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Interview sur pleindetrucs.fr

Everett Bogue sur le mode de vie minimaliste (et comment gagner sa vie sur Internet)

This is a french translation. To see the original interview in english, click here.

Mesdames et messieurs, j’ai l’honneur de recevoir sur pleindetrucs.fr l’un des minimalistes les plus minimalistes de la planète, quelqu’un qui a contribué à faire connaître et développer le mouvement minimaliste aux USA, monsieur Everett Bogue !

J’en ai profité pour lui poser des questions sur son mode de vie, son financement et sa philosophie.

Ses réponses sont claires, précises et elles te font cramer le cerveau.

Si tu veux être libre et indépendant(e), enjoy amig@ :

 

Ev Bogue sur pleindetrucs.frEv : En 2009, j’ai créé un blog qui s’appelait Far Beyond The Stars (FBTS). FBTS est devenu super populaire pour quelques raisons : j’écrivais comment j’ai quitté mon boulot, comment je suis devenu minimaliste, et déménagé dans une autre ville. [Note : Ev ne possède plus le nom de domaine de FBTS aujourd’hui]

Avec du recul, je vois mon blog comme une réponse à la crise financière de 2008. Après quelques temps, le blog a commencé à parler de business sur Internet au fur et à mesure que j’apprenais des choses sur le sujet.

Grâce à la popularité du blog à l’époque, j’ai vendu quelques livres et gagné suffisamment d’argent pour voyager un peu en 2010. J’ai fermé FBTS en 2011 et commencé à blogger sur evbogue.com, où je continue d’écrire depuis.

 

Damien : En deux mots, à quel point ton blog était populaire ? Et de quel ordre étaient tes revenus ?

Ev : À l’heure actuelle, on ne peut plus parler des statistiques comme à l’époque à cause des ad blockers et de la grande quantité de robots qui parcourent le web, mais FBTS à passé la barre des 80,000 « clics uniques » par mois en Octobre 2010.

2010 à probablement été l’année ou j’ai gagné le plus d’argent mais je n’ai pas dépassé les $100.000 avec mes ventes de livre. Mais il faut aussi prendre en compte que j’ai gagné moins de $6000 dans l’année en 2012 et en 2015.

Quand je repense à 2010, c’était une drôle d’année pour écrire. Il y avait plein de monde dans le milieu qui gagnais des revenus stables grâce à l’écriture.

 

Damien : Et pourtant tu es revenu à un boulot d’employé ? Pourquoi ?

Ev : En 2015, j’ai travaillé quelques mois dans un restaurant en Caroline du Nord en tant que serveur. La raison était simplement que je ne gagnais plus suffisamment  d’argent en ligne, et que j’avais besoin de trouver un moyen pratique d’avoir d’autres revenus.

Au moment ou j’écris ces lignes (Juillet 2016 donc), je vis à Mexico City et j’écris à plein temps de nouveau. Travailler dans un restaurant aux USA m’a permis d’économiser suffisamment d’argent pour quitter le pays encore une fois.

Ce qui me ramène à ta question : pourquoi j’ai dû trouver un boulot d’employé alors que mon blog avait autant de succès ?

D’abord, c’est important de prendre en compte que ce n’est pas parce que je gagnais de l’argent en écrivant des livres en 2010 que j’ai continué d’en gagner pour toujours après ça. Je me suis retrouvé sans argent en 2012 pendant que je vivais à Berlin.

De la même manière, je me suis retrouvé presque sans argent en 2015 ici à Mexico City. Alors au lieu de me retrouvé complètement fauché (Note : Oui, je sais.), j’ai décidé de prendre un emploi pour éviter ça. Je ne pouvais pas gagner beaucoup sur place à Mexico, du coup comme je suis américain, retourner aux USA pour gagner un peu d’argent me semblait une bonne option.

Une de mes théories, c’est que le mois de Juillet est un mois pathétique pour gagner de l’argent en ligne. Peut-être que ce n’est pas le cas pour tout le monde, mais pour moi, ça l’est. Je recommande à celles et ceux qui prévoient de gagner de l’argent en ligne de faire des réserves d’argent pour passer le mois de Juillet. Juillet est un mois mort sur internet, parce que presque tout le monde dans l’hémisphère nord est dehors en train de faire des barbecues et d’aller à la plage.

Au lieu de gagner de l’argent en ligne en Juillet, je suggère de faire ce que je faisais au moment où j’ai lancé FBTS : économiser suffisamment d’argent pour faire décoller son business aux mois d’Octobre, Novembre et Décembre. L’une des raisons qui a fait que FBTS a eu autant de succès était que je n’avais presque plus du tout d’argent en décembre 2009 plutôt qu’en Juillet. En Juillet 2009, je quittais mon boulot en essayant de trouver ce que je pourrais bien faire de ma vie.

