’hui et comment tu peux appliquer ces principes à la tienne.

Voici le planning du jour :

Il faut que j’écrive un article, que je contacte 8 personnes, que je réponde à 17 mails, que je continue de préparer ma formation, que je m’occupe de trois dossiers administratifs, que j’aille à deux rendez-vous. (Ouais, parce que mon boulot ne consiste pas juste à écrire un article par semaine, hein !)

J’aimerais aussi trouver du temps pour faire du sport, jouer de la musique et lire.

Je sais pas pour toi, mais pour moi, ça fait beaucoup.

En plus de ça, je viens de recevoir un coup de fil d’un ami avec qui je n’avais pas parlé depuis un moment. Du coup, j’ai pris mon temps au téléphone parce que ça m’a fait plaisir.

Je me sens un peu dépassé. Et au final, je me dis que ce serait plus facile de me caler devant une série et de reporter tout ça à demain.

Mais ce sera la même chose demain. Plus les choses qui vont s’ajouter d’ici là.

J’imagine que ce genre de situation, ça t’arrive aussi plus ou moins régulièrement.

Alors comment gérer son temps quand on est overbooké ?

En 3 étapes.

 

Étape 1 : Se recentrer

Dans ce genre de situation, le cerveau turbine à 300 à l’heure.

Certaines tâches sont mécaniques (remplir des dossiers administratifs), d’autres demandent de stimuler la créativité (écrire un article).

Certaines tâches ont un impact important sur ta vie, d’autres moins.

La première chose à faire, c’est de se calmer. Ne pas foncer vers une tâche au hasard puis changer en cours de route vers la suivante comme une furie.

Ça fait piétiner. Ça fait du travail bâclé. Ça fait perdre plus de temps que ça n’en fait gagner.

Alors, étape 1 : se recentrer, faire une pause, respirer amplement, souffler.

Ça peut paraître improductif sur l’instant mais c’est ce qui va justement te permettre de t’organiser.

Alors, n’ouvre pas tes mails, ne check pas ton Facebook, éteins ton téléphone. Respire. À fond. Pendant au moins deux minutes.

 

Étape 2 : Prioriser

Ensuite, vient le temps de se poser des questions.

Qu’est-ce qui a le plus d’importance pour toi dans cette liste de tâches ?

Qu’est-ce qui aura le plus d’impact dans ta vie ?

Qu’est-ce qui t’utilise le plus d’espace mental ?

Qu’est-ce qui te fait le plus peur/stresser/douter ?

Une fois que tu as trouvé ta réponse, c’est ça que tu dois faire en premier.

Deux réponses pour moi aujourd’hui :

Déjà, l’un de mes deux rendez-vous. C’est contraignant, je vais devoir me déplacer, j’ai l’impression que ça va être relou (c’est pour des démarches administratives concernant les impôts fonciers sur mon appart).

Tâche suivante, beaucoup plus agréable, écrire cet article. C’est la partie émergée du blog. C’est une des raisons pour lesquelles tu me lis. C’est mon échange avec toi, mon activité préférée et celle qui peut potentiellement t’inspirer quelques idées !

Ce sont mes missions prioritaires du jour : les tâches les plus importantes.

Pourquoi faire les tâches les plus importantes en premier ?

Parce que si tu les reportes à plus tard dans la journée (ou au lendemain), elles restent présentes dans un coin de ta tête à te dire « Hey ! N’oublie pas de me faire ! ». Et forcément, ça prend de l’espace et tu ne peux pas vraiment arrêter d’y penser.

Donc, étape 2 : choisis entre une et trois tâches prioritaires en fonction de ce qui est le plus important pour toi.

Ne te speede pas trop pour ça. Dix bonnes minutes pour les définir peuvent faire l’affaire.

 

Étape 3 : Défoncer les tâches une par une

Voilà le secret absolu de la productivité : faire une chose à la fois.

Tu n’avances pas si tu cours dans tous les sens.

À l’heure actuelle tu es dans une situation donnée. Appelons-la ton point A (chaque personne a donc un point A différent), le but d’une action constructive doit être de t’amener au point B.

Donc une fois que tu as défini ton point B (à l’étape 2), dirige-toi directo vers lui.

Pas de détour par la case, « je vais vérifier si j’ai des nouveaux emails ».

La technique : faire l’action malgré le fait que tes envies te disent d’aller te servir un thé, appeler un pote, faire une tâche moins importante, ou n’importe quoi d’autre.

Tu n’es pas obligé(e) de succomber à tes envies. Tu contrôles ton corps.

Garde en tête POURQUOI certaines tâches sont importantes. Et fais-les.

Au passage : j’ai une note qui s’affiche en gros sur mon écran :

« Ne pas travailler sans but »

Tu peux bien sûr l’utiliser comme mémo si ça t’aide aussi.

 

Alors, voilà ce que ça donne en pratique :

Je me suis levé ce matin, avec des objectifs pas nets et trop de choses à faire.

Après avoir pris mon petit dèj, je savais pas par où commencer alors j’ai regardé mes mails, je me suis levé 30 fois pour boire du jus de fruits,  j’ai fait mon sport, pris une douche, etc…

Bref, je faisais n’importe quoi et j’avançais pas vraiment où que ce soit.

Du coup je me suis posé un moment, et je me suis recentré : étape un.

Là, j’ai réalisé que je rechignais pour mon rendez-vous et que le plus important c’était d’écrire cet article : étape deux.

J’ai commencé par téléphoner pour confirmer mon rendez-vous et poser quelques questions, au moins, je sais à peu près à quoi m’attendre.

Et là… bin, je suis en train d’écrire l’article : étape trois.

Ça avance. Ça fonctionne.

Il me reste encore un tas d’autres choses à faire mais je me sens avancer dans la bonne direction.

Il me faut juste recommencer les trois étapes :

  1. Se recentrer
  2. Prioriser (entre 1 et 3 tâches)
  3. Défoncer les tâches une par une

J’espère que ça pourra t’aider aussi en cas de rush.

On a tous des journées overbookées de temps à autre.

Le mieux à mon avis, c’est d’éviter le plus possible que ça arrive en répartissant au maximum les impératifs.

Mais quand ce genre de journée arrive, ça peut valoir le coup de lever la tête, respirer un bon coup et lui botter le *bubble fitzbubble* bien comme il faut !

Ça te videra la tête et ton emploi du temps.

Comme le dit le vieil adage, « Ce qui est fait n’est plus à faire ».

Bonne journée amig@ !

Et si tu as des amis/potes/connaissances qui ont des emplois du temps de dingue, merci de partager l’article avec eux 😉

*NOTE : j’ai écrit l’article hier matin !

NOTE 2 : j’ai pas tout fait, mais j’ai fait l’essentiel !