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Comment surmonter la peur de l’échec

Peut-être que tu es parfois en prise au terrible : « Je vais pas y arriver ». L’effroyable peur de l’échec.

Que ce soit pour créer ton propre business, commencer la guitare, apprendre une nouvelle langue ou partir tout(e) seul(e) à l’autre bout de la planète, la peur de l’échec pointe le bout de son nez.

Il y a cette voix dans ta tête qui te dit « Et si ça ne marchait pas » et « Je n’ai pas envie de faire tous ces efforts pour RIEN » ou encore « Je ne sais pas comment passer à l’étape suivante » ou tout simplement « J’ai peur de l’échec ».

Et cette voix, elle te retient de passer à l’action, comme des chaînes invisibles et pourtant très solides.

Aujourd’hui, je te propose un moyen de les faire exploser.

Et là, il y a deux trucs à prendre en compte :

Premièrement, la peur de l’échec ne s’en va jamais. Paf dans ton * fuchsbau* !

Deuxièmement, tu peux quand même surmonter ta peur de l’échec. Ouf, on a eu chaud !

Échouer, c’est quelque chose d’assez commun en somme.

Par exemple, un bébé qui apprend à marcher échoue des dizaines de fois, voire des centaines avant de tituber maladroitement sur ses petites gambettes. Un jour, éventuellement, il arrive à marcher.

Tout processus d’apprentissage est similaire.

Personne n’a la science infuse.

Les échecs amènent au succès.

Papi Winston Churchill présente les choses sous cet angle :

« Le succès c’est d’aller d’échec en échec sans perdre ton enthousiasme gamin. »

Alors évidemment, ça fait peur de se planter.

Et c’est là que je te présente le code secret que j’utilise pour surmonter la peur de l’échec :

N’envisage pas l’échec.

Ça ne veut pas dire que tu ne vas pas échouer. Perso, je me ramasse la gueule trois fois par semaine !

Ça veut dire que quand tu commences un truc, n’importe quoi, tu le fais de tout ton cœur sans envisager que tu vas échouer.

Comme le disait mon prof de judo, Jean-Claude Yoda :

« N’essaie pas. Fais-le, ou ne le fais pas. Il n’y a pas d’essai. »

Quand j’ai quitté ma situation « confortable » CDI, BMW, villa pour créer mon entreprise de jeux-vidéo et bosser avec une ONG au Cambodge, tout le monde m’a demandé horrifié : « Olala mais si ça ne marche pas, que tu n’arrives pas à t’en sortir, comment tu vas faire ? »

Et ma réponse : « Plan B : pas de plan B ».

Alors là, attention, j’introduis une méga-nuance : ça ne veut pas dire que je faisais ça sur un coup de tête, ni que je sautais dans la gueule du loup sans aucune préparation, loin de là.

Ça veut dire que je ne me laissais pas d’autre issue possible que la réussite. En pratique, j’avais un matelas financier assez confortable, et je savais très bien que je pouvais toujours retrouver un travail d’employé en cas de grosse galère.

Le truc, c’est que ce n’était pas réellement une option que je m’autorisais à prendre.

Si tu t’autorises à échouer, tu vas échouer.

Pourquoi ?

Parce que ton cerveau envisage une fuite dans l’échec.

Du genre « Si je n’y arrive pas, je peux toujours faire ceci ou cela ».

Et la dure et froide vérité, c’est que tu vas échouer. Des tas de fois. Tout comme j’ai échoué des tas de fois.

Mais ce n’est pas grave. Parce que ce n’est pas une fin en soi.

Nouveau tatouage pour ton front :

« L’échec n’est pas une fin en soi, c’est une étape vers la réussite »

– Damien Fauché, pleindetrucs.fr. Auto-citation power !

Concrètement, tu vas te manger les dents cinquante fois. Tu vas te dire que c’est trop dur. Tu vas vouloir abandonner.

Ça fait partie du processus.

Et un beau jour, tu vas voir que tous tes efforts ont payé.

Tu vas encaisser un chèque de 8000€.

Tu vas voir un levé de soleil sur la Cordillère des Andes et ce sera juste parfait.