De manière un peu étonnant, aujourd’hui je me retrouve dans une situation très similaire à laquelle j’étais en Juillet 2009. J’ai quitté mon boulot, j’ai peu d’argent de côté, je fais quelques ventes de ci de là de mon livre The Art of Being Minimalist. Tout ce que j’ai a faire, c’est de faire grossir mon blog et mon business jusqu’au point de gagner une somme qui me convient avec.

La grosse question qui reste, c’est comment je vais me débrouiller cette fois-ci ? Rien de ce que j’ai créé en ligne ne m’a permis de gagner un revenu qui dure indéfiniment. La seule question que je continue de me poser, c’est comment je vais gagner de l’argent maintenant ?

J’ai beaucoup de gratitude pour mon expérience de travail dans un restaurant pendant un mois. C’était un travail incroyablement dur. Si je dois un jour encore travailler dans un restaurant, je saurais que j’ai ça en moi.

 

Damien : Quand tu auras trouvé comment gagner suffisamment d’argent, tu as une stratégie pour rendre ces revenus durables ?

Je pense qu’aspirer à un revenu durable pour quiconque dans notre tranche d’âge actuelle, avec l’instabilité économique où elle en est (particulièrement dans le monde développé, et de manière encore plus forte en Europe) est un challenge incroyablement difficile. Je trouve ça incroyablement difficile de savoir ce qui va se vendre jour après jour, sans parler de ce qui va se vendre dans vingt ans.

Je suggère aussi à quiconque qui pense qu’écrire un livre et faire un site internet est de « l’argent facile » d’aller plutôt trouver un boulot dans un restaurant où au moins les rentrées d’argent sont constantes.

 

Damien : T’as envisagé d’investir dans l’immobilier ? Même si t’es un méga minimaliste ?

Ev : Je crois que c’est fort peu probable que je sois un jour en mesure d’acheter une maison en écrivant des livres sur le minimalisme et la programmation. J’ai lu plusieurs livres qui ont essayé de me convaincre que l’immobilier est un « revenu passif », mais j’ai l’impression de mon point de vue en ayant loué un peu partout dans le monde qu’il n’y a rien de passif à être un bailleur.

Damien : De mon expérience, c’est assez passif et je pense sincèrement que ça vaut le coup de s’y intéresser. J’ai acheté mon premier appart il y a deux ans. J’ai eu seulement deux personnes qui l’on loué. Une la première année et l’autre est toujours dedans. Les loyers arrivent sur mon compte, et je n’ai pas grand chose à faire [Note : À part trouver les bonnes personnes une fois par an]. Même quand je voyage.

J’ai juste à acheter un autre appart du genre et je n’aurais plus besoin de travailler.

Ev : Cool. Et qu’est-ce qui se passe quand les canalisations sont bouchées et que tu voyages ?

Damien : Je leur dis d’appeler un plombier et de m’envoyer la facture.

Ev : C’est censé.

 

Damien : Tu as envisagé de créer de nouveaux contenus payants en ligne ? 

Ev : J’ai écrit une douzaine de livres depuis 2010. The Art of Being Minimalist est en vente sur evbogue.com en ce moment même ! J’ai appris que si j’essaye de vendre trois livres ou plus en même temps, un paradoxe de choix se met en place et personne n’achète.

 

Damien : Et si t’avais $500 et une semaine, comment tu commencerait un business nomade minimaliste ?

Il y a seulement quelques moyens de gagner de l’argent en ligne. Tu peux écrire, programmer ou consulter – c’est tout. Tu ne peux pas faire des tacos et les envoyer par internet.

En théorie, si je n’avais rien du tout à part $500 USD, j’écrirais un livre sur la programmation.

1. $334 (6000 pesos mexicains) pour une location à Mexico City
2. $5 pour un serveur virtuel privé
3. $10 pour un nom de domaine

Ce qui laisse $151 pour la nourriture et les boissons. Ce n’est pas beaucoup, mais à Mexico ce serait suffisant pour au moins une semaine d’alimentation.

Est-ce que les gens seront intéressés par le livre ? Et bien, c’est ma responsabilité d’écrire un bon livre. Je ne m’attendrais pas non plus à ce que qui que ce soit achète le livre en Juillet, parce que Juillet est le pire mois possible pour lancer un livre sur internet.

Est-ce qu’écrire un livre peut marcher pour tout le monde ? J’en n’ai aucune idée. Il y a tellement de facteurs complexes à prendre en compte, les expliquer prendrait tout un livre. Mais dans ce cas, je serais en train d’écrire un livre sur comment écrire un livre, ce qui est une boucle infinie. Quiconque ayant programmé un jour te dira qu’écrire une boucle infinie n’est pas une très bonne idée.

Si j’étais une petite nature, je garderais probablement mon job au restaurant. Travailler à un restaurant est simple parce que tu sais exactement ce qui doit être fait – la nourriture doit être amené à la table, et les clients doivent quitter le restaurant satisfaits. Lancer un business sur internet est difficile, parce que personne ne sait exactement ce que va devenir ce business, quels seront les résultats, et comment les gens vont l’accueillir.

 

Damien : De quoi tu es le plus fier ces 6 derniers mois ?

