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Devenir libre professionnellement

Pif, paf, tu veux gagner de l’argent en faisant ce que tu aimes ?

Ok, je t’ai préparé un paquet de vidéos pour que tu y arrives.

Et ça, c’est la première :

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Aussi, je t’invite à partager la vidéo en cliquant sur les jolis boutons ci-dessous, au moins avec un(e) pote à toi, histoire que vous puissiez avancer ensemble et vous soutenir l’un l’autre dans votre aventure d’entrepreneur :

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Hervé Lero de changeons.fr invité sur pleindetrucs.fr

Comment se faire des amis facilement

Mon pote Hervé de changeons.fr vient de sortir un bouquin pour devenir super sociable en 30 jours. Je l’ai lu en avant-première. Et je l’ai trouvé méga-bien :p

L’histoire d’Hervé est super intéressante : il y a quelques années, c’était un timide maladif, je le connaissais pas encore à l’époque. Quand je l’ai rencontré (en 2014), j’aurais pas imaginé un instant qu’il puisse avoir été timide un jour dans sa vie ^^

Son truc, c’est qu’il a « appris » à devenir social. Avec du courage et beaucoup de pratique. Et ses résultats sont vraiment balèzes.

Du coup, je l’ai invité à partager ses connaissances avec nous pour devenir « super social ». Il a été carrément généreux dans cet article : il nous offre une myriade de réflexions intéressantes et pratiques qu’on peut appliquer illico pour développer nos compétences sociales immédiatement !

C’est du lourd. Enjoy amig@ :

On a tous plus ou moins intuitivement déjà réussi à se faire des potes. À force de passer du temps avec un collègue ou un camarade de classe, ça crée des liens naturellement.

Parce que le fond de ta personnalité, elle est cool.

Mais des fois, t’as peut-être du mal à la mettre en avant. Surtout avec des inconnus, ou des gens que tu connais peu.

Ça devient moins évident de se faire des amis régulièrement et quand on veut, surtout à l’âge adulte.

Du coup, la plupart des gens ont un cercle social un peu par défaut. Soit par la quantité d’amis (quelques très bons potes et derrière c’est le désert), soit par la qualité de certains amis qui ne nous correspondent pas vraiment. Ou qui nous tirent vers le bas. On a tous eu dans nos amis le ou la relou(e) de service qui passe son temps à se plaindre de tout, ou le pote un peu trop vanneur qui passe son temps à rabaisser les autres.

Et souvent, on s’en contente.

Parce qu’on ne s’en rend pas compte, ou parce qu’on ne se pose pas les bonnes questions.

Par exemple, est-ce que tu savais que d’après une étude scientifique (de James Fowler et Nicholas Christakis), si tu as un ami obèse dans ton entourage tu multiplies les chances de devenir toi aussi obèse ?

Et c’est vrai pour toutes les caractéristiques de tes proches.

On devient la somme des 5 personnes qu’on fréquente le plus souvent.

Et les 5 personnes qu’on côtoie le plus, on a le pouvoir de les choisir avec attention.

Si tu t’entoures de personnes plaintives, qui te répètent que c’est la crise en ce moment et que le monde est dangereux, il y a fort à parier que d’ici un an tu n’auras pas un état d’esprit très positif : tu ne vas pas vouloir monter ta boîte (c’est la crise ma bonne dame !), tu ne vas pas beaucoup voyager (c’est dangereux !).

Si au contraire tu choisis de t’entourer de personnes positives (j’insiste sur le mot choisir, car ça ne dépend vraiment que de toi) qui voyagent beaucoup, sont ouvertes aux rencontres et sont elles-mêmes entreprenantes, alors dans un an ton vœu de monter ta société au Pérou sera peut-être déjà exaucé.

Juste parce que ton entourage t’aura envoyé les bons signaux, t’aura encouragé, tiré vers le haut.

Tes potes, ils peuvent être inspirants. Ils peuvent t’aider à faire ce que tu as envie de ta vie.

Si tes amis actuels sont juste sympas, c’est cool tu passes des bons moments avec, mais tu pourrais vraiment passer au niveau supérieur.

