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Que faire quand les résultats ne viennent pas aussi vite que tu le voudrais

Mon frère est en train d’acheter/rénover un restau avec sa femme. Ces temps-ci, je leur donne un coup de main pour les travaux.

Il y a une paire de jours, une de nos missions était de défoncer un escalier en béton qui semblait prendre racine dans les entrailles de la terre. Le truc était mastoc.

Alors armés d’énormes masses, petit frère et moi − deux braves gaillards d’1m90 et 1m85 – nous nous sommes mis à l’ouvrage.

On allait asséner le premier coup. La masse se lève dans les airs, suspendue un instant, puis en une fraction de seconde, elle rejoint avec fracas le colosse de béton. Un bruit sourd résonne.

On regarde l’escalier. Rien. La surface est à peine marquée. On recommence. Et ça une dizaine de fois. Les dégâts sont superficiels. On se regarde, un peu désemparés. On avait pris l’habitude de défoncer des gros pans de murs en quelques coups à peine et là… quasiment que dalle.

On doute de notre technique, de notre force. Peut-être qu’il nous faudrait une machine ? On essaye d’utiliser d’autres outils mais rien ne nous parait vraiment adapté. On se remet à la masse.

Et là, après quelques coups supplémentaires, un coup vient tout changer. Ce coup n’était pas plus fort, ni mieux placé qu’un autre. Pourtant une fissure se crée sur toute la longueur de notre adversaire minéral.

À partir de là, un coup de masse après l’autre, le titan de béton se disloque et on le réduit rapidement en gravas.

Ça m’a fait penser à un truc. Ce que j’appelle « les progrès invisibles ». Quand t’as beau travailler sur un projet et que tu ne vois aucun résultat.

Comme quand tu te mets à la guitare, que tes doigts souffrent milles tourments et que malgré tes efforts, tes oreilles saignent à chaque fois que tu émets un son. Ou quand tu lances ton business, que tu passes tes journées à bosser et que ton compte en banque reste vide et désolé comme un désert de poussière.

Dans ces moments-là, tu te demandes ce que tu fais de travers. Tu questionnes tes compétences, ta stratégie et même ton désir initial de te lancer dans cette nouvelle aventure (peu importe le truc que t’as envie d’accomplir d’ailleurs).

Et tu sens monter en toi cette envie latente d’abandonner. Parce que si les résultats ne viennent pas, à quoi bon continuer ?

Donc je vais te dire un truc. Un truc qui m’aide à fond quand je galère à VOIR des résultats dans mes projets.

Installe-toi confortablement, c’est parti :

 

Les progrès invisibles

Ça fait deux fois que je mentionne cette notion de « progrès invisibles »¹. Dans l’intro, je te disais que c’est quand tu bosses sur un projet sans voir de résultats arriver. Là, je vais étoffer un peu la définition.

Quand je te parle de « progrès invisible » malgré l’invisibilité des résultats, je te parle aussi de la notion de progrès. C’est-à-dire que tes progrès EXISTENT même s’ils ne sont pas visibles. Et c’est la clef du concept.

Quand on voit un résultat final du genre :

  • Parler anglais
  • Être propriétaire
  • Savoir surfer
  • Jouer du piano
  • Danser la salsa

On constate un résultat mais on ne VOIT pas le TRAVAIL derrière ce résultat.

Par exemple, imaginons quelqu’un qui rentre dans la pièce ou on défonçait l’escalier de béton avec mon frère. Imaginons que cette personne rentre juste avant le coup qui a fissuré l’imposante masse grise. Cette personne pourrait penser « Tiens, il suffit de donner un bon coup de masse pour péter un escalier de cette trempe ! ». Et évidemment elle aurait tout faux : parce qu’elle n’aurait pas vu les progrès invisibles derrière ce résultat.

En d’autres termes :

Ce n’est pas le 20ème coup de masse qui a fissuré l’escalier, c’est l’accumulation de 19 coups de masse invisibles qui a permis au vingtième d’être aussi impressionnant.

