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Bilan de mes 30 ans

Je viens d’avoir 31 ans aujourd’hui.

Oooooooh !

Et je me suis dit que c’était l’occase de faire un point sur l’année qui vient de passer.

Prendre du recul sur le bon, comme sur le moins bon.

Histoire d’en tirer quelques leçons et apprentissages qui me serviront pour la suite.

Le but, c’est d’être aussi objectif que possible.

Pas seulement pour analyser ce qui s’est passé ces 12 derniers mois, mais surtout pour voir si j’avance dans une direction qui me plaît et prévoir mes prochaines étapes.

Je pense que ça vaut le coup de faire ça.

Pour chacun d’entre nous.

Que ce soit pour ton anniversaire, le jour de l’an ou une date arbitraire – genre aujourd’hui !

Parce que notre passé est figé mais notre interprétation de celui-ci est un atout pour nos choix futurs.

Donc pour ce bilan de mes 30 ans, je vais répondre à ces 3 questions ¹ – t’es bien entendu libre de les utiliser aussi :

  • Qu’est-ce qui s’est bien passé cette année ?
  • Qu’est-ce qui aurait pu mieux se passer cette année ?
  • Qu’est-ce que j’ai appris cette année ?

Go !

1. Qu’est-ce qui s’est bien passé cette année

Voyages. J’ai passé mon trentième anniversaire à Taiwan. Et je me suis rasé la tête pour l’occasion… lol.

La preuve ! Pour les septiques : ouais, c’est bien moi ^^ Certes, c’était pas un franc succès mais c’était fun !

Avant ça, j’étais au Viêtnam pendant 4 mois. Après Taiwan, je suis parti 3 mois au Japon. Un mois au Canada. Puis un mois et des brouettes en France. Et je me suis installé aux Canaries depuis Octobre (ça fait environ 7 mois donc et c’est d’ici que j’écris cet article !). J’ai adoré toutes ces destinations et j’ai une gratitude immense d’avoir un mode de vie qui me permet de voyager de la sorte 😀

Moments partagés. Mes voyages n’auraient pas la même substance sans les  personnes avec qui je les ai partagés. Que ce soit de nouvelles personnes, ma famille ou des amis de toujours. Que ce soit Tinh et sa famille au Viêtnam, Lupi à Taiwan, Toshiomi, Toshi et Sascha au Japon. Gu, Karla, Julie, Alex, Boris, Gonzalo, Guru, Lea, Erica, la famille au Canada et aux Canaries. Merci infiniment de faire partie de ma vie !

Programmes en ligne. Cette année, j’ai créé un nouveau programme dont je suis très fier : Ton Chemin vers l’Indépendance. L’objectif étant de permettre à mes clients de trouver une idée de business pour s’épanouir et gagner de l’argent. Je suis pas forcément méga-fan du nom (« Ton Chemin vers l’Indépendance » abrégé CVI), mais le contenu est au top – en toute objectivité :p ! J’ai passé 5 mois à créer ce programme, dont 2 avec un super groupe : Le Golden Nuggets Gang (dédicace !) qui m’a permis d’améliorer le programme grâce à leurs feedbacks continus. Merci le gang ! Je suis particulièrement fier d’avoir créé un programme online de cette qualité et de le proposer à un prix aussi bas pour aider les aspirants entrepreneurs à trouver quoi faire. Surtout quand je le compare à des programmes que j’ai acheté cette année dans les 500 balles ( juste pour comparer avec le mien) et dont le contenu et le suivi sont clairement moins bons :s

Investissements en cryptomonnaies. J’ai eu la chance d’investir dans les cryptomonnaies il y a deux ans. Grâce aux conseils d’un de mes meilleurs amis, Max. Et cette année de mes 30 ans a aussi été lucrative de ce point de vue. Ma technique d’investissement consiste à appliquer ce que Max m’a enseigné sur l’analyse de courbe et les comportements du marché. Et ça a marché du tonnerre pour moi ! Un énorme merci à toi man 😉

Surf. J’ai découvert le surf la VEILLE de mes 30 ans. Ça a été une révélation ! J’avais rencontré Kumi, une japonaise à Taiwan qui m’avait motivé pour en faire… et ça a été une expérience incroyable. À partir de mes premières vagues à Dulan (au Sud-Est de Taiwan), j’ai eu envie de surfer encore et encore. Je suis ensuite allé surfer quelques mois au Japon dans la région de Miyazaki. Et c’est une des raisons pour lesquelles j’ai choisi les Canaries pour m’installer un peu plus longtemps à l’heure actuelle (le surf est excellent par ici !). La semaine dernière, j’ai eu la chance de surfer avec ma famille : mes parents, mon frère et ma belle-sœur et c’est probablement l’un de mes meilleurs souvenirs de l’année ! Gratitude max.

Lecture. Même si j’ai moins lu qu’à d’autres périodes, j’ai quand même maintenu une moyenne supérieure à 1h de lecture par jour cette année. (NOTE : Je viens de finir de lire Man’s Search for Meaning de Victor Frankl ce matin avant de commencer à écrire ce bilan !). Pour moi, la lecture est l’une des activités les plus gratifiantes : l’acte de s’immerger dans un bon bouquin est en soi une finalité (Cf. Flow de Mihaly Csikszentmihalyi) et les retombées d’une bonne lecture en termes de divertissement et/ou d’apprentissage se font ressentir pendant des années – voire même potentiellement toute la vie. On a une chance incroyable de pouvoir accéder à tant de richesse aussi facilement et je suis reconnaissant envers les esprits qui ont eu la générosité de poser leurs réflexions en mots ! Et je suis plutôt satisfait d’avoir maintenu un rythme de lecture régulier tout au long de cette année.

2. Qu’est-ce qui aurait pu mieux se passer cette année ?

Couple. Je me suis séparé après 3 ans de relation. Le cœur n’y était plus vraiment. Et ça fait du bien quand ça s’arrête ^^. J’ai appris un tas de choses et hâte pour la suite !

Programmes en ligne. J’avais mis « programmes en ligne » dans le chapitre sur « Qu’est-ce qui s’est bien passé cette année ? » mais je le mets ici également. Parce que bien que mes programmes permettent à la grande majorité de mes clients d’atteindre le résultat escompté (que ce soit trouver une idée de business qui leur permet de s’épanouir et gagner de l’argent (Ton Chemin Vers l’Indépendance), de trouver la confiance pour se lancer dans de grands projets (La Structure de la Réussite) ou carrément de créer leur propre business online éthique (Easy Business)), certains n’atteignent pas ces résultats. Dans ces cas-là, la raison principale c’est souvent qu’ils arrêtent en cours de route, ou qu’ils ne suivent carrément pas le programme (certains ont même acheté un des programmes et ne se sont JAMAIS connectés à leur espace membre !). Pour ceux qui arrêtent en cours de route, ce n’est pas vraiment de leur faute, c’est peut-être que certaines parties de certains programmes sont trop difficiles ou que leurs impératifs du quotidien les obligent à passer à autre chose. En tout cas, je reste très attentif aux feedbacks que je reçois pour améliorer mes programmes en continu et les rendre les meilleurs possibles. Mon objectif est d’avoir les meilleurs programmes qualité-prix dans chacune des thématiques que je prends le temps de couvrir. À l’heure actuelle : trouver une idée de business pour s’épanouir et gagner de l’argent (Ton Chemin Vers l’Indépendance), développer la confiance en soi pour se lancer dans de grands projets (La Structure de la Réussite) et créer son propre business online éthique (Easy Business).