Tu pourrais dans un premier temps compléter ton cercle social actuel, en rencontrant des personnes qui t’inspireront par leur passion ou leur comportement.

Bon, c’est bien beau tout ça, mais comment on fait pour rencontrer des gens qui nous correspondent vraiment ?

Let’s go !

Améliore dès aujourd’hui ton cercle social

On va faire un petit exercice pratique pour t’aider à améliorer dès aujourd’hui ton cercle social. Prêt ?

1/ Détermine tes valeurs importantes

Autrement dit, les valeurs qui te semblent indispensables parce qu’elles comptent pour toi.

Pour moi, ça pourrait être le respect, la tolérance, l’honnêteté.

2/ Détermine qui dans ton entourage ne respecte pas tes valeurs importantes

On va voir quelques exemples :

Ta copine Caro est super marrante, mais elle fait des remarques racistes. Comme tu l’aimes bien, tu ne la reprends pas à chaque fois, tu fais même semblant de rire à ses remarques déplacées parfois. Et paf, viol de tes valeurs respect et tolérance.

Ton pote Ludo est carrément cool, mais il trompe sa copine tous les week-ends et te demande de mentir pour le couvrir. Pourtant sa copine tu l’aimes bien, et ça te fait des noeuds au cerveau de devoir lui mentir. Et paf, viol de tes valeurs respect et honnêteté.

Ton oncle Dédé est un bon vivant, mais il te raccompagne en voiture alors qu’il est bourré après les repas de famille, et te dit qu’il n’a pas bu. Bim, dans ta face les valeurs honnêteté et respect.

Ces exemples ils concernent mes valeurs, pour toi ça sera peut-être complètement autre chose.

À ce stade, tu devrais déjà avoir repéré quelques personnes dans ton entourage qui violent certaines de tes valeurs.

3/ Fais du tri dans ton entourage actuel

Le but ça ne va pas être de juger les autres, mais juste de déterminer ceux et celles qui ne correspondent pas à tes valeurs principales.

Ce n’est pas un jugement dans le sens où quelqu’un qui arrive tout le temps en retard ça va me souler moi, mais ça ne sera pas un problème pour mon voisin qui lui aussi est tout le temps à l’arrache.

Là on parle de ce que tu veux. De tes goûts et de tes valeurs personnelles.

Dans la liste des personnes qui violent une ou plusieurs de tes valeurs, tu vas te demander lesquelles sont les plus négatives pour toi.

Je te conseille d’en choisir 3.

Ces trois personnes, tu peux choisir dès aujourd’hui de beaucoup moins les côtoyer.

Moins voir les personnes qui ont une influence négative sur toi, ça va changer ta façon de voir les choses.

Continuer à les voir régulièrement, c’est comme nager avec un poids de 2 kilos attaché à chaque pied : ce n’est pas impossible, mais c’est épuisant, et ça risque de t’entrainer vers le fond un jour ou l’autre.

Imagine maintenant qu’à la place de ces trois personnes plutôt négatives, on mette trois personnes qui t’inspirent vraiment, qui partagent tes envies, tes passions, qui te poussent à te dépasser.

Ça sonne déjà un peu mieux, tu ne penses pas ?

On va donc voir comment faire pour trouver des personnes qui correspondent à cette définition.

4/ Détermine tes rêves et tes passions

Tu vas lister au moins 2 ou 3 de tes rêves ou passions.

Si tu n’en as pas, essaie des choses nouvelles régulièrement, ça t’aidera à trouver ce qui te motive vraiment. Ça n’a pas besoin d’être la passion de ta vie (si c’est le cas tant mieux !), une activité qui te rend curieux ou qui t’amuse ça suffit dans un premier temps.

Disons que c’est la musique, les voyages et la danse.

Tu vas ensuite te poser la question :

« Où se trouvent les autres gens passionnés par ces domaines ? »

Si je cherche au hasard dans la rue, j’ai peu de chance de trouver des gens passionnés de danse. Surtout si c’est un type de danse spécifique, tomber sur un danseur de cha-cha-cha par pure coïncidence ça relève du gros coup de bol, autant jouer au loto.

