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Comment gérer une mauvaise situation

Parfois, on est dans une situation, et on s’y sent mal.

Par exemple, on sait qu’on « devrait » faire quelque chose mais on n’en a pas envie… Du tout… Merde quoi ! Genre rendre un boulot. Rendre visite à quelqu’un. Aller faire les courses.

Mais on se sent piégé. On « doit » faire ce truc à la con, parfois pour soi, parfois pour les autres. Et plus on y pense, moins on a envie de le faire. Et on a beau y penser, ça change que dalle à la situation.

Alors, on se cherche des excuses, on évite, on tourne autour du pot. Et pourtant, ça nous ronge. Et on aimerait qu’on nous enlève cette maudite obligation.

Ou alors on se sent mal parce qu’on « attend » désespérément que quelque chose arrive. Les vacances. La fin d’une échéance. L’été. Un appel. Un message. Un messie avec la réponse à tous nos soucis.

Et le temps passe à deux à l’heure. Personne ne vient. Pourtant, on « sait » que ce sera mieux quand le moment arrivera.

En attendant, c’est des situations pourries…

Et là, t’as toujours un gugusse avec une toge blanche et des talismans autour du cou qui va te dire qu’il y’a pas de situations pourries, que c’est juste ton interprétation…

…mais à ce moment-là, quand t’es bien vénère,  même si tu sais déjà que c’est ton interprétation qui déconne, t’en as rien à foutre du tout de son conseil de hippie et t’as juste envie de le gifler.

Dans l’article d’aujourd’hui, je vais essayer d’être un peu plus diplomate que le gugusse en toge et te filer ma technique méga concrète en 3 points pour gérer une mauvaise situation.

Je sais que c’est tendu du slibox de se sortir la tête du pâté quand on est pris dans certaines émotions – d’ailleurs j’y arrive pas tout le temps non-plus – mais ça vaut le coup d’essayer. En tout cas, cette technique marche plutôt bien pour moi et j’espère qu’elle pourra t’aider aussi amig@ !

Alors accroche-toi à ton kilt, ça va déménager.

Déjà, pourquoi tu te sens mal dans ce genre de situation ?

La réponse psychologique, c’est parce que la réalité ne correspond pas à tes attentes.

Tu voudrais X, la réalité à ce moment-là c’est Y.

Tu voudrais ne pas avoir à travailler, la réalité à ce moment-là c’est que tu « dois » travailler pour gagner ta vie/avoir de bonnes notes/aider les autres/ne pas décevoir quelqu’un/atteindre tes rêves.

Tu voudrais ne pas te disputer avec ta copine/ton copain/ta famille, la réalité à ce moment-là c’est que tu es déjà en train de te disputer.

Tu voudrais ne pas être triste/énervé/stressé/frustré/déçu, la réalité à ce moment-là c’est que tu l’es.

Tu voudrais gagner plus d’argent/être en meilleure santé/trouver le boulot de tes rêves/être propriétaire/trouver l’amour/savoir jouer du ukulélé, la réalité à ce moment-là c’est qu’elles ne font pas partie de ta réalité.

C’est pour ça que tu souffres. C’est pour ça que tout le monde souffre parfois. On veut ce qui n’existe pas. Et on croit qu’en éprouvant de la souffrance, ça va changer quelque chose à la réalité.

C’est naturel. C’est contre-productif. Mais c’est comme ça.

Cause : La réalité immédiate n’est pas acceptable par ton mental.

Résultat : Tu te sens mal.

Ce que tu voudrais à la place, c’est que la souffrance s’arrête.

Tu voudrais sortir de cette mauvaise situation.

Certains s’échappent par les drogues, l’apathie ou les compensations.

Bon… peut-être que ça peut marcher, mais c’est pas de ça dont je vais te parler.

Imagine si je concluais cet article en te disant :

« Comment gérer une mauvaise situation : Prends du Xanax mon pote ! »

Je pense que les drogues, l’apathie et la compensation sont des petites fuites : ça fixe temporairement un problème mais ça ne résout rien.

Les drogues créent une nouvelle réalité alternative… et si tu veux t’y retrouver, t’es obligé d’en consommer sur une base régulière et tu deviens un camé.

L’apathie, c’est faire taire tes émotions, les réprimer, devenir insensible et en moins de temps qu’il ne le faut pour t’en rendre compte, tu deviens un zombie.

Compenser, c’est puiser du réconfort dans un autre domaine que celui qui te pose problème et là aussi, ça ne résout rien dans le fond. « Ma vie professionnelle/amoureuse/sociale est un fiasco… MAIS LE CHOCOLAT C’EST TELLEMENT BON ! Miam, miam, miam !!! »

Du coup, maintenant que le décor, les échappatoires foireuses, les causes et les effets sont plantés, c’est parti pour la solution en 3 points :

 

1. La question magique

« Qu’est-ce que je voudrais et qui est différent de la réalité actuelle ? »

Sérieux. Pose-toi la question. Trouve une réponse.

Je voudrais que mon travail soit fini alors que je n’ai pas du tout envie de m’y mettre.

Je voudrais que mon patron me traite avec plus de respect alors qu’il me surnomme « Jojo le bouricot » ou « Jejette la bouriquette » et qu’il me flanque des pichenettes sur les oreilles 2748 fois par jour.

