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L’horrible piège des objectifs non-stratégiques (et comment l’éviter)

RhaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaAAAAAAAAAAH !

Il y a un truc qui me fend le cœur.

C’est quand je vois quelqu’un qui a un objectif qui compte à ses yeux

…et qu’il bosse comme un ouf EN CROYANT avancer vers cet objectif alors qu’il se plante furieusement de chemin.

Par exemple, t’as un ami, Pablo, qui veut lancer son business en ligne, et au lieu de développer une offre et chercher des clients, il passe des semaines, des mois ou des années à faire un beau design pour son site.

Il est tout excité et visualise déjà les foules de clients émerveillés se ruer en masse vers sa vitrine internet rutilante.

Sauf qu’en pratique…

C’est une stratégie ultra-foireuse.

Parce qu’en se focalisant sur ce genre d’objectif non-stratégique, il se crée lui-même une situation dans laquelle il va être frustré au final :

Il aura un beau site pour une idée qu’il n’a jamais testée en pratique (lire : il ne sait pas s’il peut avoir des clients avec !)

…et il risque fort de ne jamais gagner un kopek avec son projet.

Des dizaines ou des centaines d’heures de taf pour que dalle et le sentiment amer de ne pas avancer.

Il est tombé dans l’horrible piège des objectifs non-stratégique… dans l’horponos !

Ça craint du slop. Sévère.

Alors que tout ça aurait pu être évité en choisissant des objectifs plus stratégiques.

NOTE : Si tu veux organiser stratégiquement tes réflexions pour trouver une idée de business avec un vrai potentiel financier tu peux recevoir mon mini-cours gratos en cliquant ici.

Je verse une larme d’empathie pour Pablo.

Bon… au moins, il aura appris à faire un beau site !

Évidemment, ça n’arrive pas qu’à lui…

Ça nous arrive à TOUS de choisir des objectifs à la con.

Et ça m’arrive plus souvent que je suis à l’aise de l’admettre ^^.

Pourquoi ?

Parce qu’on a tendance à CHOISIR CE QUI EST FACILE par défaut.

C’est « facile » de créer un site internet : tout seul dans son coin, on se sent productif.

Mais c’est autrement plus difficile de trouver une offre, surmonter le syndrome de l’imposteur et de démarcher des clients potentiels.

Alors on s’auto-persuade que c’est important de créer un magnifique site internet.

Lol.

C’est un peu comme si on croyait qu’en achetant une super guitare on saurait automatiquement en jouer…

On est rudement balèze pour croire en nos propres conneries ^^

Alors qu’en pratique : On est juste en train de se distraire de notre objectif réel en s’accrochant à des chimères.

À un point où ça peut même devenir dangereux . Cf. Cet article de Julien.

On pratique un aveuglement sélectif et on se laisse ensorceler.

 

Comment briser le charme ?

En posant un regard critique sur nos actions et en étudiant sérieusement la question :

Est-ce que ce que je fais me permet vraiment d’avancer vers les résultats que je désire ?

C’est une question *hûtain* de difficile parce qu’on est biaisés comme des sauvages :

On a la fâcheuse tendance à penser qu’on a raison et que si on fait quelque chose, c’est parce que c’est la meilleure solution (sinon on ferait autre chose tiens !).

Donc pour voir si on avance vraiment dans la bonne direction, il faut arriver à se sortir la tête du *gargantum rotoflex* et prendre un moment pour analyser nos actions actuelles avec un peu de recul.

À quel moment ?

Lorsque tu constates que ça fait un moment que t’as envie d’atteindre un résultat et que malgré tout ce que tu fais pour ça, tu bouges pas des masses dans la bonne direction.

À ce moment-là, tu peux en déduire que tes objectifs actuels pour atteindre ton résultat désiré ne sont pas stratégiques

…et qu’il serait temps d’en changer.

Donc pour t’aider à faire ça CONCRÈTEMENT, je te présente mon système en cinq étapes pour t’assurer que tes objectifs soient stratégiques (et t’amènent bel et bien vers le résultat que tu désires !).

Pourquoi cinq ? Pourquoi pas !

 

Les 5 étapes pour définir des objectifs stratégiques

 

1/ Bien définir le résultat final que tu souhaites atteindre

« Gagner 2000€ par mois avec mon business. »

« Perdre 15kg définitivement. »

« Pouvoir avoir une conversation en anglais avec un natif anglophone. »

 

2/ Identifier les facteurs critiques

NOTE : Ceux qui doivent impérativement être validés pour atteindre résultat final !

