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7 trucs qui se passent quand tu vis hors du métro-boulot-dodo

pleindetrucs.frOn va pas se bercer d’illusions…

Même si « techniquement » on peut tous y arriver.

C’est pas un mode de vie pour tout le monde.

Pourquoi ?

Parce que ça chamboule furieusement le modèle standard de « la vie normale » qu’on nous a fait bouffer depuis qu’on est gamins.

C’est pas mieux ou moins bien. C’est juste différent.

Pour les fervents défenseurs du status quo, c’est le gros coup de flip…

Mais pour les gens comme nous – ceux qui rentrent pas dans le moule et qui ont soif de liberté – c’est la terre promise :

La vie hors du métro-boulot-dodo.

Alors accroche tes bretelles moussaillon, ça va zooker !

1. L’océan de possibilité

Le premier truc qui t’assaille quand tu es libre du métro-boulot-dodo…

C’est que personne ne te dit quoi faire de tes journées.

Tu te lèves quand tu veux. Tu fais ce que tu veux. Tu vas où tu veux.

Avec tous les avantages et inconvénients que ça confère.

Et ça engage une bataille épique entre nos voix intérieures.

D’un côté, t’as le gardien du status quo qui défend ses positions. Et de l’autre, t’as l’aventurier de la liberté qui imagine de ce que la vie pourrait être.

Donc t’as le gardien du status quo qui te dit des trucs comme ça :

Défenseur du status quo

M’enfin, mais… mais c’est risqué quand même. T’imagines ? Si t’as pas d’emploi, si tu vas pas au travail tous les jours, tu sais pas combien tu vas gagner à la fin du mois. Puis faut s’organiser du coup. Je sais pas toi mais moi, si j’avais pas de structure, je crois pas que j’arriverais à bosser !

Et t’as l’aventurier de la liberté qui répond :

Aventurier de la Liberté Je te comprends mon ami ! Tu deviens responsable de ton emploi du temps et de tes finances et ça peut être flippant. Mais regarde : t’as la possibilité de faire ce que tu veux ! T’es libre de bosser ou de ne pas bosser. T’es libre de créer quelque chose qui a du sens pour toi et qui peut aider les autres. T’es plus obligé de te pointer au taf 8h par jour à faire ce qu’on te dit de faire. Et avec cette opulence d’autonomie, t’es enfin libre d’utiliser ton temps de vie pour expérimenter tout ce qui te chante !

2. Responsabilité max

Vu que c’est toi qui choisis ce que tu fais…

…t’es responsable des résultats que t’obtiens.

Les gardiens du status quo peuvent se planquer derrière leur patron et les blâmer quand tout ne se passe pas comme ils le veulent.

Mais quand t’es libre du métro-boulot-dodo, tu peux pas ^^ C’est à toi de te bouger le *rododinboule* pour gagner ta pitance.

Du coup faut gérer la pression des périodes creuses (notamment la période où tu te lances !) et avoir une foi énorme en ce que tu peux faire !

3. Les vies non-vécues

Puis il se passe un truc subtil…

Tant que t’as un taf d’employé, tu te poses pas trop de questions : tu te lèves, tu vas au boulot, et t’es pas obligé de réfléchir beaucoup plus que ça.

Mais quand c’est toi qui décides de tout, tu te retrouves à REJETER un tas d’options.

Et si tu choisis d’aller quelques mois au Japon (parce que tu peux), tu fais aussi le choix de ne pas rester proche de ta famille pendant cette période (sauf si… well… ta famille habite au Japon hein…).

Pareil si tu choisis de t’installer quelques années au Viêtnam ou aux Canaries.

En fait, tu fais consciemment le choix de ne pas poursuivre des tas d’options.

Et pour les gardiens du status quo, c’est horrible de faire autant de choix ! Ils ont l’impression de passer à côté d’un tas de choses. Alors ils préfèrent ne pas trop y penser. Parce qu’ils aiment avoir un cadre. Et ils préfèrent limiter leurs décisions à la marque de la voiture qu’ils vont acheter ou au plat qu’ils vont choisir au resto.

Mais pour nous… c’est de l’excitation en barre ! Toutes ces vies non-vécues, on a choisi de ne pas les vivre. On ne s’est pas laissés portés passivement par le courant de la « normalité » : et si on est là où on est, c’est parce qu’on a voulu explorer activement cette voie-là 😀

4. L’argent va et vient

Avec ton business, tes investissements et tous ces trucs

Parfois tu gagnes un max. Et parfois tu gagnes que dalle.

Ça dépend aussi de ton état d’esprit du moment et des efforts que tu mets dedans.

De temps en temps, t’as envie de bosser comme un dingue à coup de 12h par jour parce que t’es passionné(e) par un projet. Puis t’as envie de te la couler douce sous les cocotiers pendant quelques semaines avec les gens que t’aimes.

Donc tu fais un peu selon l’envie.

