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Tu ne peux pas rater ta vie

Aujourd’hui, tu respires.

Aujourd’hui, tu vas faire un certain nombre de choses.

Et c’est très bien comme ça.

Cependant, par moment, il y a un sentiment intense et profond qui émerge et te perce la poitrine.

C’est un sentiment qui te dit que tu pourrais faire quelque chose de mieux de ta vie… que tu ne fais pas les choses comme il faut… que tu rates ta vie.

C’est un sentiment qui fait mal.

C’est aussi un sentiment qui te permet de passer à l’action et d’entreprendre de nouvelles choses.

C’est surtout un sentiment normal.

Concrètement, tu ne peux pas rater ta vie.

Pourquoi ?

Parce que la vie n’est pas quelque chose qui se réussit.

Malgré toutes les débilités qui se répandent à foison sur internet, réussir sa vie, c’est une grosse connerie.

La vie est composée de deux facteurs principaux :

  1. Ce que tu vis au quotidien.
  2. Comment tu le perçois.

L’illusion de réussir sa vie, c’est d’atteindre certains succès extérieurs (bonne vie de famille, succès professionnel, liens d’amitié…) ou atteindre un certain stade intérieur (le bonheur, la paix intérieure, etc…).

En vrai, quelqu’un d’heureux et avec une vie de famille épanouie, ne réussit pas mieux sa vie qu’un être solitaire et méprisé par tous.

Pourquoi ?

Parce que c’est seulement une perception humaine.

C’est une projection de ce que tu penses être bien en fonction des sentiments que tu as expérimentés et observés.

C’est juste la croyance que certaines manières de vivre valent mieux que d’autres.

C’est ton mental qui s’en mêle.

Le simple fait de vivre et de mourir fait partie de la vie.

Sans jugement de valeur.

Ce qu’on fait entre temps n’a aucune importance d’un point de vue absolu.

Prends le temps de mettre tes problèmes de côté. Regarde autour de toi. Écoute. Sens. Tout est exactement comme ça devrait être. C’est parfait.

Ta vie, c’est la cerise sur le gâteau : l’incroyable opportunité d’avoir une place dans cet univers.

Ton cerveau, c’est lui qui te donne autant d’importance au centre de ce gigantesque festival de sensations.

C’est lui qui te dit que ton quotidien devrait être comme ci ou comme ça.

C’est lui qui te donne cette sensation qu’il te manque quelque chose.

En réalité, il n’en a aucune idée.

Tu pourras faire ce que tu veux de ton quotidien, ton mental te dira toujours qu’il faut que tu en fasses davantage.

C’est un cercle vicieux.

Infini.

Tu peux souffrir en écoutant trop ton mental.

Tu ne peux pas rater ta vie.

Le truc, c’est que ton mental peut avoir l’air plus réel que la réalité.

C’est un leurre.

La vie que tu mènes est parfaitement parfaite. Point 1 : Ce que tu vis au quotidien.

C’est le message que t’envoie ton cerveau qui crée le sentiment de mal faire. Point 2 : Comment tu le perçois.

Pour se défaire de cette sensation, il y a deux options qui s’offrent à toi :

  • Adapter ce que tu vis au quotidien pour répondre aux attentes idéalistes de ton cerveau, encore et encore
  • Changer ta perception

La solution qui semble la plus viable sur la durée paraît être la seconde…

Changer ta perception de la vie et du monde…

Comme si c’était aussi facile à faire qu’à dire !

En pratique, changer ta perception de l’existence, c’est quelque chose qui vient avec ton expérience de la vie, en apprenant de tes erreurs.

Le meilleur conseil que je puisse te donner pour te libérer de ce sentiment de ne pas être comme il faut, c’est de l’accepter : accepter qu’il existe et qu’il n’est pas ton ennemi.

Il te permet seulement de te donner des directions dans la vie, pour satisfaire ton mental.

J’ai cru que je serais plus heureux en accomplissant un certain nombre de choses.

C’est faux.

Je pouvais l’être avant.

Faire toutes ces choses m’a simplement permis de le réaliser.

Prendre le contrôle de ta vie, c’est la première étape pour comprendre que même lorsque tu y seras arrivé, ça n’apaisera pas ta quête de sens.

Mais c’est un bon début.

Ça te permettra de passer à la suite.

Ça te permettra d’ouvrir ton esprit.

Ça te rendra davantage conscient.

Ce sera juste une étape.

Pour t’y aider, j’ai écrit toute une série sur le sujet.

J’espère que ça te fera du bien de la suivre :

#PC. Prends le contrôle de ta vie

Ensuite, on pourra parler du bonheur.

Parce que l’idée qu’on nous présente du bonheur c’est n’importe quoi.

Et chercher le bonheur sans comprendre clairement ce que c’est, ça n’apporte aucun résultat.

Ressentir le bonheur ne te donnera pas toutes les réponses à ta quête de sens.

