Dans ce FAT guide (7 chapitres biatch !) sur les prises de contrôle de ton cerveau (#PC)…
…je te propose tout d’abord une petite balade au pays du conditionnement.
Dit comme ça, ça sonne pas folichon à plein tube pour un premier chapitre mais détrompe-toi mein klitze klein apfel shtrudel :
L’objectif de cet article, c’est de te faire sentir la caresse du vent de la liberté au-delà du gros nuage nauséabond qui émane de l’asphalte et du béton de la prétendue normalité.
En gros, ça va t’apporter une bonne bouffée d’air frais et te mettre en jambe pour amorcer la domination totale de ton mental. Mwahahahaha !!!
D’ici la fin de ce chapitre #1, tu seras en face d’un choix. Le premier de la série. Ta réponse déterminera probablement le reste de ta vie. Rien que ça ^^
L’idée d’aujourd’hui, c’est que notre société n’est pas une forme ultime de légitimité.
As-tu accepté le « rêve » ?
Notre société expose ses STANDARDS et c’est NOUS qui acceptons de nous les imposer pour, sans faire de vague, s’y intégrer.
Depuis l’enfance, de toute part c’est le rêve de cette société qui nous est inculqué, par la télévision et par tous ceux qui l’ont accepté.
« Il faut travailler dur, faire de grandes études, gagner de l’argent, être beau ou belle, mince, cultivé… » La liste est longue. La liste est frustrante. La liste est impossible à être complétée.
Le conditionnement est extrême. Au point même qu’il en devient tabou de le questionner.
C’est comme ça. C’est comme ça que ça marche. Point.
Tous dans la même direction, 5 jours par semaine, à fond la caisse, jusqu’à la tombe !
Pourquoi ?
Parce qu’on a accepté le rêve de la société. Parce que tout le monde semble aller dans cette même direction. Parce qu’on a dit « Oui, c’est ça la normalité ».
Et pourtant… pourtant on se dit qu’il y a quelque chose qui cloche. Chacun dans son monde de verre. Chacun derrière son masque. Chacun noyé dans ses émotions.
Coincé dans son boulot. Coincé dans son couple. Coincé dans son milieu social.
Tout est passé sous silence…
« Je ne suis pas normal. » « Les autres ont l’air de savoir comment faire. » « Je ne suis pas à ma place. »
Solitude, peine, souffrance, honte, réjection.
C’est très fin, c’est diffus, ça s’infuse dans nos veines.
Ça suinte et ça pue, ça incite à la haine.
Seul. Seul avec les autres.
Mais heureusement, il y a du bon dans tout ça !
Il y a les amis (parfois), la famille (parfois), le succès (parfois), les vacances (parfois)…
On se dit que c’est bien, que ça rend le reste supportable. On peut même être heureux comme ça. C’est une belle compétence que de pouvoir l’accepter.
Cependant, ce n’est pas à la portée de tout le monde.
Accepter la fatalité de son existence, ça demande de faire taire son enfant intérieur, ses rêves, ses aspirations.
Ça demande aussi de s’imposer de nouveaux rêves, les rêves proposés par la société.
Gentiment, en silence, sans se faire remarquer, préférer la sécurité, toujours.
Tout le monde n’a pas envie de suivre ce chemin là.
C’est ce qui fait que j’écris ces lignes. C’est ce qui fait que tu es en train de les lire.
Parce que pour nous, nos rêves, nos aspirations, on ne veut pas y renoncer.
On veut leur donner de la voix. On veut les faire chanter au-delà du tintamarre imposé.
Et on en a parfaitement le droit.
Regardons les choses sous un autre angle :
Le rêve de la société est une construction standardisée. C’est une vue de l’esprit qui s’est imposée progressivement au fil des années. À travers les époques, les philosophies, les religions.
La société n’a pas raison. Elle est juste majoritairement acceptée.
Ses valeurs sont définies, fixes dans une époque donnée, et révérées.
L’humain idéal de la société est hautement standardisé.
Hautement standardisé dans une société pleine d’individualités.
Comment une norme standardisée pourrait-elle s’appliquer parfaitement à une masse d’individus aussi divers que variés ?
Réponse : Elle ne le peut PAS.