Tu n’es plus « abonné(e) » à un salaire fixe (à part les loyers qui tombent quand t’as de l’immobilier) : t’as des mois de vache maigre et des mois d’abondance furibarde où tu renfloues les caisses pour un bon moment ^^

Et t’apprends à gérer ton fric en fonction.

5. Nouvelles références

Tu oublies que la plupart des gens dans le monde utilisent un réveil pour se lever avant d’aller au boulot… et qu’ils y passent environ 8h… quasiment tous les jours… et tu te demandes avec empathie comment ils supportent des contraintes pareilles !

Puis parfois… tu les envies d’avoir un mode de vie aussi simple : il leur suffit de se pointer au boulot, et même s’ils font un travail « passable » ce jour-là, ils auront leur paye à la fin du mois. C’est un luxe que tu ne peux pas te permettre ^^

Tu as une liberté énorme et des possibilités virtuellement infinies mais tu dois gérer tes priorités tous les jours !

6. Grands yeux ébahis ou froncement de sourcils

Quand tu expliques ce que tu fais au gens, les réactions sont généralement de deux ordres :

  • Grands yeux ébahis : tu sens qu’ils sont intrigués (voire fascinés !) par cette vie hors du métro-boulot-dodo « classique » et que ça les stimule. Ils se demandent s’ils pourraient faire de même (ou tout du moins ils respectent que ça puisse te plaire ^^). Dans ce cas-là, t’as affaire à quelqu’un sensiblement comme nous qui en est à un point différent de son cheminement. Peut-être qu’il/elle passera à l’action ou peut-être pas !
  • Froncement de sourcils interrogateurs : tu sens qu’ils ne voient pas du tout l’intérêt de ce mode de vie sans la sécurité de l’emploi et avec autant de temps libre. Ça leur paraît dingue de vouloir prendre autant de « risques » et ils te regardent comme un(e) personnage de roman de fiction à moitié cinglé(e). Dans ce cas, t’as affaire à un bon vieux défenseur du status quo :-p

7. Les sens exaltés par l’incertitude

C’est peut-être le point le plus important…

Quand tu vis hors du métro-boulot-dodo, tu troques la monotonie de la normalité pour l’excitation du renouveau au quotidien.

En somme, ta vie devient une aventure !

Tes décisions ont plus d’impact. Tes choix et tes actions quotidiennes façonnent ta destinée. Et tout ça te mène vers ton propre idéal.

Le mien, c’est d’être ce que j’appelle un Homme Libre au Repos : me construire une vie avec une abondance de sécurité et où je suis libre de tout mon temps 😀

Chacun a ses priorités, ses rêves, et sa manière de les atteindre.

Certains trouvent leur bonheur dans le confort rigide de la norme… mais pas tout le monde.

Pour d’autres, l’appel de la liberté est trop fort. Et cette liberté ne se trouve pas dans le moule.

Alors on prend la vie à bras le corps et on sort des sentiers battus pour explorer fièrement la vie hors du métro-boulot-dodo.

Comme je le disais au début de l’article, c’est pas un mode de vie pour tout le monde…

Mais pour les gens comme nous, c’est la plus belle manière de dépenser nos années 🙂

Love,

► Damien

PS : Si t’es nouveau(elle) par ici et que ça résonne chez toi, je t’invite à rejoindre la bande amig@ 😉

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L’histoire de ce blog et ce que j’essaye de faire avec

C’était il y a 5 ans. Je revenais d’un an et quelque en Asie du sud-est. J’avais créé une entreprise de jeux-vidéos et j’avais mis pas mal d’argent de côté.

J’avais lu la semaine de 4h et créé une paire de mini-business.

Le monde du blogging avait explosé aux États-Unis et commençait à bien s’implanter en France mais j’y connaissais que dalle à l’époque.

Je louais un appart avec deux amis dans la médina d’Essaouira au Maroc.

PleinDeTrucs.fr

À cette époque, je bossais principalement sur la création d’un jeu vidéo sur mobile (avec un de mes collocs) et je faisais des sites internet.

Concrètement, j’avais trouvé une manière de vivre bien différente du modèle standard qu’on m’avait présenté depuis que j’étais gamin :

Au lieu d’être coincé dans un bureau toute la journée comme je l’étais quelques années auparavant, je pouvais  bouger où je voulais et bosser sur les projets qui me faisaient envie.

J’avais surtout troqué mes longs trajets en bagnole biquotidiens pour des balades au soleil et mon réveille-matin par le chant des oiseaux.

J’adorais ça !

Et quand je pensais au « moi » d’avant, prisonnier d’une routine qui manquait cruellement de sens… je me disais qu’il FALLAIT que j’aide les gens dans ma situation :

Ceux qui croient qu’il y a une autre manière d’utiliser son temps de vie que de se pointer au taf chaque jour et y passer huit heures.