Je voudrais que ma femme/mon mari m’apporte de l’attention alors qu’il/elle est en train de geeker sur facebook.

Je voudrais être indépendant financièrement alors que je me fais exploiter dans mon métier.

Je voudrais être svelte et musclé(e) alors que les bourrelets de mon bide m’empêchent de voir mes pieds.

Une fois que tu as trouvé. Le gros avantage, c’est qu’au lieu d’éviter la réponse, tu peux y faire face.

Et du coup, tu peux passer à…

 

2. La réalisation inévitable

Wow ! Effectivement la réalité ne correspond pas à mes attentes.

Ça m’en bouche un coin dis-donc !

La première partie de la réalisation inévitable, c’est de se dire : « Ok, j’aimerais que les choses soient différentes : je sais ce que j’aimerais, je vois comment les choses se passent en pratique, et c’est pour ça que je me sens mal ».

La deuxième partie, c’est d’accepter la réalité telle quelle est.

Accepter, ça ne veut pas dire cautionner ou ne rien faire pour changer.

Ça veut juste dire, accepter qu’à l’instant présent, les choses sont telles qu’elles le sont.

Ok, je n’ai pas envie de bosser.

Ok, mon patron me parle comme à une *flâflûh*. Ça ne me plaît pas mais c’est un fait.

Ok, ma femme/mon mari me tape l’ignore. Ça m’énerve mais c’est ce qui se passe en ce moment.

Ok, je n’aime pas mon job.

Ok, je n’aime pas mon corps.

Et là, mon ami(e), c’est le moment où tu peux sortir de ta mauvaise situation !

Une fois que tu as accepté la situation. Pas avant.

Et tu peux passer à…

 

3. L’action adaptée

L’action adaptée a 3 variables : La dérobade. Le full-contact. L’embrassade.

La dérobade, c’est quand tu n’affrontes pas la situation.

Ça ne te plaît pas mais tu ne fais rien. Du coup, ça ne t’avance en rien.

Du moment que tu assumes la dérobade, tu sors de ta mauvaise situation par la fuite. Le mot-clef dans cette phrase, c’est « assumes » : tu ne te sens pas bien mais tu choisis de ne rien faire.

Une dérobade de temps en temps, ça ne fait pas de mal. Quand tu te sens vraiment dépassé par les événements et que tu as un coup de mou, c’est même une bonne option.

Bon, bin… je vais regarder un film au lieu de bosser.

Bon, bin… je vais laisser mon patron me persécuter un jour de plus.

Bon, bin… je vais rester dans mon coin et faire autre chose.

Bon, bin… je vais aller au boulot encore une fois.

Bon, bin… je vais reporter mon inscription au club de sport.

Perso, j’aime pas trop me dérober. Ça me fait culpabiliser et je me sens naze. Ça m’arrive quand même de temps en temps, disons une fois tous les deux mois.

 

Ensuite, le full-contact : c’est-à-dire que tu prends le taureau par les cornes et que tu défonces la tâche en question.

T’acceptes que la situation ne te plaise pas mais tu agis quand même.

Du moment que tu passes au full-contact, tu brises l’inertie de la situation et tu en sors par la force.

Allez ! Je bosse non-stop jusqu’à ce que j’ai terminé mon objectif de la journée !

Allez ! Je vais dire à mon boss ce que je pense, même si je perds mon job ! Et puis de toute façon, même si je perds mon job, au moins plus personne ne m’appellera « Jojo le bouriquot »/« Jejette la bouriquette » et mes oreilles arrêteront de saigner.

Allez ! Je vais proposer à ma femme/mon mari d’aller au restau ensemble !

Allez ! Je commence à bosser sur mon projet d’indépendance au moins 1h par jour tous les jours !

Allez ! Je m’inscris à la salle de sport !

L’avantage du full-contact, c’est que ça amène du changement.

Quand tu fais face aux mauvaises situations et que tu agis directement dessus, ta situation change. Tu évolues.

Même si parfois l’action est incroyablement difficile ou déplaisante sur le moment, les retours sont souvent super positifs. Exemple : ça fait mal et c’est contraignant d’aller faire du sport tous les jours mais ça fait plaisir quand ton corps se sent vif, léger et puissant quand tu fais du sport depuis un moment.

C’est comme ça que tu obtiens des résultats.

 

Et enfin, l’embrassade, c’est la troisième variable. C’est-à-dire que tu acceptes inconditionnellement ce qui est en train de se passer et que tu agis librement.

Tu trouves de la satisfaction dans l’action et ta vision n’est plus obscurcie par tes attentes.

Bon, évidemment, c’est plus facile à dire qu’à faire. C’est pas vraiment un choix mental d’embrasser une situation. C’est plutôt un choix émotionnel. Tu te retrouves à faire les choses avec fluidité sans « effort ».

Tu fais ton boulot.

Tu ne te laisses plus maltraiter par ton patron.

Tu exprimes librement tes émotions.

Tu construis ton futur.

Tu honores ton présent.

Cet état, c’est le plus cool à mon avis. Le truc, c’est qu’il n’y a pas de recette pour l’atteindre à coup sûr.

La meilleure technique que j’ai trouvé c’est de me poser la question magique accompagnée de la réalisation inévitable qui s’en suit.

Parfois, ça me fait embrasser la situation. Parfois je me dérobe. Et parfois, je l’affronte en full-contact.

