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Comment voyager à durée indéterminée – avec Michael Pinatton

Aujourd’hui, je reçois Michael Pinatton de TraverserLaFrontiere.com.

Michael, ça fait environ 9 ans qu’il voyage.

Et qu’il gagne sa vie en même temps.

Donc lui aussi, il s’est créé une alternative au métro-boulot-dodo

…et du coup, je lui ai posé pas mal de questions sur à quoi ressemble sa vie de voyageur, là où il en est de ses projets, comment il se finance, comment il s’est lancé…

…Plein de trucs qui peuvent t’intéresser et t’aider à te créer aussi une alternative au métro-boulot-dodo !

Dans cette conversation, on aborde :

0’38 – Ses news, son actu, ses projets

4’25 – Comment il a commencé à financer cette vie de voyage au tout début

7’56 – Comment il gagne sa vie actuellement tout en voyageant

10’31 – Ce qui le rend différent des autres blogs voyage

15’16 – Le voyage en solo et l’amitié

18’44 – La liberté de voyager VS. l’envie de se poser et d’avoir des relations profondes : La solution !

21’50 – Les 3 endroits où Michael se verrait bien rester

26’23 – Le darkside du voyage (les côtés qu’on ne voit pas au début !)

27’17 – Comment savoir si le voyage à long terme est fait pour toi ? Le test sur lequelle on est carrément d’accord Michael et moi

27’58 – L’obstacle numéro #1 pour se lancer dans une vie de voyage

30’01 – La prise de conscience pour surmonter ses blocages mentaux sur le voyage à long terme

33’09 – L’élément déclencheur qui a permit à Michael de se lancer dans cette vie de voyages

38’13 – Comment il voit sa vie dans 5 ans

En bonus

Je t’ai préparé un petit résumé en pdf avec les points clefs de toute la conversation.

Et le titre de trois bouquins que m’a conseillé Michael après l’interview (j’en ai commencé un !).

Je t’enverrai aussi mes meilleurs conseils pour te créer ton alternative au métro-boulot-dodo et je te tiendrai au jus des prochaines interviews :

 

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Une vision du monde absurde ?

Il y a un truc qui m’énerve.

Parce que ça me semble furieusement absurde.

Pourtant un tas de gens ont l’air de trouver ça normal.

Donc je veux bien ton avis là-dessus.

Disons qu’un individu lambda – appelons le Léopold Lambada −  a un rêve qui lui tient à cœur.

En général ce rêve a l’une des formes suivantes :

  • Trouver l’amour.
  • Lancer son business.
  • Faire un grand voyage.

Dreams !

Donc :

D’un côté, notre ami Léopold a son rêve

…et d’un autre côté : il a sa vie de tous les jours.

Avec ses obligations. Ses challenges quotidiens. En mode routine inexorable.

Et là…

Il se passe un phénomène assez mystério-étrangiforme :

C’est le repositionnement de ses rêves.

Au fond de son cœur, Léopold Lambada sait bien que ce qu’il désire, c’est trouver l’amour, créer son biz et voyager autour du monde.

Pourtant, dans sa vie de tous les jours il se lève chaque matin pour aller au boulot, il passe ses weekend à rénover son appart et sortir avec sa même bande de potes.

Donc il avance pas d’un broc en direction de ses rêves.

Pire : quand une occasion se présente, il s’auto-met des bâtons dans les roues !

« Ah ! Vous partez à Bali pour une rencontre d’entrepreneurs » (où il pourrait à la fois voyager, parler business et rencontrer quelqu’un avec les mêmes intérêts que lui) « Ooooh ! Bin c’est dommage parce qu’il faut VRAIMENT que je finisse de rénover mon appart ! Puis de toute façon, mon patron me laissera pas partir à cette période ! ».

Mais qu’est-ce que tu fous Lambada ?

What ?

C’est comme si ses rêves étaient des entités distantes dont il ne fallait pas se rapprocher.

Au risque de se brûler les ailes.

S’accrocher à une « salvation » lointaine et illusoire plutôt que d’affronter la réalité.

Avoir les yeux rivés sur une existence meilleure sans jamais s’en approcher.

Mais la réalité, c’est que ta vie, elle se passe maintenant.

Chaque jour.

Et qu’au bout d’un moment tu vas mourir.

On va tous mourir. C’est comme ça.

Et quand le moment sera venu, qu’est-ce qui aura le plus compté pour toi ?

Avoir trouvé la femme/l’homme de ta vie, créé un business dans lequel tu t’épanouis, avoir voyagé vers tes destinations de rêves…

…ou avoir fini de rénover ton *lutin* d’appart et bossé un weekend de plus ?

Sérieux ?

Et là, en général, la réponse de Léopold c’est une armada de rationalisation des sept enfers :

  • « Mais mon objectif du moment, c’est vraiment de terminer de rénover mon appart »
  • « Mais si je « force » mes vacances, je vais peut-être perdre mon job »
  • « Mais en ce moment, je suis vraiment limite niveau argent »
  • Etc…

Bla, bla, bla !

Même si c’est des « vraies » raisons… en quoi est-ce qu’elles sont réellement bloquantes ?

Ton objectif, c’est de terminer ton appart ? Est-ce que c’est la chose la plus importante que tu veux accomplir dans ta vie à un point ou tu ne peux pas repousser ça pour vivre des expériences extraordinaires (dans le sens qui sortent de ton ordinaire quoi !) ? Je veux dire… rénover ton appart, ça peut être un objectif sympa… mais une fois que t’as accompli tes rêves ! Pas avant ^^

Tu vas peut-être perdre ton job ? Et alors ? Tu vas t’empêcher de vivre tes rêves parce que tu veux rester dans les bonnes grâces de ton patron pour continuer de recevoir ton chèque à la fin du mois ? Ne pourrais-tu pas trouver un autre taf plus tard ?