Et c’est pareil dans n’importe quel apprentissage.

Pour le jeu d’échecs : J’étais « bloqué » à un score de 1100 (c’est un niveau débutant) pendant des mois et j’avais l’impression que je n’avançais pas d’un broc malgré ma pratique régulière. Puis un jour, je sais pas exactement ce qu’il s’est passé mais j’ai « compris » une nouvelle vision du jeu et j’ai gagné presque 200 points de classement en quelques semaines (ce dont je suis assez fier, je l’avoue, même si je reste un joueur du dimanche ^^).

En surf : Pendant des semaines, je n’arrivais pas à me mettre debout sur un shortboard (c’est une planche avec une forme effilée à l’avant et qui mesure en général moins de 6 pieds 1 pouces (soit 1m85)). Pourtant j’étais à l’aise sur des planches de plus de 6’3 (soit 1m90). Puis un jour, en apparence comme les autres, sans identifier clairement ce que j’avais fait de différent, je me suis levé sur un shortboard et depuis, j’y arrive !

Je pourrais mettre des dizaines d’exemples en fait.

Concrètement, il y a une phase ingrate lorsqu’on poursuit n’importe quel objectif, c’est la phase où les résultats ne se voient pas (ou très peu). Et cette phase peut durer plus ou moins longtemps.

De manière générale, plus le projet est ambitieux, plus la phase de progrès invisibles est longue.

Par exemple, si tu veux écrire un best-seller, il te faudra probablement entraîner ton écriture pendant des années avant d’atteindre le résultat que tu veux VOIR se réaliser.

L’idée est de garder en tête que même si les progrès ne se voient pas, tant que tu passes à l’action régulièrement, tu restes en progression.

Donc…

 

Que faire quand les résultats n’arrivent pas aussi vite que tu le voudrais

1/ T’assurer que tu avances dans la bonne direction. Si tu veux scorer plus de point au basket, mieux vaut pratiquer ton shoot plutôt que de regarder fixement le compteur de point. Ça paraît évident mais si tes actions actuelles ne sont pas adaptées à l’atteinte de l’objectif, t’auras beau y passer du temps, ça te fera pas avancer. Comment t’assurer que t’avances dans la bonne direction donc ? Demande à des gens qui ont DÉJÀ atteint l’objectif que tu poursuis. Par exemple, en ce moment je cherche un nouveau bien immobilier, tout le monde a un avis à me donner là dessus mais je préfère suivre les avis des personnes qui ont DÉJÀ des biens ET qui ont de bonnes rentabilités dessus (je préfère même l’avis de ces personnes à celui des agents immobiliers qui sont censés s’y connaître mais qui n’investissent pas eux-même).

2/ T’assurer que ta pratique est suffisamment régulière. Si tu veux apprendre une langue et que tu pratiques une fois par mois, tu vas pas progresser des masses. En revanche si tu te fais une ou deux sessions par jour (même des sessions de seulement 10 minutes), tu vas voir les résultats arriver beaucoup plus vite. Garde en tête que le plus important pour avoir des résultats, ce n’est pas la durée entre le moment où tu as commencé et la date actuelle, c’est la régularité de la pratique !

3/ T’assurer de surmonter les périodes creuses et ne pas t’arrêter. Si tu veux avoir des résultats significatifs dans n’importe quel domaine, il te faudra traverser les périodes de doutes. Tu ne peux pas être vraiment balèze dans quoi que ce soit si tu abandonnes à la moindre difficulté. Donc mets en place des stratégies² pour garder le cap quand tu es perdu dans la tempête et que tout te paraît difficile. Par exemple en prenant du recul sur la situation et en te remémorant pourquoi tu as commencé ton aventure en premier lieu.

Une fois que tu as checké tous ces points – que tu vas dans la bonne direction, que tu passes à l’action régulièrement, et que tu t’es préparé(e) à surmonter les périodes creuses – il te reste à être patient(e) et persévérant(e)³.