Optimisation. Cette année − et particulièrement après ma rupture − j’ai été moins focalisé sur mes objectifs qu’à mon habitude… surtout parce que ça m’a fait changer d’objectifs en cours de route ! Du coup, j’ai laissé plus de place à l’improvisation et au divertissement. Ce qui n’est pas une mauvaise chose en soi ^^. Par exemple j’ai fait beaucoup de rencontres, je me suis mis aux échecs (j’ai même carrément développé une sorte d’addiction !!!) et à la salsa. Ce genre d’activité est gratifiant sur le court terme mais m’apporte moins de satisfaction sur le long terme. Donc pour l’année qui vient, j’aimerais redéfinir mes « grands » projets et me focaliser  dessus davantage !

Rester en contact avec certains amis. Même si j’ai eu la chance de voir et voyager avec certains de mes amis et membres de ma famille, il y en a d’autres que j’ai trop peu vus. J’aurais aimé faire un meilleur job à garder le contact. Cette année, je compte prendre davantage le temps d’appeler ou d’envoyer un message lorsque je penserai à l’un d’entre eux spécifiquement. Parce que même si je le fais déjà, je pourrais (et voudrais) le faire davantage !

Investissements immobiliers. J’avais envisagé d’acheter un petit immeuble ou au moins un nouvel appartement cette année, et je l’ai pas fait. Arf ! J’ai mis l’immobilier de côté parce que j’avais d’autres priorités (notamment trouver « mon endroit » pour vivre − et on dirait bien que ça pourrait être les Canaries !). Cette année, j’aimerai me repencher sur le sujet et éventuellement faire un nouvel achat.

Écriture d’articles. J’ai écrit seulement 10 articles cette année. C’est pas des masses. Par contre j’ai envoyé des tas de mails à la place. J’aimerai écrire plus d’articles cette année, environ 2 par mois minimum serait un bon objectif ! J’adore écrire et avoir des feedbacks sur mes idées, donc c’est décidé, j’augmente mon rythme d’écriture : un article toutes les deux semaines minimum pour les 3 prochains mois ! Bim !

3. Qu’est-ce que j’ai appris cette année ?

Rien n’est figé et l’imprévisible se cache où l’on s’y attend le moins. Et comme le stipule la fameuse loi de Babeul-Razmeul : Peu importe ce qui se passe, tu vas t’en sortir. Parfois, les événements de la vie te secouent dans tous les sens et tu peux avoir l’impression que tout s’écroule… pourtant, concrètement c’est juste la vie que t’es en train de mener ! Rien ne s’écroule : les expériences s’accumulent et c’est ce qui constitue « Ta vie ». C’est ton interprétation des faits qui agence le tout en une histoire cohérente et qui te permet de prendre de nouvelles décisions aujourd’hui.

Damien PleinDeTrucs.fr

Le surf, c’est cool. Au cas où je l’ai pas encore assez dit ^^.

Le plus important, c’est les relations. C’est peut-être pas nouveau mais je l’ai encore ressenti à fond cette année. Peu importe les aventures que tu vis ou les projets que tu réalises, au final, les meilleurs moments sont ceux qui sont partagés. Devenir le roi du monde ne sert à que dalle si t’es seul sur ton trône. Donc encore un fat merci à tous ceux qui partagent un bout de chemin avec moi !

On se définit par nos actions, pas par nos mots. Tout le monde « veut » des choses, tout le monde a « des idéaux » mais c’est seulement nos actions qui déterminent la personne que l’on est. J’ai pas mal réfléchi à mes valeurs principales et mon job numéro #1, c’est de vivre avec intégrité par rapport à ces dernières.

Ce qui vaut la peine d’être accompli mérite d’y passer du temps et de faire l’impasse sur d’autres projets. Les résultats dont on est le plus fier sont ceux qui nous ont demandé le plus d’implication et dans une certaine mesure de sacrifices. Notre énergie est furieusement limitée et on ne peut pas tout faire. Prioriser tes objectifs, c’est l’étape la plus importante pour pouvoir les accomplir : les objectifs secondaires ne passent pas « après », ils sont simplement supprimés !

La vie est trop cool ! Sans déconner : Respire à fond, va faire du surf (je t’ai déjà dit que c’était cool ?), lis un bon bouquin, fais un job qui a du sens, passe du temps avec les gens que t’aimes, et embrasse même les jours où t’as l’impression que c’est la cata ^^ Chaque instant, c’est de l’or. Parce que t’es en vie nuggets et que t’as le choix d’y donner le sens que tu veux ! Alors autant en faire quelque chose de magnifique n’est-ce pas 😀 ?

Voilà pour mon bilan de mes 30 balais !

Hâte de partager cette nouvelle année avec toi et t’apporter un max de réflexions fraîches et funkies pour avoir une vie simple et pleine de sens  !!!

Love,

► Damien

¹ Ces questions sont inspirées des Annual Review de James Clear !
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Comment voyager à durée indéterminée – avec Michael Pinatton

Aujourd’hui, je reçois Michael Pinatton de TraverserLaFrontiere.com.

Michael, ça fait environ 9 ans qu’il voyage.

Et qu’il gagne sa vie en même temps.

Donc lui aussi, il s’est créé une alternative au métro-boulot-dodo

…et du coup, je lui ai posé pas mal de questions sur à quoi ressemble sa vie de voyageur, là où il en est de ses projets, comment il se finance, comment il s’est lancé…

…Plein de trucs qui peuvent t’intéresser et t’aider à te créer aussi une alternative au métro-boulot-dodo !

Dans cette conversation, on aborde :

0’38 – Ses news, son actu, ses projets

4’25 – Comment il a commencé à financer cette vie de voyage au tout début

7’56 – Comment il gagne sa vie actuellement tout en voyageant

10’31 – Ce qui le rend différent des autres blogs voyage

15’16 – Le voyage en solo et l’amitié

18’44 – La liberté de voyager VS. l’envie de se poser et d’avoir des relations profondes : La solution !

21’50 – Les 3 endroits où Michael se verrait bien rester

26’23 – Le darkside du voyage (les côtés qu’on ne voit pas au début !)

27’17 – Comment savoir si le voyage à long terme est fait pour toi ? Le test sur lequelle on est carrément d’accord Michael et moi

27’58 – L’obstacle numéro #1 pour se lancer dans une vie de voyage

30’01 – La prise de conscience pour surmonter ses blocages mentaux sur le voyage à long terme

33’09 – L’élément déclencheur qui a permit à Michael de se lancer dans cette vie de voyages

38’13 – Comment il voit sa vie dans 5 ans

En bonus

Je t’ai préparé un petit résumé en pdf avec les points clefs de toute la conversation.

Et le titre de trois bouquins que m’a conseillé Michael après l’interview (j’en ai commencé un !).

Je t’enverrai aussi mes meilleurs conseils pour te créer ton alternative au métro-boulot-dodo et je te tiendrai au jus des prochaines interviews :

 

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Damien Fauché - PleinDeTrucs.fr

Être entrepreneur online… la vraie vie, au quotidien, voilà à quoi ça ressemble :

Après tout, dans l’idée, ça fait rêver n’est-ce pas ?

Imagine une seconde…

…que tu puisses bosser depuis ton ordi, n’importe où dans le monde…

…que tu n’aies pas d’horaires autres que ceux que tu te fixes TOI-MÊME…

…que tu n’aies pas de « boss » qui te dise quoi faire, jamais…

…et surtout…

…SURTOUT…

…que tu fasses un truc qui a du SENS pour toi et qui AIDE des milliers de personnes.

Ça paraît pas trop naze comme boulot hein ?

Limite paradisiaque…

…eeeeeeeet dans une certaine mesure… bin… ça l’est !…

…Mais en pratique, my little Strudel, c’est seulement la partie émergée de l’iceberg !

C’est le RÉSULTAT visible.

Sans regarder TOUT ce qui se cache derrière.

Doooooonc c’est pour ça que je vais écrire cet article :

Pour te parler de la vraie vie quotidienne d’entrepreneur online.