Mais ça devrait t’en approcher.

Et là aussi j’espère que ça te fera du bien de lire ces quelques idées :

#BN. Comprendre et ressentir le bonheur

Note : Le #BN2. sortira la semaine prochaine. Il va mettre un bon coup de pied aux fesses à ta perception du bonheur…

 

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#BN1. Pourquoi tu risques de ne jamais être heureux ?

Ce premier article de la série des #BN, c’est soit un petit électrochoc pour te rafraîchir les idées, soit un coup de foudre de 10000 volts sur le sommet du crâne.

Tout dépend de ton paradigme actuel.

L’objectif, c’est que tu sois bien conscient(e) de la seule base solide sur laquelle tu peux construire ton bonheur.

Sans ça, tu ne seras probablement jamais heureux(se) bien longtemps.

Sans ça, tu n’expérimenteras qu’un bonheur postiche.

Sansa, la pleurnicheuse de Game of Throne.

C’est parti !

 

Tu es responsable de ton bonheur

Ce n’est pas la responsabilité de ton ou ta partenaire, ce n’est pas la responsabilité de tes parents, ce n’est pas la responsabilité de ton travail, ce n’est pas la responsabilité de tes voisins, ce n’est pas la responsabilité de ce qui t’es arrivé quand tu étais petit.

Ton bonheur, c’est ta responsabilité.

« Oui, mais tu connais pas ma vie, ça a été très dur quand mon père a massacré mes 6 frères et sœurs devant moi avec un rouleau à pâtisserie… »

« Oui, mais tu sais pas comme c’est difficile d’avoir été élevé enchaîné dans une cave, obligé de manger des détritus pour survivre, sans voir la lumière du jour jusqu’à mes 18 ans… »

Je sais, je sais, la vie est dure. Davantage pour certains que pour d’autres.

Chacun à notre échelle, on a vécu des événements traumatiques. C’est comme ça.

Je ne dis pas que c’est de ta faute si tu es né dans une famille où tu étais battu, ou si un chauffard bourré t’est rentré dedans et que tu as perdu l’usage de tes jambes, ou dans une moindre mesure si tu étais le vilain petit canard de la famille.

En revanche, c’est ton entière responsabilité de choisir la manière dont tu réagis face à ces situations.

Autrement dit, une fois que tu es en âge de ne plus être totalement dépendant des autres pour survivre (disons à partir de 16 ans en moyenne), tu es responsable de la vie que tu mènes.

Tu es responsable que ton patron te parle comme à une « flâfluh », tu es responsable de ne pas avoir le boulot qui te plait, tu es responsable que ton partenaire ne montre plus d’intérêt envers toi, tu es responsable d’avoir un gros bide, tu es responsable de ne pas avoir d’argent, tu es responsable de t’être fait(e) agressé(e) dans ton quartier, tu es responsable de vivre chez papa et maman à 30 ans, tu es responsable de ne pas rencontrer quelqu’un, tu es… responsable.

De la même manière, tu es aussi responsable de toutes les choses positives que tu as intégrées dans ton quotidien.

Tu n’es pas responsable des événements qui se produisent, mais tu es responsable de la manière dont tu y réagis.

Ce sont tes réactions à ces événements qui déterminent la vie que tu mènes.

Pour te donner quelques exemples, voilà quelques réactions responsables aux situations précédentes :

Tu es responsable de ne pas avoir le boulot qui te plait.

Réponse de fuite : « Oui, mais c’est un secteur bouché, c’est super difficile. J’ai fait tout ce que j’ai pu. »

Réponse responsable : « Je sais que c’est très dur, il existe cependant des personnes qui font ce métier, il faut que je progresse pour y arriver, probablement en observant ceux qui savent comment faire, c’est une question de temps. »

Tu vois la différence ?

Un autre exemple :

Tu es responsable que ton partenaire ne montre plus d’intérêt envers toi.

Réponse de fuite : « Oui, mais pourtant je fais tout ce que je peux pour lui plaire, je ne le/la contrarie jamais, je suis super attentionné(e) et je n’ai rien en retour »

Réponse responsable : « Il faudrait que je lui dise ce qui me fait souffrir dans notre relation pour qu’on trouve ensemble une solution. Peut-être que notre relation peut être sauvée ou peut-être qu’elle arrive à son terme. »

Et un troisième exemple pour la route :

Tu es responsable de ne pas avoir d’argent.

Réponse de fuite : « Oui, mais c’est super dur de trouver un travail, j’ai déjà tout essayé. Puis il y a mon loyer à payer, ma voiture, mon téléphone portable. »

Réponse responsable : « J’avoue que je dépense énormément d’argent dans les soirées au bar/ma voiture/l’électronique/les produits de beauté/etc… et niveau travail, il n’y a qu’une chose que j’ai envie de faire et je ne fais pas vraiment d’effort pour apprendre autre chose. »

Bon, je crois que vous voyez l’idée.