Alors un jour, à force de ténacité, et sans trop savoir exactement quel a été le point de bascule, le résultat que tu poursuivais apparaîtra plus clairement que jamais :

  • Tu joueras ton premier morceau de guitare
  • Tu seras en pleine conversation en Japonais
  • Tu trouveras ton premier client
  • Tu publieras ton premier bouquin
  • Tu planteras ton premier dunk au basket

Et au fond de toi, tu sauras que ce n’est pas une transformation miraculeuse du jour au lendemain, mais que ce sont tes progrès invisibles qui payent enfin. Parce que chaque minute que t’as investi dans ton objectif t’a fait avancer d’un poil dans sa direction… jusqu’à son accomplissement !

Alors quand les résultats n’arrivent pas aussi vite que tu voudrais, rappelle-toi cette notion de progrès invisible. Parce que ces progrès sont la véritable ossature de l’aboutissement de n’importe quel projet.

Il vaut mieux avancer lentement avec régularité – même quand ces avancées ne se voient pas − que de s’arrêter avant d’avoir franchi la ligne d’arrivée.

J’espère que ça t’aura donné une perspective intéressante pour garder la motivation et savoir quoi faire quand les résultats n’arrivent pas aussi vite que tu le voudrais. Pense bien à graver cette notion quelque part dans ton cerveau pour que ça puisse t’aider non-seulement aujourd’hui, mais aussi pour le reste de ta vie !

En ce moment, je suis rentré en France et je suis en mode immobilier, je cherche un nouveau bien pour moi et je donne un coup de main au brother. En parallèle de ça, je suis en train de préparer la nouvelle session d’Easy Business 2019 pour lancer ton business et devenir indépendant(e) cette année. Je pense y ajouter pas mal de choses : notamment une section sur l’investissement et de nouvelles vidéos de psychologie comportementale pour garder la motivation. Si ça t’intéresse, je te parle de tout ça sur la page Travailler avec moi.

Bonne journée et à bientôt pour de nouvelles aventures !

► Damien

¹ Cherche pas le terme ailleurs, c’est moi qui l’ai inventé ^^.
² J’ai développé une stratégie complète pour surmonter ces phases. Elle s’appelle DRASAA et je la partage dans mon programme La Structure de la Réussite.
³ Ce sont les deux qualités essentielles pour passer ce que l’on appelle les « phases de plateau ».
⁴ Dans la limite de tes capacités maximales : par exemple tu auras plus de mal à jouer en NBA si tu fais 1m60 que si tu fais 2m (quoique Muggsy Bogues l’a fait ^^).
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La sagesse du ravioli : Comment découvrir ce qui te passionne

pleindetrucs.fr

J’étais dans la longue file d’attente d’un restaurant de raviolis vapeur. À Taiwan. Un mec barbu me donne un papier avec des cases à cocher. Apparemment c’est le menu. Le hic ? Il est intégralement en chinois.

Je regarde la foule, perplexe. Deux filles derrière moi remarquent mon air dubitatif et se mettent à rigoler. Elles me disent qu’elles parlent anglais et qu’elles peuvent m’aider à traduire. Je suis sauvé ^^

On commande et on s’assoit à la même table. Ce sont des touristes japonaises (elles lisent les caractères chinois parce qu’ils sont similaires aux Kanjis japonais). Elles sont là pour faire du surf.

Ça a l’air sympa. Je note l’idée « essayer le surf » dans ma tête. Et l’une d’entre elle me propose de venir au Japon à l’occasion. Elle peut me trouver un logement. Je note aussi l’idée.

Un mois plus tard environ, je rends mon appart dans le sud de Taiwan et je remonte la côte Est. En traversant un petit village, sur le bord de la rue principale, je vois un genre de bar avec des tas de planches de surf. Je me dis que c’est l’occasion.

Je rentre dans le bar et réserve une session pour le lendemain. Je suis excité mais je ne sais pas vraiment à quoi m’attendre. Je trouve un endroit où passer la nuit.