Pour que tu saches en quoi ça consiste d’avoir ton propre business en ligne et ce que ça implique, au-delà des strass et paillettes du « succès ».

Alors accroche-toi à ton slip moussaillon, ça va zouker.

Première chose à préciser : je vais te parler principalement de MA life et de celle de MES clients.

Je prétends pas du tout savoir comment vivent tous les entrepreneurs online… et je vois pas trop comment je pourrais savoir ça d’ailleurs…

Donc là, je vais te parler SEULEMENT de ce que je connais « de l’intérieur », avec mes 5 années dans l’entrepreneuriat online, en étant aussi objectif que possible, autant sur les aspects positifs que sur ceux qui puent du *glitrogénum papadopoulos*.

Et ça devrait déjà te donner une vision assez claire de ce à quoi tu peux t’attendre toi si tu poursuis ton aventure entrepreneuriale en ligne 😉

Ceci étant dit, j’aimerais faire une petite distinction dans les business internet pour que tu puisses y voir plus clair…

…parce qu’il y en a des TAS.

Il y a les business de trading, d’affiliation, les amazon FBA, et des tas d’autres bidules que je connais pas des masses.

Donc là, pour qu’on parle bien de la même chose, je te parle de business de CRÉATION DE VALEUR online.

C’est-à-dire une activité pro où tu PRODUIS quelque chose dans le but d’AIDER des gens.

Peu importe que ce soit des produits physiques (comme des livres, des meubles ou des bijoux), des services (comme des cours de Yoga ou du coaching personnel) ou des produits numériques (comme des ebooks ou des formations en ligne).

Ensuite, dans cette rubrique « Business de Création de Valeur », j’aimerais aussi zoomer sur une catégorie spéciale de business…

…ce que j’appelle « Easy Business ».

« Easy Business » c’est un terme que j’ai complètement inventé.

Pourquoi ?

Parce que j’aime pas du tout ce que font un tas de business internet.

À vrai dire, souvent, ça me repousse même.

Voilà ce que j’imaginais quand j’entendais « business online » :

  • Arnaques du type combines pour gagner de l’« Argent Facile »
  • Énormes sites web organisés qui vendent des produits super cher et dont personne ne tire de résultats (à part eux-même !)
  • Magouilles techniques

Et ce genre de choses pas très reluisantes…

Donc, je voulais bien marquer ma différence avec ce monde-là.

Et c’est pour ça que j’ai inventé le terme Easy Business ^^

Un Easy Business en gros, c’est un business online (c’est-à-dire que tu vends quelque chose par internet) qui est éthique (tu vends quelque chose de qualité et qui va aider tes clients) et qui est extrêmement SIMPLIFIÉ (pour que tu te focalises sur la création de valeur plutôt que sur des conneries administratives).

Un Easy Business, ça se distingue aussi par le fait que c’est une activité qui te permet d’exprimer ce qui compte pour toi et de toucher les gens avec… en y prenant du PLAISIR et en te laissant le temps de PROFITER DE LA VIE (Easy Life ^^).

Je vois beaucoup de marketeurs online qui ont l’air de SOUFFRIR dans leur business… et ça me donne pas envie du tout !!!

Même si certains ont l’air de gagner beaucoup d’argent.

À les voir faire la gueule tout le temps, répéter en boucle qu’ils sont les meilleurs et que internet est un « champ de bataille sans pitié »… ça me rebute plus qu’autre chose ^^

Donc « Easy Business » c’est aussi une distinction par rapport à ça.

C’est pour les gens un tantinet idéalistes qui ont envie d’apporter leur touche de couleur dans le monde sans se prendre la tête.

Pour résumer, un Easy Business, c’est un business online éthique et simplifié qui te permet d’exprimer ce qui compte pour toi et d’aider les gens tout en y prenant du plaisir et en ayant le temps de profiter de la vie.

Cool huh ?

La phrase est un peu longue, mais l’idée principale y est :p

Ceci étant dit…

…avoir un Easy Business donc, comment ça se passe au quotidien ?

Premièrement, ça demande BEAUCOUP de boulot.

C’est PAS DU TOUT un truc qui se crée du jour au lendemain.

Concrètement, un Easy Business est constitué :

  • D’un public (les personnes que tu veux aider… c’est même le plus important : les gens)
  • D’une offre (la manière dont tu vas les aider)
  • D’un moyen de présenter tes offres à ton public automatiquement (par exemple via un blog, une page facebook ou une newsletter)

Et à partir de là, il te reste à satisfaire tes clients !

Je vais pas m’attarder ici à expliquer COMMENT créer un Easy Business parce que ce n’est pas le sujet de cet article.

Mais si ça t’intéresses quand même, j’ai créé tout un cours offert sur le sujet.

Clique ici pour le recevoir : Comment créer un Easy Business.

Pour revenir au sujet de cet article sur la vie quotidienne d’un « Easy » entrepreneur online…

Ton temps de travail est donc réparti entre les tâches suivantes :

  • La création de contenus offerts (qui vont te permettre de toucher et d’aider ton public gratuitement et de te faire connaître)
  • La création de contenus payants (qui vont te permettre d’aider plus en profondeur ton public et de gagner de l’argent)
  • Les tâches administratives (au minimum… mais c’est obligatoire ^^)
  • Les échanges avec tes prospects (ton public qui n’est pas encore client)
  • Et surtout : Le suivi de tes clients (pour qu’ils soient comblés d’avoir travaillés avec toi et qu’ils aient les résultats pour lesquels ils te payent !)

C’est la base.

Pas besoin de techniques complexes de réseaux sociaux, de poster un article par jour, de suivre un milliard de blogs, d’être un(e) expert(e) du copywriting, etc…

Juste aller à l’essentiel pour générer de quoi bien vivre : d’abord 2000€ par mois et pouvoir quitter ton taf, puis gagner plus si t’en as envie ^^

Le truc, avec un Easy Business, c’est qu’il y a pas vraiment de limite. Au plus tu aides les gens, au plus tu gagnes d’argent… et ça même si l’argent n’est pas ta priorité.

Tu as « juste » à faire quelque chose de bien.

Et je mets « juste » entre parenthèse parce que c’est pas si facile du tout.

Ça demande une tonne de boulot.

Tu vois, dans mon idée de Easy Business, l’une des choses importantes est d’avoir une Easy Life : de pouvoir profiter de la vie (et voyager) sans se soucier de l’argent.

Mais atteindre ce résultat, ça se fait pas par enchantement.

Ça a un prix.

Et ce prix, c’est des centaines et des centaines d’heures passées derrière ton ordi et avec tes clients.

Concrètement ?

Ça m’arrive de passer des semaines entières à bosser 14h par jour.

Et ça, ça fait moins rêver.

Même si je suis dans un hôtel de luxe au Viêtnam.

Bien sûr, ça m’arrive aussi de ne pas bosser de la journée pendant plusieurs journées consécutives. Ou de me prendre des vacances improvisées un peu n’importe quand.

Donc il y a des trucs géniaux… et il y a des trucs plus hardcore.

C’est pas tout blanc ou tout noir.

C’est ce que j’appelle « le prix à payer » pour vivre ses rêves.

Et ce prix personnellement, je suis prêt à le payer encore et encore parce que ce mode de vie, c’est ce que je kiffe pour le moment :p

Au moment où je t’écris ces lignes, je suis au Japon, calé sur un gros tapis épais dans le salon. Ma copine est en train de siffloter sur la terrasse en prenant le soleil. On entend les gazouillements des oiseaux. Et je vois la forêt à travers les portes coulissantes de la maison traditionnelle où on habite.

J’ai bossé toute la matinée (depuis 8h) et il est 13h. J’en suis grosso modo à une bonne moitié de l’article.