Évidemment, devenir responsable, ça fait mal au *fallafel rebondis*.

Ça met une claque à l’estime de soi : tout d’un coup, ce n’est plus la faute ni des autres ni de pas de chance, c’est ta responsabilité.

Et même si ça te blesse, c’est la meilleure chose qui puisse t’arriver, parce qu’une fois que tu prends la responsabilité de ce qui t’arrive, tu as le pouvoir d’y agir dessus.

Ça me rappelle ce que disait mon vieux pote Platon au barbecue la semaine dernière :

« Si tu fais en sorte qu’atteindre le bonheur dépende de toi et pas des autres, tu as adopté la meilleure attitude pour vivre une existence heureuse. »

Prendre la responsabilité de ce qui t’arrive, ça veut dire que tu es libre de changer de stratégie sur ce qui te pose problème.

Tu n’as pas d’argent ? C’est que ta stratégie sur ce point n’est pas bonne.

Tu attires les relations de couple dysfonctionnelles ? C’est que ta stratégie sur ce point n’est pas bonne.

Tu es la bonne poire à ton boulot ? C’est que ta stratégie sur ce point n’est pas bonne.

À partir de là, et seulement à partir de là, tu peux commencer à construire ton bonheur.

Tant que tu n’auras pas pleinement réalisé que tu es responsable de la manière dont tu réagis aux situations auxquelles tu es confronté(e), tu seras trimballé comme une poupée de chiffon aux grés des pérégrinations et des facéties du destin.

Prendre consciemment tes responsabilités pour ce que tu vis, c’est la base pour construire un bonheur durable et solide.

Et ça, c’est la base.

C’est juste la base.

Chaque #BN va être de plus en plus intense.

La série sera remplie de réflexions – très différentes et pourtant corrélées – sur un vaste champ de perceptions.

Ces idées, les unes interagissant avec les autres, donneront un tableau d’ensemble émotionnel au delà de la logique cartésienne pour appréhender le bonheur d’une nouvelle manière. Plus tangible. Plus parlante. Plus humaine.

L’objectif est que tu puisses réaliser, avec une clarté que tu n’avais peut-être jamais envisagé, comment être heureux(se) de la manière la plus sensible et la plus sensée.

La prochaine fois, on va s’attaquer à du très lourd aussi : ta place par rapport aux autres.

Ça va chauffer !

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#BN. Le bonheur, ça te dirait d’essayer ?

Si tu cherches à être heureux(se) à tout prix, il y a de bonnes chances que tu ne le sois jamais. Paf ! Dans les dents !

Pourquoi ?

Parce qu’il faut bien comprendre ce qu’est le bonheur et comment il fonctionne.

Puis il faut réaliser que la recherche du bonheur est une chose très différente du bonheur.

Comment je peux être heureux(se) alors ?

Bin c’est facile : Lire la suite…

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#PC7. Le niveau 1

Le niveau 1, c’est la base.

C’est l’ensemble des compétences qui me semblent nécessaires pour ne pas dépendre totalement de votre environnement.

À partir du niveau 1, vous avez le bagage technique pour prendre votre vie en main.

Ça ne veut pas dire que vous serez plus heureux pour autant. Ça veut simplement dire qu’à partir du niveau 1, vous arrêtez de subir votre existence et vous pouvez créer votre propre aventure. Et ça, c’est le début du bonheur biatch !

Donc le niveau 1, c’est un niveau que j’ai inventé histoire de vous donner un référentiel où vous pouvez évaluer ce que vous avez appris dans la série des #PC.

Voyez-ça comme une checklist de compétences à maîtriser.

Et vu que le fait de lister des compétences, ça ne va pas vous dire grand-chose, je vais traduire l’expression de celles-ci en situations réelles.

Par exemple, au lieu de dire « être téméraire », je vais dire « avoir combattu un tyrannosaure rex à mains nues ».

Bon… heureusement, la témérité ne fait pas partie des compétences du niveau 1.

L’objectif de cet article, c’est de vous permettre de vous situer par rapport à ce niveau.

Note pour les pleurnicheurs : Bien sûr, il s’agit d’un niveau subjectif, ce n’est pas un jugement absolu de valeurs : simplement une liste de choses qui me semblent déterminantes dans votre capacité à contrôler votre existence. 

Voyez où vous en êtes.

 

1. Tenir une habitude 30 jours

C’est le minimum. Vous reconnaîtrez ici un aspect que l’on a déjà abordé : la discipline. À laquelle on peut ajouter une touche d’indépendance parce qu’il n’y aura pas forcément quelqu’un pour vous tenir la main.

Sans discipline, vous ne pourrez probablement jamais réaliser quoi que ce soit de consistant.

Aucun grand projet ne se réalise en une après-midi. Ni en une semaine d’ailleurs.