Tu vas partager un repas avec des minorités autochtones dans l’arrière-pays Chinois et tu t’y sentiras comme chez toi. Cf. photo en haut de l’article.

Et à ce moment-là, tu réaliseras que chaque seconde de doute qui t’a mené jusqu’ici en valait la peine.

Ce qui est sûr, c’est que si tu ne tentes rien, rien de nouveau ne va arriver.

Comment surmonter la peur de l’échec ?

En l’accueillant à bras ouvert.

Voilà le script que tu peux te graver au fond de ton être :

« Oui, je vais me planter. Non, ce n’est pas une fin en soi. L’échec est seulement une étape vers le succès et peu importe le nombre de fois où je vais échouer, à la fin, j’atteindrai mon objectif. Il n’y a pas d’autre option ».

La société nous encourage à ne pas prendre de risque, à ne rien tenter pour ne pas se taper la honte de nos échecs. C’est naze.

Vivre, c’est prendre des risques mesurés. Pas des risques mortels, hein, on est bien d’accord.

Quand je dis « pas de plan B », ce n’est pas tout à fait exact. Prépare tout de même une solution de secours (et prépare-la bien). Par contre, ne l’envisage pas comme une option possible en cas de difficulté. Considère-la plutôt comme un échappatoire en cas de catastrophe.

Quand un avion décolle, il y a un plan B qui implique des masques à oxygène, des parachutes, des pertes humaines et des centaines de milliers d’euros de dommages matériels. Les plan B, ça pue du *brushmol*.

Si tu décolles, c’est pour arriver à destination.

Souris. Profite de la vie. Maintenant.

Je te souhaite une bonne continuation dans tes projets !

Et si tu veux m’aider à secouer le monde avec ces idées, merci de partager l’article amig@. Les idées ne servent à rien si elles ne sont pas diffusées. Ton rôle est super important 🙂

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Comment te connecter avec n’importe qui

Fat news aujourd’hui !

Je viens de terminer mon nouvel ebook. Et je te l’offre gra-tos !

L'art de te connecter aux autres, pleindetrucs.fr

C’est un guide super complet sur les compétences sociales.

Je l’ai écrit parce que vous avez été des tas à me répondre au mail où je vous posais 3 questions et un truc qui revenait souvent dans ce qui vous intéressait, c’était « comment bien communiquer dans la vraie vie ».

Dans ce guide ultime (ouais, Ultime mon pote !), voici ce que tu vas trouver :

► Le secret des personnes « naturellement » sociables

► …et comment tu peux devenir l’une d’entres-elles

► Comment créer un premier contact réussi — gérer les 3 premières secondes

Que dire lors d’une conversation — avec des exemples de conversation mot pour mot

► Les trucs à faire et à ne pas faire dans une conversation

► Comment te comporter en groupe — et comment être un leader

3 astuces fulgurantes pour développer ton charisme

► Comment te faire réellement apprécier

► Comment ne plus être timide et avoir confiance en toi

► Et des tas d’autres trucs

Comment te connecter avec n’importe qui

► Noël est passé. L’offre aussi.

C’est gratuit. C’est cadeau. C’est pour Noël. Gros bisous.

Merci de partager amig@ ! Genre « Damien a sorti un nouvel ebook gratos aujourd’hui. Le livre déchire sa race, lisez-le ! Il est vraiment super sympa ce Damien dis-donc ! » 

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pleindetrucs.fr Damien Fauché

Comment arrêter de vivre pour les autres : le coup de pied au cul qu’il te faut

« Je dois me raisonner en pensant à mes enfants, à mon mari… À mes chaines invisibles et pourtant si réelles… »

« J’ai peur de décevoir mes parents »

« J’avoue parfois avoir l’impression d’être dans l’obligation de trouver ma vie géniale parce que d’autres la trouvent géniale »

RHAaaaaaah !… Ça me touche à fond ce genre de message.

Je vois exactement de quoi vous parlez.

Et ça craint. Ça craint puissance 100 milliards.

Je le sais, je suis passé par là.

Et tu le sais aussi.