Je vais aller manger dans quelques instants, probablement des ramens (soupe de nouilles japonaises).

Ce soir, on a rendez-vous avec des amis japonais pour aller dans un restau class.

La semaine dernière j’ai visité Kyoto, on a vu des tas de temples plus incroyables les uns que les autres (on a notamment fait la marche nocturne de Fushimi Inari qui était à couper le souffle !)…

Vie quotidienne au Japon

…et quasiment chaque jour…

…j’ai travaillé !

J’ai principalement accompagné mes clients.

Et ça, ça fait PARTIE de la vie d’Easy Entrepreneur.

Ce n’est pas « que le fun ». C’est le fun ET le travail.

Ces deux derniers mois, j’étais à Taiwan. Je me suis mis au surf. J’ai fait des centaines de kilomètres à vélo. Et j’ai bossé comme un dingue sur mon programme pour avoir un mental de champion (SDR). J’ai répondu à des centaines et des centaines de mails, écrit des dizaines de milliers de mots, tourné des heures de vidéo.

Les 4 mois précédents, j’étais au Viêtnam. C’est là où j’ai commencé à créer la Structure De la Réussite (SDR donc… ça m’a pris environ 6 mois en tout de créer le programme). Et même si la piscine n’étais pas loin et que j’allais dans des restaus plus délicieux les uns que les autres tous les jours, j’ai passé une bonne grosse partie du temps derrière mon ordi !

C’est le revers de la médaille.

Une vie de rêve contre une implication profonde.

L’un ne va pas sans l’autre.

Et c’est vraiment l’idée que j’aimerais te communiquer dans cet article :

Créer un Easy Business (et être un Easy Entrepreneur), ce n’est pas facile.

Le « Easy » de Easy Business fait référence au mode de fonctionnement du business qui est facile…

…mais développer son Easy Business, ça demande du taf !

C’est même beaucoup plus dur que d’avoir un boulot d’employé parce que les résultats ne sont pas instantanés.

Quand t’es employé : tu bosses et t’as ta paye à la fin du mois. Basta !

Alors que quand tu crées ton Easy Business : tu bosses… et tant que tu débutes… tu vois pas beaucoup la couleur de l’argent!

Et ça fait mal au *spationaute rebondissant* de taffer heure après heure pour des cacahuètes.

Maaaaaaaaaaaaaaaaaaaais…

…en revanche…

Quand t’es employé : au bout de 5 ans de taf, t’en es à peu près au même point niveau boulot, peut-être avec une légère augmentation de salaire.

Alors que quand tu crées ton Easy Business : au bout de 5 ans de taf, tu as construit un business qui te ressemble, tu as eu un impact que tu peux mesurer directement dans la vie des gens que tu as aidé,  tu gagnes beaucoup plus d’argent que la plupart des salariés, tu gères ton temps comme ça te chantes, tu as beaucoup plus de temps libre à l’extérieur de ton boulot pour être avec tes proches et faire ce qui te plaît.

C’est deux voies qui sont radicalement différentes.

Il n’y en a pas une meilleure que l’autre.

Et c’est à chacun de choisir la sienne.

Sans juger.

Développer un Easy Business va te demander une implication en béton armé.

Et même pendant une journée de surf, pendant que les autres feront la sieste pendant la pause de midi, peut-être que tu devras travailler pendant deux ou trois heures pour aider tes clients.

Journée Surf et Boulot

Peut-être que tu devras sauter pas mal de repas (et manger en plein milieu de l’après-midi) pour terminer une newsletter à temps.

Peut-être que tu devras passer quelques nuits blanches pour aider tes clients à faire face à une situation particulière.

Mais au bout du compte… tu réaliseras que ta vie est intense… pleine de sens… et tu ressentiras une gratitude infinie pour toutes les aventures qui vont t’arriver.

Et tu apprécieras chaque jour la chance que tu as de mener cette vie-là.

En tout cas, si c’est la voie que tu choisis de prendre, c’est tout ce que je te souhaite amig@ !

Et si t’es prêt(e) à t’impliquer de tout ton cœur dans la création d’un business online qui te permet de mener une vie de ce genre − libre et pleine de sens − alors je t’ai préparé un petit cours offert.

Tu vas voir, ça dézingue un paquet de croyances populaires sur les business internet et ça va te donner pas mal de conseils APPLICABLES à ton cas personnel pour avancer sur la voie de ton propre Easy Business.

Et si t’as lu cet article en entier, je suis sûr que ça va te plaire.

Clique ici pour t’inscrire à mon cours offert.

Et enjoy !

À très vite,

– Damien

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Damien Fauché, pleindetrucs.fr

Comment parler de tes projets d’indépendance à ton entourage

« QUOOOOOOOI ? Tu veux quitter ton boulot ??? Mais t’es MALADE ? »

« Ok, ok… Calm down baby love… j’ai deux mots à te dire. »

Quand tu commences à planifier tes projets d’indépendance, le premier challenge, c’est de rallier ton entourage à ta cause.

Parce que ton entourage, si t’es comme moi, c’est probablement ce qu’il y a de plus précieux dans ta vie.

Et que tu veux le meilleur pour ces personnes. Et surtout pas leur faire peur ou les blesser.

Donc si t’as le projet de quitter ton boulot et de lancer ton propre business un de ces jours, j’ai une bonne nouvelle parce que je vais te montrer comment parler de tes projets d’indépendance à ton entourage.

Go !

Tout d’abord, la raison principale pour laquelle on appréhende de parler de nos projets « hors-normes » à nos proches, c’est parce qu’on a l’impression qu’ils ne pourraient pas comprendre/accepter.

Mais ça… c’est une excuse pourrave ^^

Je le sais, je suis passé par là ! Et tu vas vite voir pourquoi je dis ça.

Avec mes quatre-vingt-dix milliards d’idées à la seconde, je suis quelqu’un d’assez coton à suivre ! Et pour expliquer à mes proches des trucs du genre :

  • Je vais quitter mon CDI,
  • me débarrasser de 90% de mes affaires,
  • aller vivre à l’autre bout du monde,
  • gagner plus de 5000€ par mois
  • dormir 2h par jour
  • créer des business online
  • écrire un livre
  • acheter une dizaine d’appartements
  • investir dans les crypto-monnaies

Et d’autres excentricité du genre… ça demande de faire face à certaines… disons… légères incompréhensions passagères. Héhé !

Et évidemment, quand j’ai commencé à avoir ces embryons d’idées dans ma tête, ça me faisait flipper d’en parler.

Je me disais des choses du genre : « Ils vont penser que tu pètes un câble ! Que tu fous ta vie en l’air. C’est trop différent de leur mode de vie, ils vont jamais comprendre ça… »

Et ça, bien sûr, c’était MES pensées limitantes.

Donc, j’ai fait le truc qui me paraissait le plus naturel à ce moment donné… tout faire dans mon coin comme un warrior, à contre-courant, à 200 à l’heure. Biatch !

J’ai quitté mon boulot en un mois. J’ai créé ma boîte. Je suis parti vivre à l’étranger (au Cambodge).

Certains de mes potes ont VRAIMENT pensé que je pétais un câble. D’autres ont cru que c’était une passade, un trip passager de jeunesse. Et ma famille ne comprennait pas exactement ce qu’il se passait (« Hein, il a quitté son CDI ??? »).

Et tu veux que je te dise… y aller tout seul comme un berserker, c’est pas la meilleure option.

Pourquoi ?

Parce que c’est ÉPUISANT.

C’est possible, mais c’est épuisant.

Et il m’a fallu un an et demi pour aller me poser en face de ma famille et de mes amis et faire ce que j’aurais dû faire bien plus tôt

Et grâce à ça, à l’heure actuelle : je me sens enfin SOUTENU.

Non seulement ils ont compris ma démarche mais en plus, ils me soutiennent dedans.