Et ceux qui arrivent à réaliser de grandes choses en si peu de temps ont travaillé pendant des années pour en être capables.

Mon petit cousin, Picasso, disait un truc du genre :

« Faire ce crobard m’a pris 5 minutes mais j’ai dû apprendre pendant 30 ans pour pouvoir le faire. »

Ça c’est de la discipline, de la consistance. Bien joué zinc !

Et 30 jours, c’est vraiment un minimum.

Vous ne créerez pas votre business en un mois. Vous ne ferez pas le tour du monde en 15 jours. Vous n’apprendrez pas le piano en trois heures.

Voici des exemples de cas concrets où vous pouvez évaluer votre discipline :

  • Aller au moins une fois par semaine et de votre propre chef dans un club (de sport, d’échecs, sandwich, etc…) pendant un an sans jamais – ou presque – louper un entraînement
  • Faire des pompes chaque jour aux mêmes horaires pendant un mois, peu importe la quantité
  • Écrire quotidiennement (que ce soit pour le plaisir, pour rédiger un devoir, un mémoire ou une thèse…)
  • Suivre un rythme de sommeil polyphasique pendant au moins un mois. Spécial dédicace.

Bref, tout ce qui implique de répéter une action qui demande un certain effort pendant plus de 30 jours.

Auto-évaluez-vous sur 10 points. 10, vous êtes ultra persévérant. 0, vous n’avez aucune consistance. Soyez honnêtes envers vous-même.

 

2. Être balèze dans un domaine

Si vous voulez vous balader dans la vie, cela implique que vous ayez au moins une compétence de haute valeur que vous pouvez utiliser comme levier.

Peu importe la compétence, il faut que vous la maîtrisiez et que vous puissiez en faire un argument de change.

L’exemple le plus évident est la spécialisation scolaire. Si vous avez fini vos études de médecine, vous avez une grosse compétence à utiliser. Idem si vous êtes garagiste, prof de yoga ou avocat.

Ça peut aussi être une compétence que vous avez développée par vous-même : comme le chant, le dessin, ou n’importe quel métier d’ailleurs.

Par exemple : je vends régulièrement des sites internet (réponse à une demande) et j’ai appris à en faire sur le net (domaine de compétence) avec des tutos. Entraînement : 8 à 10h par jour dans mon coin pendant un bon gros mois. Discipline ?

Pour atteindre le niveau 1, il faut que vous maîtrisiez un domaine de compétence pour lequel il y a de la demande.

Voilà quelques exemples :

  • Vous êtes prof de danse
  • Vous êtes comptable
  • Vous savez démonter et remonter un moteur de moto
  • Vous parlez couramment français, anglais, espagnol, italien et molambaquais
  • Etc…

Bref : vous maîtrisez un truc que les gens veulent.

Auto-évaluez-vous. Sur 10. Vous avez compris le principe.

 

3. Affronter les conversations cruciales

Vous aurez beau être archi-compétent(e) dans n’importe quel domaine, si vous n’arrivez pas à faire face aux discussions qui peuvent avoir le plus d’impact dans votre vie, ça ne vous mènera pas loin sur la voie de l’indépendance.

Que ce soit pour trouver votre chemin au milieu d’une grande ville bondée dans un pays d’Asie du sud-est, demander un congé à votre patron ou inviter à sortir une personne qui vous plaît, parler aux gens quand cela est nécessaire est une compétence primordiale.

Certains me diront qu’on peut très bien s’en sortir sans. Losers !

Et bien sûr qu’on peut s’en sortir sans ! On peut passer sa vie sans affronter volontairement une conversation importante et essayer de se faire entraîner le moins souvent possible dans des échanges de ce genre.

Mais là on parle du niveau 1 : être libre d’aborder qui vous avez envie sur le sujet que vous avez envie, quand vous en avez envie, ne pas subir vos rencontres et vos discussions comme un pantin.

Ça ne veut pas dire que vous devez systématiquement avoir des conversations cruciales avec tous les gens que vous croisez, seulement que vous en êtes capable.

Quelques exemples :

  • Si vous êtes célibataire, être capable d’aborder quelqu’un qui vous plaît et l’inviter à sortir. Ça ne veut pas dire que vous devez l’épouser… juste que vous soyez capable de lui parler et d’enchaîner avec une conversation !
  • Si vous êtes en couple, être capable d’exprimer clairement à l’autre ce que vous ressentez quand quelque chose dans votre relation vous trouble depuis un certain temps.
  • Être capable d’entamer une conversation avec une personne qui vous intimide parce qu’elle pourrait avoir un impact sur votre quotidien : un client qui pourrait vous rapporter de l’argent, un expert qui pourrait vous aider à développer votre activité, votre patron pour avoir un congé, votre papa pour abandonner vos études d’ingénieur et devenir danseur(se) classique…
  • Être capable d’intégrer un groupe de personnes que vous ne connaissez pas pendant un évènement (soirée, meeting, rassemblement…) et rester dans ce groupe plus d’une heure.