« Créer un produit que les gens veulent et leur vendre »

« Perdre du poids sans en reprendre »

« Parler anglais »

 

3/ Déterminer les actions qui ont le plus d’impact sur les facteurs critiques (et arrêter les autres)

« Est-ce que faire un beau site internet m’aide à créer un produit que les gens veulent et leur vendre ? Ça m’aidera probablement à faire des ventes mais est-ce que c’est vraiment la beauté du site qui va me permettre de vendre ? Non, ce qui compte le plus, c’est la qualité de mon produit et sa capacité à aider mes clients. Hmmm… donc ce serait plus intéressant de développer mon produit en discutant directement avec des clients potentiel pour bien comprendre ce qu’ils veulent plutôt que de passer des semaines sur ce site ! »

« Est-ce que suivre des régimes à répétition me permet de perdre du poids sans en reprendre ? Pas vraiment… je retrouve mes kilos encore plus vite que je les ai perdus. Ce serait plus intéressant de modifier durablement mon alimentation, par exemple en arrêtant petit à petit les sodas. »

« Est-ce que regarder des séries en VOSTFR m’aide à parler anglais ? Ça m’aide un peu à comprendre la langue mais je me rends bien compte que j’ai beau en regarder 90 par jour, ça m’aide pas vraiment à communiquer en pratique. Ce serait plus intéressant de trouver des anglophones et de pratiquer avec eux. »

 

4/ Déterminer des actions quotidiennes pour avancer sur les facteurs critiques

« Appeler un client potentiel et lui présenter mon offre puis utiliser son feedback pour l’améliorer »

« Ne plus boire de sodas et arrêter de manger quoi que ce soit après 20h »

« Discuter 15 minutes avec un interlocuteur anglophone »

 

5/ Arrêter de faire les actions non-stratégiques et FAIRE les actions stratégiques

« J’aimerais bosser sur mon site parce que c’est facile et j’aurais l’impression d’être productif(ve) mais à la place je vais appeler un client potentiel pour lui présenter mon offre pour tester si mon projet à un potentiel financier »

« J’aimerais suivre ce nouveau régime miracle parce ça me permettrait de perdre du poids rapidement mais à la place je vais simplement renoncer une bonne fois pour toute (au moins pour l’année à venir) aux sodas pour ne pas reprendre mes kilos la semaine suivante »

« J’aimerais regarder la nouvelle saison de Peaky Blinders parce que ça me donnerait la sensation de pratiquer mon anglais mais à la place je vais appeler mon correspondant anglais pour parler en pratique »

 

 

Et lorsque tu as défini tes objectifs stratégiques et que t’y avances dessus, il se passe un truc de ouf :

Tu te rapproches des résultats que tu désires !

Tu arrêtes d’avoir une « intention » vague et floue et à la place tu as des ÉTAPES claires et définies qui te font avancer tranquillou.

Chacun de tes efforts te rapproche un peu plus de ton but.

Et tu ne perds plus ton temps à poursuivre des objectifs qui te servent à que dalle.

Yay !

Le truc c’est que c’est pas évident de réaliser les mensonges qu’on se fait à soi-même

…parce que c’est hyper difficile de remettre en question ses propres actions.

Mais pour atteindre les résultats que l’on souhaite, ça en vaut un milliard de fois la peine !

Donc pour conclure cet article, j’ai deux petites questions pour toi.

  1. Quels sont les objectifs non-stratégiques que tu poursuis en ce moment ?
  2. Et qu’est-ce que tu pourrais faire à la place ?

Un gros respect à celles et ceux qui auront le courage de partager leurs réponses en commentaire.

Et pour lancer le mouvement, voici mes réponses :

1/ Je continue de développer mes programmes existants (c’est « facile » parce que j’ai déjà créé plusieurs programmes et que je sais que je suis bon pour ça) au lieu de me concentrer sur augmenter mon trafic (c’est « difficile » parce que − même si je sais pas par quel miracle, j’ai déjà pas mal de trafic ^^ − je me suis jamais soucié de ça délibérément avant !).

2/ Contacter des influenceurs et leur demander de partager les articles qui peuvent intéresser leurs publics ! Réfléchir à mon SEO et écrire mes prochains articles en SEO friendly !

Bon… bin je sais ce qui me reste à faire ^^

À toi de jouer dans les coms :

  1. Quels sont les objectifs non-stratégiques que tu poursuis en ce moment ?
  2. Et qu’est-ce que tu pourrais faire à la place ?

Bonne journée nuggets,

– Damien

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Le technique de l'autopilote sur PleinDeTrucs.fr

Comment avancer dans tes projets quand tu réfléchis trop

Quand tu veux faire un truc qui te tient à cœur :

Genre avancer sur ton business, écrire un bouquin, faire régulièrement du sport, te mettre sérieusement à l’anglais, ou quoi que ce soit qui a du sens pour toi…

Tu peux te retrouver face à un fat challenge :

Organiser cette *lutin* d’activité en fonction de tes journées déjà bien chargées.

Parce que, certes, t’aimerais progresser en salsa, mais quand tu termines une grosse journée de boulot, t’as peut-être pas la foi de te taper 20 minutes de trajet pour aller bouger ton body sur « Yo vengo de Cuba ».

Donc le problème c’est d’arriver à surmonter cet « effort » monstruous de te mettre et te remettre à faire quelque chose pour avoir des résultats dans le domaine que t’as choisis.

Pour moi, c’était une grosse galère pendant longtemps.

Puis à force de lire des bouquins et d’expérimenter plein de trucs…

J’ai trouvé une solution. Et certes, il doit y en avoir d’autres !