T’es limite niveau argent ? Ou tu dépenses tout ce que tu gagnes dans des fringues, ta bagnole, ton nouveau téléphone ?

Les excuses coulent à flot.

C’est un mécanisme de défense. Et c’est humain.

On en a tous : Léopold, toi, moi.

La vérité, c’est qu’on flippe de poursuivre nos rêves.

Ça fout tellement la frousse qu’on préfère fuir. Ou faire l’autruche.

Parce que si l’on ne tente rien… on ne peut pas échouer.

Donc on reste au sec. Dans un quotidien monotone.

Et on se prélasse dans notre zone de confort en se disant qu’on le fera un jour.

Un pas devant l’autre, sans conscience, comme des zombies.

C’est pas ta faute. C’est pas la mienne. C’est la nature humaine esclavagisée par le système.

Métro-boulot-dodo. Appart en banlieue. Amitiés sur les réseaux sociaux.

On ferme les yeux et on attend l’année prochaine.

Quand on aura mis plus d’argent de côté. Quand on se sera remis au sport. Quand les poules auront des dents.

Et un jour tu réalises que demain n’existe pas.

Comme quand mon pote Manu n’est jamais revenu au boulot. AVC. À même pas 25 ans.

Pleine santé. Super créatif.

Coup de marteau de la vie dans la face.

On vit comme si on était éternels.

Et on engraisse la grosse machine.

Qu’est-ce que tu ferais si tu devais mourir le mois prochain Lambada ?

Tu rénoverais ton appart ?

Ou tu te sortirais les doigts du *Bip-bop tralala* ?

Parce que peut-être que la vie est précieuse.

Et que c’est dommage de la passer à faire des choses qui ne comptent pas.

Donc comme je te le disais au début de l’article : ça me semble absurde.

Mais je sais pas ce que t’en penses, peut-être que c’est juste moi ?

Évidemment, je dis pas que c’est facile de regarder en face les mensonges qu’on se fait à soi-même.

Et réaliser qu’on se tartine le cerveau de rationalisation pour ne pas poursuivre nos rêves.

Mais je dis que ça vaut la peine de se poser un instant et d’y réfléchir.

Parce que le truc qui te permet de te lancer corps et âme dans ta vie rêvée :

C’est seulement quand tu admets que ton pire ennemi, ce ne sont pas tes conditions de vie elles-mêmes…

…c’est les limites que le système t’a foutu dans le ciboulot.

Et une fois que tu arrêtes de te dire « Nan, je peux pas à cause de [X, Y ou Z] » et que tu remplaces ce script à la con par « Ok, comment je peux m’y prendre, même si ça me fait flipper… » :

Tu t’ouvres un monde de possibilités littéralement illimitées.

Il y a quelques années, j’ai fait ce choix de réaliser tous mes rêves. Ou vivre et mourir en essayant.

Pas parce que je suis plus malin qu’un autre mais simplement parce que j’ai réalisé que la vie n’attend pas et que chaque jour est le meilleur moment pour exister.

Je n’ai aucune idée de jusqu’où j’irai.

Mais j’y vais !

Aujourd’hui je me sens l’homme le plus chanceux du monde, autant dans les moments de galère que dans les moments de gaieté.

Pas parce que j’ai la meilleure existence du monde. C’est impossible à comparer.

Mais parce que j’utilise consciemment les années qu’il me reste pour réaliser ce qui me semble digne d’intérêt.

Dans l’absolu, mes choix ne sont pas mieux ou moins biens que d’autres… mais ils sont délibérés.

Et que ça te semble étrange ou censé, voilà le message que je voulais te passer :

T’es capable de tout réaliser.

Tout dépend de tes priorités.

Tu peux rénover ton appart ce weekend.

Et tu peux rencontrer l’amour, créer ton business et voyager.

Tu peux même faire tout ça à la fois.

Dans l’ordre qui te plait.

Ou tu peux ne rien concrétiser.

Tu peux remettre les choses à demain.

Ou tu peux leur donner la priorité.

Tu peux croire que t’as pas le choix.

Ou tu peux décider de ce que tu fais de tes journées.

Ce sont juste des choix à faire.

Il n’y en a pas de meilleurs que d’autres.

Ils te mènent juste sur des chemins différents.

Parce que la vie est brève.

Et que ce qui compte, ce n’est pas la destination, c’est le trajet que tu prends pour t’y diriger.

Mais peut-être que je délire, peut-être que je mène une vie illusionnée, peut-être que la « sécurité » est reine, et qu’il vaut mieux courber l’échine et ne rien tenter.

Ou peut-être que j’ai raison, que notre état d’esprit détermine nos priorités et que nos actions qui en découlent façonnent notre destinée.

Deux façons de voir le monde diamétralement opposées… qui mènent à des existences radicalement éloignées.

Je suis curieux d’avoir ton avis là-dessus nuggets.

Qu’est-ce que t’en penses ?

Tiens-moi au jus dans les coms, ça m’intéresse !

Bonne journée et à très vite,

– Damien

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Comment je gagne ma vie online

« Wow ! Ça fait 5 ans que tu voyages !! Et t’as un appart comme ça ici ? Mais… comment tu gagnes ta vie en fait ? »

La réponse tient en 8 mots :

J’ai trouvé un trésor sur une île.

Naaaaaaaaaaaan ! Je déconne ^^

En général quand on me pose cette question, je réponds avec une « version rapide » du genre :

« J’ai un business online ».