Avoir une conversation cruciale, c’est probablement l’un des points du niveau 1 qui demande le plus de courage.

L’objectif est que vous soyez capable d’avoir les conversations qui peuvent avoir une grande influence dans votre vie.

Et pour ça, il faut que vous vous familiarisiez avec cette peur intense, cette vulnérabilité qui vous étreint le cœur juste avant de vous risquer dans un échange que vous ne contrôlez pas du tout. Vous pouvez être rejeté, détruit… enfin… vous en avez l’impression ! Tremblez mortels !

Le truc, c’est que ce coup de flip ne s’en va jamais vraiment. C’est juste qu’à un moment, vous vous dîtes que vous le connaissez… et vous constatez que vous avez survécu.

J’ai eu des centaines de conversations cruciales. Que ce soit pour quitter mon boulot, développer mes activités, contacter des clients, expliquer mes choix à mes proches, rencontrer des gens. J’ai vexé des tas de personnes, je me suis disputé, je me suis fait ignorer, rejeter, insulter même, je me suis fait des alliés, des amis. J’ai appris énormément de choses. J’ai embrassé ma peur. J’ai survécu.

En ayant ces discussions importantes, vous allez améliorer votre réponse émotionnelle, votre expression orale, votre langage corporel, votre compréhension des autres.

Pour évaluer votre niveau sur ce point, confrontez-vous à une conversation de ce type aujourd’hui (ou demain si vous lisez ça avant de vous coucher !) et jugez de votre capacité à exprimer clairement votre opinion. Faites-le, vraiment, de votre propre chef, ne croyez pas que vous en êtes capable parce que vous l’avez déjà fait « un jour », c’est peut-être l’autre qui vous avait entraîné dans cette discussion !

Notez-vous sur 10.

 

4. Acceptez votre unicité

C’est simple : le chemin vers la vie dont vous avez envie est unique. C’est le vôtre, pas celui de quelqu’un d’autre. Ça vous rappelle quelque-chose ?

Partant de cette constatation, en vivant votre propre aventure, il y aura des moments où vos aspirations divergeront de celles des autres.

Ne vous laissez pas arrêter par ce détail !

Une des prisons qui pue le plus du *clafitérol bourbon furax* est la pression des pairs.

Par exemple si votre bande de potes veut devenir architecte dans le limousin et que vous voulez être dresseur de bidets en Autriche, il faut faire un choix.

Quel que soit ce choix, ce n’est ni bien ni mal. Vous pouvez suivre les copains si vous en avez envie.

En tout cas, pour atteindre le niveau 1, il faut faire le choix d’écouter votre propre idéal et de le suivre.

Ça ne veut pas dire ignorer les désirs de votre entourage, ça veut dire faire primer les vôtres, quitte à parfois faire des compromis. Certains peuvent appeler ça de l’égoïsme.

Votre identité, assumez-là à tous les niveaux :

  • Soyez capable de refuser une invitation à une soirée, une sortie ou une demande de service, de travail supplémentaire sans vous justifier outre-mesure. Par exemple avec un simple « Désolé, je ne vais pas venir/le faire. » Bim ! Posage de *canelonouilles*
  • Pendant une soirée, tous vos amis font un truc et vous pensez que c’est naze : ne le faites pas. Fumer, boire, prendre un risque, etc…
  • Vous êtes intéressé par un sujet et vous ne connaissez personne que ça stimule : commencez à approfondir vos connaissances à ce propos par vous-même. Allez dans un club de curling, prenez un cours de chant, allez dans un festival de bridge, etc…
  • Vous voulez faire une activité et personne de votre connaissance n’est partant : faites-là quand même. Allez dans ce nouveau restau, allez voir ce film au ciné, allez sauter en parachute, etc…

Ce point demande un peu de pratique. Mais rien d’insurmontable.

Si vous avez perdu votre faculté à penser par vous-même et que l’essentiel de vos activités se passent en autopilote avec les mêmes personnes depuis le collège, ça va être un peu plus dur.  Idem si vous vous êtes retrouvé à faire votre métier parce que vous avez suivi vos potes de l’époque. Dans ces cas-là, on se réveille, on se met une petite claque au popotin, on relit le #PC4 et on commence à vivre sa propre vie, parce que personne ne va la vivre à votre place.

Note sur 10. Suite.

 

5. Petite liste de choses à valider

Et pour valider ce niveau 1, voilà un petit florilège de choses qu’il faut être capable de faire en plus de tout ça :

  • Pouvoir organiser une sortie entre amis de plus de six personnes. Organisation, leadership.
  • Faire une rando de 10km dans la montagne. Santé, endurance.
  • Avoir eu au moins une relation de couple. Relation, séduction.
  • Être parti au moins un mois à l’étranger. Ouverture d’esprit.
  • Être allé seul pendant au moins deux jours et de votre propre chef dans un endroit où vous ne connaissez personne. Indépendance, adaptabilité.