Ev : D’avoir économisé suffisamment pour quitter les USA de nouveau.

Damien : Quel est ton objectif principal pour les 6 prochains mois ?

Ev : Relancer mon business, peu importe l’implication nécessaire pour que ça se réalise.

Damien : Quel est ton plus gros challenge pour atteindre cet objectif (bon, peut-être que c’est trouver un moyen de gagner de l’argent comme tu le disais tout à l’heure mais comme je suis pas sûr, je te pose quand même la question. Et si c’est bien ça, pourrais-tu être plus précis) ?

Ev : Oui, tu as raison, c’est trouver un moyen de gagner de l’argent dans un monde digital exigeant.

Damien : Pourquoi tu as choisis de vivre à Mexico ?

Ev : Je suis venu à Mexico pour la première fois en 2013. J’étais dans une période assez horrible à Oakland, California et j’ai simplement réservé un vol pour Mexico quand une possibilité de logement s’est présentée. À ma grande surprise, Mexico City a été l’un des endroits les plus géniaux où j’ai eu l’occasion de vivre. C’est la plus grande ville dans laquelle j’ai vécu et tu peux avoir à peu près tout ce que tu veux ici. Aussi, c’est environ 60-80% moins cher que n’importe où au nord de la frontière. Mexico City n’est pas pour tout le monde, mais j’adore.

Damien : Comment tu gères tes relations (couple, famille, amis…) tout en étant nomade minimaliste (c’est un aspect super important, pour moi en tout cas !) ?

Ev : J’essaye de considérer les relations comme quelque chose de plus fluide. Si je rencontre des gens qui sont agréables, je sors avec eux, si je rencontre des gens qui ne sont pas agréable, je ne sors pas avec eux.

Il y a beaucoup de personnes dans le monde, j’essaye de me focaliser sur ceux qui sont sympas. Maintenir des relations juste pour le fait de maintenir des relations qui « ont existé » n’a pas beaucoup de sens pour moi. Mais parfois, je prends un verre avec un vieil ami s’il se trouve qu’on est au même endroit au même moment.

Damien : T’as des projets de voyages ou tu prévois de rester à Mexico ?

Ev : J’ai un vague projet de me rendre à Mendoza en Argentine, mais c’est un long trajet.

Du coup, considérant cette discussion avec Ev, je vais investiguer dans les prochaines semaines pour savoir comment les personnes qui gagnent bien leur vie sur le web s’y prennent. Hâte de voir leurs réponses à mes questions ! J’espère que ça pourra t’inspirer amig@ 😉 Pour être au courant, pense à t’inscrire à la newsletter.

Et tu peux retrouver Ev sur son site : EvBogue.com ou lire ses anciens articles ici : Far Beyond The Stars.

Original interview in English :

Ladies and gents, I have the honor to welcome on pleindetrucs.fr one of the most minimalist minimalist in the world, someone who has helped to popularize and develop the minimalist movement in the US, Mr. Everett Bogue !

I took the opportunity to ask him a few questions about his lifestyle , its funding and its philosophy.

If you want to be free and independent, enjoy amig@:

Ev : In 2009, I started writing a blog called Far Beyond The Stars (FBTS). FBTS was outrageously popular for a few reasons: I wrote about how I quit my job, became a minimalist, and moved to another city.

In hindsight, I see the blog as my response to the financial crisis of 2008. The blog eventually covered some elements of Internet business, as I learned about them.

Because of the popularity of the blog at the time, I sold a handful of ebooks and made enough money to travel a bit during 2010. I shut down FBTS in 2011 and started blogging at evbogue.com, where I’ve written since.

 

Damien : To get a bit more specific, how popular ? How much money ?

Ev : You can’t count metrics anymore as you could back then because of ad blockers and the large number of bots roaming the Internet, but FBTS hit 80,000 ‘unique clicks’ a month in October of 2010.

2010 was probably my highest earning year, but I didn’t break six-figures from book sales. But also figure I made less than $6000 a year in 2012 and 2015.

When I look back on 2010 I see it as a strange year for writing. There were a lot of people in the space who were making steady incomes from writing.

 

Damien : But you came back to a day job ? Why ?

In 2015, I worked in a restaurant in North Carolina for a few months as a food runner. The simple answer was because I wasn’t making all that much money online, and I needed to find an on-the-ground way to earn.

At the time of this writing, July 2016, I am living in Mexico City and writing full time again. Working in a restaurant in America, I was able to save up enough money to leave America again.

This brings me back to your question: why did I need to get a day job while my blog was so successful?

First of all, it’s important to point out that just because I was making a bit of money writing books in 2010, this didn’t mean that I’ve continued to enjoy making money forever and ever afterwards. I ran straight out of money once in July 2012 while living in Berlin.

In a similar way I ran low on money in 2015 living in Mexico City. Instead of running straight out of money, I decided to go get a job instead. I can’t earn on the ground in Mexico, so being an American moving to America to earn some money on the ground seemed to be a good option.