Alors j’ai créé PleinDeTrucs.fr. Histoire de donner un coup de pouce aux personnes en quête de sens, de liberté et de tranquillité d’esprit dans ce monde frénétique.

J’allais leur partager ma philosophie de vie et mon expérience hors des sentiers battus en espérant que mes mots résonnent dans leur propre vie, pour le meilleur.

Donc j’ai commencé à écrire. Comme un cri du cœur. Sans savoir exactement ce que le blog allait devenir. Mais avec l’intention ferme de leur apporter une source de sérénité dans un océan déchaîné de possibilités.

J’ai toujours su que ce blog ne s’adressait pas à tout le monde. Il faut une sacré dose de remise en question pour envisager un mode de vie qui diverge autant des chemins classiques. Mais je savais aussi que ces personnes, ces rêveurs idéalistes tout comme moi, existaient et que personne ne leur accordait suffisamment d’attention.

Alors PleinDeTrucs.fr est né. Et j’ai eu la chance d’avoir rapidement des milliers de personnes qui se sont mises à suivre mes aventures et mes réflexions ! Merci <3

J’y connaissais que dalle en marketing, je faisais tout au feeling et c’était super fun.

Puis les temps ont changé. Le monde du blogging a évolué.

Les blogs de « marketing » ont proliféré et les recettes du succès se sont affinées. À tel point qu’aujourd’hui un tas de gens sont tombés dans leurs pièges et suivent leurs formules standardisées.

Résultat : 50.000 blogs sensiblement identiques naissent tous les jours sur des milliards de sujets. Certains ont des choses intéressantes à dire. Mais les conseils des gros marketeurs ont façonné le langage du web de manière à ce que tout sonne à l’identique. Et c’est chiant.

Ils font tous plus ou moins la même chose. En essayant de crier plus fort. Et en dépensant de plus en plus de fric en pub Facebook.

Alors face à cette cacophonie générale, je me suis demandé quel était le sens de tout ça. Si on pouvait pas faire les choses différemment.

À quoi bon rajouter du bruit dans cet océan de hurlements ?

Alors j’ai pris un peu de recul. J’ai moins publié ces derniers temps. En sortant de ma caverne juste pour partager des choses qui peuvent vraiment parler aux gens comme nous (genre ces articles sur le minimalisme, ma vision de l’indépendance financière et les progrès invisibles) et échanger avec mes clients.

Puis dans ma réflexion, j’ai réalisé quelque chose : cette nouvelle ère du blogging « marketing » ne nous correspond pas… Parce que cette « guerre d’attention » à coup de publicités omniprésentes nous saoule.

Ce que j’ai réalisé aussi, c’est que je n’ai aucune obligation à me conformer à leur mode. D’ailleurs je n’ai jamais écrit pour être populaire.

À la base, j’ai créé ce blog pour aider mes lecteurs à se créer leur propre havre de paix hors de « la vie normale ».

C’est ça qui compte. Et c’est ça que je fais.

Donc en ce moment, je cherche une alternative à ces nouveaux codes qui se sont standardisés.

La solution n’est pas de se retirer pour laisser la place aux géants de la conformité. Nope.

La solution, c’est de continuer le dialogue. Conserver une voix authentique pour toucher les personnes auxquelles le message est destiné.

Du coup je vais continuer d’ignorer cette course à la popularité et rester focalisé sur les personnes que je peux vraiment aider :

À toi qui lit ces lignes et qui veut t’épanouir hors des standards classiques de la société.

Les autres trouveront leur compte ailleurs, et c’est parfaitement ok.

Pour reprendre ma métaphore sur l’océan sonore de possibilité, chacun est libre de choisir qui écouter. Alors je ne vais pas hurler plus fort, je vais continuer de fredonner ma mélodie en me focalisant sur celles et ceux pour qui je l’ai créée.

Puis ils auront le loisir d’y accorder leur attention ou de l’ignorer. C’est leur responsabilité.

Parce que l’attention ne s’impose pas à coup d’interruptions publicitaires dans la vie privée. Elle se gagne quand les gens sont sincèrement intéressés. Et ma stratégie, c’est de partager ma vision du monde à ceux qui peuvent en profiter. Et le faire avec respect.

Alors à bientôt pour de nouvelles aventures my beautiful nuggets,

► Damien

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Bilan de mes 31 ans

Pif, paf, 32 ans dans ma tronche !

Il est temps de poser mon *rondoflex* et faire un point sur ce que j’ai foutu cette année.

Le principe c’est de prendre un peu de recul sur le tourbillon du quotidien et vérifier si j’utilise bien mon temps de vie pour les choses qui comptent¹. Et constater quand je fais n’imp. Puis ajuster ma visée en fonction.

Je t’invite à faire ce genre de bilan toi aussi. Genre une fois par an. Parce que c’est utile à chaque fois.

Donc voici le mien, en espérant que ce fragment de ma réalité te donne envie de conduire ta propre auto-analyse. Histoire de voir si toi aussi t’avances dans la direction qui te va bien !