Évidemment, c’est pas super précis comme réponse et si la personne en a quelque chose à carrer, elle me demande : « Un business de quoi ? ».

« J’apprends aux gens à lancer leur propre activité : se différencier de la concurrence, trouver quoi offrir, savoir le vendre. Je suis consultant en gros. »

Et encore une fois, c’est une réponse raccourcie. Le but c’est de leur donner une explication générale sans forcément rentrer dans les détails.

Mais de temps en temps, certaines personnes sont VRAIMENT intéressées pour savoir comment je finance ma life.

Et les questions pleuvent !

Dans la vraie vie et par email.

Du coup, j’écris cet article (qui va être assez FAT) pour répondre en détail à comment je gagne ma vie.

L’objectif, c’est d’une part de t’expliquer comment je me finance hors du métro-boulot-dodo classique

…et d’autre part de te permettre d’avoir des conseils applicables si tu veux en faire de même !

Ça va bombarder sévère !

Bombardage !

Go !!

D’abord… Les principes de l’alternative au métro-boulot-dodo

Avant de rentrer dans les détails d’où je tire mes revenus, c’est méga-important de faire un petit point sur les principes psychologiques qu’il y a derrière.

Parce que si tu ne les prends pas en compte, rien de ce qui suit ne sera applicable pour toi.

On va en voir 3 ici.

DONC…

1/ La psychologie de l’acquisition d’argent

Le changement de perception le plus important si tu veux gagner ta vie autrement qu’avec un métro-boulot-dodo, c’est de réaliser que l’argent peut venir d’une autre source que d’un employeur.

Ça peut paraître évident à certains.

Mais ça ne l’était pas forcément pour moi au début.

Même si « dans l’idée » je comprenais… j’avais du mal à l’internaliser.

Du coup, je vais te formuler ça en d’autres termes pour clarifier le concept :

L’argent n’est pas forcément une récompense que tu obtiens de la main d’une entreprise en échange de ton temps.

L’argent est quelque chose que tu obtiens pour une valeur que tu apportes.

En d’autres termes, dans un emploi : tu apportes de la valeur à ton employeur et c’est pour ça qu’il te paye.

Lorsque tu réalises ça EN PROFONDEUR, tu réalises également par extension que cette « valeur apportée » s’étend au-delà du temps consacré au salariat.

En gros : si tu apportes suffisamment de valeur à quelqu’un, il te donnera de l’argent en retour.

Identifier la valeur que TU peux apporter aux autres − même avec les compétences que tu as DÉJÀ − c’est un point tellement important que j’y consacre plusieurs leçons dans mon centre de formation.

Et c’est le premier principe que je voulais partager avec toi.

2/ Ta gestion financière

Ce que tu gagnes est à mettre en corrélation avec comment tu le dépenses.

Si tu gagnes 2800 balles par mois et que t’en dépenses 1800 dans ton loyer, t’as 1000 balles pour tes frais de vie.

Si tu gagnes 1800 balles par mois et que tu achètes un logement dont tu rembourses 800€ par mois, t’as aussi 1000 balles pour tes frais de vie.

La grosse différence, c’est que même si t’auras un style de vie plus « fancy » avec ton loyer à 1800 euros… au bout de 10 ans, tu te retrouveras avec quasi 100.000 balles investis dans ton bien immobilier si t’as choisi l’option d’acheter un logement… et que dalle dans l’autre cas.

Et ça malgré une différence de 1000€ de revenus !

Pas mal non ?

Évidemment, dans cet exemple, je prends pas en compte les impôts, les frais de crédits, les autres placements, le fait que ce serait plus judicieux de louer l’appartement plutôt que d’y vivre dedans, etc… le but ici c’est juste de te montrer que :

Ce que tu fais de l’argent que tu gagnes est aussi important, voire plus, que l’argent que tu gagnes.

Un mec qui gère pas mal son fric
Un mec qui gère pas mal son fric : mon papi Warren

C’est le deuxième principe.

3/ Ce qui est prioritaire

J’aime avoir ce qu’il y a de mieux.

Mais j’ai relativement peu de besoins.

C’est comme ça que je définis mon niveau de confort.

Je te donne un exemple :

Quand j’achète un appartement, une voiture, ou même des vêtements je veux la meilleure qualité.

Mais je vais pas m’acheter un milliard de fringues, ni rajouter des tas de gadgets sur ma bagnole ou rénover en boucle mon appart.

Parce que ce n’est pas « important » à mes yeux.

Et pour les choses que ne sont pas « importantes » pour moi, je choisis les options moins coûteuses.

Par exemple, je prends souvent l’avion en low-cost. Parce qu’une fois à destination, le fait que t’aies payé ton billet 400€ ou 2600€ ne fait pas beaucoup de différence.

Peut-être que si je gagnais 50.000€ par mois, je voyagerais davantage en première classe parce que la somme ne me paraîtrait plus « importante » ? J’en sais rien. Et, on verra bien quand j’en serai là !

En attendant, ce qu’il faut retenir de ce point, c’est :

Qu’est-ce que tu fais passer en priorité ?

Pas seulement ce que tu fais de ton argent au niveau des placementsn (ça c’était le point précédent), mais ce que tu en fait au niveau de ta consommation.

Quand j’ai commencé mon aventure entrepreneuriale, j’ai fait pas mal de bouleversements sur mes priorités.

Et c’est en grande partie grâce à cette re-priorisation que j’ai pu financer ma nouvelle vie. Sans ça, je serai toujours à me taper 1h de route tous les matins et tous les soirs avec ma jolie BMW pour aller m’enfermer dans un bureau toute la journée ^^.