Dans tous les cas, le temps s’écoule et la situation dans laquelle tu es est bien réelle.

Tu peux te sentir complètement impuissant(e) et dépassé(e) et cracher ta souffrance et ta haine.

Ou tu peux essayer d’y apporter ta lumière pour la gérer.

Bref, voilà une technique que j’utilise et je me suis dit que peut-être qu’un jour ça pourrait t’aider !

J’espère que l’article t’a plu.

Si c’est le cas, merci de lui donner de la voix et de le partager !

Ça m’aidera à devenir connu, à créer une armée de dissidents, toi y compris, à changer les mentalités, à changer le monde, rentrer en politique, transformer la société et ensemble DOMINER LE MONDE. Mwahahahaha !

Bref… partage amig@ !

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pleindetrucs.fr - Damien Fauché au Cambodge dans un temple paumé dans les colines

Comment trouver ce que tu veux vraiment

Comment trouver ce que tu veux vraiment ?

Booyah ! Fat questions dis-donc !!

Parfois, la vie, c’est flou.

On file dans le quotidien comme un fou dans une forêt touffue et on se fait fouetter la face par les feuilles et les branches des facéties du destin.

C’est un gros bordel en somme.

Chaque jour a sa dose d’évènements. Et parfois ces évènements perdent leurs sens. Alors on subit sa vie sans savoir pourquoi on fait ça.

Ça pue.

Ça pue parce que trouver ce que tu veux vraiment, ça te permettrait d’arrêter de courir. Ou alors  continuer de courir mais dans la bonne direction, une qui a du sens pour toi.

Et ça, ça fait du bien.

Quand tu commences à comprendre ce que tu veux vraiment, tu peux enfin apprécier tout ce que tu fais.

Sans te sentir à cent à l’heure. Ton mental est calmé. Paisible. Focalisé.

Dans cet article, on va voir une idée pour y arriver.

Et même si ces mots s’adressent davantage à certaines personnes qu’à d’autres, c’est toujours bon de se les rappeler. À moi le premier d’ailleurs…

Trouver ce que tu veux vraiment, c’est une question qui arrive assez tard dans la vie. Tard, à partir de 18 ans quoi. Pas tard à partir de 1h du mat, hein…

Perso, j’ai commencé à vraiment me poser la question vers 22 ans, à l’approche de la fin de mes études.

Après avoir somnolé dans la matrice de l’école et des médias pendant de nombreuses lunes…

Pif, paf, un jour, comme ça, tu réalises que t’es responsable de ce que tu fais de ta vie !

Et là, il y une question qui te met un reverse karaté kick dans ta tronche : « Comment trouver ce que tu veux vraiment ? »

Parce qu’au final, c’est un choix qui va déterminer le reste de ta vie. Et mine de rien, ça a l’air important !

Alors évidemment, c’est pas vraiment le genre de question qu’on nous a encouragé à nous poser jusqu’alors… Ni à l’écoleNi dans les médias

On nous a peut-être demandé si on préférait faire L, S ou ES au lycée. On nous a peut-être dit d’acheter telle ou telle marque de papier WC.

On a eu un semi-choix, semi-conscient, on a suivi le flot… Et là ! Bim ! Culbuto shot frontal de la réalité : tu es responsable de ta vie biatch !

Alors, qu’est-ce que tu veux vraiment ?

Whaaaaaaaaat ?

Et ta réponse qui vient percer le silence béat d’années d’obédience incontestée quand tu te la poses pour la première fois c’est à peu près ça : « Bin… j’en sais rien moi ! »

Rush d’adrénaline. Recherche de réponse extérieure. Je vais bien trouver la solution à l’école. Ou à la télé. Ou peut-être que ma maman/ma meuf/mon mec/mon banquier/mon prof de yoga/ce type sur internet/Sylvain Durif a la solution.

« Et je cours, je me raccroche à la vie… » Disait tonton Daniel.

On fait avec ce qu’on connaît. Et pourtant, la réponse est ailleurs.

Ladies and gentlemen, bienvenus dans le « mode par défaut ».

Trouver ce que tu veux vraiment, c’est une nouvelle phase de l’existence. C’est pas une réponse prémâchée par un gourou bon marché.

C’est un voyage intérieur.

Ok, je sais que je sonne comme un moine bouddhiste là. Mais pourtant, c’est exactement ce que c’est.

Un voyage dans ta connaissance de toi… un voyage… euh… intérieur quoi.

Ta réponse pour trouver ce que tu veux vraiment, c’est une illusion de la chercher à l’extérieur de toi.

Au mieux, tu trouveras les réponses d’autres personnes. Eckhart Tolle a de super bonnes idées. Matthieu Ricard aussi.

Si tu attends que ta réponse s’impose d’elle-même, elle n’arrivera jamais. Trouver ce que tu veux vraiment, c’est une épopée.

Et comme toute épopée, ça te demande d’avancer. Un pied devant l’autre. Cheminer dans ta tête, un peu plus, chaque jour. Grandir. Rêver. Te connaître. Évoluer !

Alors bien sûr, je peux pas te dire ce que tu veux vraiment, personne ne peut à par toi même ! Par contre je peux te partager une méthode pour trouver ce que c’est.