One of my theories is that July is always a pathetic month to earn online. Maybe this isn’t true for everyone, but it is for me. I’d recommend anyone who plans on making money online to stockpile enough money to make it through July. July is a dead month on the Internet, because almost everyone in the northern hemisphere is outside BBQing and going to the beach.

Instead of trying to make money online in July, I’d suggest doing what I did way back when I started FBTS is to save up at least enough money to get your business off the ground during the months of October, November and December. Part of the reason FBTS was so successful was I was running out of money in December in 2009 instead of July. In July 2009 I was quitting my job and trying to figure out what I was going to do with my life.

Interestingly enough, right now (July 2016) I find myself in a very similar place to where I was in July 2009. I quit my job, I have a little money saved up, I’m making a few sales here and there of The Art of Being Minimalist. All I have to do is scale up my blog and business to the point where I’m making a decent amount of money.

The big question that remains, is how do I crack the nut this time? Nothing I’ve ever done online has ever led to a sustainable income that lasts forever. The only question I can continue to ask myself is how will I make money right now?

I’m grateful for the experience of working in a restaurant for a month. It was an incredibly hard job. If I ever need to work in a restaurant again, I know that I have it in me.

 

Damien : After you’ll figure it out, do you have any investment strategie to make it sustainable ?

Ev : I think wishing for a sustainable income for anyone in our age bracket right now, with economic instability being where it is (especially in the developed world, and worse in Europe) is an incredibly difficult challange. I find it incredibly difficult to know what will sell from day to day, let alone what will sell twenty years from now.

I’d suggest anyone who thinks writing a book and doing business on the Internet is ‘easy money’ should probably go get a job in a restaurant where at least the money is consistent.

 

Damien : Have you considered investing in real estate ? Even if you are a uber-minimalist ?

Ev : I think it’s unlikely I’ll ever be able to buy a house from writing minimalist and technical books. I’ve read a few books that’ve tried to convince me that realestate is
a ‘passive income business’, but it appears to me from renting all over the world that there’s nothing passive about being a landlord.

Damien : From my own experience, real estate is pretty much passive and I think it worth considering it. I bought my first appartment 2 years ago. I had only two people who rent it. One year the first, and the second is still in the apartment. Money comes in, I do pretty much nothing [Note : except finding good people when needed once a year.]. Even when I travel.

Just have to buy one more apartment and I won’t have to work anymore.

Ev : Cool. What happens when a drain gets clogged and you’re traveling?

Damien : I tell them to call a plumber and send me the bill.

Ev : That makes sense.

 

Damien : Have you consider creating more online content to sale? 

Ev : I’ve written a dozen books since 2010. The Art of Being Minimalist is for sale on evbogue.com right now! I’ve learned that if I try to sell three or more books at a time a paradox of choice sets in and no one buys anything.

 

Damien : So if you had $500 and a week, how would you start a minimalist nomad business ?

There are only a few ways to make money online. You can write, program or consult – that’s it. You can’t make a taco and send it over the Internet.

In theory, if I had nothing right now except $500 USD, I’d write a book about programming.

1. $334 on $6000 peso rent in Mexico City
2. $5 on a virtual private server
3. $10 on a domain name

That’d leave $151 for food and drink. That’s not a lot, but in Mexico that’d be enough for at least a week of food.

Will anyone care about the book? Well, that’s up to me to write a decent book. I’d also not expect anyone to buy the book in July, because July is the worst month ever to launch a book on the Internet.

Will writing a book work for you? I have no idea. There are so many complex factors in place, explaining them would take a book. But then I’d be writing a book about writing a book which is an infinite loop. Anyone who’s ever programmed will tell you writing infinite loops isn’t a wonderful idea.

If I was faint of heart, I’d probably just stay at the restaurant job. Working at a restaurant is easy, because you know exactly what needs to be done — the food needs to get to the table, and the customers need to leave at least somewhat happy. Starting a business on the Internet is hard, because who know what will land, where it will land, or how it will land for people.

 

Damien : What are you the most proud of during the last 6 month?

Ev : Saving up enough money to leave the USA again.

Damien : What is your main goal for the next 6 month?**

Ev : Restarting my business, whatever it takes the make that happen.

Damien : What is the biggest challenge you’re facing right now to reach this  goal (well, maybe it’s figuring out how to make money but as I’m not sure then I ask. And even if it’s the answer, could you be more specific)?

Yes, you’re right, figuring out how to make money in a challenging digital world.

Damien : Why did you choose to live in Mexico City?

Ev : I came to Mexico City for the first time in 2013. I was having a horrible time in Oakland, CA and I just booked a flight out of there when a housing situation fell through. To my surprise, Mexico City has been one of the most awesome places I’ve lived. It’s the biggest city I’ve ever lived in, and you can pretty much get anything you want here. Also it’s anywhere form 60-80% cheaper than anywhere north of the border. Mexico City isn’t for everyone, but I love it.