Évaluez-vous sur 10. Deux points par point, easy.

 

Et voilà pour le niveau 1. Pour l’atteindre, il faut que vous ayez un minimum de 8 points dans chaque partie de l’article.

À partir de là, on passe aux choses sérieuses.

Une fois que vous savez faire tous ces trucs, vous allez pouvoir passer le turbo.

Le niveau 1, c’est surtout le niveau du réveil : vous avez le pouvoir de construire votre vie idéale. Ce n’est pas un niveau particulièrement spirituel ou difficile à atteindre. Ce sont les fondations pour passer à la suite.

Vous pouvez voir ça comme ça :

Un lion dans la savane, il peut se balader tranquillement.

Une souris, si elle se balade tranquillement dans la savane, elle se fait bouffer.

Le niveau 1, c’est l’ensemble des compétences pour devenir un lion dans la jungle urbaine.

Ça vous donne une longueur d’avance pour être tranquille.

À ce niveau-là, vous n’êtes plus à la merci de votre environnement.

Vous n’avez plus à vous cacher, suivre, et subir pour survivre.

Vous marchez tête haute, le vent dans votre crinière, d’un pas puissant bien ancré dans le sol, prêt à écrire votre propre histoire.

Une fois que vous serez un lion, il sera temps de réveiller le dragon.

Ça va barder.

Bienvenue dans le nouveau monde.

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#PC6. Votre arsenal pour embrasser le monde

On arrive à la fin de la série des #PC…

…et les #PC, c’est juste le point de départ de l’aventure. La base quoi. C’est après, dans le nouveau monde qu’on va développer des concepts vraiment costauds.

Alors voici le dernier article, et pas des moindres, avant de vous confronter au terrrrrible niveau 1. Le niveau qui me semble nécessaire pour commencer à vraiment prendre le contrôle de son existence.

L’objectif de cet article, c’est de vous permettre de développer un arsenal de trois capacités primordiales pour construire la vie dont vous avez envie : l’indépendance, la discipline, la priorisation efficace.

On va donc passer au microscope chacune de ces compétences pour évaluer leur importance, identifier comment elles peuvent impacter votre vie, et surtout voir comment vous pouvez vous les approprier.

Aussi, je sais bien qu’à chaque fois, je mets l’accent sur l’importance des compétences dont je parle… Mais je pense que pour avoir des résultats dans votre quotidien, elles le sont !

En pratique, c’est à vous de voir l’importance que vous voulez y accorder.

Je vous invite donc à prendre les trois compétences qui suivent en haute considération si vous voulez constater des changements effectifs dans votre quotidien. Ready ?

7, 4, 3, 1, paf, c’est parti !

 

L’indépendance

L’indépendance, en mon sens, c’est votre capacité à agir par vous-même dans la direction qui vous sied (#PC4).

L’indépendance, ça ne veut pas forcément dire agir tout seul non plus. Ça veut surtout dire : être capable d’agir sans que quelqu’un d’autre vous accompagne à chaque étape.

L’indépendance, c’est quand vous pouvez entreprendre une action de votre propre chef sans attendre qu’une tierce partie l’amorce.

En cela, ma définition de l’indépendance rejoint celle de prise d’initiative. Je préfère le terme d’indépendance parce qu’il apporte aussi une notion de continuité : une succession de prises d’initiatives en somme.

Au risque de ne pas être encore suffisamment explicite : le rôle de l’indépendance, c’est de vous donner la capacité de ne pas dépendre d’autrui pour agir sur votre vie. In-dépendance… on est bien d’accord !

Sans indépendance, votre existence est totalement assujettie à des causes et des personnes extérieures.

Sans indépendance, vous n’êtes pas en charge de votre vie.

Si vous n’êtes pas habitué, l’indépendance fait peur. Elle implique de tracer votre propre chemin. De sortir des sentiers battus. Toujours avec courage. En fonction de ce qui compte pour vous.

L’indépendance par exemple, c’est d’être la seule ou le seul parmi vos potes à ne pas fumer. De ne pas aller à une soirée qui ne vous fait pas envie alors que vos amis y vont. D’aller prendre des cours de chant quand votre famille pense que c’est super ringard.

L’indépendance, c’est d’être capable de faire passer en priorité vos aspirations, même quand votre entourage et votre contexte paraissent contre.

Ça demande un brin d’égoïsme et une grande dose de caractère.

Devenir indépendant(e), ça vous permet de ne pas vous contenter de votre instinct grégaire. Ça vous permet d’avancer dans la direction qui vous convient. Ça vous permet de ne pas subir passivement votre environnement.

Rendez-vous en fin d’article pour quelques exercices.

On poursuit avec…

 

La discipline

La discipline, c’est le nerf de votre réussite.