Et comme l’an dernier je vais répondre à ces trois questions :

  • Qu’est-ce qui s’est bien passé cette année ?
  • Qu’est-ce qui aurait pu mieux se passer cette année ?
  • Qu’est-ce que j’ai appris cette année ?

Go !

1. Qu’est-ce qui s’est bien passé cette année

Surf trip en voiture aménagée. Ça faisait un moment que ça trottait dans ma tête et cette année c’est devenu une réalité !

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J’ai commencé le surf il y a deux ans et un jour (pile !) et c’est devenu une grosse source de fun. Cet automne, j’ai longé la côte atlantique de Hossegor jusqu’à Porto en faisant un tas de haltes pour surfer, j’ai rencontré plein de gens sur ma route, j’ai parcouru des bouts de chemin avec des amis, et je me suis régalé tout du long 😀

Équilibre entre voyages et sédentarité. J’ai moins voyagé cette année et j’en suis plutôt content ^^ « Seulement » six mois environ. J’avais envie de passer plus de temps proche de mes amis et ma famille et c’est ce que j’ai fait. Même si je dois avouer que les Canaries me manquent un peu !

Moments partagés. Cette année, j’ai mis un point d’honneur à passer du temps avec les gens qui comptent pour moi. Ça découle directement du point précédent : je me suis rendu davantage disponible au lieu de passer mon temps à barouder. Il y a notamment eu le mariage de mon petit frère et J. parmi les highlights de l’année :-). Et pendant mes aventures, j’ai eu la chance d’être rejoint par mes amis ! Plein de petits trucs en somme. C’est peut-être un détail pour vous, mais pour moi ça veut dire beaucoup comme disait tata France Gall.

 

Premier événement en présence. J’ai organisé une retraite au Portugal ! C’était génial de rencontrer « en vrai » certaines personnes avec qui je parlais depuis un bail sur internet. Et même s’il y a eu quelques imprévus, nos hôtes portugais étaient très sympas et je suis content d’avoir organisé ça en pratique 🙂

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Programmes en ligne. J’ai créé un nouveau programme cette année : « S’organiser pour Entreprendre » et je le trouve super utile. C’est exactement la méthode que j’emploie pour m’organiser en fait. Ça m’a permis de détailler mon processus et d’y avoir un accès direct à chaque fois que j’ai besoin d’un coup de boost. Je pense que tous les gens qui n’arrivent pas à se motiver pour bosser sur leur projet d’indépendance devraient l’acheter ^^ Aussi, j’ai encore fait évoluer mon programme Easy Business. À l’heure actuelle je pense qu’il est suffisamment clair et détaillé pour permettre à quelqu’un de lancer et développer son activité indépendante de son côté. Évidemment, c’est mieux avec un coaching mais je pense que le programme tient sur ses pattes tout seul et je vais peut-être le rendre accessible de cette manière. Je suis aussi reconnaissant d’avoir eu de super clients cette année 🙂 Un gros merci à vous pour votre confiance et votre bonne énergie et félicitations pour vos avancées vers votre liberté pro !

Business alternatifs. En parallèle du blog, j’ai développé d’autres projets plutôt coolos et rentables (que je vais peut-être poursuivre d’ailleurs parce que ça m’a bien plu ^^). J’en dis pas plus pour pas créer de concurrence dans le secteur ! Pour « lancer » ces activités, ça a été assez simple² : j’ai juste suivi mes principes de Easy Business et créé une DDV pertinente³ qui a bien marché.

Langues. J’ai appris à baragouiner le portugais. Pas des masses. Mais genre de quoi avoir une conversation basique. Notamment grâce à ce bouquin : Fluent Forever (que je recommande à fond à tous ceux qui veulent apprendre une langue).

Sport. En plus du surf, j’ai repris le basket ! C’est méga bien. J’arrive plus à dunker comme quand j’avais 20 piges (je dunk à peine) mais je me régale 🙂 J’ai sauté à l’élastique aussi, c’était marrant !

Lecture. Des tas de bons livres lus cette année aussi. J’ai fait la liste ici et ici pour ceux que ça intéresse. Plus d’une heure de lecture par jour en moyenne. J’adore. Gratitude énorme pour tous les gens qui ont écrit ces bouquins <3

2. Qu’est-ce qui aurait pu mieux se passer cette année ?

Immobilier. Rhaaaaaaaa ! Je sais pas encore si cette section doit aller ici ou dans la partie « ce qui s’est bien passé ». En fait, je suis en plein dedans, il y a un tas de revirements de situations… hâte de voir comment ça va se résoudre ! En tout cas, je me dis que j’aurais pu être encore plus actif sur ce point-là… mais je lâche pas l’affaire !