Parce que quand tu gagnes une somme donnée, si tu l’alloues à certaines choses, tu ne peux pas l’allouer à d’autres.

Si tu passes 600€ par mois en sortie et shopping, certes, ça peut te faire sentir bien sur le coup, mais ça aura moins d’impact sur ton avenir que si tu décides de les investir dans des formations professionnelles ou de les économiser pour les placer (Hop : point 2 sur Ta gestion financière encore une fois !).

À l’heure actuelle, certains investissements matériels que j’avais fait ont disparus dans les limbes de l’oubli alors que chaque minute que j’ai passé à lire des bouquins ou suivre des formations m’ont apporté des bénéfices au centuple !

Tu vois le principe ?

Donc maintenant que t’as un aperçu de ces quelques concepts de base, voilà comment je gagne ma life :

Mes produits et services online

PleinDeTrucs.fr, c’est un blog qui parle de la vie hors du métro-boulot-dodo.

Et je propose les outils pour ceux qui veulent se créer ce mode de vie indépendant en pratique :

La Danse de l’air pour ouvrir ton champ des possibles et te permettre de réaliser ce dont t’es capable grâce aux micro-actions.

Le guide polyphasique pour dormir moins sans manquer de sommeil et avoir plus de temps pour tes projets.

Ton Chemin vers l’Indépendance (CVI) pour trouver quoi faire pour t’épanouir et gagner de l’argent.

La Structure de la Réussite (SDR) pour avoir la confiance de te lancer dans tes grands projets.

Et Easy Business pour carrément construire ton business online éthique et gagner régulièrement de l’argent avec.

En plus de ça, j’offre ponctuellement des coachings et des suivis persos pour un petit nombre de personnes.

Et la vente de tous ces produits et services, c’est ma première source de revenus.

D’ailleurs, si t’en as pas encore acheté… ACHÈTE !

Si tu kiffes mon blog et mes mails, mes programmes sont encore un niveau en dessus et chacun te permettra d’atteindre un objectif précis.

J’ai passé un temps fou sur ces offres et j’en suis fier !

Parce que me lancer dans cette aventure hors du métro-boulot-dodo est la meilleure chose que j’ai faite professionnellement.

Et aujourd’hui, pouvoir aider d’autres humains à avancer sur cette voie, suivre leurs avancées, et recevoir leurs remerciements, ça me remplit de gratitude : je me dis que ce que je fais a du sens.

Et même si la plupart des gens suivent les autoroutes de la normalité, je me dis qu’on est quelques dissidents à poursuivre des voies alternatives et je suis content de pouvoir les aider 😀

Mes investissements locatifs

J’ai acheté un appartement. En 2014. Il est loué non-stop.

Jusqu’à présent, ça a été une source fiable de revenu.

J’ai presque remboursé le prêt (il me reste 3 ans !).

Je compte en acheter d’autres (avec un s), voire un immeuble bientôt.

Mes investissements en crypto-monnaies

Peut-être que t’as entendu parler du bitcoin et des autres crypto-monnaies.

Tout le monde semble s’y mettre ces temps-ci.

J’ai eu la chance de m’y mettre plus tôt : il y a un an et demi environ.

Notamment grâce aux conseils d’un de mes meilleurs amis.

Résultat : gros bénéfices.

Si tu veux en savoir un peu plus sur comment ça fonctionne, je te mets un lien externe bien écrit.

Des trucs en plus

En plus de ces 3 sources principales, ça m’arrive de faire d’autres petits projets quand ça me branche ^^

Par exemple, en ce moment… je donne des cours de surf, hahaha XD

En plein boulot !

L’intérêt est pas vraiment financier parce qu’en comparaison de mes autres activités, ça rapporte quasiment que dalle, mais ça me fait furieusement tripper de me dire que je suis payé pour être « prof de surf » (même si en vrai je suis pas très bon et que l’école de surf me prend surtout pour mon enthousiasme et mes compétences en langues ^^).

Ça m’est aussi arrivé quelques fois de proposer mes services contre le logement pendant mes voyages : en gros, j’aide quelqu’un dans son business et il me loge dans un hôtel ou un appart pour quelques mois en échange.

Encore une fois dans ces cas-là, l’objectif c’est surtout de bosser sur un projet fun plutôt qu’une finalité financière !

Combien de temps pour en arriver là ?

C’est une question qui revient souvent…

…mais qui n’est pas forcément pertinente.

Parce que ce n’est pas seulement le temps passé qui détermine un résultat – bien qu’évidemment ce soit un facteur important – c’est aussi l’implication dans le projet et les choix stratégiques.

Par exemple, je n’ai pas monétisé PleinDeTrucs.fr la première année, ça ne veut pas dire que tu ne peux pas monétiser un blog dès sa première année.

Ensuite, je n’ai pas transformé mon blog en business tout d’un coup sans aucune expérience.

J’avais déjà créé des activités dans des domaines aussi variés que la création de chemises sur mesure, l’exportation de poivre, la conception de jeux-vidéos, d’applications mobiles, de sites web et de montage vidéo.

En plus de ça, avec le recul, je réalise qu’un paquet de mes choix n’ont pas été les plus efficaces à certaines étapes parce que mes sources d’informations n’étaient pas idéales.

Par exemple contrairement à ce que disent un paquet de marketeurs internet : « créer un blog » n’est pas une super idée pour commencer à gagner de l’argent online.

Pourtant, à l’heure actuelle, un tas d’entre eux continue de dire qu’il faut en priorité créer un blog et construire une liste mail…

…et même si dans l’idée, le concept a du sens, c’est looooooooooooin d’être le plus efficace pour gagner de l’argent !