C’est un sentiment exceptionnel !

Parce qu’être seul, à contre-courant, ça attaque ton moral et ton énergie.

Mais dès que t’as un petit groupe de personnes – les personnes qui comptent le plus pour toi – qui te soutiennent dans ce que tu fais, le courant devient beaucoup moins fort… et tu avances vers tes objectifs beaucoup plus rapidement !

Donc aujourd’hui, je vais partager avec toi les fruits de mes apprentissages, pour que tu amorces ta nouvelle vie d’indépendant(e) dans des conditions de soutiens, de respect et de compréhension.

Plus tôt dans cet article, je te disais que la raison principale pour laquelle on appréhende de parler de nos projets « hors-normes » à nos proches, c’est parce qu’on a l’impression qu’ils ne pourraient pas les comprendre ou les accepter.

Et dans une certaine mesure, c’est pas faux.

C'est pas faux

Parce que sans EXPLICATIONS, c’est fort possible qu’ils ne comprennent pas ce que tu veux faire.

Un exemple concret : tu veux quitter ton boulot.

Ton entourage peut ne pas comprendre POURQUOI tu veux quitter ton boulot : c’est un « bon » boulot, ça paye plutôt bien, c’est stable. Pourquoi tu voudrais quitter ce boulot ? Des tas de gens se mettraient en quatre pour avoir la même chance que toi.

Donc, ça ne leur semble pas compréhensible.

Et résultat : ils s’inquiètent. Ils ont PEUR pour toi. Parce que ça leur fait peur À EUX.

C’est aussi simple que ça.

Et c’est de là que naît l’incompréhension.

Donc si tu arrives en face de tes proches et que tu leur balances un truc du genre :

« Hey, les loulous, je vais partir vivre à l’autre bout de la planète. À bientôt, gros bisous ! »

Il y a des chances qu’ils ne comprennent pas immédiatement tes intentions…

Et pourtant, c’est ce que la plupart des gens font, moi y compris.

On construit une idée assez précise de ce qu’on veut dans notre esprit, puis une fois qu’elle est formée, ça nous semble difficile d’en parler aux autres.

La raison ?

Accroche-toi à ton slip Jeanine :

LE CHEMINEMENT.

Lorsque tu envisages de présenter tes projets d’indépendance à ton entourage, il leur manque TOUT LE CHEMINEMENT jusqu’à ton idée qui a pris forme.

Comment t’en es arrivé à cette idée saugrenue de quitter ton boulot/créer ton business/élever un koala ?

Qu’est-ce qui s’est passé dans ta tête ?

Ça t’est pas venu du jour au lendemain. Ça fait peut-être des semaines ou des mois que t’y penses. T’as pesé 100 fois le pour et le contre.

Et tu voudrais que EUX comprennent immédiatement ?

Pas moyen !

C’est pas possible. C’est des humains, comme nous.

Et en plus de gérer l’information (« Il/Elle va quitter son boulot. »), il faut aussi qu’ils gèrent leur PEUR de ce que cette information leur procure (« Omagod, il va se retrouver à la rue, sans argent et on va tous vivre sous un pont, chopper le choléra et mourriiiiiiiir ! Naaaaaan ! Dis-moi que c’est pas vrai Brandon. Dis-le moi ! Bouhouhou ! »).

Donc, simplement leur parler de ton projet, c’est loin d’être suffisant.

Et pour que ton entourage comprenne et te soutienne dans ta démarche d’indépendance (ou tout autre projet non-conformiste du genre), ça va te demander une étape supplémentaire :

Prendre le temps de leur expliquer ta démarche.

Leur FAIRE COMPRENDRE pourquoi tu veux faire ça.

Avec les mêmes raisons qui te motivent TOI à faire ce que tu veux faire.

Parce que ces gens – ces gens qui t’aiment – ils veulent juste être certains que tu es en sécurité.

Et ils veulent aussi comprendre COMMENT tu comptes gagner ta vie avec tes projets. Parce qu’ils flippent.

Donc prendre le temps de leur exposer tes réflexions les plus profondes et les plus sincères concernant tes ambitions, c’est ÇA qui va faire le lien entre leur monde actuel et ce vers quoi tu te diriges.

Pas leur exposer les fait, froidement et sans explications, en espérant qu’ils accueillent l’idée à bras ouverts.

Et même s’ils ne sont pas entièrement d’accord avec toi, au moins ils te comprendront.

Et cette compréhension, ça te donnera une toute nouvelle FORCE pour avancer dans tes projets !

Une force précieuse. Non seulement sur le plan psychologique, mais aussi sur le plan émotionnel.

D’ailleurs, au moment même où j’écris ces lignes, ça réveille en moi un souvenir marquant de mon passé.

Ça s’est passé il y a quelques années. J’étais chez mes parents, on était assis autour de la grande table en bois massif de leur salle à manger, au début du printemps.

À cette époque, ils ne savaient pas encore exactement qu’est-ce que j’étais en train de faire avec mes nouveaux business et mes voyages dans tous les sens (ils étaient encore en train de se remettre  du fait que j’ai quitté mon CDI et ils commençaient à constater que je m’en sortais plutôt bien financièrement sans ça !).

Je me lançais dans des projets très distants de leurs vie quotidienne depuis plusieurs mois sans forcément leur expliquer ma véritable VISION.

Ça faisait plus d’un an que je vivais à l’étranger, et en rentrant en France, j’ai réalisé qu’il était temps que je me reconnecte avec eux concernant mon avenir professionnel.

Et je me retrouvais à leur table, assis dans un climat solennel.

C’est à ce moment qu’a eu lieu une longue et émouvante conversation à cœur ouvert. Je leur ai expliqué…

Mon sentiment d’être un zombie dans mon ancien boulot…

Le fait de me pas vouloir subir la même routine pour les 40 prochaines années

Mon envie de découvrir le monde

Les opportunités de créer des business sur internet

Ma vision que le travail était une transaction de valeur plutôt qu’une transaction de temps dans un bureau…

Ma stratégie bien ficelée pour gagner ma vie

Mes doutes sur la retraite que les gens de ma génération n’auront peut-être jamais…

Mes projets immobiliers

Et plein de trucs auxquels j’avais longuement réfléchis dans ma tête mais n’avais jamais pris le temps de leur détailler.

C’est le moment où dans leurs yeux, leur fils avec ses projets extravagants et idéalistes est devenu un entrepreneur qui sait où il va et qui contrôle la situation.

Et c’est depuis ce jour-là que j’ai ressenti leur soutien à un tout autre niveau.

Même s’ils ont une vision de la vie et du travail qui ne correspond pas exactement à la mienne…

Je sais qu’ils me soutiennent.

Et la conversation s’est terminée à peu près comme ça :

« – Mais est-ce que tu es sûr que c’est ce que tu veux faire de ta vie ? Tu es sûr que ça va marcher au moins ?

J’en sais rien. Mais je vais essayer de tout mon cœur parce que je pense que c’est un projet de vie qui en vaut la peine… J’espère que vous me comprenez… »

Il y a eu moment de silence. Ils ont marqué une pause, ils se sont regardés, puis ils ont plongé leur regard dans le mien et ils m’ont répondu avec une compassion incroyable :

« – C’est loin de ce qu’on connaît mais ça a l’air d’être très important pour toi. Et même si tes choix sont différent des nôtres… on te comprend. »

J’ai chialé.

Ils ont chialé.

Tout le monde à chialé.

On s’est fait des câlins.

Et quelques mois plus tard, mes business décollaient de plus en plus et j’achetais mon premier appartement.

Et aujourd’hui, malgré tous les hauts et les bas, non seulement j’ai construit en partie cette vie dont je rêvais,  mais en plus…

…J’ai le soutien des gens qui comptent le plus pour moi.