Cette méthode, c’est de trouver un espace mental calme. Bouddha mode réactivé ^^

Laisser la place à tes pensées de s’exprimer. On pourrait appeler ça de la méditation mais le terme est tellement connoté qu’il veut plus rien dire du tout.

À la place, on va appeler ça un temps temps-boussole. Ouais, je viens de l’inventer !

Un temps consacré à te repérer et trouver ton chemin.

C’est un principe méga simple :

Tu te bloques un moment – tu peux commencer avec 5 minutes seulement – et tu te poses pépère avec tes pensées.

Tu peux faire ça assis, debout ou couché. Essaye d’être dans un contexte où tu ne seras pas dérangé.

Et là, pour commencer, pas d’histoire de vide mental ou de respiration – même si en pratique, ça aide bien quand même – tu te poses juste et tu observes tes pensées.

Tranquille.

Tu vois tes préoccupations. Tu vois tes doutes. Tu vois tes désirs. Tes joies, tes peines, tes aspirations.

Et tu les acceptes. Parce que tu les ressens. Parce qu’elles existent pour toi.

Tu vois ce qui sonne juste. Tu vois ce qui ne te convient pas.

Sans juger : tu constates.

Tu dessines une carte de ce qui te paraîtrait bon pour toi. Tu respires. Tu souris.

Parce que ta vie en est exactement là où elle en est. Et que c’est une bonne chose.

Peu importe tes conditions de vie actuelle. Peu importe ton stress. Peu importe les aléas.

Dans cet espace de réflexion, tu es libre de choisir ce que tu veux vraiment.

Tu ne trouveras probablement pas en 5 minutes.

Mais marche après marche, tu prendras de la hauteur dans ta réflexion…

Et ta réponse se fera plus précise. Plus aérienne. Plus légère aussi.

Comment trouver ce que tu veux vraiment ?

Je crains qu’il n’y ait pas de réponse magique à cette question.

Ma seule réponse est que ça prend du temps et que personne ne peut le faire à ta place.

Crée-toi un temps-boussole, chaque jour, et poursuis ton aventure. Parcours cet espace précieux et découvres ses trésors et ses révélations.

Et c’est seulement en explorant ce sanctuaire que tu feras le lien entre ton être et tes conditions de vie.

Pour trouver ce que tu veux vraiment… et l’honorer.

Aussi, j’ai écrit un livre. Et en vrai… tu n’en a pas besoin.

Ok, c’est un peu nul comme pub ce que je viens d’écrire là…

Tu n’en a pas besoin mais c’est un guide. Un guide de 201 pages pour t’aider à te connecter à qui tu es, à ce que tu veux, et à comment t’y diriger.

Je l’ai relu cette semaine et je pense sincèrement qu’il peut t’inspirer. C’est pour ça que je t’en parle.

Son titre, c’est la Danse de l’Air. C’est une métaphore pour aborder la vie sous un autre angle, plus léger, plus aérien, plus libre. Pour prendre du recul et choisir consciemment ta voie.

Évidemment, il va pas faire la démarche spirituelle à ta place. Mais si tu suis les étapes, il peut te permettre de voir comment procéder.

Il y a une première partie théorique. Et une seconde pratique, avec des exercices concrets.

Tu pourras y voir comment découvrir tes envies profondes, surmonter tes peurs et construire une vie dans laquelle tu puisses t’épanouir. Je suis fier de ce bouquin. Et les témoignages que j’ai reçus, m’ont vraiment beaucoup touché.

Comme celui de Claudine par exemple

« Ton livre m’a ouvert les yeux et chaque soir, je le relis, et franchement cela m’aide beaucoup. À présent, je suis décidée et sûre de moi pour faire autre chose.

Merci d’être présent, merci de me donner chaque jour l’envie d’avancer et de faire autre chose de ma vie. »

Ou celui de Kevin :

Le guide pour mener une vie libre de pleindetrucs.fr - Damien Fauché

Même si tu n’en as pas « besoin », j’espère qu’il pourra t’inspirer et te donner quelques idées !

Tu peux acheter la Danse de l’Air ici :

Recevoir la Danse de l’Air

Et que tu la lises ou non, j’espère que cet article t’a plu !

Si c’est le cas, merci de le partager. C’est en partie grâce à toi que ce blog a le privilège d’exister. Alors merci de le faire vivre 😉

À très vite amig@ !

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pleindetrucs.fr, le mode par défaut

Le mode par défaut qui régit ton monde

Quand on est dans une situation de doute, d’inconfort, de stress ou n’importe quoi qui ne soit pas confortable : on a tendance à rentrer dans son « mode par défaut ».

C’est-à-dire qu’on va agir automatiquement en fonction de nos habitudes.

Un exemple simple : Tu es fatigué, tu as faim, tu es un peu énervé, tu veux aller au restau. Dans ce cas-là, c’est fort probable que tu ailles dans un restau que tu connais déjà et que tu aimes bien.

Pourquoi ? Parce que c’est rassurant. Tu vas vers le confort de ce qui est connu.

De cette manière, dans une certaine mesure, tu es en contrôle de la situation. Tu sais que la nourriture va te plaire, tu sais que la serveuse est super sympa et tu as une idée assez précise du prix que tu vas payer.

C’est le mode par défaut.

Et ça s’applique pour tous les domaines, pas seulement la bouffe.

Autre exemple : Tu dois rendre un dossier important au boulot, tu es en retard, ton boss te met la pression. Pif, paf, tu passes en mode par défaut.