Damien : How do you manage your relationships (couple, family, old friends…) while being a minimalist nomad (this aspect of minimalist lifestyle is tricky and really important, to me at least!) ?

Ev : I try to to think of relationships as being more fluid. If I happen to run into people who are agreeable, I’ll hang out with them, if people aren’t agreeable then I don’t. There are a lot of people in the world, I try to focus on the friendly ones. Maintaining relationships just for the sake of maintaining relationships that have « been there » doesn’t make a lot of sense to me. But sometimes I’ll grab a drink with an old friend if we happen to be in the same place at the same time.

Damien : Do you plan to travel again or stay in Mexico City?

Ev : I have a vague plan to retire in Mendoza Argentina, but that’s a long way off.

 

Considering this interview with Ev, I’ll investigate in the coming weeks how people that make good money online manage to have such results. Looking forward to get their answers ! Hope it can inspire you amig@ 😉

And you can find Ev on his website : EvBogue.com or read his old posts here : Far Beyond The Stars.

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Devenir libre professionnellement

Pif, paf, tu veux gagner de l’argent en faisant ce que tu aimes ?

Ok, je t’ai préparé un paquet de vidéos pour que tu y arrives.

Et ça, c’est la première :

Reçois plus d’1h de formation offerte pour créer ta liberté professionnelle et ré-envisager ta liberté personnelle :

Note : Si t’es déjà inscrit(e) sur pleindetrucs.fr, pas la peine de te réinscrire, je t’ai envoyé un mail, il te suffit de cliquer dessus pour recevoir la suite 😉

Aussi, je t’invite à partager la vidéo en cliquant sur les jolis boutons ci-dessous, au moins avec un(e) pote à toi, histoire que vous puissiez avancer ensemble et vous soutenir l’un l’autre dans votre aventure d’entrepreneur :

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Le sommeil polyphasique expliqué en 5 minutes

Chaque semaine, plusieurs fois par semaine, on me demande en quoi consiste le sommeil polyphasique, comment c’est possible de dormir 2h par jour, comment ça marche, tout ça… depuis plus de 2 ans maintenant :p

Du coup, je me suis dit qu’il était peut-être temps de faire une vidéo courte et précise sur : Qu’est-ce que le sommeil polyphasique ?

J’explique ça aussi simplement que possible en moins de 5 minutes dans cette vidéo :

Et si tu veux expérimenter le sommeil polyphasique, j’ai fait une autre vidéo pour t’aider à mettre ton rythme en placeMettre en place ton rythme polyphasique dès ce soir

Évidemment, ça s’adresse pas à tout le monde, c’est pour celles et ceux qui osent remettre en question pas mal de standards de la société. En tout cas, c’est une expérience de dingue !

Que ça te branche ou pas, au moins maintenant, tu sais comment ça marche.

Alors peut-être à bientôt dans l’univers polyphasique !

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Hervé Lero de changeons.fr invité sur pleindetrucs.fr

Comment se faire des amis facilement

Mon pote Hervé de changeons.fr vient de sortir un bouquin pour devenir super sociable en 30 jours. Je l’ai lu en avant-première. Et je l’ai trouvé méga-bien :p

L’histoire d’Hervé est super intéressante : il y a quelques années, c’était un timide maladif, je le connaissais pas encore à l’époque. Quand je l’ai rencontré (en 2014), j’aurais pas imaginé un instant qu’il puisse avoir été timide un jour dans sa vie ^^

Son truc, c’est qu’il a « appris » à devenir social. Avec du courage et beaucoup de pratique. Et ses résultats sont vraiment balèzes.

Du coup, je l’ai invité à partager ses connaissances avec nous pour devenir « super social ». Il a été carrément généreux dans cet article : il nous offre une myriade de réflexions intéressantes et pratiques qu’on peut appliquer illico pour développer nos compétences sociales immédiatement !

C’est du lourd. Enjoy amig@ :

On a tous plus ou moins intuitivement déjà réussi à se faire des potes. À force de passer du temps avec un collègue ou un camarade de classe, ça crée des liens naturellement.

Parce que le fond de ta personnalité, elle est cool.

Mais des fois, t’as peut-être du mal à la mettre en avant. Surtout avec des inconnus, ou des gens que tu connais peu.

Ça devient moins évident de se faire des amis régulièrement et quand on veut, surtout à l’âge adulte.

Du coup, la plupart des gens ont un cercle social un peu par défaut. Soit par la quantité d’amis (quelques très bons potes et derrière c’est le désert), soit par la qualité de certains amis qui ne nous correspondent pas vraiment. Ou qui nous tirent vers le bas. On a tous eu dans nos amis le ou la relou(e) de service qui passe son temps à se plaindre de tout, ou le pote un peu trop vanneur qui passe son temps à rabaisser les autres.

Et souvent, on s’en contente.

Parce qu’on ne s’en rend pas compte, ou parce qu’on ne se pose pas les bonnes questions.

Par exemple, est-ce que tu savais que d’après une étude scientifique (de James Fowler et Nicholas Christakis), si tu as un ami obèse dans ton entourage tu multiplies les chances de devenir toi aussi obèse ?