Et pourtant, même si tu as lu 240 trillions de tortillards (ok, tortillard, c’est pas un vrai nombre…) d’articles, de livres et de conseils pour arrêter de vivre pour les autres qui te disent un truc du genre :

« Ta vie, tu n’en as qu’une, profite de chaque instant »

(Genre mon blog quoi ^^)

Et tu as beau avoir intégré qu’arrêter de vivre pour les autres est dans ton intérêt, au final, tu n’arrives pas à mettre ce conseil en pratique.

Tu te sens étouffé(e), prisonnier(e), frustré(e) à bloc.

Alors pourquoi tu n’arrives pas à assumer la vie que tu veux avoir ?

Parce que tu te distances de la réalité.

Tu te dis que ça viendra plus tard, tu te dis que tu as des contraintes (tes enfants, ton travail, ta famille, etc…), tu te dis que c’est pas le bon moment, tu te dis que tu es trop vieux(eille), trop jeune, trop gros(se), pas assez formé(e), pas assez intelligent(e), pas assez blablabla…

Dans cet article, je vais botter des culs sans ménagement pour te montrer un chemin concret pour arrêter de vivre pour les autres.

En 4 petits pas.

 

1er pas – Réalise que tu vas « vraiment » mourir un jour ou l’autre

« Ok, ça je le sais déjà monsieur Rabat-joie… »

Non, tu le sais pas. Tu le sais pas, sinon tu serais en train de vivre tes rêves. (Et si t’es en train de vivre tes rêves alors, cet article n’est pas pour toi, lis plutôt celui-là, il est rigolo)

« Savoir » que tu vas mourir est une chose, ressentir profondément que ton temps de vie est limité en est une autre.

Et puis je suis pas un rabat-joie, biatch !

Ressentir que tu vas « vraiment » mourir un jour est une méga-force, ça te permet de réaliser à quel point ta vie est précieuse et tout ce que tu es capable d’y faire dedans.

Laisse-moi te raconter une petite histoire.

Il y de cela de nombreuses lunes, avant l’an de grâce 2012, j’étais un putain de zombie. Ouais, j’ai dit putain.

J’avançais dans la vie en me demandant ce qui était acceptable ou non. Je faisais mes choix en fonction de ce que « les autres », mes amis, mes collègues, mes parents, mes copines pensaient.

La vérité ?

La vérité, c’est que j’étais un esclave.

Et le pire, c’est que je ne m’en rendais même pas compte !

J’étais en train de mener la vie que « les autres » allaient trouver géniale.

J’étais un produit de mon environnement.

Dans une prison dorée et qui sentait le pet à l’intérieur.

Phoque !

J’aurais pu y rester toute ma vie.

Puis un jour j’ai compris. J’ai compris que j’allais mourir. J’ai compris que chaque jour qui passe est une occasion unique de vivre.

J’ai compris que pour que demain ne soit pas comme aujourd’hui, il fallait que je me bouge.

Alors, écoute-moi bien : tu vas mourir.

Pose-toi un moment (au moins 20 minutes) et penses-y. Ne chasse pas l’idée d’un revers de la main.

Tu vas mourir. Qu’est-ce que tu fous de ta vie ?

Si tu regardes les gens qui prennent leur vie en main, ils ont bien compris ça. Regarde Lyvia par exemple.

 

2ème pas – Ne laisse pas les autres te tuer à petit feu

Ok, je vais considérer que tu as réalisé le caractère éphémère et précieux de ton temps de vie sur Terre.

Maintenant on va parler de tes rêves.

Tu veux créer ton business, changer de boulot, arrêter tes études, te mettre à la moto, quitter ta meuf/ton mec/ton boulot, devenir jongleur(se) avec des hamsters, voyager autour du monde, etc…

Et qu’est-ce qui se met sur le chemin de ces rêves d’après toi ?

« Les autres ».

Le regard des autres.

« Oh, mais qu’est-ce qu’on va penser de moi ? Tout le monde va me haïr et me laisser tomber. Puis je tomberai dans l’alcool et la drogue et je devrais me prostituer pour payer ma dose de crack quotidienne. Je choperai le choléra, la galle et le tétanos, et un aphte. OUAIS, UN APHTE ! »

Ta responsabilité envers les autres.