Et là, évidemment, le mode par défaut de chacun est différent.

Peut-être que ça te paralyse, que tu te fermes au monde, que tu te focalises sur ta tâche en suant ton stress à grosses gouttes, que ton cœur bat à cent à l’heure, que tu aimerais être ailleurs et que ton cerveau est sur le point d’exploser.

Peut-être que ça t’excite, que tu sens l’occasion de montrer ce dont tu es capable et qu’une énergie vibrante parcours ton corps.

Encore un exemple : Tu es en soirée et tu ne connais pas grand monde, tu aimerais rencontrer des gens.

Un mode par défaut possible : Tu ne parles à personne, tu attends qu’on vienne t’aborder, tu te dis qu’après tout, tu es nouveau(elle) ici et que ce n’est pas à toi de faire le premier pas.

Autre mode par défaut possible : Tu remarques quelqu’un qui te semble sympathique, tu viens te présenter et tu commences à t’intéresser à cette personne, tu lui poses des questions et tu ouvres le dialogue.

Bien sûr, il y a encore des tas et des tas d’autres modes par défaut possibles : tu peux faire des blagues avec tout le monde, tu peux boire comme un trou et ne plus savoir ce que tu racontes, tu peux te plaindre sans cesse, etc…

Ton mode par défaut, c’est ce que tu fais habituellement, en autopilote.

Et évidemment, en faisant un effort conscient, tu peux faire des choses différentes de ton mode par défaut.

Par exemple dans cette soirée tu peux délibérément te « forcer » à aller parler aux autres même si tu ne le fais pas d’habitude.

La puissance du mode par défaut, c’est que tu agis de telle ou telle manière PAR DÉFAUT. Au cas où ce serait pas encore clair pour certains…

Te lever à 5h du matin, tu peux évidemment le faire ponctuellement. Mais lorsque tu le fais tous les jours depuis plusieurs mois, ça devient ton mode par défaut.

Pareil pour aller courir 10km en fin d’aprèm tous les jours.

Pareil pour travailler 1h sur ton projet perso tous les jours.

Tu vois l’idée.

Alors, pourquoi je te parle de ce putain de mode par défaut depuis tout à l’heure ?

Parce que c’est extrêmement important pour déterminer la vie que tu mènes.

Imagine que ton mode par défaut te permette d’être en super bonne santé parce que tu manges équilibré et que tu fais du sport.

Imagine que ton mode par défaut te permette d’assouvir tes besoins psychologiques de connexion parce que tu arrives facilement à créer des liens avec les autres.

Imagine que ton mode par défaut te permette d’avoir une bonne confiance et une bonne estime de toi parce que tu as une discipline qui te permet de mener une vie en accord avec tes valeurs.

Certaines personnes voient la vie comme une succession d’actes isolés.

Ils se disent que dans la mesure où faire une action donnée leur semble super difficile, ils ne veulent pas persévérer dans cette voie.

Par exemple faire 10 séries de 10 pompes avant le petit dèj peut sembler inaccessible pour quelqu’un qui ne fait pas de sport.

Alors que pour quelqu’un qui fait de la boxe depuis des années, c’est un simple échauffement quotidien pour commencer la journée.

En pratique, je pense que les actions isolées n’amènent pas forcément de grands résultats.

À part se suicider ou braquer une banque ou d’autres trucs irréversibles du genre qui sont plutôt des fuites de sa propre réalité qu’autre chose.

Si tu veux atteindre un résultat donné, une action isolée ne te fera pas avancer des masses, il faut que ton mode par défaut te permette de l’atteindre.

À mon avis, c’est méga-important.

Alors, comment tu modifies ton mode par défaut ?

C’est simple :

  • Déjà, tu arrêtes de te plaindre. On s’en fiche que tu penses que c’est parce que ton papa ne t’écoutais pas quand tu étais gamin que tu es devenu timide maladif. On s’en fiche que tu crois que tu ne peux pas poursuivre tes rêves parce que tu dois t’occuper de tes enfants. On s’en fiche que tu aies des problèmes de gestion émotionnelle parce que tu as accumulé un paquet d’échecs dans le passé.

    Quand je dis, « on s’en fiche », c’est pas qu’on n’en a rien à faire, c’est juste que c’est comme ça et qu’on n’y peut rien.

    Alors ça ne sert à rien de s’en plaindre.Ta situation, c’est ta situation. Tu commences de là et tu fais avec.

  • Si tu veux une méthode détaillée et structurée étape par étape : tu lis mon livre, la Danse de l’Air. Facultatif !
  • Tu identifies ton mode par défaut actuel.
  • Tu identifies le mode par défaut qui te permettrait d’atteindre tes objectifs de vie.
  • Tu te donnes un objectif mesurable sur 30 jours pour progresser vers ton mode par défaut ciblé. En te basant sur ton mode par défaut d’aujourd’hui bien entendu. Hein, si tu n’as jamais fait de sport, ne commence pas par faire 100 pompes tous les jours avant le petit dèj, c’est un coup à te démotiver illico.
  • Tu tiens les 30 jours.
  • Puis tu continues.
  • Et bim ! Tu es sur le chemin pour atteindre tes objectifs ! Youpi !

Comme je l’ai dit, c’est simple mais c’est loin d’être facile.