Pourquoi ?

Parce que c’est incroyablement chronophage et que les retours sur investissement sont difficilement mesurables les premiers temps.

La meilleure solution pour gagner de l’argent tout en faisant un truc que t’aimes hors du métro-boulot-dodo, c’est de lancer un business fonctionnel le plus simple possible, puis de le faire grandir à partir de là.

Parmi mes clients, en suivant cette stratégie, la plus rapide a gagné ses premiers euros en une semaine à peine.

Et je dirai qu’il faut environ 3 mois de manière plus générale.

C’est une approche complètement différente du « marketing internet classique » et leurs techniques qui te donnent l’impression d’être productif sans te faire gagner d’argent pour autant ^^.

Donc, maintenant que tu sais que « combien de temps pour en arriver là ? » n’est pas une question super pertinente, voilà la réponse la plus cohérente que je puisse te donner :

Il m’a fallu toute ma vie pour en arriver là.

Apprentissage continu

Parce que dans entrepreneuriat, ce n’est pas juste le temps que tu consacres à ton projet « une fois que tu es lancé » qui compte : c’est aussi le temps qu’il t’a fallu pour te lancer !

Quand je me suis lancé dans l’aventure entrepreneuriale en pratique : j’ai eu rapidement de bons résultats financiers (notamment parce que j’avais choisi les bonnes personnes, comme mon premier associé par exemple).

Ensuite, ça m’est arrivé d’écouter des conseils moins pertinents (l’exemple du blog que je te donnais juste avant). Et ça m’est arrivé de faire des erreurs.

J’ai eu des hauts et des bas.

J’ai gagné plus de 8.000€ certains mois et j’ai fait des mois quasiment à vide. Je me suis senti le roi du monde à certains moments et je me suis senti désespéré à d’autres.

Entreprendre, ce n’est pas une route constante vers une destination à laquelle tu arrives « au bout d’un certain temps ».

Cette perception est complètement faussée par les études : fais 5 ans d’études et tu seras ingénieur, fais en 10 et tu seras médecin.

Là, les résultats ne sont pas linéaires.

Tu peux bosser pendant 20 ans et avoir un business minable qui te bouffe ton temps, ton énergie et te rapporte des peccadilles.

Et tu peux potentiellement bosser 2 ans et te retrouver millionnaire !

Les challenges et les avantages

Une des difficultés principales avec ce mode de financement hors du métro-boulot-dodo, c’est l’apparence du manque de sécurité :

« Si c’est pas « garanti » qu’une personne/entreprise me donne la même somme d’argent tous les mois alors c’est risqué. »

Dans un premier temps, ça peut donner cette impression-là. Mais en creusant davantage, tu réalises que cette soi-disant « sécurité » repose sur la personne/entreprise qui te donne de l’argent.

Si elle arrête de te financer, tu n’as plus de rentrées d’argent.

Ouch !

Le vrai challenge avec la vie hors du métro-boulot-dodo, c’est de devenir EN CONTRÔLE de tes finances.

Arrêter de voir tes finances comme un plein d’essence qui se remplit et se vide chaque mois, mais plutôt comme un réservoir d’essence dont tu contrôles les entrées et la consommation.

Et aussi étrange que cette comparaison puisse paraître, elle est assez pertinente ^^

Lorsque tu contrôles ton réservoir – qui correspond donc à l’ensemble de tes finances dans cette frétillante métaphore – tu n’as plus à courir faire ton plein au même endroit tous les mois.

En d’autres termes, t’es un peu libre de gérer ton temps comme ça te chante… tant que tu penses à remplir ton réservoir aux moment où TU le décides.

Cool huh ?

Alors, évidemment, tu vas avoir des périodes un peu tendues du slop lorsque le pétrole se fait rare.

Et tu vas avoir des périodes de succès intense où l’essence coule à flot (lol).

Mais surtout, dans le tableau d’ensemble :

Tu vas te sentir profondément libre de gérer ton temps de travail comme tu l’entends…

…tout en gagnant potentiellement plus d’argent que quelqu’un qui passe toutes ces journées derrière un bureau.

Et ça… c’est quand même une manière pas trop pourrave de gagner ta vie ^^

Conclusion

Le truc à retenir de cet article my lovely bretzel aux framboises :

C’est qu’on peut gagner nos vies autrement qu’avec un métro-boulot-dodo classique.

Autrement qu’avec une création d’entreprise standard (qui au final est simplement une autre forme de métro-boulot-dodo d’ailleurs !).

Et autrement qu’en suivant les techniques marketing internet habituelles.

On peut gagner nos vies en prenant le contrôle de nos rentrées et sorties d’argent.

Sur 3 axes :

  • Créer de la valeur et la vendre directement à un public
  • Investir intelligemment l’argent que l’on gagne
  • Contrôler où vont nos propres dépenses

C’est une voie qui demande de l’implication et du courage parce qu’elle va à l’encontre de la « normalité » qu’on nous agite sous le nez à l’école et dans les médias.

Ce n’est pas « mieux » ni « moins bien » en revanche.

C’est juste différent ^^

Et c’est une voie incroyablement gratifiante.

Parce qu’elle te permet de te sentir en adéquation avec ton environnement :

À la fois en tant que créateur de valeurs (ce que tu offres aux autres et tes investissements) et en tant que consommateur (les dépenses que tu priorises).

Tu n’es plus une petite pièce coincée dans l’engrenage de la grosse machine, tu es un petit moteur indépendant qui devient de plus en plus puissant et autonome de jour en jour.

C’est le chemin que j’ai choisi.