Elle est pas parfaite mais elle marche 90% du temps.

Enjoy nuggets 😉

 

La technique de l’autopilote

Le principe clef, c’est que chaque prise de décision te bouffe de l’énergie.

Et que chaque action te bouffe aussi de l’énergie.

Exemple :

  1. Décider d’aller faire ton sport te prend de l’énergie.
  2. Faire ton sport te prend de l’énergie.

Ma solution, c’est d’automatiser la prise de décision.

Pour économiser une partie de mon énergie.

En d’autre terme : tu ne choisis plus d’aller faire ton sport on non, tu vas faire ton sport un point c’est tout.

Et toute ton énergie est focalisée sur l’action plutôt que la prise de décision.

Ça peut paraître un peu simpliste comme théorie mais dès que tu creuses un peu, tu vas voir que c’est ultra-puissant.

Je te donne un exemple pour illustrer ça.

Une bonne partie de mon taf consiste à écrire.

Et quand j’ai commencé, il y avait simplement des jours où j’en avais pas envie.

Donc je me disais : « Bah… tu feras ça demain gros… en plus, y’a la nouvelle saison de Viking qui vient de sortir ! ».

Et je me retrouvais à suivre les aventures de Ragnar Lothbrok au lieu de bosser.

Vikings

« Aller man, t’écriras demain ! Ramène ton boule à Kattegat !!! »

Sur le coup c’était sympa mais le lendemain, j’avais pas avancé d’un broc sur les projets qui avaient du SENS pour moi.

C’était frustrant.

Donc je me suis mis à chercher des solutions.

J’ai lu pas mal de choses sur la procrastination et la formation d’habitudes.

Plein de trucs intéressants que je partage dans ma structure de la réussite.

Et l’un des concepts qui a le mieux marché, c’était donc d’automatiser ma prise de décision.

Les résultats ont étés explosifs en terme de productivité.

Du coup j’utilise ce système pour tout et n’importe quoi à l’heure actuelle.

Par exemple, par rapport à l’écriture :

J’écris dès que je me lève.

J’ouvre les yeux, puis ma fenêtre et je regarde l’océan pendant 2 ou 3 minutes avec un grand sourire sur ma tronche.

Puis je vais dans mon bureau et je me pose sur une chaise – toujours la même – et j’écris pendant 30 minutes à une 1h. Pas plus.

Puis je petit-déjeune. Je me lave les dents. Je me douche.

Et je retourne à mon bureau pour écrire jusqu’à midi. Je peux dépasser midi mais pas 13h.

Ça, c’est ma routine du matin.

Et elle marche du tonnerre du point de vue productivité !

La puissance du truc réside dans le fait que je ne pense pas à ce que je vais faire de mes matinées.

Je me lève, puis j’écris, un point c’est tout.

Pas de Facebook. Pas de coup de téléphone. Rien d’autre.

Résultat, je commence mes journées en ayant fait quelque chose qui a du SENS pour moi (article à venir pour définir ce qui a du sens pour toi !).

Et je me sens bien !

Une petite note : je m’accorde tout de même une bonne grosse flexibilité par rapport à ces matinées en autopilote. J’ai complètement le droit d’avoir des plans différents : par exemple si je veux aller surfer avec mes potes, Skyper mes clients, faire des crêpes avec ma copine ou partir une semaine en rando, je peux du moment que j’ai prévu ça au moins un jour à l’avance ! La technique de l’autopilote prévaut seulement pour tous les jours où je n’ai pas de plan spécifique. C’est-à-dire la majorité du temps. Et ça suffit amplement !

Donc…

 

Comment créer ton propre mode autopilote productif

Par défaut, tu as DÉJÀ un mode autopilote.

Autopilote

« C’est pas moi qui conduit ! »

Le matin, tu te lèves puis tu fais des trucs.

Peut-être que tu petit-déjeunes en premier. Peut-être que tu fonces dans ta bagnole pour aller direct au boulot. Peu importe.

Quand tu te mets au boulot, tu fais aussi des trucs en autopilote.

Pareil quand tu finis ta journée de taf.

Le but ici est de modifier consciemment ton mode autopilote pour avancer sur les projets qui ont du sens pour toi. Ou tout simplement sur les projets que t’as envie de faire ^^

Prenons l’exemple de te mettre à la guitare.

T’es pas obligé de faire ça le matin au réveil.

Mais disons que la situation suivante s’est déjà présentée un tas de fois :

Tu rentres chez toi, tu regardes ta guitare posée dans ton salon. Tu regardes en direction de ta télé. Tu regardes ta guitare. Tu regardes ta télé. Puis tu réalises que t’en es à ton cinquième épisode des aventures de Ragnar Lothbrok !

Maaaaaaaaaaaaarde !

T’as kiffé la série…

Mais t’as pas progressé d’un chouya dans l’art délicat de produire des sons harmonieux avec ton instrument à six cordes.

Donc…

Pour reprogrammer ton mode autopilote pour apprendre la guitare, voici comment t’y prendre :

1/ Quand tu arrives chez toi, tu prends ta guitare et t’en joue pendant 30 minutes.