Le réveil sonne, je me prépare. Avec un petit groupe d’aspirants surfeurs, on monte dans le 4×4 qui nous amène à la plage. Je ne m’en rendais pas compte à l’époque mais plus rien ne serait jamais comme avant.

C’était venu de nulle part. Et ça allait peser dans la balance pour toutes mes décisions à venir. Commencer le surf a orienté tous mes choix de vie depuis lors.

Après cet épisode à Taiwan, je suis allé au Japon. Dans le logement que la fille m’avait proposé. Là-bas, mon voisin était un surfeur. J’ai surfé presque tous les jours. Puis après un passage au Canada et en France, je suis allé m’installer aux Canaries. Pendant 10 mois. J’étais pote avec le prof de surf du coin. Il m’a appris un tas de choses au point où j’ai même donné des cours dans son école ! Et là, je suis au Portugal et les premiers potes que je me suis fait : des surfeurs.

Quand je pense aux activités qui ont le plus d’importance dans ma vie, je réalise que je suis tombé dessus par hasard.

  • Être entrepreneur
  • Investir
  • Écrire
  • Surfer
  • Lire
  • Dessiner
  • Jouer de la guitare
  • Jouer aux échecs

Tout a commencé comme de simples « essais » et ça a pris de plus en plus de place.

Souvent, je reçois des mails de personnes qui me demandent comment trouver ce qui les passionnent vraiment. Et ma réponse est ultra simple : essaye plein de trucs (point FR, toi-même tu sais 😉).

Le problème dans cette solution… c’est qu’elle est pas facile à suivre :

La plupart des gens veulent savoir ce qui va leur plaire AVANT d’avoir essayé. Comme s’il y avait une activité « faite pour eux » qui les attendait quelque part et qu’il suffisait qu’on leur apporte la solution pour que tous leurs doutes existentiels disparaissent en fumée.

Du coup, au lieu de chercher activement leur réponse, ils attendent qu’elle tombe du ciel ou qu’un mec sur internet la trouve à leur place.

Pourquoi ? J’en suis pas sûr. Peut-être parce que la société de consommation nous prémâche le travail et que tout est fait « à notre place ». L’effort et l’incertitude ne sont pas les bienvenus. On veut notre big mac chaud avec le même goût que d’habitude prêt en 5 minutes.

Je dis pas ça comme une critique de la société mais plutôt comme un constat. On nous encourage à favoriser la sécurité et le moindre effort.

Ce qui nous amène à un résultat appréciable : le confort.

Le confort est agréable. Mais le confort n’apporte pas de solutions.

Pour ceux qui sont biens comme ça, le confort fait l’affaire. Mais pour ceux qui sont en quête de quelque chose, le confort c’est l’ennemi.

Parce que la richesse de la vie se passe à l’extérieur de cette zone de confort. Dans le territoire de l’incertitude.

C’est là que l’on trouve ses propres réponses. C’est là que l’on accompli ses rêves.

Et c’est l’aventure la plus gratifiante que l’on peut mener.

Comment découvrir ce qui te passionne ?

Sois ouvert aux suggestions. Essaye un tas de trucs.

Peut-être qu’une discussion autour d’un bol de ravioli va changer ta vie.

PleinDeTrucs.fr

– Damien | Surfeur philosophe ravioliphage

PS : Toujours là ? Muito bem ! Je suis en train de réfléchir à un programme complet sur cette notion « d’explorer le territoire de l’incertitude », si ça t’intéresse je t’invite à aller faire un tour sur cette page 😉

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Le tabou de l’argent : Comment ne pas passer sa vie à la gagner

PLeinDeTrucs.fr

Mais pourquoi tu parles toujours d’argent ? »

La phrase sonnait comme un reproche. Il était un peu plus de 20h, nous étions assis sur l’herbe au bord d’une falaise et le soleil se couchait dans l’océan.