Parce que j’ai eu des conversations de ce genre avec toutes celles et ceux qui sont une part importante de ma vie.

Non seulement mes parents, mais aussi ma copine, mes meilleurs amis (sans qui ce blog ne serait pas ce qu’il est) et le reste de ma famille.

Et j’ai appris que la communication ouverte, sincère et empathique est le meilleur moyen de se connecter aux autres.

Parce qu’en exprimant ce qui nous touche au plus profond de nous, avec patience, respect et compassion, les autres peuvent être touchés à leur tour.

Et quelle que soit leur vision originale du monde, si on prend le temps de leur expliquer la notre, sans menacer leurs propres paradigmes, et même s’ils ne partagent pas nécessairement nos points de vues, les gens ont la faculté de tout comprendre.

Et faire comprendre tes projets d’indépendance à ton entourage, ce n’est pas une limitation. C’est juste une étape.

Une étape sur ta route vers la liberté.

Une étape que tu peux franchir dès aujourd’hui.

Et comme rien ne remplace l’action, je t’invite à prendre ton courage à deux mains et à EXPLIQUER clairement aux gens qui comptent le plus pour toi POURQUOI tu veux être indépendant, et COMMENT tu vas gagner ta vie avec ça (et subvenir à leurs besoins s’il s’agit de ta famille).

Sans chercher à les « convaincre » que tu as raison.

Simplement pour qu’ils comprennent ce qui se passe dans ton esprit.

Et qu’ils soient rassurés.

Évidemment, ça demande du courage de s’ouvrir comme ça et de partager ses projets. Parce qu’on s’expose. Parce qu’on est vulnérable à cet instant.

Mais c’est là que la connexion se renforce.

Et c’est comme ça qu’on avance le plus : en faisant ce qui nous challenge.

Et s’ils ne comprennent pas du premier coup, inutile de se braquer, la patience sera ton meilleur atout.

Tes désirs d’indépendance chamboulent leur perception du monde, accepte que ce nouveau paradigme prenne un certain temps à être assimilé !

Alors quand tu auras eu cette conversation et que ta femme/ton mari/ton père/ta mère/ton meilleur pote/ton koala domestique te regardera avec un mélange d’amour, de soutien et d’admiration pour ce que tu veux entreprendre, tu repenseras à cet article et tu te diras… « Woaw ! Ça valait un milliard de fois le coup. »

Il y a un temps pour rugir et foncer.

Et il y a un temps pour partager et se comprendre.

Je te souhaite un max de réussite dans tes projets, quels qu’ils soient, et je te dis à bientôt pour de nouvelles aventures.

► Damien

PS: Et si c’est pas encore fait, tu peux rejoindre tout de suite ma newsletter pour recevoir encore plus d’astuces et stratégies exclusives (qui ne sont pas sur le site) pour t’aider à devenir indépendant(e) : « Je rejoins l’aventure !« 

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pleindetrucs.fr Damien Fauché

Si je devais re-créer mon indépendance professionnelle depuis le début

Imagine un instant que tu viennes de te lever

T’es à côté de la piscine, dans un pays exotique, il fait chaud et tu viens de dévorer une délicieuse omelette aux petits légumes, un pancake à la banane et un tas de fruits frais : de la mangue, des ramboutans et de la pastèque.

Et alors que l’hivers pose son voile glacé sur la France, tu regardes le soleil du Vietnam illuminer les rizières autour de toi, et tu allumes ton ordi… pour travailler.

Et le mieux, c’est que tu vas faire quelque chose qui te plaît. T’es excité(e) à l’idée de partager tes connaissances avec les autres. Et en plus, tu es payé pour ça.

T’es avec ta/ton conjoint(e) et des gens que t’apprécies.

Et bien entendu, c’est pas des vacances, c’est ta vie normale. Donc tu peux continuer ce rythme de vie aussi longtemps que tu le souhaites (et si tu veux bouger au Japon ou rentrer en France faire du ski dans un mois ou deux, tu peux aussi).

Tu vas bosser environ 4h et tu seras libre pour le reste de ta journée.

Qu’est-ce que tu penses de ça ?

Plutôt correct comme quotidien hein !

Certes, ça t’empêche pas de te taper occasionnellement la honte au karaoké quand tu chantes Céline Dion avec les locaux mais c’est quand même sympa :p

Alors si ça te branche d’avoir ce genre de liberté, prends-toi une bonne dizaine de minutes, je viens d’écrire un FAT article sur mes 8 conseils pour créer son indépendance professionnelle depuis le début.

C’est des choses qui j’aurais aimé réaliser plus tôt.

Et ces 8 trucs, tu peux les appliquer. Dès aujourd’hui. Et tout le temps.

Pour créer ton indépendance professionnelle à ton tour.

Enjoy cousin(e) !

C’est parti 😉

Premier truc

Arrête de te reposer sur les autres.

Sans déconner.

Si tu attends que les autres : tes profs, tes parents, tes amis, ton/ta partenaire, ton patron, la télé, le dalaï-lama, ton pote Norbert, moi, l’état ou qui que ce soit s’occupe de tes problèmes et t’apporte des solutions prémâchées, tu vas rien faire de ta vie.

Toutes ces personnes ont des éléments de réponses. Pas des solutions toutes faites qui vont t’aller sur-mesure.

Alors voilà une manière plus productive de voir les choses :

Chaque personne à quelque chose à t’apporter.

Et en fonction de ce que tu cherches personnellement, certaines personnes ont davantage à t’apprendre que d’autre.

Peut-être que le dalaï-lama a plus à t’apprendre sur le bonheur que ton oncle dépressif. Peut-être pas, je connais pas ton oncle.

À toi de sélectionner et d’UTILISER ce que tu apprends.

Tous les points de vues sont bons à entendre mais pas forcément à suivre.

Donc une question intéressante à te poser, c’est « ok, mais qui écouter alors ? »

Et ma réponse est maxi-simple : les gens qui ont déjà accomplis ce que tu cherches à accomplir.

Pas ceux qui ne font que parler sans rien faire.

Petite illustration : Il y a une paire de semaine, dans une soirée où j’étais, il y avait  un gars qui expliquait qu’il n’avait jamais investi dans l’immobilier et qu’il ne fallait surtout pas le faire parce que c’était risqué, que souvent les locataires ne payaient pas, etc…

Mais est-ce que t’as vraiment envie d’écouter ses conseils à lui ?

Toi, j’en sais rien. Mais moi, ça ne m’intéresse pas des masses.

Pourquoi ?

Parce que ce gars n’a jamais investi dans l’immobilier ! Tout ce qu’il fait, c’est parler. Je respecte son point de vue (parce que chacun pense ce qu’il veut !) mais il ne m’intéresse pas.

Si je veux investir dans l’immobilier, je demande à quelqu’un qui l’a déjà fait ET pour qui ça se passe bien. Et c’est ce que j’ai fait il y a deux ans quand j’ai acheté mon premier appart. Résultat : ça s’est super bien passé !

Donc, pour résumer : n’attends pas que les autres viennent te livrer des réponses toutes faîtes, va les chercher chez ceux qui savent.

Tu peux être astronaute si tu veux.

Tu peux être indépendant(e).

Tu peux être champion du monde de claquettes acrobatiques.

Et si quelqu’un te dis le contraire, remercie-le de son point de vue et trouve quelqu’un d’autre qui peut t’y aider. Écoute cette personne-là à la place.

Deuxième truc

C’est pas grave de te manger les dents.

C’est-à-dire que tu vas te planter. Plein de fois. Et parfois méchamment.

Et c’est pas grave. Ça fait partie du processus d’apprentissage.

Se manger les dents

Quand tu es encore un bébé, que tu as une dizaine de mois dans ta vie, tu ne peux pas te dire, « ça y est, je suis prêt(e) ! » et te lever puis te mettre à marcher parfaitement.