Fin de la technique.

Ça va ? Pas trop compliqué ?

Tous les jours. Sauf si t’as déjà autre chose de prévu, par exemple une sortie avec des amis. Mais tous les jours « normaux » : tu prends ta guitare et t’en joue avant de penser à autre chose.

C’est le moyen le plus incroyablement efficace pour être productif(ve) et avoir des résultats.

NOTE : Évidemment, tu peux remplacer « faire de la guitare » par « lire un bouquin en anglais », « envoyer des emails à des clients potentiels », « écrire ton nouveau roman », « aller courir », etc…

Ne te contente pas de lire mes mots et de te dire :

« Hmmm… ça a l’air sensé ce que tu me dis-là Damien ! ».

Mets le concept en application et tu m’en diras des nouvelles.

Choisis un moment de la journée.

Choisis une action.

Fait systématiquement cette action à ce moment-là de la journée.

Sans réfléchir.

Paradoxalement, c’est le meilleur remède pour contrer le mode zombie.

 

Réveiller le zombie

Le mode zombie, c’est lorsque t’es en autopilote mais que t’as pas choisis délibérément ce que tu fais à ce moment-là.

C’est le phénomène « créature de circonstance » : tu fais ce que tu fais parce que tes conditions extérieures t’ont menée dans cette voie.

Zombies

« Mangeeeeeeeer !!! »

En mode zombie, chaque jour ressemble à la veille sans forcément t’avancer dans une direction qui a du sens pour toi.

Et dès qu’on n’y prête pas attention, on devient des zombies.

Toi, moi, Ragnar Lothbrok, tout le monde.

D’où l’importance de te créer un autopilote qui a du sens.

Et de l’actualiser régulièrement.

Tous les 3 mois par exemple, ça vaut le coup de faire un point sur ton autopilote pour voir s’il est toujours en accord avec ce qui a du sens pour toi.

Et t’es libre de l’adapter en fonction.

 

Contrer le mode zombie, c’est probablement l’une des meilleures choses que l’on peut faire pour mener une vie libre et pleine de sens.

Parce qu’une fois que t’as mis en place un mode autopilote qui te permet d’avancer « par défaut » dans les projets qui ont du sens pour toi

tu te sens incroyablement bien !

T’es fier(e) de ce que tu fais.

Et tu vis pleinement dans le présent tout en ayant le sentiment que t’avances dans la bonne direction.

Puis à chaque fois que t’as accompli tes tâches importantes de la journée grâce à ton nouvel autopilote flambant neuf… tu peux mater autant de séries que tu veux sans culpabiliser !

Et ça, c’est la classe XD

 

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Si tu l’as pas déjà fait – ou que tu le savais pas ! − tu peux rejoindre la bande des dissidents et recevoir mes meilleurs conseils pour mener une vie libre et pleine de sens directo dans ta boîte mail.

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Pourquoi certaines personnes réussissent ?

Dans la vie, il y des gens qui réussissent.

Et d’autres qui n’y arrivent pas.

Peu importe le sens qu’on accorde au terme réussir.

Il y en a qui sont bons à l’école. D’autres qui se fadent des résultats médiocres toute leur scolarité.

Il y en a qui apprennent la guitare en un mois. D’autres qui abandonnent au bout d’une semaine.

Il y en a qui sont des superstars sociales. D’autres qui n’ont pas d’amis.

Il y en a qui courent des marathons. D’autres qui commencent à fusionner avec leur canapé.

Il y en a qui ont un boulot qu’ils adorent. D’autres qui dépriment chaque matin.

La question du jour, c’est POURQUOI certains réussissent et d’autres non ?

Alors, évidemment les premières réponses qui viennent en tête, c’est :

La motivation et les capacités.

Et c’est clair que ça fait partie de l’équation.

Le truc, c’est que parfois, des gens sont hyper-motivés pour quelque chose, mais ils n’ont aucune progression.

Pour prendre un exemple bien parlant de notre jeunesse : la fille ou le gars qui bosse comme un malade pour avoir de bonnes notes à l’école et qui reste tout juste médiocre.

Ou celui qui veut sincèrement créer son indépendance financière mais qui, en pratique, n’investit son temps et son argent nulle part et reste employé.

Être motivé, ça ne suffit pas.

Alors ça voudrait dire qu’ils n’ont pas les capacités ?

Je ne pense pas non plus.

À mon avis, la motivation et les capacités sont loin d’être les seules causes de la réussite.

Ce qui différencie surtout quelqu’un qui réussit ce qu’il entreprend et quelqu’un qui échoue, c’est sa capacité à prévoir ce qu’il faut faire pour réussir.

C’est-à-dire sa capacité à comprendre l’implication réelle que demande le succès dans un domaine donné. Que ce soit le succès professionnel, amoureux, social, familial, sportif, etc…

J’aime bien appeler ça : l’épreuve de la réalité.