Elle peut simplement toucher le plus grand nombre. Ceux qui ont décidé de ne pas l’interroger.
Alors que faire si l’on n’entre pas dans le moule ?
On peut ouvrir les yeux.
On peut se dissocier du rêve de la société.
On peut accepter de vivre son propre rêve.
On peut commencer à considérer la société comme une amie un peu bornée mais pas méchante.
On peut considérer tous ses bons côtés.
On peut même s’en faire une alliée.
On peut changer notre rôle en son sein sans en être éjecté.
Et petit à petit, par l’exemple, on peut la changer, Elle, avec amour, pour la rendre plus agréable à vivre.
Comment ?
Tout d’abord… en changeant légèrement de paradigme.
Parce que ta vision du monde, c’est ce qui va déterminer tes choix de vie.
Et que tes choix de vie, ce sont eux qui vont déterminer la vie que tu mènes au quotidien et la personne que tu es.
Au début de ce chapitre, je te disais que t’allais te retrouver face à un choix qui pouvait bouleverser ta life, en mode furious…
Le voici :
1/ Préserver le status quo, accepter « le rêve de la société », oublier cet article et gentiment poursuivre la course à la normalité
OU
2/ Envisager un instant − le temps des 7 chapitres de ce guide − que ton rêve personnel puisse être distinct de celui de la société et qu’il est tout autant LÉGITIME
C’est juste un choix.
Mais c’est un choix qui peut avoir un impact titanesque sur l’aspect que ton quotidien va prendre.
Imagine qu’en changeant simplement quelques-unes de tes perceptions du monde, tu puisses avoir des résultats complètement nouveaux.
Comme ne plus avoir à porter de masque et embrasser de tout ton être tes aspirations profondes, sans culpabilité et sans peur.
Pas trop naze huh ?
Dans la suite de ce FAT guide sur les Prises de Contrôle de ton mental (#PC), je te propose juste une manière de voir le monde.
Elle n’est pas meilleure ou pire qu’une autre mais au vu de mon expérience − perso et en tant que coach gourou interplanétaire (ok… je m’emballe un peu !) − elle te permettra d’assumer pleinement ta position par rapport aux attentes des autres…
…et elle te permettra surtout de te sentir suffisamment PUISSANT(E) pour avoir le courage de construire ta vie en fonction de TES valeurs…
…sans te sentir égoïste ou « pas à ta place » pour autant.
Alors si t’as pas froid aux yeux et que t’es prêt(e) à questionner les mantras de la normalité…
Well, well, well my beautiful Muffins…
…alors ce FAT guide est pile poil pour wat 😉
Prépare-toi à dominer majestueusement ton mental sans flipper comme une flippette !
Dans le #PC2, on va voir comment tu peux avoir un impact énorme sur ta vie et ton environnement en maîtrisant le jeu de la société.
Ça va dépoter grave !
Puis il y aura encore 5 autres chapitres pour finir la full maîtrise de ton cerveau (7 en tout donc !) ^^
AUSSI…
Si t'as pas le temps de TOUT lire tout de suite… pas de soucis nuggets… je suis en train de t'agencer ce guide des #PC dans un bon gros ebook PDF avec un tas de bonus (notamment des exercices et des checklists avec les points essentiels !).
Comme ça tu pourras le télécharger direct sur ton ordi ou ton tel et le bouquiner au besoin :
Rien à ajouter ! Au passage c’est vraiment très bien écrit ! 🙂 Et oui, la société presse et oppresse, c’est toute une prise de conscience que de décider que l’on peut faire autre chose de notre vie, que l’on peut voir les choses qui nous arrivent sous un autre angle !
Cet article donne bien envie de se pencher sur la question !
J’attends les autres avec impatience 😉
Merci 🙂
C’est exactement ça !
J’ai hâte aussi de les écrire et que vous puissiez les lire !!
Très bon article encore je trouve !
Je suis super d’accord avec toi, être dans l’antagonisme envers la « société » ce n’est pas très constructif… Peace !
Merci bien pour les conseils Damien ; )
Merci ! Et avec plaisir !
L’article de la semaine prochaine (le #PC2) va apporter pas mal de solutions pour aborder la société sous un angle sympatoche ! J’espère aussi qu’il va te plaire man 🙂
Beaucoup de résonance pour moi cet article, je sens que je vais aimer cette série !