En pratique, tu vas tomber. Des centaines de fois. Et éventuellement, un jour, tu vas savoir marcher.

Dans la suite de la vie c’est pareil.

Combien de fois j’ai vu des gens qui n’osent pas parler une langue étrangère quand ils en ont l’occasion ?

« Olala, t’imagine la honte ! »

Donc ils font de leur mieux pour cacher leur ignorance et ne « pas perdre la face » et… ils n’apprennent rien. Confortablement planqués dans leur zone de confort.

J’ai encore constaté ça hier à un repas avec des voyageurs de passage.

C’est compréhensible. Mais c’est peu productif !

Mon conseil : quand quelque chose t’intéresse, essaye.

Peu importe que tu passes pour un con ou qu’on te montre du doigt. Le jeu en vaut la chandelle.

Et les moqueries feront bien pâle figure quand tu auras atteint ton objectif.

C’est aussi simple que ça :

Si tu n’essayes pas, tu ne progresses pas.

Donc expérimente. Tout ce qui te fait envie.

Et apprends de tes expériences. Même quand tu échoues avec fracas.

Une mentalité défaitiste, c’est de te dire « J’y arrive pas, je suis vraiment trop bidon ».

Une mentalité de réussite, c’est de te dire « J’y arrive pas, j’ai appris quelque chose, il faut que je fasse des améliorations ».

Je pourrais jamais suffisamment insister sur ce fait : la vie, ça s’expérimente.

Tu ne seras jamais indépendant(e) (ou polyglotte ou quoi que ce soit d’ailleurs) si tu ne fais aucune tentative.

Troisième truc

Abandonne les excuses.

La raison pour laquelle tu peux ou tu ne peux pas faire quelque chose, on s’en fiche.

Ça n’a aucune importance.

Philippe Croizon a traversé la Manche sans bras ni jambes.

Il l’a fait quand même bordel !

Ne cherche pas pourquoi tu ne peux pas faire quelque chose.

Cherche comment tu peux le faire.

Et garde aussi en tête que :

Ce n’est JAMAIS la faute des autres.

Les autres ont pu CAUSER quelque chose – par exemple ton éducation a pu te rendre timide/colérique/feignant/névrosé/etc… – mais c’est de TA FAUTE à toi si tu le reste.

Et pourquoi c’est important de prendre ta responsabilité sur ça ?

Parce que tant que tu responsabilises les autres, tu n’as aucun pouvoir d’action.

Si tu penses que c’est la faute de ton prof de CE1 si tu as peur de t’exprimer devant un groupe de personne parce qu’il t’avait humilié au tableau quand t’étais gamin, alors tu es totalement impuissant(e) et tu te complais dans cette situation de victime.

Tandis que si tu admets que c’est ta propre faute si  tu as peur de t’exprimer devant un groupe de personnes parce que tu n’as rien fait depuis le CE1 pour t’y entrainer, là tu peux te prendre en main et CHANGER TES RÉSULTATS.

Peut-être que ton prof de CE1 s’était levé du pied gauche ce jour-là. Peut-être que de son point de vue c’était « la faute » de sa femme qui l’avait lui-même humilié à leur diner entre amis la veille et qu’il se vengeait en faisant un transfert. Ou peut-être simplement que c’était un gros connard.

La raison, on s’en fiche.

Ce qui est intéressant en revanche, c’est la leçon que tu en tires. Et ce que tu en fais.

Si tu te dis « Je peux pas faire [X] à cause de [Y] », tu as déjà perdu.

Abandonne les excuses, trouve des solutions.

Quatrième truc

Ne cherche JAMAIS  un travail juste pour avoir un salaire.

Chercher un travail juste pour avoir un salaire, c’est la plus grosse connerie du monde.

Et là, je précise ma pensée avant que les yeux de la moitié des personnes qui lisent ces mots sortent de leurs orbites.

CALME-TOI ! CAAAALME-TOI ! Tout va bien. Voiiiilà ! Tu veux un petit jus de fruit ? Hmm ? Ça va ?

Ok, on est tous là, c’est reparti :

Le travail, tel qu’on nous le présente pendant nos études et dans la société, c’est une activité qui permet de gagner de l’argent.

Et pendant la scolarité, on nous invite grandement à devenir ingénieur ou médecin plutôt que plombier ou boulanger parce que… « c’est de meilleurs boulots ».

Évidemment, c’est une connerie intersidérale.

Meilleur boulot, ça veut rien dire. Tout dépend de ce que t’aimes faire.

Exemple : mon petit frère était balèze dans ses études, il était en 3ème ou 4ème année d’Ostéo et il se faisait chier à mort. Il était là parce que justement, c’était censé être un « bon boulot »… et pourtant il détestait ça !

Alors il a arrêté, et maintenant il est chef cuisinier. Il se régale ! Il n’est plus stressé, il prend du plaisir à faire ce qu’il fait ET il est bien payé (bon, il bosse comme un malade aussi !).

Trouver un travail juste pour avoir de quoi se financer c’est une manière pourrie de voir les choses.

Ce qui compte, c’est de trouver ce que tu aimes faire (pour ça, retour au point numéro deux : expérimenter) puis trouver comment tu peux aider les autres avec ça et de te faire payer pour ça !

Alors au lieu de chercher un travail juste pour avoir de quoi payer ton loyer et tes frais quotidiens :

Cherche plutôt ce que tu aimes faire et trouve comment gagner de l’argent en le faisant.

Peu importe que tu sois employé ou que tu crées ton business.

On passe l’essentiel de notre vie à bosser, autant faire quelque chose qui nous plaît !

Et pour vivre de ce qu’il te plaît…

Cinquième truc

Deviens vraiment balèze.

C’est ça qui te permettra de vivre de ce que tu aimes.

À l’école on nous « oblige » à avoir un certain niveau : la moyenne. 10/20. Être bof, bof en tout.

Il faut une note minimale pour « passer ».

Mais dans la vie, il y a pas de notes.

Et être tout juste moyen, ça limite ton champ de possibilités.

Si tu veux vivre d’un truc qui te plaît, il faut que tu maîtrises grave et que tu aies ton propre style.

C’est seulement pour ça que les gens seront prêts à te payer.

Prenons un exemple hyper concurrentiel : imaginons que tu crées des sites internet.

Si tu fais les mêmes sites « classique » que tous tes concurrents, t’es complètement noyé dans la masse et le seul moyen de t’en sortir, c’est de casser tes prix (c’est naze comme stratégie, ça fait chuter ta valeur perçue et tu dois bosser comme un dingue pour avoir des revenus corrects).

En revanche, si tu fais des sites pour les artistes peintres en intégrant leurs propres œuvres à ton design, tu sors du lot.

Et pour faire ça, il te faut sortir des cases : pas seulement connaître les techniques de base pour créer des sites mais entre autre maîtriser l’intégration d’œuvres graphiques dedans, savoir POURQUOI tes clients potentiels ont besoin d’un site (Pour se faire connaître ? Pour avoir une plateforme de vente ? Pour s’en servir de portfolio ? Pour avoir un espace communication avec la presse ?) et répondre au mieux à ce besoin.

Donc, c’est en te formant et en devenant de plus en plus doué(e) dans le domaine qui te plaît que tu pourras te distinguer de manière positive et gagner de l’argent…

…et tu ne peux pas faire ça en étant juste moyen !

Note : Évidemment, pour cet exemple, je pars du principe que l’art t’intéresse. Tu peux bien sûr aller dans la direction qui te branche : la nourriture bio, l’aïkido, le macramé…

Alors comment tu peux faire pour être vraiment balèze ?

Forme-toi !

Suis des cours. Demande aux personnes que tu admires.