Par exemple, si tu crois qu’en t’entrainant à la guitare 10 minutes par jour, tu vas jouer comme Jimi Hendrix dans 3 semaines, tu te plantes complètement sur la réalité.

Tu auras beau être hyper motivé(e) et hyper compétent(e), c’est pas ça qui va te permettre de réussir.

Pourquoi ?

Parce que dans ta représentation du succès, il te fallait t’entrainer 10 minutes par jour pendant 3 semaines pour jouer comme Jimi.

Et là, au bout d’une semaine de pratique, avec tes doigts à moitié en compote et tes premiers accords qui sonnent comme un chat à l’agonie, tu réalises que t’étais loin du compte.

Alors soit tu révises ton idée de l’implication nécessaire pour atteindre ton objectif – Par exemple, disons 10 ans de pratique intensive dans le cas où tu aies déjà de grandes dispositions naturelles – soit tu révises tes objectifs – et tu te dis que si t’arrives à jouer « I’m yours » de Jason Mraz d’ici 3 mois, ce sera déjà très bien – soit tu te dis que finalement, tu n’en as pas tellement envie que ça, et tu arrêtes.

Pif, paf, erreur de pronostic au niveau du temps d’implication (entre autre). La réalité l’emporte.

Ça peut aussi être une erreur sur la méthode.

Si tu décides de pratiquer la guitare 8h par jour tous les jours mais que tu penses qu’il faut jouer les accords avec les cheveux et gratter les cordes avec tes omoplates… bon, outre le fait que tu aurais de graves troubles psychiatriques, tu aurais aussi de grandes difficultés à progresser.

C’est pareil pour ceux qui galèrent à l’école.

Peut-être qu’en théorie, ils pensent qu’il suffit de bosser 3h par soir pour progresser. Mais peut-être qu’en pratique, le temps de travail n’est pas le problème, c’est leur manière de l’utiliser.

Et pour celui qui piétine pour créer son indépendance financière, peut-être qu’il croit qu’il lui faut plus de compétences et l’assurance à 100% que son projet va marcher pour enfin se lancer. Mais peut être qu’en pratique, il n’y a jamais d’assurance à 100% qu’un projet va marcher. Peut-être aussi qu’en pratique, il ne pourra acquérir les compétences que lorsqu’il aura commencé.

Dans tous les cas, c’est une erreur sur les attentes et l’implication que demande le succès.

Et là, évidemment, la question qui brûle toutes les lèvres, c’est :

« Ok, jovial camarade, mais comment on fait pour deviner par avance ce qu’il faut vraiment faire pour réussir ? »

Content que tu poses la question mon petit farfadet à la myrtille, on va y répondre en moins de temps qu’il ne faut pour répéter 370 fois : « I’m blue, dabedee dabedaa ».

Peut-être que tu veux apprendre la guitare.

Peut-être que tu veux avoir de bonnes notes.

Peut-être que tu veux courir un marathon.

Peut-être que tu veux créer ton propre business.

Peut-être que tu veux devenir président(e) de la république.

Peu importe.

Il y a des gens qui l’ont déjà fait.

Demande-leur.

Lis-leurs biographies.

Renseigne-toi sur leurs vies.

Tant que tu ne l’as pas fait toi-même, ils savent mieux que toi.

Et si tu veux faire quelque chose que personne n’a jamais fait, il y a des gens qui ont déjà fait quelque chose qui s’en approche.

Ça te permettra déjà de te faire une idée de ce qu’il faut accomplir pour réussir.

Mais peut-être que ça ne suffira pas.

Peut-être que tu devras l’expérimenter toi-même : être confronté en pratique à la réalité.

Et peut-être que cette semaine de guitare avec tes doigts en compote et les feulements félins discordants te seront nécessaires pour réévaluer l’épreuve de la réalité.

Plus tu observes la réalité, plus tu réalises le véritable prix à payer de chaque chose.

Et tu décideras alors si tu es prêt(e) à le payer.

Tu peux souhaiter un résultat mais ne pas vouloir payer son prix.

Par exemple, j’aimerais dessiner comme Glenn Keane, mais je n’ai pas du tout envie à l’heure actuelle de passer 8h par jour à pratiquer pour y arriver.

L’épreuve de la réalité, ça te permet de réaliser ce qu’il te faut faire pour réussir et choisir si tu veux le faire ou non.

Tant qu’une idée se forme uniquement dans ta tête, tu peux avoir l’illusion du succès.

Tu peux croire dur comme fer que dans 3 semaines, tu joueras comme Hendrix.

Tu peux croire qu’en bossant 1h par jour pendant 1 mois, tu vas gagner 1000€ par mois sur internet.

Tu peux croire qu’en lisant des dizaines de livres de développement personnel, tu vas améliorer ta confiance en toi.

Tu peux croire qu’un jour tu vas découvrir comme par enchantement l’idée parfaite de ce que tu veux faire de ta vie.

Tu peux croire qu’en répétant les choses que tu fais déjà, tu auras des résultats différents.

C’est du flan.

C’est une réalité factice.

Le monde réel est dehors.

Le succès se mesure dans le monde réel.