« Oh, mais j’ai 278 mille milliard de billiotrillons d’enfants (ok, ce nombre n’existe pas non plus…), je peux pas arrêter de travailler comme ça ! Même si je hais profondément mon boulot qui me pompe chaque particule d’humanité qu’il me reste. Je dois continuer sinon je n’aurai pas de quoi leur payer un toit et de quoi se nourrir. »

Ou encore.

« Mon mari/ma femme/ma mère/mon père/mon dindon domestique n’accepterait jamais ça. »

Ok, ok…

Prêt pour le bottage de fesses ?

Qu’ils aillent se faire foutre.

Tous. Sans exception.

« Quoi ? Même mes enfants ? »

Ouais, même tes enfants.

Qu’est-ce que tu vas leur dire à tes enfants ?

« Maman/Papa mène une vie pourrie à son travail, il a dû abandonner ses rêves et la perspective d’être heureux(se) dans sa vie… à cause de toi mon ange. »

Vas-y, dis leur si c’est ce que tu penses. Regarde ta gamine de 7 ans dans les yeux et dis lui que c’est à cause d’elle que tu ne peux pas vivre ta vie comme tu le veux.

Le truc, c’est que ce serait super con de lui dire ça.

Parce que c’est pas vrai.

C’est pas de sa faute. C’est de la tienne.

Si tu travailles dans un job qui te gâche la vie pour subvenir aux besoins de ta famille, c’est de ta faute.

Arrête de te servir des autres comme excuses.

C’est de ta vie qu’on parle.

Assume d’arrêter de vivre pour les autres.

Quand je dis « qu’ils aillent se faire foutre » ça ne veut pas dire que tu dois les laisser tomber ou les abandonner, loin de là.

Ça veut dire que tu ne dois pas te servir des autres comme excuses pour justifier ce que tu fais de ta vie.

Souviens-toi : tu vas mourir.

La meilleure chose que tu puisses faire en attendant c’est de profiter de ta vie.

Ceci étant dit, on peut passer aux choses sérieuses.

 

3ème pas – Accepter d’arrêter de vivre pour les autres

Tu es dans une situation A tout comme je l’ai été : esclave de la volonté et des attentes des autres.

À partir de là, tu as deux options :

  • Rester dans cette situation A pour le restant de tes jours
  • Arrêter de vivre pour les autres et aller vers une situation B, C, D, etc…

Pour changer les choses, la première étape, c’est d’arrêter de rendre les autres responsables.

La seconde, c’est d’assumer ta responsabilité. Peu importe ton âge, ton sexe, ta couleur de peau.

Les excuses légitiment peut-être ta situation, mais elles ne te font pas avancer.

Débarrasse-toi d’elles.

Troisième étape : trouver ce que tu veux faire de ta vie.

Et quatrièmement, avancer vers cette nouvelle destination, un peu plus, chaque jour.

D’ailleurs, pour t’accompagner dans cette aventure, pense à acheter mon livre à l’occasion. Non seulement ça va t’aider à fond et en plus ça me permettra de gagner du fric ! Tout le monde y gagne.

 

Pour rendre le processus bien clair, je te donne deux exemples :

1. Tu détestes ton boulot mais tu en as besoin pour subvenir aux dépenses de ta famille.

Solutions pour arrêter de vivre pour les autres : Commence à chercher un autre boulot, crée un business en parallèle de ton travail, suis des formations dans un domaine qui te plaît, cherche une alternative…

Rien à faire que tu sois crevé le soir et le weekend, ta vie, tu n’en a qu’une, tu te rappelles ?

S’il le faut, arrête de dormir. Ne reste pas dans une situation qui craint. La pire chose à faire, c’est de ne rien faire.

Te plaindre ne te fait pas avancer. Agir, oui.

2. Tu culpabilises de faire de grands changements dans ta vie de peur d’être rejeté(e) par ta famille/ton ou ta partenaire/tes amis.

Solution pour arrêter de vivre pour les autres : Fais-les quand même ! Si les gens t’aiment pour qui tu es vraiment, ils comprendront. S’ils n’acceptent pas tes choix, pourquoi tu voudrais rester avec ces personnes qui ne t’acceptent que parce que tu corresponds à leurs attentes ? Pour ne pas être seul(e) ? C’est ridicule de t’entourer de gardiens de cellule.