Et c’est vrai pour toutes les caractéristiques de tes proches.

On devient la somme des 5 personnes qu’on fréquente le plus souvent.

Et les 5 personnes qu’on côtoie le plus, on a le pouvoir de les choisir avec attention.

Si tu t’entoures de personnes plaintives, qui te répètent que c’est la crise en ce moment et que le monde est dangereux, il y a fort à parier que d’ici un an tu n’auras pas un état d’esprit très positif : tu ne vas pas vouloir monter ta boîte (c’est la crise ma bonne dame !), tu ne vas pas beaucoup voyager (c’est dangereux !).

Si au contraire tu choisis de t’entourer de personnes positives (j’insiste sur le mot choisir, car ça ne dépend vraiment que de toi) qui voyagent beaucoup, sont ouvertes aux rencontres et sont elles-mêmes entreprenantes, alors dans un an ton vœu de monter ta société au Pérou sera peut-être déjà exaucé.

Juste parce que ton entourage t’aura envoyé les bons signaux, t’aura encouragé, tiré vers le haut.

Tes potes, ils peuvent être inspirants. Ils peuvent t’aider à faire ce que tu as envie de ta vie.

Si tes amis actuels sont juste sympas, c’est cool tu passes des bons moments avec, mais tu pourrais vraiment passer au niveau supérieur.

Tu pourrais dans un premier temps compléter ton cercle social actuel, en rencontrant des personnes qui t’inspireront par leur passion ou leur comportement.

Bon, c’est bien beau tout ça, mais comment on fait pour rencontrer des gens qui nous correspondent vraiment ?

Let’s go !

Améliore dès aujourd’hui ton cercle social

On va faire un petit exercice pratique pour t’aider à améliorer dès aujourd’hui ton cercle social. Prêt ?

1/ Détermine tes valeurs importantes

Autrement dit, les valeurs qui te semblent indispensables parce qu’elles comptent pour toi.

Pour moi, ça pourrait être le respect, la tolérance, l’honnêteté.

2/ Détermine qui dans ton entourage ne respecte pas tes valeurs importantes

On va voir quelques exemples :

Ta copine Caro est super marrante, mais elle fait des remarques racistes. Comme tu l’aimes bien, tu ne la reprends pas à chaque fois, tu fais même semblant de rire à ses remarques déplacées parfois. Et paf, viol de tes valeurs respect et tolérance.

Ton pote Ludo est carrément cool, mais il trompe sa copine tous les week-ends et te demande de mentir pour le couvrir. Pourtant sa copine tu l’aimes bien, et ça te fait des noeuds au cerveau de devoir lui mentir. Et paf, viol de tes valeurs respect et honnêteté.

Ton oncle Dédé est un bon vivant, mais il te raccompagne en voiture alors qu’il est bourré après les repas de famille, et te dit qu’il n’a pas bu. Bim, dans ta face les valeurs honnêteté et respect.

Ces exemples ils concernent mes valeurs, pour toi ça sera peut-être complètement autre chose.

À ce stade, tu devrais déjà avoir repéré quelques personnes dans ton entourage qui violent certaines de tes valeurs.

3/ Fais du tri dans ton entourage actuel

Le but ça ne va pas être de juger les autres, mais juste de déterminer ceux et celles qui ne correspondent pas à tes valeurs principales.

Ce n’est pas un jugement dans le sens où quelqu’un qui arrive tout le temps en retard ça va me souler moi, mais ça ne sera pas un problème pour mon voisin qui lui aussi est tout le temps à l’arrache.

Là on parle de ce que tu veux. De tes goûts et de tes valeurs personnelles.

Dans la liste des personnes qui violent une ou plusieurs de tes valeurs, tu vas te demander lesquelles sont les plus négatives pour toi.

Je te conseille d’en choisir 3.

Ces trois personnes, tu peux choisir dès aujourd’hui de beaucoup moins les côtoyer.

Moins voir les personnes qui ont une influence négative sur toi, ça va changer ta façon de voir les choses.

Continuer à les voir régulièrement, c’est comme nager avec un poids de 2 kilos attaché à chaque pied : ce n’est pas impossible, mais c’est épuisant, et ça risque de t’entrainer vers le fond un jour ou l’autre.

Imagine maintenant qu’à la place de ces trois personnes plutôt négatives, on mette trois personnes qui t’inspirent vraiment, qui partagent tes envies, tes passions, qui te poussent à te dépasser.

Ça sonne déjà un peu mieux, tu ne penses pas ?

On va donc voir comment faire pour trouver des personnes qui correspondent à cette définition.

4/ Détermine tes rêves et tes passions

Tu vas lister au moins 2 ou 3 de tes rêves ou passions.

Si tu n’en as pas, essaie des choses nouvelles régulièrement, ça t’aidera à trouver ce qui te motive vraiment. Ça n’a pas besoin d’être la passion de ta vie (si c’est le cas tant mieux !), une activité qui te rend curieux ou qui t’amuse ça suffit dans un premier temps.