Certaines rencontres. J’ai rencontré des tas de gens. La plupart étaient cool. Quelques-uns neutres. Et certains carrément exceptionnel(le)s. Mais j’ai aussi rencontré deux personnes épouvantables ! Ça faisait des années que j’avais pas côtoyé des personnes avec autant d’agressivité passive. Tant qu’elles pensaient pouvoir profiter de moi, elles étaient toutes mielleuses et limite harassantes puis quand les choses ne se sont pas passées comme elles avaient prévu je leur ai découvert un visage haineux et une incapacité totale à communiquer. Beurk ! Mais malgré ce triste épisode, je réalise aussi que ça fait partie du prix a payer pour les centaines de belles rencontres que j’ai faites : quand on s’ouvre au monde, on sait jamais sur qui on va tomber ! Et au final, c’est très rare de tomber sur des cassos pareils. Heureusement que ça n’a pas duré longtemps ^^

Développement du blog. Même si j’ai écrit quelques articles cette année (quinze) dont quelques-uns  que j’aime beaucoup − du genre celui-là, celui-là et celui-là − j’ai quasiment rien publié sur Facebook et j’ai pas du tout été actif pour « promouvoir » le blog. Pourquoi ? Parce qu’avec tous les blogs et les chaînes Youtube qui fleurissent en ce moment, la course à la visibilité et la pub qui s’infiltre de partout, le paysage d’internet commençait à me saouler et j’avais pas envie de devenir comme eux. Du coup, j’ai réfléchi dans mon coin à ce que je voulais faire ^^

Et j’en suis arrivé à cette réflexion : Au fond, mon truc avec ce blog, c’est d’aider les gens à poursuivre leurs quête de liberté hors des sentiers battus. Et en fait, j’en ai rien à carrer d’être « populaire » et avoir beaucoup de vue, de followers, d’abonnés ou de like (bon… en fait j’aime bien parce que ça fait plaisir à l’égo mais c’est pas IMPORTANT)… ce qui compte c’est d’aider profondément certaines personnes. Les bonnes personnes par rapport à ce que je peux offrir. Donc même si j’ai pas « développé » des masses le blog cette année,  ça m’a permis de prendre un peu de recul et de réfléchir au sujet. Et maintenant j’ai une idée de la direction à lui donner : focaliser mon taf sur quelques personnes. Parce que concrètement, il y a des dizaines de milliers de personnes qui lisent mon site mais une partie consomme mon blog comme un big mac, ils bouffent le contenu rapido avant de se ruer sur d’autres snacks dans leur frénésie boulimique. C’est pas pour eux que j’écris. C’est pour ceux qui dégustent mes textes comme des gourmets. C’est pour toi qui prends le temps de lire ce FAT paragraphe par exemple. C’est pour toi qui prends le temps de te poser après m’avoir lu pour réfléchir à ta life et questionner ta propre réalité. Merci ma petite tartelette à la myrtille ! Donc pour la suite, je vais faire une grosse focalisation sur toi. Parce qu’il y a nous (les gens qui veulent vivre libre), et qu’il y a eux (les gens qui veulent passer leur vie sur internet). Et que j’ai envie d’aider un max les gens comme nous. D’ailleurs je suis en train de réfléchir à un nouveau truc si ça t’intéresse  😉

Cryptomonnaies. J’ai quasiment pas tradé cette année. Il y avait beaucoup moins de volatilité sur les « grosses » cryptos que les années précédentes et un marché majoritairement à la baisse. Du coup, j’ai pas investi grand-chose.

3. Qu’est-ce que j’ai appris cette année ?

Le bonheur est dans la gratitude. Ça peut sonner comme une phrase clichée mais je pense que c’est ma réalisation la plus importante de l’année. Tous les choix qu’on a faits jusque-là nous ont menés à la vie qu’on a. Et parfois on voit la vie des autres (des gens qu’on connaît ou qu’on voit dans les médias) et on se demande si ce serait pas mieux de faire comme eux. La réponse c’est qu’on en sait rien. Et qu’on est toujours libre d’essayer si on en a envie. Cependant le piège c’est de se dire qu’on serait « plus heureux si » on avait tel ou tel résultat. Une conversation qui m’a marqué, c’était avec un de mes meilleurs amis. Il est médecin, il a une maison magnifique, une compagne, un fils, et une fille en route. Et on a eu cette conversation quand j’étais au Portugal, que ma famille me manquait et que j’étais sur le point de me séparer de ma copine du moment. Alors évidemment, cette grosse dose de sécurité était séduisante. Le truc… c’est qu’en même temps que je contemplais son mode de vie, lui me disait à quel point le mien était génial : pas d’horaires, pas « besoin » de travailler, pas d’embouteillages le matin, possibilité d’aller où je veux quand je veux, avoir du temps pour lire, surfer, randonner, rencontrer des gens, apprendre des trucs, etc… et c’est vrai que c’est pas trop moisoche ^^ En fait, quand j’y réfléchis, c’est carrément formidable 🙂 Parce qu’être libre de mon temps c’est quelque chose qui me tient particulièrement à cœur. C’est pas mieux ou moins bien qu’autre chose dans l’absolu mais c’est important pour moi, Damien. Toi, moi, on a tous priorisé des choses dans nos vies et ça nous a amené des résultats précis : certains ont un emploi qu’ils adorent, d’autres s’épanouissent dans leur vie familiale et d’autres cultivent leurs amitiés et leurs expérimentations du monde. Le plus important, ce n’est pas les choix que l’on fait, c’est de mener nos vies en fonction de ces choix, et d’en apprécier la profondeur. Même dans les périodes de doutes. Et si on ne se sent plus totalement aligné, alors ce n’est pas un drame, ça signifie juste qu’il est temps d’ajuster la visée. En attendant, la meilleure chose à faire c’est d’apprécier le chemin parcouru 🙂