La discipline, c’est ce qui fait que vous surmonterez tous les obstacles qui se dresseront sur votre route.

La discipline, c’est ce qui va, avec le temps, déterminer votre quotidien.

La plupart des changements profonds d’un comportement n’arrivent pas par une action isolée (sauf peut-être par des actions vraiment traumatiques… certes… mais on va éviter !).

De cette manière, il faut répéter une action pour qu’elle devienne automatique. C’est une sorte de reconditionnement calculé.

Par exemple, prenons quelqu’un qui se considère super timide et qui n’ose pas parler aux gens. Si cette personne se met à aborder un inconnu par jour pendant une semaine, puis trois par jour la semaine suivante puis dix par jour la semaine d’après pour se stabiliser à 15 inconnus par jour pendant toute une année : pourra-t-on encore considérer qu’il s’agit d’une personne timide ?

Au passage, je développe cette idée des caractéristiques personnelles de votre identité ici, si vous voulez en lire davantage à ce sujet.

Le rôle de la discipline, c’est de respecter les engagements que vous prenez envers vous-même.

La discipline, entre autre, c’est ce qui fait qu’après une grosse soirée, je me lève en silence à 6h du matin alors que mes amis sont éparpillés sur des matelas dans le salon de mon appart pour vous écrire un article !

Grâce à la discipline, vous prenez les habitudes qui vont vous permettre de construire la vie dont vous avez envie. Progressivement. Avec de plus en plus d’assurance.

C’est bien beau d’avoir déterminé un programme progressif pour atteindre vos objectifs, mais s’il vous faut trois mois pour les atteindre et que vous vous arrêtez au bout d’une semaine, ça ne sert pas à grand-chose.

C’est là où la discipline entre en jeu.

Comme pour l’indépendance, on se retrouve en fin d’article pour quelques exercices.

 

La priorisation efficace

Prioriser, c’est le fait de donner un ordre d’importance aux choses.

La priorisation efficace, c’est votre capacité à agencer vos actions de manière à atteindre vos objectifs de manière optimale.

La priorisation efficace, c’est être capable de reconnaître les choses qui auront le plus d’impact positif dans votre vie puis d’y agir dessus en premier.

Prenons un exemple : vous devez rédiger un rapport de 6000 mots sur le parallélisme des pattes de chouette. Vous avez 8 jours.

Une manière de prioriser serait de vous renseigner sur le sujet pendant 6 jours puis de rédiger comme un malade les deux dernier jours.

Une autre manière serait de vous approprier le sujet le premier jour en identifiant une problématique intéressante, commencer à rédiger l’introduction et établir un plan le deuxième jour, approfondir vos recherches chaque jour et écrire environ 1000 mots par jour, faire relire régulièrement votre avancement à des personnes qualifiées, prendre le dernier jour pour apporter des finitions, sans stresser.

Il existe bien entendu des tas d’autres manières de prioriser : prioriser, ça veut simplement dire faire passer certaines choses avant les autres. Tout le monde priorise. La difficulté consiste à BIEN prioriser. De manière efficace.

Et bien prioriser, ça se mesure en fonction du résultat obtenu. Dans notre exemple : niveau de stress, satisfaction, qualité du rapport, etc…

De cette manière, si vous devez avoir une conversation importante avec votre partenaire, jouer 4h à Canty Trush ou regarder l’intégrale de Mexter n’est peut-être pas la meilleure manière de prioriser : ça ne va pas faire avancer la situation d’un iota.

Le rôle de la priorisation est de vous permettre de ne pas errer indéfiniment pour atteindre vos objectifs.

Bien prioriser vous permet d’obtenir des résultats de manière efficace.

Pour reprendre, notre exemple de la personne super timide qui n’ose pas parler aux gens. Si cette personne passe un an à lire des ouvrages sur la timidité, cela sera probablement beaucoup moins efficace que d’aller parler à une personne aujourd’hui même : très mauvaise priorisation.

Développer votre capacité à prioriser efficacement, c’est l’un des paramètres clés pour obtenir des résultats rapidement dans votre quotidien.

Cette capacité, c’est la troisième et dernière de ce sixième #PC.

Les exercices arrivent.

Ça va chauffer !

 

Exercices

1. Il est beau, il est frais, sortez votre carnet !

 

2. Indépendance : Notez des choses que vous avez envie de faire. Aller voir le dernier film de Mill Smith, sauter en parachute, inviter votre collègue de bureau à sortir, etc…

Faites l’une de ces choses. Sans attendre que quelqu’un vous le propose ou vous accompagne.

Allez au cinéma, allez tout(e) seul(e) prendre un cours de yoga, prenez une décision (de l’importance que vous voulez) entièrement par vous-même, etc…

Notez vos résultats sur le carnet. Émotion déclenchée, satisfaction, difficultés, etc…

Le but de cet exercice est simplement de vous prouvez que vous n’êtes pas dépendants des autres… il reste à en faire une habitude.