Disons que c’est la musique, les voyages et la danse.

Tu vas ensuite te poser la question :

« Où se trouvent les autres gens passionnés par ces domaines ? »

Si je cherche au hasard dans la rue, j’ai peu de chance de trouver des gens passionnés de danse. Surtout si c’est un type de danse spécifique, tomber sur un danseur de cha-cha-cha par pure coïncidence ça relève du gros coup de bol, autant jouer au loto.

La chance, on va la provoquer.

Comment se faire des amis facilement

5/ Fais un pas vers l’entourage de tes rêves

On va donc faire un premier pas dans l’univers où se trouvent les gens qui partagent nos passions.

Pour la musique, tu peux par exemple commencer à rechercher des concerts autour de chez toi.

T’inscrire à un cours de guitare ou de batterie.

T’inscrire sur le forum de ton groupe préféré.

Ça, tu peux le faire, dès cette semaine.

Fais cet exercice sur tes trois rêves ou passions. En faisant ça, tu enclenches la première pièce de l’engrenage.

Mine de rien, si tu appliques vraiment ça, tu vas te donner la chance d’être plus heureux. Et c’est vraiment pas dur à mettre en place.

Parce que si tu t’entoures de potes musiciens, tu multiplies par 100 ou par 1000 tes chances de vivre ton rêve de monter un groupe et de jouer sur scène par rapport à un entourage qui n’aime pas la musique. Parce qu’ils te tireront vers le haut, te présenteront d’autres passionnés de musique, peut-être même ton futur bassiste ou ton manager, et ils t’encourageront dans tes projets musicaux.

6/ Va à des évènements liés à ta passion

Maintenant que tu es inscrit, tu vas aller à ces évènements. Seul ou avec un ami pour t’accompagner, peu importe. Évite juste d’y aller en groupe, ça te donnerait moins envie d’échanger avec de nouvelles personnes.

Peu importe que tu sois débutant complet ou confirmé.

Le but, ça va être de passer un bon moment en exerçant une de tes passions.

Et de te connecter aux autres qui sont là pour la même raison !

Si tu débutes, dis-toi que tu n’es surement pas le seul dans ce cas. Repère les autres débutants et va leur parler !

Parce qu’ils n’attendent surement que ça. Ils seront contents que quelqu’un brise la glace.

Demande aussi des conseils aux plus confirmés, sans être insistant.

Finalement, dans le contexte de ta passion, c’est assez facile de parler avec les gens autour, parce que les sujets de conversation sont déjà tout tracés au début !

Tu as très peu de risques de te tromper si tu parles escalade à un fan de grimpe pour l’aborder.

Si tu aimes les voyages, tu peux soit commencer à voyager, soit faire une activité liée (j’appelle ça une activité connexe) : apprendre une langue étrangère par exemple.

Pour ça, prends des cours collectifs, ou va à des soirées polyglottes ou meetups : c’est un moyen génial de rencontrer des gens qui viennent d’autres pays ou qui ont cette envie d’apprendre une autre langue, et avec qui tu pourras parler voyages sans problème !

En plus tout le monde est là pour la même chose : parler anglais / espagnol / moldave ou la langue de ton choix et rencontrer des gens.

Tu n’auras donc pas la pression de te demander si tu les déranges ou s’ils sont ouverts aux rencontres.

7/ Apprends à avoir une conversation intéressante

Pour intéresser tes nouveaux interlocuteurs, tu vas, à un moment ou à un autre, parler d’autre chose que de la passion commune, forcément.

Et là, tu te demandes peut-être : mince, de quoi je vais bien pouvoir parler….

La réponse : de ce que tu as envie.

Avec des inconnus, fais comme avec tes potes : si tu as envie de faire une blague ou un jeu de mots pourri fais-le, si tu as envie de parler de spaghettis bolognaise ou du dernier film que tu as vu, ce n’est pas un souci !

Souvent avec des inconnus, on se met des limites. Auto-censure power.

Du coup ça donne des conversations hyper ennuyeuses, du type :

Tu t’appelles comment ?

Tu travailles dans quoi ?

Tu habites où ?

Tu viens souvent ici ?

Il fait beau hein?

Oaaaahhhh (bruit de bâillement) !

Démarque-toi de 95% des gens qui vont avoir cette approche (ce chiffre est tiré de mon chapeau magique, mais d’après mes expériences on est pas loin de la vérité !).

Sors du schéma classique. Comment ? En te comportant avec des inconnus comme tu te comportes avec tes potes.

Fais comme si vous vous connaissiez depuis longtemps.

Zappe la phase CV.

Passe direct à des conversations qui te plaisent. Ne filtre pas. Laisse aller.

Au début ça va peut-être te paraître contre-intuitif, mais en réfléchissant : tes potes t’aiment pour ta personnalité. Sans filtre.

Bien sûr, en étant toi-même dès le début, tu vas polariser davantage. Mais c’est une bonne chose.