La paix de l’esprit se trouve dans la connaissance (et l’acceptation) de soi. Daaaamn ! Je parle comme un mystique barbu aujourd’hui ! Concrètement, ça veut dire que tant que tu cours dans tous les sens pour jouer les rôles que tu t’imposes, tu vas pas être super serein(e). Si tu te dis que tu « dois réussir » ou que tu dois « être mieux » ou quoi que ce soit du genre pour te sentir méritant(e)… tu te tortures l’esprit gratos. En fait tu es juste toi. Avec tes qualités et tes défauts. Cette année, j’ai appris à apprécier mes défauts (notamment ma tendance à préserver mon indépendance au détriment de certaines relations, à vouloir tout faire moi-même et à être trop direct dans mes propos ^^). Et c’est ok. Personne n’est parfait ! Et ça a deux avantages. Premièrement, ce sont tes imperfections qui font que tu es toi et pas quelqu’un autre. Et c’est ce qui te permet d’être aimé pour « qui tu es » plutôt que pour le rôle que tu joues. Par exemple, j’ai tendance à être radicalement honnête dans mes propos et parfois ça secoue les gens. Mais c’est aussi pour ça que certaines personnes m’aiment : parce qu’elles savent que si j’ai un truc à dire, je le dis ! Par extension j’ai remarqué que les plus gros défauts de mes proches (et des gens en général d’ailleurs) étaient AUSSI leurs plus belles qualités. Et vice-versa. Par exemple un de mes meilleurs amis est incroyablement sensible à ce que tout le monde se sente intégré, mais c’est insupportable de le voir galérer à prendre des décisions qui impliquent d’autres personnes : il est complètement paralysé et rien ne se passe. À l’inverse, un autre ami a tendance à prendre le contrôle de toutes les décisions du groupe, et même si ça peut être frustrant par moment, c’est hyper agréable de savoir que tout va bien se passer ! Et c’est totalement ok. Je les aime pour ça ! Et deuxièmement, c’est seulement quand tu embrasses tes propres imperfections que tu peux avoir de la compassion pour toi-même. Et quand t’as de la compassion pour toi, t’en a plus facilement pour les autres. Et ça amig@… ça te permet d’être en paix avec toi-même et le monde 🙂

Le temps passé se mesure en moments clefs. La plupart de nos journées normales, aussi agréables soient-elles, s’évaporent avec le temps. Ce qui reste, ce sont les événements marquants : tu ne te souviendras pas de cette journée où t’es allé taffer comme d’habitude puis où t’es rentré chez toi commander une pizza et regarder une série Netflix de plus. En revanche, les journées (intenses) où t’as suivi un projet qui te tient à cœur (que ce soit un surftrip, le lancement d’un nouveau business ou la participation à un projet en famille) resteront gravées dans ta mémoire pour un bon bout de temps ^^ En fin de compte, ces moments marquants, c’est ce qui te reste. Et ça vaut le coup de privilégier ces choses-là à la mondanité du quotidien. Bref, c’est un truc à garder en tête au moment où tu planifies tes prochaines étapes de vie !

Voilà mon bilan de mes 31 ans !

Le temps passe méga-vite et dans quelques jours à peine ce sera l’an prochain ^^

En attendant, c’est l’occase de passer une autre belle année 😀

Je te souhaite plein de trucs biens !

► Damien

¹ Évidemment les « choses qui comptent » varient d’une personne à l’autre hein !
² Probablement parce que je commence à avoir l’habitude de « tenter » plein de trucs.
³ DDV c’est l’acronyme pour Démonstration De Valeur, une technique que je développe dans Easy Business pour présenter une offre pertinente aux bonnes personnes. Le principe c’est d’estimer assez rapidement la viabilité financière d’un projet. En gros, quand ta DDV fonctionne, t’es sur la bonne voie pour développer un business rentable.
⁴ Quand on y fait pas attention, on a tendance à prioriser ce qui est « facile ». Mais ce qui est facile est rarement ce qui est le plus gratifiant !
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Lectures 2019

Une petite liste des bouquins que j’ai lus en 2019. Dans l’ordre. Et avec ceux que je recommande.