En tout cas, prendre conscience de l’existence et de l’importance du « mode par défaut », ça m’a bien secoué la tronche.

J’espère que ça pourra te servir aussi.

Et avant de finir, je voulais te dire merci.

Merci à toi de lire mes articles. Ça servirait pas à grand-chose que j’écrive si tu ne me lisais pas.

Je sais que vous êtes de plus en plus nombreux à suivre pleindetrucs.fr et c’est vraiment cool.

Donc merci à toi, spécifiquement, qui a lu tout l’article et qui continue de lire ces mots !

C’est génial de partager ces réflexions avec toi. J’ai un max de gratitude.

Et j’aime bien l’idée qu’ensemble on peut aider des gens à se sentir libre dans leurs vies !

Merci de faire partie de l’aventure et qu’on avance ensemble 😉

Bonne journée amig@ et à très vite !

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Pourquoi certaines personnes réussissent ?

Dans la vie, il y des gens qui réussissent.

Et d’autres qui n’y arrivent pas.

Peu importe le sens qu’on accorde au terme réussir.

Il y en a qui sont bons à l’école. D’autres qui se fadent des résultats médiocres toute leur scolarité.

Il y en a qui apprennent la guitare en un mois. D’autres qui abandonnent au bout d’une semaine.

Il y en a qui sont des superstars sociales. D’autres qui n’ont pas d’amis.

Il y en a qui courent des marathons. D’autres qui commencent à fusionner avec leur canapé.

Il y en a qui ont un boulot qu’ils adorent. D’autres qui dépriment chaque matin.

La question du jour, c’est POURQUOI certains réussissent et d’autres non ?

Alors, évidemment les premières réponses qui viennent en tête, c’est :

La motivation et les capacités.

Et c’est clair que ça fait partie de l’équation.

Le truc, c’est que parfois, des gens sont hyper-motivés pour quelque chose, mais ils n’ont aucune progression.

Pour prendre un exemple bien parlant de notre jeunesse : la fille ou le gars qui bosse comme un malade pour avoir de bonnes notes à l’école et qui reste tout juste médiocre.

Ou celui qui veut sincèrement créer son indépendance financière mais qui, en pratique, n’investit son temps et son argent nulle part et reste employé.

Être motivé, ça ne suffit pas.

Alors ça voudrait dire qu’ils n’ont pas les capacités ?

Je ne pense pas non plus.

À mon avis, la motivation et les capacités sont loin d’être les seules causes de la réussite.

Ce qui différencie surtout quelqu’un qui réussit ce qu’il entreprend et quelqu’un qui échoue, c’est sa capacité à prévoir ce qu’il faut faire pour réussir.

C’est-à-dire sa capacité à comprendre l’implication réelle que demande le succès dans un domaine donné. Que ce soit le succès professionnel, amoureux, social, familial, sportif, etc…

J’aime bien appeler ça : l’épreuve de la réalité.

Par exemple, si tu crois qu’en t’entrainant à la guitare 10 minutes par jour, tu vas jouer comme Jimi Hendrix dans 3 semaines, tu te plantes complètement sur la réalité.

Tu auras beau être hyper motivé(e) et hyper compétent(e), c’est pas ça qui va te permettre de réussir.

Pourquoi ?

Parce que dans ta représentation du succès, il te fallait t’entrainer 10 minutes par jour pendant 3 semaines pour jouer comme Jimi.

Et là, au bout d’une semaine de pratique, avec tes doigts à moitié en compote et tes premiers accords qui sonnent comme un chat à l’agonie, tu réalises que t’étais loin du compte.

Alors soit tu révises ton idée de l’implication nécessaire pour atteindre ton objectif – Par exemple, disons 10 ans de pratique intensive dans le cas où tu aies déjà de grandes dispositions naturelles – soit tu révises tes objectifs – et tu te dis que si t’arrives à jouer « I’m yours » de Jason Mraz d’ici 3 mois, ce sera déjà très bien – soit tu te dis que finalement, tu n’en as pas tellement envie que ça, et tu arrêtes.

Pif, paf, erreur de pronostic au niveau du temps d’implication (entre autre). La réalité l’emporte.

Ça peut aussi être une erreur sur la méthode.

Si tu décides de pratiquer la guitare 8h par jour tous les jours mais que tu penses qu’il faut jouer les accords avec les cheveux et gratter les cordes avec tes omoplates… bon, outre le fait que tu aurais de graves troubles psychiatriques, tu aurais aussi de grandes difficultés à progresser.

C’est pareil pour ceux qui galèrent à l’école.

Peut-être qu’en théorie, ils pensent qu’il suffit de bosser 3h par soir pour progresser. Mais peut-être qu’en pratique, le temps de travail n’est pas le problème, c’est leur manière de l’utiliser.

Et pour celui qui piétine pour créer son indépendance financière, peut-être qu’il croit qu’il lui faut plus de compétences et l’assurance à 100% que son projet va marcher pour enfin se lancer. Mais peut être qu’en pratique, il n’y a jamais d’assurance à 100% qu’un projet va marcher. Peut-être aussi qu’en pratique, il ne pourra acquérir les compétences que lorsqu’il aura commencé.

Dans tous les cas, c’est une erreur sur les attentes et l’implication que demande le succès.