La chance, on va la provoquer.

Comment se faire des amis facilement

5/ Fais un pas vers l’entourage de tes rêves

On va donc faire un premier pas dans l’univers où se trouvent les gens qui partagent nos passions.

Pour la musique, tu peux par exemple commencer à rechercher des concerts autour de chez toi.

T’inscrire à un cours de guitare ou de batterie.

T’inscrire sur le forum de ton groupe préféré.

Ça, tu peux le faire, dès cette semaine.

Fais cet exercice sur tes trois rêves ou passions. En faisant ça, tu enclenches la première pièce de l’engrenage.

Mine de rien, si tu appliques vraiment ça, tu vas te donner la chance d’être plus heureux. Et c’est vraiment pas dur à mettre en place.

Parce que si tu t’entoures de potes musiciens, tu multiplies par 100 ou par 1000 tes chances de vivre ton rêve de monter un groupe et de jouer sur scène par rapport à un entourage qui n’aime pas la musique. Parce qu’ils te tireront vers le haut, te présenteront d’autres passionnés de musique, peut-être même ton futur bassiste ou ton manager, et ils t’encourageront dans tes projets musicaux.

6/ Va à des évènements liés à ta passion

Maintenant que tu es inscrit, tu vas aller à ces évènements. Seul ou avec un ami pour t’accompagner, peu importe. Évite juste d’y aller en groupe, ça te donnerait moins envie d’échanger avec de nouvelles personnes.

Peu importe que tu sois débutant complet ou confirmé.

Le but, ça va être de passer un bon moment en exerçant une de tes passions.

Et de te connecter aux autres qui sont là pour la même raison !

Si tu débutes, dis-toi que tu n’es surement pas le seul dans ce cas. Repère les autres débutants et va leur parler !

Parce qu’ils n’attendent surement que ça. Ils seront contents que quelqu’un brise la glace.

Demande aussi des conseils aux plus confirmés, sans être insistant.

Finalement, dans le contexte de ta passion, c’est assez facile de parler avec les gens autour, parce que les sujets de conversation sont déjà tout tracés au début !

Tu as très peu de risques de te tromper si tu parles escalade à un fan de grimpe pour l’aborder.

Si tu aimes les voyages, tu peux soit commencer à voyager, soit faire une activité liée (j’appelle ça une activité connexe) : apprendre une langue étrangère par exemple.

Pour ça, prends des cours collectifs, ou va à des soirées polyglottes ou meetups : c’est un moyen génial de rencontrer des gens qui viennent d’autres pays ou qui ont cette envie d’apprendre une autre langue, et avec qui tu pourras parler voyages sans problème !

En plus tout le monde est là pour la même chose : parler anglais / espagnol / moldave ou la langue de ton choix et rencontrer des gens.

Tu n’auras donc pas la pression de te demander si tu les déranges ou s’ils sont ouverts aux rencontres.

7/ Apprends à avoir une conversation intéressante

Pour intéresser tes nouveaux interlocuteurs, tu vas, à un moment ou à un autre, parler d’autre chose que de la passion commune, forcément.

Et là, tu te demandes peut-être : mince, de quoi je vais bien pouvoir parler….

La réponse : de ce que tu as envie.

Avec des inconnus, fais comme avec tes potes : si tu as envie de faire une blague ou un jeu de mots pourri fais-le, si tu as envie de parler de spaghettis bolognaise ou du dernier film que tu as vu, ce n’est pas un souci !

Souvent avec des inconnus, on se met des limites. Auto-censure power.

Du coup ça donne des conversations hyper ennuyeuses, du type :

Tu t’appelles comment ?

Tu travailles dans quoi ?

Tu habites où ?

Tu viens souvent ici ?

Il fait beau hein?

Oaaaahhhh (bruit de bâillement) !

Démarque-toi de 95% des gens qui vont avoir cette approche (ce chiffre est tiré de mon chapeau magique, mais d’après mes expériences on est pas loin de la vérité !).