Plus de gens vont t’aimer. Certains n’accrocheront pas à ton humour ou à ton style. Pas grave, ça n’aurait pas collé avec ces gens de toutes façons, plus vite tu t’en rends compte et moins tu perds de temps.

Si tu n’as pas d’idées de sujets de conversation, tu peux demander à l’autre s’il a voyagé récemment par exemple, et embrayer sur le sujet des vacances et voyages : c’est un sujet que la plupart des gens apprécient (c’est plus agréable de se souvenir de ses voyages que de parler de son boulot en général !).

8/ Le réflexe pour transformer l’essai

Une fois que tu as parlé à ces gens, passé un bon moment avec eux, il y a une chose à faire, systématiquement : c’est de prendre leurs coordonnées.

C’est tout con, mais souvent on se dit : « À une prochaine ! ». Et si on vit dans une grande ville (donc quasiment aucune chance de se recroiser par hasard), autant se dire : « Adieu, on ne se reverra jamais ! ».

Si tu veux te donner une chance de revoir ces personnes et d’en faire des futur bons amis ou bonnes copines, tu vas prendre l’habitude de leur demander leur numéro ou leur facebook.

En général on demande ça à la toute fin. C’est bien, mais je préfère le faire de manière plus fluide au cours de la conversation.

On parle d’un endroit sympa : hop, je lui demande son numéro en lui disant que je lui enverrai le lien.

On parle de notre passion commune et j’ai prévu une activité liée à ça ? Je lui dis que je lui proposerai quand j’irai, et je prends son facebook.

Ça n’a pas besoin d’être compliqué. C’est normal de prendre des coordonnées des gens avec qui tu as passé un bon moment.

Évite juste de te barrer juste après avoir pris le numéro, ça donne un peu l’impression que ton seul but c’était de chopper son 06 ou 07. C’est pour ça que je préfère le faire au milieu.

9/ Sois actif avec tes contacts.

Pour transformer tes rencontres récentes en amitié, je te conseille de proposer rapidement aux gens de les revoir, et de le faire de la bonne manière.

Utilise des formulations qui donnent envie, oublie le texto : « Je m’ennuie, quelqu’un veut sortir ce soir ? » et opte pour des formulations plus enthousiastes.

« Demain soir je vais à un concert gratuit dans mon bar rock préféré, j’ai écouté la démo du groupe et ça a l’air vraiment cool ! » ça donnera plus envie à un fan de rock de te suivre.

En début d’amitié, l’intérêt décroit très vite, donc mon conseil c’est de proposer ce plan dans les jours qui suivent la prise de coordonnées, une semaine max, sinon l’envie de se voir diminuera des deux côtés.

Si elle n’est pas dispo, tu peux proposer un second plan quelques jours après, un troisième si tu sens que la personne a vraiment des excuses valables. Au delà, laisse tomber et rencontre d’autres gens, ou laisse la personne revenir d’elle-même vers toi : tu n’as pas envie de devoir supplier les gens de te voir.

10/ Expérimente, et amuse toi.

Enfin, dernier conseil pour cet article, sois toujours dans l’amusement et la curiosité durant tout le processus.

Se faire des amis, partager des choses, ça ne doit pas être douloureux ou stressant. Ne te mets pas d’enjeu trop important : tu y vas avant tout pour t’amuser, et rencontrer si possible des gens cool.

Parfois ça sera le cas. Parfois non. Mais dans tous les cas si tu prends du plaisir à parler à des nouvelles personnes, tu multiplieras tes chances d’en faire des amis.

Si tu ressens une peur d’aborder des inconnus ou si tu n’es pas à l’aise avec les autres, ne t’en fais pas : ça s’apprend. J’étais timide maladif dans le passé, et j’ai appris et développé toutes ces capacités sociales. Tu peux facilement faire la même chose si tu en as envie.

Un grand merci à mon pote Damien de m’avoir laissé la plume (ou plutôt la souris) pour écrire sur son blog, et te donner des pistes pour te faire des amis les doigts dans le nez !

C’était Hervé Lero, du blog changeons.fr, je te dis à très vite !

 

Note : Si tu veux jeter un œil au nouveau bouquin d’Hervé, ça se passe par là : 

Perso, je le recommande à fond si t’as l’intention de mettre un coup de boost à ta vie sociale. Y’a pas de blabla, c’est concret, le style est sympa, ça donne un tas de pistes à explorer.

 

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Comment développer son activité en accord avec ses valeurs

Aujourd’hui, j’ai invité Selma Païva pour nous parler d’identité de marque et de stratégie marketing.

À quoi ça sert ?

À développer ton activité en accord avec tes valeurs et vendre plus.

Ça s’adresse aux entrepreneur(se)s et aux aspirants entrepreneurs.

On a fait un podcast blindé d’infos pratiques.

Si tu veux développer (ou prévoir) ton activité dans un sens qui te convient, check ça amig@ :

Les liens dont on parle dans le podcast :