Là aussi, je sais de quoi je parle, quand j’ai fait mes choix de vie, un tas de personnes n’ont pas compris dans un premier temps. Certains ont cru que j’étais fou (« Quoi ? Tu quittes ton CDI et tu pars voyager ? T’as pété un câble ou quoi ? »), d’autres ont cru que je les abandonnais (« Et nous alors, tu t’en fiches de nous ? ») : ce n’était ni l’un ni l’autre. Je cherchais juste à donner un sens à ma vie.

J’ai eu des méga disputes. Je me suis retrouvé éloigné d’un tas de personnes. J’ai chialé comme une madeleine. Ça a été vraiment douloureux.

Heureusement, j’ai fait de bonnes rencontres sur la route.

J’ai lu plein de trucs inspirants. Check Ryan, Alex ou Fabrice pour les voyages par exemple. Steve, Leo et Mark pour les choix de vie. Tim et Seth pour le business.

J’ai accepté d’arrêter de vivre pour les autres.

J’ai assumé ma vie.

Et petit à petit, ces gens qui comptaient pour moi ont commencé à comprendre.

Ils ont réalisé que même si je vivais ma vie selon mes propres termes, je les aimais quand même.

Parce que tu sais quoi ?

L’un n’empêche pas l’autre.

Alors peu importe qu’ils crient, qu’ils pleurent, qu’ils te menacent, réponds leur seulement avec de l’amour.

Dis leur que tu ne fais pas tes choix « contre eux », même si ça bouscule leurs croyances (par exemple qu’il faut un CDI et avoir des enfants avant 30 ans…), mais parce que c’est important pour toi (par exemple travailler à ton compte et ne pas être pressé d’avoir des enfants…).

Ne te rends pas malheureux(se) à cause des gens qui t’aiment. Eux, ils ne veulent pas que tu souffres.

La meilleure chose que tu puisses faire pour toi et pour les autres, c’est de t’épanouir.

Et si des êtres humains ne veulent pas que tu t’épanouisses, qu’ils aillent se faire foutre. Ouais, je le redis et je le redirai encore !

Tu te porteras mieux sans eux.

S’ils se soucient de ton bien-être, peu importe leur réticence initiale, ils comprendront.

Une fois que tu as pleinement réalisé que tu peux arrêter de vivre pour les autres, même avec la boule au ventre et les genoux qui tremblent, tu peux amorcer la transformation.

 

4ème pas – Réapprendre à marcher

Écoute bien cette question, tatoue-la sur ton front :

« Qu’est-ce que je peux faire aujourd’hui pour avancer sur le chemin de mes rêves ? »

Oui, arrêter de vivre pour les autres, ça fait flipper.

Oui, tu as des responsabilités.

Oui, tu as peur de décevoir les autres.

Non, ce ne sont pas des excuses.

Trouve un moyen de remplir tes responsabilités d’une autre manière.

Tu crois que tes enfants préfèrent une maman/un papa qui travaille 60h par semaine dans des conditions pourries pour un salaire minable ou une maman/un papa qui travaille seulement quand il en a envie et qui se régale en gagnant deux fois plus d’argent ?

Le truc, c’est que si tu ne bouges pas ton *big bottle of bear* aujourd’hui, la situation ne va pas changer d’un iota d’ici demain. Arrêter de vivre pour les autres demande de passer à l’action.

Ne te préoccupe pas trop de décevoir les autres.

Tu veux vraiment sacrifier ton temps de vie de peur de ne pas faire plaisir à papa et maman/à ta femme/à ton mari/à ton prof de maths ?

Les gens croient savoir ce qui est bon pour toi parce qu’ils ne connaissent pas d’autres alternatives.

Souvent, ils ne veulent que ton bonheur… alors ils te disent de faire un max d’études « pour trouver un bon boulot », de préférence en médecine, en ingénierie ou en compta, puis ils te disent de trouver un CDI « pour la sécurité »…

La sécurité de quoi ? La sécurité d’avoir une vie de *maerkeskeskeskispassla*.

Ils s’inquiètent que tu ne rentres pas dans le moule. Que tu te brûles les ailes en essayant autre chose. Que tu perdes tout ce que tu as.