Le changement de point de vue est en effet une clé dans ce processus, en passant de « je ne suis pas normal » à « je suis unique et pour un individu quoi de plus normal » ? 🙂
Et je pense qu’il y a beaucoup de gens angoissés par tout ça en se sentant « prisonnier du système » comme étranger à eux-mêmes mais qui n’ont pas à leur sens la ressource de franchir le pas alors qu’au fond on l’a tous 🙂 parfois c’est plus simple de vivre dans un « c’est pas si pire » une sorte de médiocrité, s’accorder le meilleur c’est se lancer sur la voie de l’inconnu, la nécessité de sortir de sa zone de confort, et donc la nécessité de prendre une grande respi et de se lancer avec courage ! ^^
Super synthèse de l’article avec des mots très bien choisis !
Content que ça te plaise et hâte de continuer l’aventure avec toi !
Salut Damien,
En bon élève, je commence la lecture de ton blog par le commencement… Eh bien je ne suis pas déçu ! 🙂
En plus de la qualité de l’article, j’aime beaucoup ton écriture très inspirante qui nous incite à une prise de conscience de la réalité des choses.
La plus belle phrase est l’une des questions que tu (te) poses dans l’article : Comment une norme standardisée pourrait-elle s’appliquer parfaitement à une masse d’individus aussi divers que variés ? Je crois qu’elle résume assez bien tes propos mais aussi ma façon de penser : nous avons chacun notre propre personnalité, nos propres rêves, notre propre vision des choses !
Merci pour ton article et au plaisir,
Jérôme
Content que ça te plaise Jérôme !
Merci pour ton commentaire.
À bientôt
Salut Damien !
j’aime beaucoup cet article d’introduction et l’idée d’une série.
Ce n’est pas facile de décider quoi faire de sa vie. A l’école, on nous forme tous de la même manière alors que nous sommes tous différents. C’est une source d’échecs pour mal de personnes qui ne s’y retrouvent pas.
Certains parents souhaitent nous pousser à faire certains choix qui ne sont pas les notres, pour notre bien… mais qui ne nous rendront pas heureux.
Cette question de décider de ma vie, je me la suis posée dans la trentaine seulement, à un moment où j’avais des choix à faire et surtout, ou j’avais la bonne latitude pour faire ces choix.
D’un autre côté, il y a certaines personnes, comme ma copine, qui aiment leur routine. Le boulot, les collègues, les potes le week-end, un peu de sport, la télé et les vacances. On ne peut pas leur en vouloir non plus. Ce sont des styles de vie différents.
Je vais continuer la série 😉
Merci et à bientôt !
Sandrino
Salut Sandrino !
C’est exactement ça, on ne nous informe pas forcément de tout ce qu’on peut faire. On nous présente certains choix standards et il nous reste à trouver celui qui fera l’affaire.
Ce que je propose dans cette série c’est d’ouvrir de nouvelles pistes.
Il n’y a aucun jugement de valeur. Je ne pense pas qu’il y ait de meilleurs choix de vie que d’autres dans l’absolu. Que l’on aime sa routine ou que l’on aime en sortir, tout est bon du moment que ça nous correspond ^^ Suffit de trouver sa voie. Les #PC soulèvent pas mal d’idées à ce propos.
Ensuite, être heureux, c’est une autre paire de manche… je suis en train de préparer une nouvelle série sur le sujet, ça va bombarder !
Merci pour ton commentaire.
À très vite !
Sympa ton article.
Passer du constat pragmatique à ce côté motivationnel, bien ! 🙂
Je ne sais pas si tu as remarqué mais aujourd’hui il y a de plus en plus de personnes qui prennent conscience que ce schéma très « baby-boomers » n’est pas à notre image.
Les attentes et les besoins ne sont pas les mêmes que nos parents, il y a plein de choses qui ont changé et accepter et plein de choses que l’on doit abandonner pour avancer et aussi accepter.
Ca passe par la prise de conscience comme tu le dis.
Enjoy !
Merci Jordane :p
Carrément d’accord avec toi !
PS: Je viens de faire un tour sur ton site, il est cool 😉