 

3. Discipline : Fixez-vous de répéter une action pendant 30 jours.

Choisissez cette action en fonction de ce qui compte pour vous. #PC4

Prenez un engagement dans votre carnet. Notez bien vos motivations et les résultats que vous escomptez.

Par exemple pour entraîner votre indépendance, décidez de faire chaque jour une action en dehors de votre zone de confort de votre propre chef. Le résultat visé pourrait être : ne plus avoir peur de faire des choses sans les autres.

Si vous voulez prendre du muscle, décidez de faire au moins 10 minutes de sport (ou plus hein !) au levé chaque jour. Exemple de résultat visé : être capable de faire 20 pompes consécutives.

Si vous voulez perdre du poids, décidez de ne pas manger de sucreries pendant ces 30 jours. Résultat visé : perdre 3kg.

Chaque semaine, notez vos progrès dans le carnet.

Le but de cet exercice est d’augmenter votre capacité à tenir vos engagements.

Note : pour cela, pensez à vous répéter la raison pour laquelle vous avez pris ces engagements en premier lieu. Et surtout, surtout, ne vous reposez jamais sur l’excuse : « Orf, de toute façon, j’en n’avais pas tellement envie. » Même si vous le pensez sur le moment, vous vous plantez un couteau dans le dos et vous retournez à votre point de départ.

La discipline, c’est la compétence qui transforme vos ambitions en réalité.

Si vous échouez dans cet exercice, recommencez avec un objectif moins contraignant. Exemple : deux minutes de sport par jour au lieu de dix. Pas de sucreries après midi. Etc…

Faites ainsi jusqu’à ce que vous teniez une nouvelle habitude pendant 30 jours.

Notez vos résultats.

Et hop, on passe à la suite !

 

4. Priorisation : Vous avez donc obtenu des résultats.

Que ce soient des succès phénoménaux ou des échecs cuisants, ce sont de nouvelles données à prendre en compte. Et ce sont d’excellentes informations !

Analysez ces résultats et comparez-les avec vos résultats visés.

À partir de là, ayez un retour constructif sur votre expérience : est-ce que vos actions étaient bel et bien adaptées au résultat que vous escomptiez (courir une minute par jour pour préparer un marathon) ? Est-ce que l’objectif était réellement envisageable (courir le 100 mètres en moins de 10 secondes d’ici le mois prochain) ? Comment pourriez-vous modifier vos actions quotidiennes pour vous rapprocher de vos ambitions (m’entraîner 12h par jour pendant 10 ans) ?

Prenez bien le temps de faire quelques projections. Établissez un nouveau planning pour atteindre vos objectifs dans un délai qui vous semble réalisable. Si votre objectif est trop grand, divisez-le en plusieurs sous-objectifs.

Notez le fruit de vos réflexions dans votre carnet.

Ensuite, notez un objectif à atteindre à une date. Écrivez l’habitude que vous devez mettre en place pour que cet objectif soit atteint. Dans votre journée, faites en sorte de donner la priorité au bon déroulement de cette action.

Chaque semaine, évaluez et notez votre avancement. Modifiez votre routine au besoin.

Continuez d’expérimenter. Avec le sourire. En y prenant du plaisir.

 

5. Pour apprendre encore mieux à prioriser, je vous invite aussi à lire le best seller de David Allen :  S’organiser pour réussir (Getting Things Done ou GTD en anglais).

Le bouquin, même s’il est assez complexe à appliquer dans son intégralité présente des techniques franchement géniales pour prioriser.

C’est clairement un de mes livres préférés et je vous le recommande chaudement.

Prioriser, c’est la compétence qui va vous permettre de vraiment avancer.

C’est la compétence qui va vous apprendre quelles actions auront le plus d’effet sur votre réalité.

C’est comprendre entre autre comment appliquer la loi de Pareto (le principe 80/20).

C’est enlever toutes les actions superflues et inutiles qui vous donnent parfois la fausse impression d’être productif quand vous brassez du vent.

Ça ne s’acquiert pas du jour au lendemain. Ça demande de l’indépendance. Ça demande de la discipline.

Tout est lié.

 

Et voilà qui conclut la série des #PC.

La prochaine fois, pas de chichi, on posera le niveau 1 comme il se doit.

Pas de fioritures ni d’enjolivures.

Des faits, des constats.

Ce que vous pouvez faire et ce que vous ne pouvez pas.

Vous avez toutes les clés dans les #PC.

C’est à votre tour de jouer.

On va bientôt changer de catégorie.

Soyez préparé…

Mwahahaha !

 

Note : Pensez à vous abonner à la newsletter pour être tenu informé. Et si vous avez des questions, des remarques ou que vous aimeriez que je précise certains points, faites m’en part dans les commentaires et je ferai de mon mieux pour y répondre dans un article consacré !