Et tu auras beau être une personne compétente et motivée, si tu ne te confrontes pas à la réalité, tu n’auras aucun résultat.

Quelques principes à prendre en considération avec des chiffres complètement arbitraires :

  • Si tu veux atteindre un résultat, observe 10 personnes qui l’ont déjà atteint
  • Donne-toi un objectif quantifiable relativement court : 3 mois (Être capable de jouer « I’m yours », avoir défini ce qui te plaît vraiment et avoir créé et vendu un produit ou service dans ce domaine, arriver à courir 22km, etc…)
  • Décompose cet objectif en sous objectifs mensuels
  • Décompose ces sous-objectifs en sous objectifs hebdomadaires
  • Constate précisément là où tu en es à l’heure actuelle
  • Pratique UN MOIS
  • Constate tes résultats
  • Si tu progresses, continue
  • Si tu ne progresses pas (ou trop peu), re-observe les gens qui ont atteint le résultat que tu convoites (ou demande-leur de l’aide) puis change de stratégie
  • Recommence

Le succès, ça se planifie.

Comme le dit tonton Keith Ferrazzi dans « Never Eat Alone » :

« Foirer sa planification, c’est planifier son échec »

Alors pourquoi certaines personnes réussissent ?

Parce qu’elles connaissent le prix à payer pour réussir.

Et qu’elles le payent.

La motivation et les capacités sont juste des bonus.

Mais bon… encore une fois, c’est juste une idée !

Je veux bien ton avis là-dessus dans les commentaires.

Et merci de partager l’article si tu l’as aimé 😉

Ça ne te prendra que quelques secondes, ça pourra m’aider à développer le blog et ça pourrait même aider tes amis ! Merci !

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Comment trouver le temps

« Il y a une phrase que les Européens prononcent constamment, et c’est « je n’ai pas le temps ». C’est une aberration de s’en plaindre sans cesse, puisqu’il ne peut « jamais y avoir plus de temps qu’il y en a du lever au coucher du soleil », mais « cela ne suffit jamais ». »

– Touiavii, Chef de tribu Samoa dans « Le Papalagui »

En pratique, on sait très bien qu’on a tous le même temps. 24h par jour. 60 minutes par heure.

Le temps n’a jamais été le problème. Le problème, c’est les priorités.

Chaque instant qui compose ta journée, chaque seconde de sommeil, chaque seconde de travail, chaque seconde de loisir, c’est toi qui décides comment l’utiliser.

Tu n’as pas d’obligations. Tu te crées des obligations. C’est un « tu » général, hein, je me compte aussi dedans !

Alors, évidemment tu peux te dire que tu « dois » aller à ton boulot pour gagner de l’argent, tu peux te dire que tu « dois » dormir au moins 8h par nuit pour être en forme, tu peux te dire que tu n’as « pas le choix ».

Et si c’est comme ça que tu penses, alors tu es coincé dans cette réalité.

Le risque ? C’est d’être insatisfait(e) de ton temps.

À chaque « je n’ai pas le temps », il y a une suite : « je n’ai pas le temps de [quelque chose] »

Et ce « quelque chose », c’est parfois les trucs que tu désires le plus.

Je n’ai pas le temps de créer mon propre business.

Je n’ai pas le temps de voyager.

Je n’ai pas le temps de me détendre.

Je n’ai pas le temps de gagner plus d’argent.

Je n’ai pas le temps de rencontrer de nouvelles personnes.

Je n’ai pas le temps de [insère ce que tu veux ici] !

Ça frustre. Ça épuise. Ça te bouffe le cerveau.

Dans cet article, je partage avec toi quelques idées pour trouver le temps.

 

Définis tes priorités absolues

Qu’est-ce qui compte vraiment dans ta vie ?

Je te parle pas de ton but ultime ou autre questionnement métaphysique. Je te parle des deux trois trucs qui comptent vraiment dans ta vie.

Par exemple, pour moi, en ce moment, ce sont mes relations, ma liberté géographique et financière, et voyager.

Personne d’autre que toi ne peut choisir tes priorités. Ça peut être passer du temps avec une certaine personne, avoir une promotion, gagner un tournoi de tango, perdre du poids, prendre du muscle, trouver un(e) partenaire, etc… Ce que tu veux en somme.

Définir tes priorités absolues, ça te permet de déterminer comment tu vas utiliser ton temps.

Ça doit être une réflexion assez simple, pas un triturage de méninges intempestif.

Action :

Réponds simplement à cette question de manière intuitive : Qu’est-ce qui compte vraiment dans ta vie ?

Prends-toi une minute et note-le quelque part.

Vas-y j’attends.

C’est bon ?

Ok, bien ouèj nuggets !

 

Crée ta routine minimum

La « routine minimum », c’est un terme que j’utilise pour définir un espace de temps réservé à mes priorités absolue. Chaque jour.

De la même manière, tu peux définir ta propre routine minimum.

Le principe est simple : tu bloques une période de temps minimale dans la journée pour te consacrer à chacune de tes priorités absolues.