Et là, évidemment, la question qui brûle toutes les lèvres, c’est :

« Ok, jovial camarade, mais comment on fait pour deviner par avance ce qu’il faut vraiment faire pour réussir ? »

Content que tu poses la question mon petit farfadet à la myrtille, on va y répondre en moins de temps qu’il ne faut pour répéter 370 fois : « I’m blue, dabedee dabedaa ».

Peut-être que tu veux apprendre la guitare.

Peut-être que tu veux avoir de bonnes notes.

Peut-être que tu veux courir un marathon.

Peut-être que tu veux créer ton propre business.

Peut-être que tu veux devenir président(e) de la république.

Peu importe.

Il y a des gens qui l’ont déjà fait.

Demande-leur.

Lis-leurs biographies.

Renseigne-toi sur leurs vies.

Tant que tu ne l’as pas fait toi-même, ils savent mieux que toi.

Et si tu veux faire quelque chose que personne n’a jamais fait, il y a des gens qui ont déjà fait quelque chose qui s’en approche.

Ça te permettra déjà de te faire une idée de ce qu’il faut accomplir pour réussir.

Mais peut-être que ça ne suffira pas.

Peut-être que tu devras l’expérimenter toi-même : être confronté en pratique à la réalité.

Et peut-être que cette semaine de guitare avec tes doigts en compote et les feulements félins discordants te seront nécessaires pour réévaluer l’épreuve de la réalité.

Plus tu observes la réalité, plus tu réalises le véritable prix à payer de chaque chose.

Et tu décideras alors si tu es prêt(e) à le payer.

Tu peux souhaiter un résultat mais ne pas vouloir payer son prix.

Par exemple, j’aimerais dessiner comme Glenn Keane, mais je n’ai pas du tout envie à l’heure actuelle de passer 8h par jour à pratiquer pour y arriver.

L’épreuve de la réalité, ça te permet de réaliser ce qu’il te faut faire pour réussir et choisir si tu veux le faire ou non.

Tant qu’une idée se forme uniquement dans ta tête, tu peux avoir l’illusion du succès.

Tu peux croire dur comme fer que dans 3 semaines, tu joueras comme Hendrix.

Tu peux croire qu’en bossant 1h par jour pendant 1 mois, tu vas gagner 1000€ par mois sur internet.

Tu peux croire qu’en lisant des dizaines de livres de développement personnel, tu vas améliorer ta confiance en toi.

Tu peux croire qu’un jour tu vas découvrir comme par enchantement l’idée parfaite de ce que tu veux faire de ta vie.

Tu peux croire qu’en répétant les choses que tu fais déjà, tu auras des résultats différents.

C’est du flan.

C’est une réalité factice.

Le monde réel est dehors.

Le succès se mesure dans le monde réel.

Et tu auras beau être une personne compétente et motivée, si tu ne te confrontes pas à la réalité, tu n’auras aucun résultat.

Quelques principes à prendre en considération avec des chiffres complètement arbitraires :

  • Si tu veux atteindre un résultat, observe 10 personnes qui l’ont déjà atteint
  • Donne-toi un objectif quantifiable relativement court : 3 mois (Être capable de jouer « I’m yours », avoir défini ce qui te plaît vraiment et avoir créé et vendu un produit ou service dans ce domaine, arriver à courir 22km, etc…)
  • Décompose cet objectif en sous objectifs mensuels
  • Décompose ces sous-objectifs en sous objectifs hebdomadaires
  • Constate précisément là où tu en es à l’heure actuelle
  • Pratique UN MOIS
  • Constate tes résultats
  • Si tu progresses, continue
  • Si tu ne progresses pas (ou trop peu), re-observe les gens qui ont atteint le résultat que tu convoites (ou demande-leur de l’aide) puis change de stratégie
  • Recommence

Le succès, ça se planifie.

Comme le dit tonton Keith Ferrazzi dans « Never Eat Alone » :

« Foirer sa planification, c’est planifier son échec »

Alors pourquoi certaines personnes réussissent ?

Parce qu’elles connaissent le prix à payer pour réussir.

Et qu’elles le payent.

La motivation et les capacités sont juste des bonus.

Mais bon… encore une fois, c’est juste une idée !

Je veux bien ton avis là-dessus dans les commentaires.

Et merci de partager l’article si tu l’as aimé 😉

Ça ne te prendra que quelques secondes, ça pourra m’aider à développer le blog et ça pourrait même aider tes amis ! Merci !

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*Phoque* trouver sa passion

Tu te dis peut-être que si tu trouvais ta passion et que tu parvenais à en vivre, ce serait la panacée.

Tu ferais enfin un travail que tu aimes. Ton quotidien serait pur bonheur et fini les soucis.

La patate tous les matins. Chanter en sortant du lit. Pas de patron i tutti cuanti.

Ça, c’est le concept.

Seulement le concept.

Dans cet article, je vais tartiner une bonne couche de réalité sur le gâteau.

En mode ninja.

Premièrement : « trouver ta passion ».

Haha…

Hahahaha !

HAHAHAHAHAHAAAAAH !!!

Ok, je me calme.

Bon… à mon avis, on ne trouve pas sa passion.

La passion, c’est pas un truc qui se cherche, c’est quelque chose qui t’apparaît tellement évident que tu ne vois que ça.

Si tu avais une passion bien distincte, tu le saurais déjà.