Et si tu veux avancer toi aussi sur cette voie, tu sais que t’as accès à tout mon blog et mes programmes pour t’y aider 😉

Donc voilà pour l’article sur comment je gagne ma vie.

J’espère que t’as appris plein de trucs !

Si ça t’a plu, tu peux faire un truc qui me ferait bien plaiz : partage l’articlePasse le lien à un ami par mail, partage sur ton Facebook, discutes-en autour de toi.

Parce que ça me prend du temps d’être le porte-parole de ces idées alternatives au métro-boulot-dodo, au marketing classique et aux entreprises standard…

…et franchement, sans toi et sans les autres dissidents qui partagent cette vision du monde, je serais juste un mec marginal qui parle tout seul ^^.

Grâce à tes interactions, tes partages, tu donnes de la voix au mouvement et on devient plus nombreux et plus forts à oser sortir des sentiers battus !

Donc merci pour ton partage nuggets, j’apprécie 😀

Et à très vite pour de nouvelles aventures !

► Damien | « Prof de surf pour le fun » en direct des Canaries XD

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Croyances limitantes : Les histoires qui nous mettent en cage

J’avais envie d’y arriver.

Pourtant, avant, je croyais que je pourrais jamais jouer de la guitare.

Pourquoi je croyais ça ?

Parce que personne ne fait de musique dans ma famille.

Parce que j’avais pas “l’oreille musicale”.

Parce que je chantais faux.

En gros, y’avait un *lutin* de script invisible dans ma tronche qui me disait : « t’es pas un musicos, laisse tomber, c’est pas pour toi ».

Pas un musicos

On a tous des scripts comme ça dans le cerveau.

Peut-être que tu te dis que t’es naze pour les langues étrangères ?

Ou que tu peux pas lancer ton business ?

Ou que t’es pas du genre manuel ?

Ou que t’es timide ?

Ou que t’es nul(le) en dessin ?

Bref… tu vois l’idée.

Essaye d’identifier un script limitant que t’as, toi, personnellement, avant de continuer à lire.

Je t’attends 😉

T’en as trouvé un ?

Alright, on continue !

Disons que ton script limitant, c’est “je suis pas un musicos, je peux pas apprendre la guitare et le chant”..

Comme ça je continue avec mon exemple.

Bien sûr, garde en tête que tu peux remplacer “je suis pas un musicos” par ton script à toi, hein !

Et sers-toi de mon exemple pour faire la corrélation avec ton cas particulier.

Doooooooooonc…

Ce script, il te paraît ULTRA-RÉALISTE.

Tu SAIS que t’as pas l’oreille musicale.

T’en es persuadé jusqu’au fond de ta moelle épinière.

T’as un milliard d’exemples de situations passées pour le prouver.

À tel point que ça fait partie de ton IDENTITÉ.

“Je suis pas un musicos”.

Persuadé

Pourtant…

Croire ça, my fulgurous flexi muffins, c’est le piège.

Le gros piège de sa mère.

Parce que tant que tu lies ton identité à ton script limitant, t’as aucune chance de sortir de ce script.

Et t’apprendras jamais la guitare.

Ou quoique ce soit dans TON script à toi d’ailleurs.

Et ça peut être frustrant de la mort.

Par exemple, si tu te dis que t’es naze pour les langues étrangères et qu’en même temps t’as envie d’apprendre l’anglais…

…tu te crées la situation parfaite pour être en souffrance récurrente :

Ton script t’empêche de réaliser ce que tu voudrais.

Et plus tu essayes d’apprendre l’anglais, plus tu réalises à quel point t’es naze pour les langues étrangères…

Et plus tu te détestes toi-même de pas y arriver…

Rhaaaaaaaaaaaa !!!

C’est la boucle infernale des sept enfers.

Alors comment tu te sors de cette impasse ?

Easy dans l’idée.

Hardos dans les faits.

Regarde les choses sous cet angle :

Ton script, il existe, dans ta tête.

Il est là. On sait pas forcément POURQUOI il est là, mais il est là.

Et au fond, on s’en cogne un peu de pourquoi il est là.

Peut-être que dans mon cas, je croyais que j’étais naze musicalement parce que mon frère − ce délicieux petit amour − me disait que c’était horrible à chaque fois que j’essayais de chanter ?

Que mes parents me disaient “s’il te plait non, pas maintenant” à chaque fois que je rentrais dans un périmètre de moins de 3 mètres autour de ma guitare ?

Que personne dans ma famille n’était versé dans les arts musicaux ?

Mystère. Mystère… lol.

Dans ton cas, peut-être que tu penses que t’es naze en anglais parce que ta maîtresse, Miss MacDoublecheesburgerinmybistoufly t’a complètement dégouté de cette matière quand t’étais en 4ème B au collège des Bleuets.

Ou que t’es timide parce que ta mère arrêtait pas de gueuler sur ton père et que t’en as déduit que le moyen le plus efficace pour échapper à ça, c’était de te fondre dans le décors en mode furtif.

On sait pas ! Ou peut-être que tu sais.

Mais peu importe la RAISON, le script est là.

Et il faut faire avec si tu veux lui dégommer le slop.

Soooooooooooooooooooooooooooo…

Du moment que t’acceptes que ton script est là, que c’est juste un script et pas une vérité absolue sur qui tu es et que c’est lui qui t’empêche de réussir à atteindre ton objectif…

Dans le cas de mon exemple : apprendre à jouer de la guitare et chanter donc.

Et dans ton cas : ce que tu veux.

…tu peux DÉCIDER de le changer.

Évidemment, ça se fait pas du jour au lendemain.