Sors du schéma classique. Comment ? En te comportant avec des inconnus comme tu te comportes avec tes potes.

Fais comme si vous vous connaissiez depuis longtemps.

Zappe la phase CV.

Passe direct à des conversations qui te plaisent. Ne filtre pas. Laisse aller.

Au début ça va peut-être te paraître contre-intuitif, mais en réfléchissant : tes potes t’aiment pour ta personnalité. Sans filtre.

Bien sûr, en étant toi-même dès le début, tu vas polariser davantage. Mais c’est une bonne chose.

Plus de gens vont t’aimer. Certains n’accrocheront pas à ton humour ou à ton style. Pas grave, ça n’aurait pas collé avec ces gens de toutes façons, plus vite tu t’en rends compte et moins tu perds de temps.

Si tu n’as pas d’idées de sujets de conversation, tu peux demander à l’autre s’il a voyagé récemment par exemple, et embrayer sur le sujet des vacances et voyages : c’est un sujet que la plupart des gens apprécient (c’est plus agréable de se souvenir de ses voyages que de parler de son boulot en général !).

8/ Le réflexe pour transformer l’essai

Une fois que tu as parlé à ces gens, passé un bon moment avec eux, il y a une chose à faire, systématiquement : c’est de prendre leurs coordonnées.

C’est tout con, mais souvent on se dit : « À une prochaine ! ». Et si on vit dans une grande ville (donc quasiment aucune chance de se recroiser par hasard), autant se dire : « Adieu, on ne se reverra jamais ! ».

Si tu veux te donner une chance de revoir ces personnes et d’en faire des futur bons amis ou bonnes copines, tu vas prendre l’habitude de leur demander leur numéro ou leur facebook.

En général on demande ça à la toute fin. C’est bien, mais je préfère le faire de manière plus fluide au cours de la conversation.

On parle d’un endroit sympa : hop, je lui demande son numéro en lui disant que je lui enverrai le lien.

On parle de notre passion commune et j’ai prévu une activité liée à ça ? Je lui dis que je lui proposerai quand j’irai, et je prends son facebook.

Ça n’a pas besoin d’être compliqué. C’est normal de prendre des coordonnées des gens avec qui tu as passé un bon moment.

Évite juste de te barrer juste après avoir pris le numéro, ça donne un peu l’impression que ton seul but c’était de chopper son 06 ou 07. C’est pour ça que je préfère le faire au milieu.

9/ Sois actif avec tes contacts.

Pour transformer tes rencontres récentes en amitié, je te conseille de proposer rapidement aux gens de les revoir, et de le faire de la bonne manière.

Utilise des formulations qui donnent envie, oublie le texto : « Je m’ennuie, quelqu’un veut sortir ce soir ? » et opte pour des formulations plus enthousiastes.

« Demain soir je vais à un concert gratuit dans mon bar rock préféré, j’ai écouté la démo du groupe et ça a l’air vraiment cool ! » ça donnera plus envie à un fan de rock de te suivre.

En début d’amitié, l’intérêt décroit très vite, donc mon conseil c’est de proposer ce plan dans les jours qui suivent la prise de coordonnées, une semaine max, sinon l’envie de se voir diminuera des deux côtés.

Si elle n’est pas dispo, tu peux proposer un second plan quelques jours après, un troisième si tu sens que la personne a vraiment des excuses valables. Au delà, laisse tomber et rencontre d’autres gens, ou laisse la personne revenir d’elle-même vers toi : tu n’as pas envie de devoir supplier les gens de te voir.

10/ Expérimente, et amuse toi.

Enfin, dernier conseil pour cet article, sois toujours dans l’amusement et la curiosité durant tout le processus.

Se faire des amis, partager des choses, ça ne doit pas être douloureux ou stressant. Ne te mets pas d’enjeu trop important : tu y vas avant tout pour t’amuser, et rencontrer si possible des gens cool.

Parfois ça sera le cas. Parfois non. Mais dans tous les cas si tu prends du plaisir à parler à des nouvelles personnes, tu multiplieras tes chances d’en faire des amis.