Par exemple :

Tu peux décider de te lever à 5h30 le matin et bosser sur ton projet de business jusqu’à 8h. Ça te laisse 2h30 par jour pour trouver le temps de devenir ton propre patron.

Tu peux bloquer 30 minutes chaque jour en fin d’après-midi pour faire une séance de muscu chez toi.

Tu peux réserver 10 minutes par jour avant d’aller te coucher pour préparer un voyage.

Tu peux remplacer ton film du soir par la lecture d’un bouquin sur une thématique qui te plaît.

Et même si tu ne sais pas exactement ce que tu veux, tu peux par exemple te réserver 1h par jour pour y réfléchir !

Regarde ça sous cet angle : si tu ne prends pas le temps d’accorder ton attention à tes priorités absolues, tu ne les honores pas. Et dans ce cas, ce qui compte le plus pour toi ne prend aucune place dans ta vie. Est-ce que c’est comme ça que tu veux vivre, en laissant de côté ce qui compte vraiment pour toi ?

Action :

Crée ta routine minimum : définis une durée à consacrer à une action. Idéalement, définis le moment de la journée où tu veux placer cette période. Ex : de 5h30 à 8h du matin. Ou de 21h à 21h10.

Plus tu consacres de temps à une priorité, plus celle-ci prend de place dans ta vie.

Par exemple, tu peux penser toute ta vie à ton indépendance géographique, si tu ne lui accordes pas de temps, elle n’arrivera peut-être jamais. Idem pour n’importe quoi d’autre.

 

Assume le prix à payer

Tu as le temps. Le même temps que qui que ce soit. La question à te poser, c’est comment tu veux l’utiliser ?

Dormir moins te libère du temps.

Quitter ton boulot te libère du temps.

Arrêter la télé te libère du temps.

Posséder moins de biens matériels te libère du temps.

Supprimer tes objectifs secondaires te libère du temps.

Dominer tes peurs te libère du temps.

Je connais un tas de personnes dans le schéma « je n’ai pas le temps ». Puis je les entends dire qu’elles passent leurs soirées sur Youtube ou à regarder des séries, elles se lèvent tard, elles passent des heures à ne rien faire.

Elles se disent qu’elles ont besoin de se reposer.

Bref, elles ont le temps. C’est juste qu’elles l’utilisent d’une manière qui leur donne l’impression de ne pas en avoir.

Trouver ton équilibre pour trouver le temps, ça implique de définir le prix que tu es prêt(e) à payer pour honorer tes priorités absolues.

Le prix en implication bien sûr.

 

En définissant tes priorités absolues, en créant ta routine minimum et en assumant le prix à payer, tu sais comment trouver le temps.

Ensuite, chacun est libre de ses choix.

Comme le dit tonton Franky :

« Les gagnants trouvent des moyens, les perdants des excuses… »

– Franklin Delano Roosevelt

« Je n’ai pas le temps » est une excuse.

Une excuse ni bonne, ni mauvaise.

Personne ne peut être au top tout le temps.

Mais si la volonté est là, tout le monde est libre de trouver le temps.

Et encore une fois… c’est juste un choix.

 

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Comment gérer son temps quand on est overbooké

Aujourd’hui*, j’ai trop de choses à faire.

Du coup, je te propose une idée pour gérer son temps quand on est overbooké, avec un exemple maxi-concret en 3 étapes : ma journée d’aujourd’hui et comment tu peux appliquer ces principes à la tienne.

Voici le planning du jour :

Il faut que j’écrive un article, que je contacte 8 personnes, que je réponde à 17 mails, que je continue de préparer ma formation, que je m’occupe de trois dossiers administratifs, que j’aille à deux rendez-vous. (Ouais, parce que mon boulot ne consiste pas juste à écrire un article par semaine, hein !)

J’aimerais aussi trouver du temps pour faire du sport, jouer de la musique et lire.

Je sais pas pour toi, mais pour moi, ça fait beaucoup.

En plus de ça, je viens de recevoir un coup de fil d’un ami avec qui je n’avais pas parlé depuis un moment. Du coup, j’ai pris mon temps au téléphone parce que ça m’a fait plaisir.

Je me sens un peu dépassé. Et au final, je me dis que ce serait plus facile de me caler devant une série et de reporter tout ça à demain.

Mais ce sera la même chose demain. Plus les choses qui vont s’ajouter d’ici là.

J’imagine que ce genre de situation, ça t’arrive aussi plus ou moins régulièrement.

Alors comment gérer son temps quand on est overbooké ?

En 3 étapes.

 

Étape 1 : Se recentrer

Dans ce genre de situation, le cerveau turbine à 300 à l’heure.

Certaines tâches sont mécaniques (remplir des dossiers administratifs), d’autres demandent de stimuler la créativité (écrire un article).

Certaines tâches ont un impact important sur ta vie, d’autres moins.

La première chose à faire, c’est de se calmer. Ne pas foncer vers une tâche au hasard puis changer en cours de route vers la suivante comme une furie.

Ça fait piétiner. Ça fait du travail bâclé. Ça fait perdre plus de temps que ça n’en fait gagner.