Tu vas pas tout d’un coup te mettre à penser “je suis un excellent musicien” et jouer comme Django en t’entraînant une aprèm.

Nope.

Ça marche pas comme ça.

Parce que le cerveau SAIT que t’essayes de lui faire gober une croyance qui va à l’encontre d’un bon paquet de ses expériences passées.

Donc il y croit pas.

Du coup, comment tu peux passer la limite de ton script ?

C’est subtil… mais c’est diaboliquement puissant :

Modifie ton script avec un terme progressif.

Au lieu de te dire :

“Je suis pas un musicos”

Commence à développer le script :

“Je suis en train de devenir un musicos”.

C’est ultra-balèze parce qu’au lieu de t’auto-disqualifier d’entrée, tu t’inclus dans un processus d’amélioration.

Et le plus beau dans l’histoire, c’est que ton cerveau y croit à fond parce que tu ne lui fais pas croire qu’il est ce qu’il n’est pas.

Réalisation

Tu lui dis simplement qu’il est en train d’apprendre.

Et à partir de là, il se concentre sur de nouvelles choses :

Au lieu de chercher des preuves que tu “n’es pas un musicos” il commence à chercher des preuves de “je suis en train de devenir un musicos”.

Et en se concentrant sur les apprentissages plutôt que sur les limites de ton identité :

Tu apprends.

Tu surmontes ta frustration.

Et si tu fais ça bien − en le mettant en parallèle avec d’autres principes psychologiques tu y prends même du plaisir.

Et surtout, surtout…

Tu exploses tes limites et tu atteins de nouveaux résultats.

Par exemple, c’est seulement au moment où j’ai appliqué ce changement de script que j’ai changé mes résultats.

À l’heure actuelle je sais jouer de la guitare et chanter. Même si j’ai commencé assez tard et avec un tas de doutes.

Certes, je suis pas un ouf.

Mais mes potes qui m’ont vu commencer me disent que j’ai “un don pour la musique”. Que j’ai l’oreille musicale. Que j’ai une belle voix.

Lol… quand je vois d’où je pars, c’est vraiment chelou d’entendre des trucs pareils XD

Et mon lil bro’ et mes parents se régalent quand je leur joue une petite musique.

Le temps où ils comparaient mes envolées lyriques avec les hurlements d’un félin à l’agonie est à présent révolu. Ouf !

Guitare

Je sais un peu jouer de la guitare. Je sais un peu chanter.

Et c’est kiffant. Grave.

Mais ce qui vaut bien plus que ça encore, c’est le fait d’avoir réalisé que j’en étais capable.

Pas seulement l’avoir fait mais savoir que j’ai été capable de faire une chose pour laquelle je me sentais profondément désavantagé : par la nature, par mon environnement, par mes expériences passées.

La plupart de tes limites peuvent se faire éclater la tronche quand tu changes tes scripts invisibles.

Ça a été une des leçons de vie les plus importantes que j’ai apprises.

Alors aujourd’hui je la partage avec toi.

C’est pas juste des mots sur un écran.

C’est un condensé d’existence.

Parce que ce qui compte, c’est pas de « comprendre le principe », c’est de le ressentir et de le mettre en application.

Parce que quand tu le mets en pratique :

Tu peux dégommer tes prisons mentales et atteindre les résultats auxquels t’aspires.

Je suis sûr que t’as déjà fait un tas de trucs balèzes dans ta life.

Mais on a toujours des limites. Des scripts limitants.

Perso, j’en ai des tas.

Et quand je réalise qu’il y en a un qui me tire vers le bas ou qui m’empêche d’aller où je veux dans ma vie

…bin je prends le temps d’accepter son existence, de le modifier avec un verbe progressif et de jour en jour déplacer ma limite !

Parce qu’on ne peut pas changer radicalement un résultat ou une croyance du jour au lendemain.

Ça demande du temps. De l’implication. Et des tonnes de micro-actions.

C’est ça qui permet de prendre confiance en soi.

Et d’avoir des résultats.

Peu importe le domaine.

La guitare.

Le chant.

L’anglais.

Lancer ton biz online.

Le trapèze.

Les relations sociales.

Donc voilà le principe que je voulais partager avec toi aujourd’hui sur “les histoires qui nous mettent en cage”.

Et comment modifier nos scripts invisibles pour éclater nos limites mentales et avoir de nouveaux résultats.

Donc si t’as lu jusque là, j’ai un truc à te demander :

Ça m’a pris du temps d’écrire cet article.

Si ça t’a plu, ce serait cool de me le dire dans les coms en me disant ce que t’en as pensé histoire que je continue à t’écrire des articles du genre − ou non ^^ !

Et ce serait bien sympatoche de le partager avec quelqu’un à qui ça pourrait plaire parce que ça permet de toucher plus de monde avec ces idées.

Merci pour ta contribution nuggets !

La bibise,

– Damien

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Voir :Tous les articlesLe dernier article :
pleindetrucs.fr

La loi de Babeul-Razmeul : Cet article te rendra plus fort(e)

Il y a un truc assez monstrueusement puissant :

C’est de réaliser que quoi que tu fasses… au final, tu vas t’en sortir.

Regarde les choses sous cet angle :

Là, t’es en train de lire mon article, le cul posé sur une chaise (ou un canap, ou ton lit, j’en sais rien), et tu respires.

T’es pas en train de crever de faim ni menacé de mort imminente.

Donc même si y’a des trucs chiants dans ta life (tout comme y’en a dans la mienne)… well… tu survis.

Et le soleil se couche, puis se lève de nouveau.

Tout ça…

Tu l’as déjà remarqué (sinon, c’est pas bon signe… et je te conseille d’aller rapido voir un spécialiste du cerveau !).