Si tu ressens une peur d’aborder des inconnus ou si tu n’es pas à l’aise avec les autres, ne t’en fais pas : ça s’apprend. J’étais timide maladif dans le passé, et j’ai appris et développé toutes ces capacités sociales. Tu peux facilement faire la même chose si tu en as envie.

Un grand merci à mon pote Damien de m’avoir laissé la plume (ou plutôt la souris) pour écrire sur son blog, et te donner des pistes pour te faire des amis les doigts dans le nez !

C’était Hervé Lero, du blog changeons.fr, je te dis à très vite !

 

Note : Si tu veux jeter un œil au nouveau bouquin d’Hervé, ça se passe par là : 

Perso, je le recommande à fond si t’as l’intention de mettre un coup de boost à ta vie sociale. Y’a pas de blabla, c’est concret, le style est sympa, ça donne un tas de pistes à explorer.

 

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Comment développer son activité en accord avec ses valeurs

Comment développer son activité en accord avec ses valeurs

Aujourd’hui, j’ai invité Selma Païva pour nous parler d’identité de marque et de stratégie marketing.

À quoi ça sert ?

À développer ton activité en accord avec tes valeurs et vendre plus.

Ça s’adresse aux entrepreneur(se)s et aux aspirants entrepreneurs.

On a fait un podcast blindé d’infos pratiques.

Si tu veux développer (ou prévoir) ton activité dans un sens qui te convient, check ça amig@ :

Les liens dont on parle dans le podcast :

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et les projets de pleindetrucs.fr

L’avenir du travail et les projets de pleindetrucs.fr

Salut l’ami !

Je t’écris un petit article de transition. À la bien. Pépère.

Comme tu le sais sûrement, j’ai sorti mon programme pour créer sa liberté professionnelle.

J’ai bossé à fond dessus parce que je pense que créer sa liberté professionnelle c’est méga important.

Voilà pourquoi :

Le monde du travail « classique » est mourant.

Le salariat, les grosses sociétés, tout cet amas de conventions, ça subsiste encore mais c’est en train de décliner.

Pourquoi ?

Parce qu’ils cherchent des pions, qu’ils ont le choix parmi un bataillon et que ça peut plus durer.

Parce que nous ne pouvons accepter des conditions pourraves ou semi-pourraves et baisser la tête pour l’éternité.

Nous sommes des putains d’Humains et on nous bourre le cervelet : on nous apprend à trouver un métier, à obéir, à s’adapter aux règles.

On est réduits au stade d’automates, juste bons à effectuer des tâches à la con. Avec ou sans motivation.

Travailler pour travailler. 40 années de sa vie. Sans sens. Pour la monnaie. *Phoque*.

Aujourd’hui, c’est pas ça la vie.

Ça marchait il y a 50 ans, à l’époque de nos grands-parents et de nos parents peut-être, parce qu’il y avait de la demande et que chacun y trouvait son compte, mais aujourd’hui y’a plus de travail. C’est la pénurie, c’est la merde.

À l’époque on manquait de main d’œuvre pour accomplir de grands projets.

Maintenant, c’est le contraire, on est tellement lobotomisé qu’on n’ose plus rien proposer.

Alors évidemment, j’extrapole, je pense pas qu’on ne crée plus rien non plus. En vrai il y a plein de personnes exceptionnelles qui proposent des trucs géniaux. Je dis que la tendance générale est à l’accusation passive du système. « Et gnagnagna, mon patron est pas sympa… et gnagnagna, je vais me faire licencier… »

OSEF !

Le problème, c’est ni le travail, ni le système. C’est nous. C’est toi. C’est moi.

T’aime pas ton boulot ? T’es pas assez payé ? T’as pas de travail ?

Tu sais quoi ? Crées ton job. Bim ! Rétroshoot rectal !!

Produit de la valeur pour les autres. Vends-là.

Pleurnicher ça sert à rien.