À noter que je lis la plupart des bouquins en anglais, donc je mets le titre anglais quand je lis le livre en anglais. Pour une bonne partie, la version française existe aussi 😉

  1. Happy, Derren Brown (recommandé)
  2. L’encyclopédie du savoir Relatif et Absolu, Bernard Werber
  3. Atomic Habits, James Clear
  4. Daring Greatly, Brené Brown
  5. Unscripted, MJ DeMarco
  6. The happiness of Pursuit, Chris Guillebeau
  7. Predictably Irrational, Dan Ariely (recommandé)
  8. Radical Honesty, Brad Blanton
  9. Total Recall, Arnold Schwarzenegger
  10. Barking Up the wrong Tree, Eric Barker
  11. Linchpin, Seth Godin
  12. The Seven Principles for making Mariage Work, John Gottman
  13. Les Trois Mousquetaires, Alexandre Dumas
  14. This is Marketing, Seth Godin
  15. All Marketers are Liars, Seth Godin (recommandé)
  16. Why we Sleep, Matthew Walker
  17. Perennial Seller, Ryan Holiday
  18. L’étrange cas du docteur Jeckyll, Robert Louis Stevenson
  19. Everything is F*cked, Mark Manson (recommandé)
  20. The Four Tendencies, Gretchen Rubin
  21. A Guide to the Good Life, William Irvine (recommandé)
  22. 12 Rules for Life, Jordan Peterson
  23. The Truth, Neil Strauss
  24. On Desire, William Irvine
  25. Hold me tight, Sue Johnson
  26. Long Story Short, Margot Leitman
  27. Le problème à trois corps, Liu Cixin
  28. The Way of the Superior Man, David Deida
  29. The Six Pillars of Self-Esteem, Nathaniel Branden

Pas terminés :

  1. Fondements de la métaphysique des mœurs, Emmanuel Kant
  2. Par-delà le bien et le mal, Friedrich Nietzsche
  3. Crime et châtiment, Fedor Dostoïevski
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Que faire quand les résultats ne viennent pas aussi vite que tu le voudrais

Mon frère est en train d’acheter/rénover un restau avec sa femme. Ces temps-ci, je leur donne un coup de main pour les travaux.

Il y a une paire de jours, une de nos missions était de défoncer un escalier en béton qui semblait prendre racine dans les entrailles de la terre. Le truc était mastoc.

Alors armés d’énormes masses, petit frère et moi − deux braves gaillards d’1m90 et 1m85 – nous nous sommes mis à l’ouvrage.

On allait asséner le premier coup. La masse se lève dans les airs, suspendue un instant, puis en une fraction de seconde, elle rejoint avec fracas le colosse de béton. Un bruit sourd résonne.

On regarde l’escalier. Rien. La surface est à peine marquée. On recommence. Et ça une dizaine de fois. Les dégâts sont superficiels. On se regarde, un peu désemparés. On avait pris l’habitude de défoncer des gros pans de murs en quelques coups à peine et là… quasiment que dalle.

On doute de notre technique, de notre force. Peut-être qu’il nous faudrait une machine ? On essaye d’utiliser d’autres outils mais rien ne nous parait vraiment adapté. On se remet à la masse.

Et là, après quelques coups supplémentaires, un coup vient tout changer. Ce coup n’était pas plus fort, ni mieux placé qu’un autre. Pourtant une fissure se crée sur toute la longueur de notre adversaire minéral.

À partir de là, un coup de masse après l’autre, le titan de béton se disloque et on le réduit rapidement en gravas.

Ça m’a fait penser à un truc. Ce que j’appelle « les progrès invisibles ». Quand t’as beau travailler sur un projet et que tu ne vois aucun résultat.

Comme quand tu te mets à la guitare, que tes doigts souffrent milles tourments et que malgré tes efforts, tes oreilles saignent à chaque fois que tu émets un son. Ou quand tu lances ton business, que tu passes tes journées à bosser et que ton compte en banque reste vide et désolé comme un désert de poussière.

Dans ces moments-là, tu te demandes ce que tu fais de travers. Tu questionnes tes compétences, ta stratégie et même ton désir initial de te lancer dans cette nouvelle aventure (peu importe le truc que t’as envie d’accomplir d’ailleurs).

Et tu sens monter en toi cette envie latente d’abandonner. Parce que si les résultats ne viennent pas, à quoi bon continuer ?

Donc je vais te dire un truc. Un truc qui m’aide à fond quand je galère à VOIR des résultats dans mes projets.

Installe-toi confortablement, c’est parti :

 

Les progrès invisibles

Ça fait deux fois que je mentionne cette notion de « progrès invisibles »¹. Dans l’intro, je te disais que c’est quand tu bosses sur un projet sans voir de résultats arriver. Là, je vais étoffer un peu la définition.