Ce qui est sûr, c’est que si tu ne tentes rien, rien ne se passe. Et ce que tu perds dans ce cas-là… c’est chaque minute de ta vie.

On leur a dit ce qu’il fallait faire et ils l’ont fait. Beaucoup sont malheureux mais ils se disent que « c’est ça la vie après tout ».

Mais non ! C’est pas ça la vie !

La vie, c’est exactement ce que tu décides d’en faire.

Et si tu décides de vivre pour plaire aux autres, c’est ta responsabilité, pas la leur.

Arrêter de vivre pour les autres, ça demande du courage. Poooo-kéééé-mooon.

Alors… qu’est-ce que tu peux faire aujourd’hui ?

 

Je sais que cet article est assez bourrin… je t’ai dit 47 mille multivomillards de fois (Ouais, ça existe toujours pas…) que tu allais mourir, et je t’ai dit que tes proches pouvaient aller se faire foutre.

Je sais que mes mots sont forts et peuvent te secouer.

En tout cas, je les ai écrits avec beaucoup d’amour, dans l’intention de t’aider à arrêter de vivre pour les autres.

Ne te formalise pas sur la forme, écoute si le fond raisonne en toi.

Comme je le dis souvent, ta vie, personne ne peut la vivre à ta place.

La plus terrible des prisons, ce n’est pas les autres : c’est toi.

Il y a toujours un chemin.

Pas facile à poursuivre, certes.

Qui implique souvent du sang et des larmes.

Mais il y a un chemin.

Tu es libre de l’emprunter.

Sans excuses.

Arrêter de vivre pour les autres.

En gardant cette question en tête :

« Qu’est-ce que je peux faire aujourd’hui pour y avancer ? »

Je te souhaite un max de réussite dans tes projets amig@. Et merci de partager l’article pour en faire profiter tes potes et que je devienne super connu ! Tout le monde aura droit à son bottage de fesses comme ça 😉

Et je te remets un lien vers mon livre : La Danse de l’Air. Tu me remercieras plus tard.

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par Damien Fauché - pleindetrucs.fr

Manifeste : Une brève invitation à gagner ta vie en poursuivant tes rêves

► Nous pouvons changer le monde, chacun à notre échelle.

► Nous pouvons gagner nos vies en améliorant celle des autres.

► Nous pouvons poursuivre nos propres rêves tout en gagnant de l’argent.

Il est temps que chacun d’entre nous se réveille pour faire bouger les choses.

J’ai écrit un manifeste dans lequel je t’invite à gagner ta vie en poursuivant tes rêves tout en ayant un impact positif autour de toi. Enjoy :

► Édit : le livre n’est plus offert, à la place, j’offre un mini-cours pour devenir indépendant(e).

Tu veux contribuer ?

Ce manifeste est complètement gratuit. Si tu veux m’aider à ce qu’il atteigne davantage de monde, merci de le partager avec toutes celles et ceux que ça pourrait intéresser – par email, sur tes réseaux sociaux ou encore sur ton propre blog. Merci ^^

Nous sommes responsables de ce que nous faisons de nos vies

Profite bien de la tienne !

 

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Faire ou ne pas faire le même métier/business toute sa vie

Je reçois régulièrement des mails de personnes qui me disent : « Je ne sais pas si je suis fait(e) pour faire un seul métier » ou encore « J’ai peur de créer mon business autour d’une activité précise et de m’y retrouver bloqué(e) ».

Dans cet article, je partage une idée pour pallier cette inquiétude.

Ce n’est pas ton métier ou ton business qui compte, c’est la raison pour laquelle tu le fais

Ton métier, ou ton business, ça devrait être l’expression de ce qui compte pour toi. Et pas le contraire.

C’est-à-dire que si tu fais kiné, ça devrait être parce que c’est important pour toi d’aider les gens à avoir une bonne santé physique. Et ça ne devrait pas être parce que tu es kiné que tu dois t’occuper de la santé physique des gens.

Tant que tu fais une activité juste pour l’activité en elle-même, ou pour la paye à la fin du mois, quelle que soit ta motivation initiale, tu peux en avoir assez.

Changer de métier est alors la solution de facilité : tu fais quelque chose de nouveau, tu gagnes toujours ton salaire à la fin du mois, tu recommences du début dans une autre entreprise. Encore et encore.