On vit à une époque où tout peut se monétiser : le divertissement, l’information, l’éducation, le sport, la connaissance et bien entendu les produits, les services, la nourriture, etc…

En haut de la pyramide, il y a la bouffe, et c’est les méga groupes qui dominent le marché. Ils cultivent par centaine de milliers de tonnes dans l’irrespect de l’environnement. Pour réduire les coûts et attirer la préférence du client. Il y a quelques siècles, ce qui comptait le plus c’était d’avoir des terres. Pour cultiver. Ce qu’il y avait de plus précieux, c’était ce qu’on pouvait manger.

Depuis l’ère industrielle, avec les machines, on est arrivés à produire assez (même si on donne pas de la nourriture à tout le monde parce que les dirigeants n’en ont rien à cirer). La nouvelle denrée précieuse, c’était de pouvoir travailler.

Ensuite, c’est à la connaissance qu’on s’est attaqués. Et la génération précédente a dû exploiter l’économie de l’apprentissage et de l’enseignement.

Puis, on arrive à ce jour. On gâche des tonnes de nourriture chaque jour. Le marché du travail est over-saturé. La connaissance est accessible en un clic sur internet. Résultat : on se pose des questions comme « quelle est notre place dans la société ? ». On est en manque d’attention. On a un désir d’être et de s’exprimer. La situation est un peu plus compliquée que quand ton père te disait : « Ok Michocle, tu seras fermier » et que ça traçait le reste de ta destinée.

Le problème, c’est qu’on cherche des réponses à l’école et à la télé. Et que ces derniers fonctionnent à la mode du siècle dernier. C’est des vestiges. Des antiquités.

« Quand le vent du changement souffle, les uns construisent des murs les autres des moulins à vent »

Ta place, c’est toi qui te la crée.

Ça, c’est un morceau de ma réflexion de base.

Pleindetrucs.fr, c’est un exutoire vers la liberté.

Alors je continue de m’exprimer.

Et si ça te chiffonne, t’es pas obligé d’écouter.

J’écris pour les dissidents, ceux qui construisent le monde de demain.

Pour ceux qui ont des rêves, des idéaux, qui veulent donner du sens et apporter leur touche personnelle, peu importe l’échelle, dans l’humanité.

Je prépare un tas de nouvelles choses pour cette année.

Et ça prend du temps.

Je m’occupe aussi de mon groupe Easy Business avec beaucoup d’attention et je veux être disponible au maximum.

J’annonce du coup que j’écrirais moins d’un article par semaine à partir de maintenant. Peut-être un toutes les deux semaines voire un par mois. Mais je continue de produire. Probablement des vidéos aussi. Va y avoir du costaud cette année.

Alors, pour la suite de pleindetrucs.fr je vais continuer de te partager mes réflexions et te donner les outils pour définir ta liberté et la créer. En se focalisant sur trois axes : le plan personnel, professionnel et relationnel.

Parce qu’on veut tous une bonne vie.

Alors je t’écris avec gratitude, beaucoup de tendresse et de considération, même si parfois mes mots claquent comme un nunchaku parce que ta vie, c’est ta meilleure occasion d’exprimer qui tu es.

J’espère que mes idées stimulent les tiennes.

Et merci de me lire, sincèrement. Content que mes lettres résonnent. Content de constater qu’on est plusieurs dans cette épopée.

Je te souhaite le meilleur dans tout ce que tu feras et on se retrouve très vite amig@ !

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pleindetrucs.fr - Damien Fauché sur Koh Tunsay

Le véritable intérêt de créer ta liberté professionnelle

Il y a 6 ans de ça (édit 2022 : 12 ans maintenant !), par un beau matin de Juin, j’entrais fièrement dans la pépinière d’entreprise où je venais de trouver le boulot de mes rêves.

J’étais officiellement concepteur de jeux vidéos. J’avais un job. Du haut de mes 23 ans, le monde s’ouvrait à moi.

Après les petits boulots étudiants, la vraie vie professionnelle venait de commencer.

Et alors que je prenais place à mon bureau, la réalité du travail s’est installée elle aussi à mes côtés.

Face à l’écran, 8h par jour à subir les projets selon le bon vouloir des clients. Les deadlines serrées. La créativité bridée.