Ça ne sert à rien de se triturer les méninges avec ça.

Et si tu n’as pas de passion dévorante, c’est pas grave amig@ !

Moi non plus j’en ai pas.

On est des gens (plus ou moins) normaux. Et c’est très bien comme ça.

Il y a quelques cas extrêmes qui savent exactement ce qu’ils veulent et qui n’en démordent pas. C’est super rare. C’est assez flippant.

C’est OK de ne pas être comme ça.

*Phoque* trouver sa passion !

En revanche, il y a des tas de choses que tu aimes.

Et ça, c’est une bonne base pour trouver/créer un travail qui te plaît.

Ce que tu aimes, en y réfléchissant un peu, tu le sais déjà.

Ce n’est pas une activité mystérieuse à découvrir, c’est devant tes yeux, tous les jours.

Qu’est-ce que tu fais de ton temps libre ?

Des trucs qui te plaisent, j’imagine. Sinon tu ne les ferais pas.

Obviously my wonderful schpetzle !

Alors, peut-être que tu fais de la cornemuse, peut-être que tu fais du poney, peut-être que tu lis des BD, peut-être que tu joues aux jeux vidéos toute la journée, peut-être que tu sculptes des autobus en papier mâché, etc…

En tout cas, dans une certaine mesure, ça te plaît.

Alors autant partir de là pour choisir ton activité.

Et là, j’entends vrombir le bruit assourdissant de la réplique :

« Ouieeeuh, mais si je faisais ça tout le temps, j’en aurais marre à un moment. Je préfère que ça reste un plaisir à côtéeeeuh. »

Et là, mes amis :

Gainage des abdominaux. Rotation du bassin. Bras lancé vigoureusement vers l’avant. Le boomerang est lancé. Il décrit une courbe majestueuse dans les airs, il revient… Et paf, dans ta tronche !

À ma connaissance, tu ne peux pas faire un truc qui te plaît à 100% tous les jours.

Non, non, non.

C’est n’importe quoi.

Même si tu avais le boulot de tes rêves, il y aurait toujours des complications de temps à autres. Des jours de galère. Des difficultés. Et des matins où tu n’as pas envie de te lever.

Il n’y a pas de solution miracle. La vie ça ne peut pas être tout rose tous les jours, même si un tas de films veulent te le faire penser.

Alors on en est là :

Te servir de ce que tu aimes pour le transformer en métier.

Ou alors :

Laisser ce que tu aimes à distance de ton activité professionnelle pour que ça reste tel quel immaculé.

Encore une fois, c’est ton choix. Pas le mien. Il n’y en a pas de bon ni de mauvais.

Perso, j’ai choisis de fusionner les deux : ce que j’aime et mon travail.

Je te donne deux exemples pour illustrer.

1. Avant de quitter la « vie normale », j’étais concepteur de jeu vidéo. Et même s’il y avait des tas de contraintes (horaires, choix des projets, etc…), je pouvais de temps en temps faire ce que j’aimais : créer des choses, dessiner…

Ce n’était pas ma « passion » absolue, c’était juste des trucs que j’aimais faire. Dans mon cas, davantage par exemple que faire des comptes ou ranger des paquets.

2. Maintenant, je peux voyager, écrire, aider des tas de personnes et partager des idées. J’adore ça. Et je gagne ma vie avec.

Le truc, c’est qu’il y a des jours de galère, des problèmes techniques, des obstacles imprévus et des difficultés. Et tout ça, ça fait aussi partie de l’équation.

Vivre de sa passion, c’est un concept raccourci.

Une image sexy qui occulte un gros pourcentage de la réalité.

Tu te rappelles ? Le prix à payer.

En pratique, voilà quelques idées clés :

  • Tu n’as pas besoin de trouver ta passion au sens ésotérique du terme
  • Tu peux être passionné(e) par un tas de choses diverses et variées
  • Tu es libre de trouver/créer un travail en fonction de ce que tu aimes

L’étape suivante, c’est de transformer tes centres d’intérêt en métier. C’est-à-dire, gagner de l’argent avec.

Parce que c’est possible.

Même si ton entourage te dit que c’est un meilleur avenir de devenir comptable plutôt que de faire de la BD.

Même si ça implique un prix à payer.

C’est une voie dissidente qui mérite d’être considérée.

Trouver ta passion n’est pas le vrai problème.

C’est une illusion qui te distance de la réalité.

Ça te permet de te dire que si tu la trouvais tout serait plus facile.

Mais si tu regardes dans le fond, tu sais bien que ce n’est pas vrai.

Le vrai problème c’est de trouver le courage de transformer ce que tu aimes en activité.

J’en ai déjà parlé ici.

Et  j’en reparlerai.

Si à l’heure actuelle tu ne vois pas comment gagner de l’argent de cette manière, la bonne nouvelle, c’est que ça s’apprend.

Et si ça te branche, je suis en train de créer tout un programme pour ça !

Avec des vidéos gratuites et un max de contenu.

Pour être tenu au courant, ça se passe par là :

Comment gagner de l’argent en faisant ce que tu aimes

Merci de partager l’article amig@. Mes idées, c’est tes idées, et elles ne peuvent vivre que si elles sont partagées ! Alors merci de cliquer sur les jolis boutons de partage ci-dessous pour que les gens que tu apprécies puissent aussi en profiter !

À très vite 😉