C’est une option.

La limite, c’est d’être sans cesse dépendant(e) d’une entreprise pour te permettre d’exprimer ta créativité.

Et si tu as ce besoin de changer, c’est que tu ne peux pas complètement exprimer ce qui compte pour toi.

Alors quelles sont les solutions ?

Tu peux commencer par définir ce qui compte pour toi.

Beaucoup de personnes ignorent royalement cette réflexion. Elles se disent, « ok, je vois à peu près ce qui compte pour moi et je sais surtout ce que je ne veux pas ».

Elles pensent qu’elles le feront peut-être un jour.

Alors, elles changent d’activité, encore et encore. Je sais de quoi je parle, ces dernières années, j’ai créé des jeux-vidéos, des applications de téléphone mobile, des sites internet, exporté du poivre, fait des chemises sur mesure…

Il est plus instinctif de multiplier les activités que de se pencher sur ce qui nous touche vraiment à la base.

Pourquoi ? Parce qu’on nous a appris qu’il fallait mieux avoir un travail plutôt qu’une passion. Parce qu’on nous a dit que l’informatique/la santé/l’ingénierie ça payait bien. Parce qu’on nous a dit que nos choix étaient limités.

Évidemment, certains ne sont pas d’accord avec cette mentalité (moi le premier), alors la solution évidente est de changer d’activité comme de chemise. En se disant, « je vais trouver mieux ailleurs ».

C’est aussi une « petite fuite ».

Se dédouaner de ce qui compte pour soi parce qu’il n’y a pas de « métier » pour ça.

Voilà ce que je te propose :

Découvre et assume ce qui compte à tes yeux.

Tu peux ensuite le mettre à profit dans un métier qui t’offre la structure nécessaire pour pouvoir l’exprimer.

Si tu trouves un emploi en accord avec tes valeurs profondes, tu n’auras pas envie d’en changer. Imagine que tu fasses à la fois quelque chose qui te passionne, qui aide les autres et qui rende le monde meilleur.

Si ce « métier » n’existe pas, crée-le.

Les choses importantes pour toi, elles ne changent pas tous les jours.

Construis ton activité autour de ces choses-là.

Encore une fois : L’important n’est pas ton métier ou ton business qui compte, c’est la raison pour laquelle tu le fais.

Ignorer ce qui t’anime est extrêmement facile. Regarder ce qui compte pour toi en face est autrement plus compliqué.

Quand tu crées ton business, tu es libre de ce que tu vas proposer. Aussi ne crée pas ton business autour d’un métier (Exemple : je vends des légumes bio) mais autour d’une idée qui te tient à cœur (Exemple : je veux proposer une alternative saine à l’alimentation).

De cette manière, ton « métier » ne sera pas une fin en soi mais un moyen d’exprimer ce que compte pour toi (Exemple : si tu veux proposer une alternative saine à l’alimentation, tu peux effectivement vendre des légumes bio, communiquer sur les bienfaits d’une alimentation saine sur internet, faire des conférences, proposer des campagnes de sensibilisation dans les écoles, et des dizaines d’autres « métiers »).

Pour résumer, si tu ne sais pas si tu es fait(e) pour un seul métier ou si tu as peur de créer ton business pour ne pas t’y retrouver bloqué(e), c’est probablement que tu as peur (inconsciemment ou non) de t’engager sur ce qui compte vraiment pour toi.

Tu préfères probablement te dire que ce qui compte pour toi, c’est de pouvoir changer librement de voie. Et c’est sûrement vrai.

La raison pour laquelle tu penses ça, c’est probablement parce que tu ne sais pas ou n’assumes pas ce qui est réellement important pour toi. C’est plus rassurant d’avancer sans jamais t’y confronter et de pouvoir changer de direction en toute occasion.

En tout cas, si tu sens une « douleur » liée au fait de ne pas trouver ta place : trouver ce qui t’anime, c’est un bon endroit pour commencer à la soigner.

Ça pourrait bien te faire sortir d’une impasse.

Ou tu peux continuer de dire que tu ne sais pas si tu es fait(e) pour un seul business ou métier…

Enfin bref, c’est juste une idée.