Je tiens à préciser que mon boulot était quand même cool dans l’ensemble. Que l’équipe et les patrons étaient super sympas. Je peux même dire que j’aimais bien mon job.

Et pourtant, il y avait trois problèmes qui bouffaient ma réalité :

  • Je devais aller au boulot 5 JOURS PAR SEMAINE, du matin au soir. Pas le choix. 70% de mon temps de vie était réservé. Peu de chance de diminuer le rythme tant que je serais employé. Est-ce que j’allais faire ça pendant encore 40 ans ?
  • Je devais aller AU BOULOT 5 jours par semaine. Pas le choix. Je devais me rendre à un lieu précis, chaque jour, quasiment toute la journée. Est-ce que j’allais y retourner pendant encore 40 ans ?
  • Je devais faire ce qu’on me disait. Peu importe que le projet me semble intéressant ou non. Peu importe que je me sente en accord avec le projet. Je devais faire ce qu’on me disait. Point. Est-ce que je voulais qu’on me dise quoi faire pendant les 40 prochaines années ?

Mon excitation fondait au rythme des journées.

Je me sentais de plus en plus comme un automate. Comme un putain de zombie.

Petite note : Alors, là j’introduis une grosse nuance pour éviter l’amalgame, je ne dis pas qu’être employé, c’est être un zombie. C’est pas du tout ça que je pense.

Je dis simplement que MOI j’étais un zombie PARCE QUE je vivais comme ça alors que ce n’était pas en accord avec ma vision de mon existence.

Il m’a fallu deux ans pour prendre la décision d’arrêter.

 

J’aimerais pouvoir te dire que quitter mon boulot était un moment de gloire. Que je marchais au ralenti avec des lunettes noires alors qu’il y avait des explosions en arrière-plan et que je plissais à peine les yeux comme Clint Eastwood.

En pratique, je ne savais pas du tout où j’allais.

Je savais juste ce que je ne voulais pas. Et j’avais une vague idée de ce que je cherchais.

Je ne voulais pas passer 40 ans de ma vie à aller au même endroit, presque tous les jours, faire la même chose, sans choisir ce que je faisais.

Même si l’école et la société m’avaient bombardé cette image dans le crâne comme une définition du succès.

En pratique, ça ressemblait plutôt à ça :

Une cage. Une grosse cage. Avec une roue qui te donne de l’argent. Pour l’activer, il faut courir dedans. 70% de ton temps.

Avec cet argent, tu peux habiter dans une autre cage et te payer à manger, des loisirs, une télé.

La roue est toujours là, jamais bien loin. Tu t’en échappes seulement quelques jours par mois.

Et elle sera là demain. Pour des dizaines d’années. Ça craint.

Quand tu vois les choses comme ça, il te reste deux choix.

Anesthésier ton cœur, tes ressentis, porter haut ton masque et te dire que ça pourrait être pire, et continuer la course en étouffant tes sentiments.

Ou sortir de là. Peu importe le prix. Ta vie, tu n’en as qu’une et tu ne veux pas la passer ainsi.

Alors, j’ai choisis la deuxième option.

Ce que je voulais, c’était être libre.

Libre de comment utiliser mon temps de vie.

Et quand je dis libre de comment utiliser mon temps de vie, ça ne veut pas dire rien glander.

Je pense que travailler c’est bien. Je pense que travailler, c’est fondamental pour que la société puisse fonctionner. Si personne ne faisait rien, nous n’aurions rien à manger.

Travailler, c’est produire de la valeur pour les autres. De la nourriture, des soins, des produits, des services, de l’éducation.

À mon avis, le principe du travail dans la société est plutôt bon. Le principe de l’argent est plutôt bon. Ce sont les dérives qui font tout déconner.

Alors au lieu de maugréer et chercher des responsables, je pense que c’est plus judicieux de passer à l’action.

Et la plus petite action concrète que j’ai trouvé, c’est de créer de la valeur.

J’ai appelé ça un Easy Business ! Pas parce que c’est facile. Mais parce que la structure est simple et authentique.

Ne pas dépendre d’une entreprise ou d’une multinationale pour me dire ce que je dois créer.