Le truc un peu plus profond, c’est que “tu survis” peu importe ce qui se passe dans ta journée − à l’exception d’un bus qui te rentre dedans de plein fouet par exemple.

En gros :

  • Tu te lèves.
  • Tu fais des choses.
  • Puis le soir tu te couches.
  • Et tu survis.

On est d’accord ?

Muy bien.

Alors pourquoi je te parle de ça ?

Parce qu’on a tendance à sous-estimer, cette capacité à s’en sortir.

À être OK.

Quoi qu’il se passe.

  • Peut-être que tu vas te péter la jambe.
  • Peut-être que tu vas te faire virer de ton taf.
  • Peut-être que tu vas te séparer.
  • Peut-être qu’on va te voler ton slip.
  • Peut-être qu’un proche va mourir.

Et tout ça, c’est des situations bien moisoches (surtout si on te vole ton slip).

Mais tu vas survivre.

Tu ne contrôles pas tout ce qui peut t’arriver.

Parce que ce qui t’arrive ne dépend pas entièrement de toi.

Et essayer de tout garder sous contrôle, ça te bouffe l’existence.

Comme si tu essayais de maintenir en place un château de carte sur une plage.

Et que tu te débattais pour ne pas qu’il s’écroule.

Alors parfois la brise est légère et tu t’en sors pas trop mal. Et parfois la tempête se déchaîne et tu galères comme un déglingo.

Évidemment, dans cette métaphore, le château de carte c’est ta life, ton quotidien.

Et parfois, dans le tourbillon des jours, t’en arrives à un point où tu ne regardes plus la plage et les alentours. Toute ton énergie est focalisé pour maintenir le château sur pieds.

Et tu fais de ton mieux pour qu’il tienne bien en place.

Pourtant…

Une fois de temps en temps, une bourrasque arrive trop fort et le château part en morceaux et les cartes virevoltent dans tous les sens.

Et quand ça arrive…

Tu réalises…

Que tu survis.

Que le château de carte, c’était juste une illusion.

Tu réalises que ce qui compte, ce n’est pas le quotidien que tu protèges.

Ce qui compte, c’est toi. Qui tu es. Ce dont t’es capable. Et les relations que t’as.

Et lorsque ton énergie n’est plus concentrée à maintenir un système en place, tu peux accueillir l’imprévu.

Lui faire de la place.

Apprécier encore plus ce que tu as.

Ta santé. Tes proches. Ton temps.

Et aller vers où tu veux.

Alors tu regardes la plage.

Et elle est magnifique.

Tu réalises qu’il y a toujours de bonnes choses autour de toi.

Et que le château de carte n’était rien de plus que ça : un château de carte.

Une distraction, une projection idéalisé d’une vie en « sécurité ».

Ceci étant dit, j’aimerais attirer ton attention sur un point…

Et ce point il est tellement important que je vais carrément lui donner un nom : La loi de Babeul-Razmeul (ouaip, j’invente complètement !).

La loi de Babeul-Razmeul stipule que :

Peu importe ce qui se passe. Tu vas t’en sortir.

Et souvent, on minore cette − maintenant fameuse − Loi de Babeul-Razmeul.

Par exemple lorsque l’on ose pas prendre certaines décisions dans sa vie :

  • Quitter un boulot qui nous étouffe.
  • Sortir d’une relation pourrave.
  • Faire le grand voyage dont on rêve.
  • Confronter quelqu’un qui nous fait du tort.
  • Aborder quelqu’un qui nous plaît.

On pense aux conséquences.

On se dit qu’on pourrait “tout perdre”.

Alors la voix de la raison nous dit de ne pas bouger.

De maintenir notre château de carte bien en place.

Et la plupart du temps c’est ce qu’on fait.

Rien.

Et il y a rien de mal à ça.

C’est toujours une option.

Mais ce qu’il faut garder en tête, c’est que peu importe tes actions…

au final, tu vas t’en sortir.

Alors autant croquer l’aventure à pleines dents !

Peu importe le sens que “aventure” à pour toi d’ailleurs.

Babeul-Razmeul life bro’.

Et pour conclure ce billet, j’ai une petite question pour toi :

Si tu savais au plus profond de toi que quoi qu’il se passe, tu allais t’en sortir…

Qu’est-ce que tu ferais aujourd’hui pour réaliser tes rêves ?

Pense au truc qui te fait le plus envie et que tu te dis que tu feras “un jour”.

Et imagine que ce jour, c’est aujourd’hui.

Observe la peur au moment-même où tu émets ces pensées.

Et réalise que cette peur, ce n’est pas un frein. C’est de l’excitation.

Pense à toutes les bonnes choses qui pourraient t’arriver dans le meilleur des cas.

Et fonce dans cette direction.

Parce que même si ça ne se passe pas comme prévu…

Et que tout part en live…

Tu vas survivre.

Et tu en ressortiras plus fort(e).

Babeul-Razmeul style.

Sur ces bonnes paroles…

Je te laisse avec ces pensées et je vais aller me bouffer des tacos.

Parce qu’il commence à se faire tard et que j’ai pas envie de crever de faim.

Si ça t’a plu, partage l’article amig@, ça permet de donner de la voix à ces idées !

La grosse bise,

– Damien

PS: La photo (tout en haut) c’est la vue de ma fenêtre ce matin (toujours au Canaries). Là, il est 20h57. Je viens de finir de mettre l’article en page. Calé dans mon lit. Et oui, j’ai bouffé des tacos.

PS2: Pour m’aider à donner de la voix à la pensée dissidente clique sur les jolis boutons juste en dessous :