Alors, étape 1 : se recentrer, faire une pause, respirer amplement, souffler.

Ça peut paraître improductif sur l’instant mais c’est ce qui va justement te permettre de t’organiser.

Alors, n’ouvre pas tes mails, ne check pas ton Facebook, éteins ton téléphone. Respire. À fond. Pendant au moins deux minutes.

 

Étape 2 : Prioriser

Ensuite, vient le temps de se poser des questions.

Qu’est-ce qui a le plus d’importance pour toi dans cette liste de tâches ?

Qu’est-ce qui aura le plus d’impact dans ta vie ?

Qu’est-ce qui t’utilise le plus d’espace mental ?

Qu’est-ce qui te fait le plus peur/stresser/douter ?

Une fois que tu as trouvé ta réponse, c’est ça que tu dois faire en premier.

Deux réponses pour moi aujourd’hui :

Déjà, l’un de mes deux rendez-vous. C’est contraignant, je vais devoir me déplacer, j’ai l’impression que ça va être relou (c’est pour des démarches administratives concernant les impôts fonciers sur mon appart).

Tâche suivante, beaucoup plus agréable, écrire cet article. C’est la partie émergée du blog. C’est une des raisons pour lesquelles tu me lis. C’est mon échange avec toi, mon activité préférée et celle qui peut potentiellement t’inspirer quelques idées !

Ce sont mes missions prioritaires du jour : les tâches les plus importantes.

Pourquoi faire les tâches les plus importantes en premier ?

Parce que si tu les reportes à plus tard dans la journée (ou au lendemain), elles restent présentes dans un coin de ta tête à te dire « Hey ! N’oublie pas de me faire ! ». Et forcément, ça prend de l’espace et tu ne peux pas vraiment arrêter d’y penser.

Donc, étape 2 : choisis entre une et trois tâches prioritaires en fonction de ce qui est le plus important pour toi.

Ne te speede pas trop pour ça. Dix bonnes minutes pour les définir peuvent faire l’affaire.

 

Étape 3 : Défoncer les tâches une par une

Voilà le secret absolu de la productivité : faire une chose à la fois.

Tu n’avances pas si tu cours dans tous les sens.

À l’heure actuelle tu es dans une situation donnée. Appelons-la ton point A (chaque personne a donc un point A différent), le but d’une action constructive doit être de t’amener au point B.

Donc une fois que tu as défini ton point B (à l’étape 2), dirige-toi directo vers lui.

Pas de détour par la case, « je vais vérifier si j’ai des nouveaux emails ».

La technique : faire l’action malgré le fait que tes envies te disent d’aller te servir un thé, appeler un pote, faire une tâche moins importante, ou n’importe quoi d’autre.

Tu n’es pas obligé(e) de succomber à tes envies. Tu contrôles ton corps.

Garde en tête POURQUOI certaines tâches sont importantes. Et fais-les.

Au passage : j’ai une note qui s’affiche en gros sur mon écran :

« Ne pas travailler sans but »

Tu peux bien sûr l’utiliser comme mémo si ça t’aide aussi.

 

Alors, voilà ce que ça donne en pratique :

Je me suis levé ce matin, avec des objectifs pas nets et trop de choses à faire.

Après avoir pris mon petit dèj, je savais pas par où commencer alors j’ai regardé mes mails, je me suis levé 30 fois pour boire du jus de fruits,  j’ai fait mon sport, pris une douche, etc…

Bref, je faisais n’importe quoi et j’avançais pas vraiment où que ce soit.

Du coup je me suis posé un moment, et je me suis recentré : étape un.

Là, j’ai réalisé que je rechignais pour mon rendez-vous et que le plus important c’était d’écrire cet article : étape deux.

J’ai commencé par téléphoner pour confirmer mon rendez-vous et poser quelques questions, au moins, je sais à peu près à quoi m’attendre.

Et là… bin, je suis en train d’écrire l’article : étape trois.

Ça avance. Ça fonctionne.

Il me reste encore un tas d’autres choses à faire mais je me sens avancer dans la bonne direction.

Il me faut juste recommencer les trois étapes :

  1. Se recentrer
  2. Prioriser (entre 1 et 3 tâches)
  3. Défoncer les tâches une par une

J’espère que ça pourra t’aider aussi en cas de rush.

On a tous des journées overbookées de temps à autre.

Le mieux à mon avis, c’est d’éviter le plus possible que ça arrive en répartissant au maximum les impératifs.

Mais quand ce genre de journée arrive, ça peut valoir le coup de lever la tête, respirer un bon coup et lui botter le *bubble fitzbubble* bien comme il faut !

Ça te videra la tête et ton emploi du temps.

Comme le dit le vieil adage, « Ce qui est fait n’est plus à faire ».

Bonne journée amig@ !

Et si tu as des amis/potes/connaissances qui ont des emplois du temps de dingue, merci de partager l’article avec eux 😉

*NOTE : j’ai écrit l’article hier matin !

NOTE 2 : j’ai pas tout fait, mais j’ai fait l’essentiel !