Lis chaque jour. 2h par jour si tu peux. Lis à propos de ton sujet de prédilection et des sujets qui gravitent autour.

Deviens excellent(e).

Rocky est balèze

Plus tu es bon(ne) dans ce que tu fais, plus tu pourras facilement te faire payer pour ça.

Si tu veux être indépendant, deviens une brute en création de valeur, en psychologie, en science sociale, en marketing, en copywriting.

Évidemment, tu ne peux pas devenir balèze dans tout ces domaines du jour au lendemain, alors progresse petit à petit.

La clef du succès professionnel, c’est d’avoir quelque chose de remarquable à apporter aux autres.

Personne ne s’intéresse à ce qui est moyen. Alors deviens exceptionnel(le).

Et exceptionnel(le), ça ne veut pas dire « le meilleur », ça veut dire : « extrêmement bon et avec ton style perso ».

C’est en apportant ta touche perso que tu te distingues de la masse lobotomisée qui répète les mantras de la normalité.

Un exemple perso :

J’apprends aux gens à créer leur business en ligne. Il y a plein de monde qui fait la même chose. C’est un business sérieux.

Mais au lieu d’utiliser des formulations pompeuses et d’embrouiller les esprits avec un jargon technique, je m’adresse à mes clients comme à des amis ! Je parle de ce qu’ils peuvent appliquer immédiatement pour avoir des résultats. Je désacralise la création de business et je la rends accessible aux personnes qui n’ont pas fait d’études de commerces ou qui n’ont pas 30 ans d’ancienneté dans leur boîte.

Et pour pouvoir faire ça, je l’ai pas sorti de mon chapeau… j’ai créé cinq sociétés, lu des centaines de livres, écrit des milliers de pages, et aidé des dizaines de personnes à créer leur propre business online à leur tour.

Ça n’a rien de magique. Ça implique juste beaucoup d’entrainement. Et n’importe qui peut en faire autant.

C’est cette grosse implication qui permet d’avoir les compétences pour apporter des résultats à tes clients. Et d’être payé pour tes compétences.

Et cette grosse implication, elle vient du fait que tu te donnes les moyens de progresser : lire des bouquins de psychologie, de philosophie et de marketing, écrire, échanger avec tes lecteurs, partager tes connaissances et voir leurs avancées.

Donc, si tu veux vivre de ce que tu aimes, il y a pas de raccourci : donne-toi les moyens d’exceller dedans.

Sixième truc

Choisis bien qui tu vas aider.

Tu ne peux pas aider tout le monde.

Et quoi que tu fasses, il y a des gens qui vont adorer, et d’autre qui vont détester.

Alors n’essaye pas de plaire à tout le monde… ou tu vas créer une bouillie fade qui ne plaît finalement à personne.

Identifie les gens que tu veux (et peux) aider et concentre-toi sur eux.

Pourquoi ?

Parce que si tu essayes de te travestir pour plaire à des personnes qui ne reflètent pas tes valeurs et ta philosophie de vie, tu vas être misérable.

Et pour illustrer ça, je m’en vais te raconter une petite fable improvisée de derrière les fagots. Ambiance basse-cours :

Si t’es un lapin et que t’es entouré de poulets, tu vas galérer à faire ton commerce de carotte (ce que tu aimes). Alors pour que ce soit lucratif et que tu te régales, trouve une bande de lapins qui seront ravis de t’acheter ce que tu offres. Fin de la fable.

Pour être indépendant(e), il faut que tu saches à qui tu t’adresses et comment tu peux les aider.

Septième truc

Montre ce que tu fais avec fierté.

Parce que c’est en montrant ce que tu sais faire que tu vas pouvoir te faire payer pour ça.

Et effectivement, dans une certaine mesure, ça fait flipper de s’exposer et de dire aux autres : je peux t’aider avec [insère ici une compétence que tu as].

Mais c’est juste une peur primaire : la peur de ne pas être à la hauteur.

Et cette peur, elle se dompte.

Par l’action.

Si tu n’es pas à l’aise de te faire payer pour ta compétence, offre-là gratuitement dans un premier temps !

Tu sais combien de coaching gratuits j’ai offert avant de me faire payer ? Quasiment 100 ! Presque cent coaching offerts sur une période d’un an et demi avant de commencer à me faire payer pour ça (chaque coaching durait entre 20 minutes et 2h). Crois-moi que ça dompte tes peurs !

Et qu’est-ce qui m’a donné la confiance de me faire payer un jour : la pratique et les résultats de ceux que j’ai coaché.

Parce qu’une fois que tu SAIS que les gens ont les résultats qu’ils veulent quand ils travaillent avec toi, ça devient une évidence que tu te fasses payer pour ça.

Et tu leur RENDS SERVICE en mettant tes compétences à leur disposition. Parce que c’est ça qu’ils achètent : une compétence qui va les rapprocher d’un de leurs objectifs de vie.

Comme Candy, une cliente qui assure grave :

« Avant de [travailler avec Damien], j’avais une idée mais c’était encore flou, alors j’ai suivi son programme et depuis, mon idée à pris forme. Tout est devenu de plus en plus clair.

J’ai aujourd’hui deux cours de Yoga en place (en parallèle de mon travail). J’ai créé un site internet avec un cadeau offert. La promotion de mon produit est en cours, je n’ai jamais autant avancé vers mes objectifs !

Je suis très reconnaissante de m’être autorisée à m’inscrire ce programme. Merci beaucoup Damien de l’avoir créé ! » – Candy R.

Alors, montre ce que tu fais ! Parce que tu vas aider les autres grâce à ça !

Et si tes premiers retours sont critiques : apprends et améliore-toi. Peaufine tes compétences. Encore et encore.

Il suffit pas d’être balèze dans ton domaine, il faut aussi que les autres comprennent que tu PEUX les aider.

Donc prends l’habitude de montrer ce dont tu es capable.

C’est la voie vers ton indépendance professionnelle.

Et bien sûr…

Huitième truc

Garde le cap.

Une des phrases fétiches de mon papi Winston, c’est :

« La réussite, c’est d’aller d’échec en échec sans perdre son enthousiasme »

Il y a des tas de gens qui essayent de faire quelque-chose, qui se plantent et qui disent « j’y arrive pas ».

Alors ils abandonnent.

Ne fais pas comme eux !

Adapte-toi.

Modifie légèrement ta trajectoire. Et continue ta route.

Comme le dit mon autre papy, Albert :

« La folie, c’est de toujours faire la même chose et de s’attendre à un résultat différent. »

Et pour continuer cette frénésie de citations, voilà ce dit le cousin Claude :

« Ne crois pas que tu t’es trompé de route quand tu n’es pas allé assez loin. »

Tous ces conseils sont super pertinents.

L’échec. L’abandon. Ça arrive seulement quand TU choisis d’arrêter.

Tant que tu continues ton chemin, ça s’appelle de l’expérience.

Et c’est cette expérience qui te permet d’atteindre tes objectifs.

Ne laisse personne te dire ce que tu ne peux PAS faire.

Trouve un moyen.

Et fait-le !

J’espère que ce bon gros article t’aidera à être indépendant(e).

C’est pas un texte qui se consume une fois pour te divertir. Ce sont des principes à garder en tête chaque jour pour vivre ta vie selon tes propres termes.

Alors, force et honneur cher frère/sœur dissident(e) !

Je te souhaite bon courage dans ton aventure vers l’indépendance professionnelle.

Et si l’article t’a plu, est-ce que tu veux bien faire quelque chose pour moi ?

Ce serait génial que tu partages l’article.

Parce que ça permettrait de faire passer le message à plus de monde : comment se donner les moyens de créer son indépendance professionnelle.

Et j’espère que ça en inspirera quelques uns !

Alors merci du partage et à très vite pour de nouvelles aventures 😉

– Damien