Plante des tomates. Quand elles sont mûres : vends-les. C’est de la valeur. C’est un business. C’est concret. C’est sain.

Les tomates, c’est juste un exemple. Ça marche aussi avec donner des cours de piano ou faire de la comptabilité pour un restau.

Ce qui compte, c’est de le faire de ton propre chef, pas d’attendre qu’on te l’intime.

On nous a inculqué l’assistanat, ne pas prendre de risque, attendre les ordres, rechercher la « sécurité ». Ça marchait il y a 50 ans pendant l’essor économique. À l’époque actuelle, c’est du flan.

Adam Smith et les fondateurs de l’économie moderne ont fondé le système sur le fait que l’humain moyen était un feignant qui devait être motivé par le gain financier.

Je pense que c’est faux. L’humain est créatif, sensible et a un désir intrinsèque d’évoluer.

Ceux qui ont succombé à ce système sont devenus des produits de la société.

Le monde ne peut pas continuer dans cette direction. Il faut se réveiller.

Chacun doit prendre sa responsabilité.

Et même si je n’ai pas toutes les réponses, je propose au moins quelques idées : assumer d’être un humain, assumer d’évoluer dans la société et produire de la valeur sans attendre qu’on nous l’ait demandé.

Et faire tout ça avec un minimum de contrainte, en respectant notre identité.

Travailler quand on veut, d’où on veut et faire ce qu’on veut, du moment qu’on apporte de la valeur aux autres et au monde pour contribuer à la cohésion de la société.

Par faire ce qu’on veux, ça ne veut pas dire forcément des choses agréables. Ça veut dire qu’on est prêt à les faire en échange d’une rétribution adaptée ET définie par soi-même.

Par travailler quand on veut, ça ne veut pas nécessairement dire travailler peu. Ça veut dire qu’on peut choisir la quantité de travail qu’on veut fournir en fonction de la rétribution qu’on souhaite.

Par travailler d’où on veut, ça ne veut pas obligatoirement dire voyager toute l’année. Ça veut aussi dire qu’on a le choix de travailler au même endroit si on décide de faire un travail qui implique une présence localisée.

Cette liberté professionnelle, depuis 2012, c’est la vie que j’ai décidé de mener.

Peu importe que certains me prennent pour un fou. Peu importe que mes choix soient critiqués.

*Phoque* mon CDI. *Phoque* ma BMW. L’argent arrive toujours mais mes priorités ont changées.

J’avance en accord avec mes valeurs. Et je continuerai d’avancer.

Parce qu’il ne suffit pas de critiquer le monde pour le faire évoluer. Parce que passer à l’action, c’est le seul moyen de faire changer les choses. Et même si c’est une goutte d’eau dans l’océan, c’est quand même une goutte d’eau.

Parce que chacun est capable de redessiner sa place dans la société. Et que c’est ainsi, que un par un, on redessine la société.

Le monde change. Et il faut faire évoluer notre manière de penser.

 

Je ne veux pas être un esclave qui passe sa vie à trimer pour maintenir un système en train de sombrer.

Je veux apporter ma valeur au monde, ma créativité.

Je veux être libre.

Et quand je te parle de liberté professionnelle, je ne te parle pas seulement d’une situation confortable et pleine d’aventures, je te parle aussi d’un positionnement éthique pour le monde de demain.

Avoir une belle vie et être en accord avec ses valeurs.

Plutôt que d’avoir une vie creuse en captivité.

Lever la tête, ouvrir son cœur et poser un regard neuf sur la société.

On ne peut pas prendre la responsabilité de tous les malheurs du monde, mais on peut agir sur sa propre existence. Assumer son humanité et ne pas se contenter d’acquiescer.

On peut vivre libre. Se lever chaque jour pour offrir au monde ce qui nous plaît et être remerciés en retour.

Je ne vais pas te dire que c’est une idée largement accepté. La plupart des gens se contente de chercher un emploi et évite d’y penser.

Mais c’est faisable.

Et ça rend le travail plus sensé.

Tu veux que je t’aide à avancer vers cette liberté ?

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