Sur le coup, je ne comprenais pas pourquoi elle me disait ça. J’hausse un sourcil en la regardant. Elle enchaîne : « Tu sais, hier quand on parlait avec T. tu lui as demandé combien il gagnait en tant que surfeur pro ».

« Et alors ? »

« Bin c’est bizarre quand même. Et le jour d’avant t’as demandé à J. combien coûtait sa maison ».

Je souris gentiment. C’est ça qu’elle entendait par « toujours parler d’argent ». Je lui répondis que ça m’intéressait.

Cette remarque, je l’avais déjà entendu une paire de fois. Et je la trouvais étrange : Pour certaines personnes, parler ouvertement d’argent, c’était trop en parler.

C’est vrai que de manière générale, les gens ne parlent pas d’argent. Comme si aborder le sujet réveillait une sombre magie vaudou qui leur brûlait la langue et les oreilles. Et quand le thème est mis sur le tapis ils disent que « pour eux ce n’est pas important »…

Pas important ? Ils sont sous LSD ou quoi ! Ces même gens qui passent leurs journées à bosser pour des ronds. Si l’argent n’était pas important, ils n’auraient rien de mieux à faire ?

Bien sûr que l’argent est important ! Et je connais personne qui cracherait sur un million d’euros. Pas même mes amis hippies.

L’argent est important et c’est en grande partie pour ça qu’on travaille autant. Ne pas le reconnaître, c’est se voiler la face.

Et comme l’argent est important, c’est normal d’y accorder son attention. Comme pour un ami.

Si tu disais d’un ami « il n’est pas important pour moi », tu crois qu’il resterait longtemps à tes côtés ? Bien sûr que non. L’argent, c’est pareil.

L’argent est une composante de la vie en société. Pas la plus importante, loin de là, mais importante quand même. Et c’est donc normal d’en parler.

Quand tu as de quoi te payer un toit sur la tête, de quoi manger et de quoi te divertir, tu peux accorder ta pleine attention à ce qui compte vraiment : tes relations et ton épanouissement personnel.

Il y quelques années, je ne pensais pas vraiment à l’argent. J’avais plus ou moins accepté le statu quo : ne pas parler d’argent, consacrer 5 jours par semaine à en gagner et cotiser patiemment jusqu’à la retraite. Je voyais aucune autre option.

Jusqu’à ce que je me mette à questionner cette « normalité ». À réaliser à quel point c’était étrange de ne pas réfléchir et parler ouvertement d’argent alors que l’essentiel de nos vies éveillées est consacrée à en gagner.

En regardant (enfin) le sujet en face, j’ai cherché des alternatives. C’est comme ça que j’en suis arrivé à entreprendre, à investir, à raffiner mon concept d’Homme Libre au Repos.

Et j’ai réalisé quelque chose : investir son temps, son énergie et son argent pour « comprendre l’argent », c’est un des trucs les plus utiles au monde. Parce que ça te permet de gagner plus d’argent sans faire plus d’efforts. Et par conséquent, ça te libère du temps pour faire d’autres choses : voyager, lire, surfer, passer du temps avec les gens que t’aimes.

Aujourd’hui, j’ai la chance d’en profiter tous les jour. Tout ça parce que j’ai osé briser le tabou de l’argent et commencé à réfléchir au sujet.

C’est pour ça que je parle d’argent. Que je reste à l’affût des opportunités. Que je demande combien coûte une maison dans un quartier qui me plaît.

Il y a des gens qui foncent les yeux fermés dans le tunnel du quotidien sans réaliser que l’essentiel de leur vie glisse entre leurs doigts à la poursuite de l’argent. Et d’autres qui réalisent l’absurdité de la chose et qui y réfléchissent délibérément.

L’argent, c’est pas un sujet mystique à éviter, c’est quelque chose qui fait partie de notre quotidien.

Et selon notre rapport avec lui, il peut nous aliéner ou nous libérer.

Alors pense à l’argent. Parles-en.

Parce que tes choix financiers déterminent en partie la qualité de la vie que tu vas mener.

– Damien | Investisseur Vaudou