Quand je te parle de « progrès invisible » malgré l’invisibilité des résultats, je te parle aussi de la notion de progrès. C’est-à-dire que tes progrès EXISTENT même s’ils ne sont pas visibles. Et c’est la clef du concept.

Quand on voit un résultat final du genre :

  • Parler anglais
  • Être propriétaire
  • Savoir surfer
  • Jouer du piano
  • Danser la salsa

On constate un résultat mais on ne VOIT pas le TRAVAIL derrière ce résultat.

Par exemple, imaginons quelqu’un qui rentre dans la pièce ou on défonçait l’escalier de béton avec mon frère. Imaginons que cette personne rentre juste avant le coup qui a fissuré l’imposante masse grise. Cette personne pourrait penser « Tiens, il suffit de donner un bon coup de masse pour péter un escalier de cette trempe ! ». Et évidemment elle aurait tout faux : parce qu’elle n’aurait pas vu les progrès invisibles derrière ce résultat.

En d’autres termes :

Ce n’est pas le 20ème coup de masse qui a fissuré l’escalier, c’est l’accumulation de 19 coups de masse invisibles qui a permis au vingtième d’être aussi impressionnant.

Et c’est pareil dans n’importe quel apprentissage.

Pour le jeu d’échecs : J’étais « bloqué » à un score de 1100 (c’est un niveau débutant) pendant des mois et j’avais l’impression que je n’avançais pas d’un broc malgré ma pratique régulière. Puis un jour, je sais pas exactement ce qu’il s’est passé mais j’ai « compris » une nouvelle vision du jeu et j’ai gagné presque 200 points de classement en quelques semaines (ce dont je suis assez fier, je l’avoue, même si je reste un joueur du dimanche ^^).

En surf : Pendant des semaines, je n’arrivais pas à me mettre debout sur un shortboard (c’est une planche avec une forme effilée à l’avant et qui mesure en général moins de 6 pieds 1 pouces (soit 1m85)). Pourtant j’étais à l’aise sur des planches de plus de 6’3 (soit 1m90). Puis un jour, en apparence comme les autres, sans identifier clairement ce que j’avais fait de différent, je me suis levé sur un shortboard et depuis, j’y arrive !

Je pourrais mettre des dizaines d’exemples en fait.

Concrètement, il y a une phase ingrate lorsqu’on poursuit n’importe quel objectif, c’est la phase où les résultats ne se voient pas (ou très peu). Et cette phase peut durer plus ou moins longtemps.

De manière générale, plus le projet est ambitieux, plus la phase de progrès invisibles est longue.

Par exemple, si tu veux écrire un best-seller, il te faudra probablement entraîner ton écriture pendant des années avant d’atteindre le résultat que tu veux VOIR se réaliser.

L’idée est de garder en tête que même si les progrès ne se voient pas, tant que tu passes à l’action régulièrement, tu restes en progression.

Donc…

 

Que faire quand les résultats n’arrivent pas aussi vite que tu le voudrais

1/ T’assurer que tu avances dans la bonne direction. Si tu veux scorer plus de point au basket, mieux vaut pratiquer ton shoot plutôt que de regarder fixement le compteur de point. Ça paraît évident mais si tes actions actuelles ne sont pas adaptées à l’atteinte de l’objectif, t’auras beau y passer du temps, ça te fera pas avancer. Comment t’assurer que t’avances dans la bonne direction donc ? Demande à des gens qui ont DÉJÀ atteint l’objectif que tu poursuis. Par exemple, en ce moment je cherche un nouveau bien immobilier, tout le monde a un avis à me donner là dessus mais je préfère suivre les avis des personnes qui ont DÉJÀ des biens ET qui ont de bonnes rentabilités dessus (je préfère même l’avis de ces personnes à celui des agents immobiliers qui sont censés s’y connaître mais qui n’investissent pas eux-même).

2/ T’assurer que ta pratique est suffisamment régulière. Si tu veux apprendre une langue et que tu pratiques une fois par mois, tu vas pas progresser des masses. En revanche si tu te fais une ou deux sessions par jour (même des sessions de seulement 10 minutes), tu vas voir les résultats arriver beaucoup plus vite. Garde en tête que le plus important pour avoir des résultats, ce n’est pas la durée entre le moment où tu as commencé et la date actuelle, c’est la régularité de la pratique !

3/ T’assurer de surmonter les périodes creuses et ne pas t’arrêter. Si tu veux avoir des résultats significatifs dans n’importe quel domaine, il te faudra traverser les périodes de doutes. Tu ne peux pas être vraiment balèze dans quoi que ce soit si tu abandonnes à la moindre difficulté. Donc mets en place des stratégies² pour garder le cap quand tu es perdu dans la tempête et que tout te paraît difficile. Par exemple en prenant du recul sur la situation et en te remémorant pourquoi tu as commencé ton aventure en premier lieu.

Une fois que tu as checké tous ces points – que tu vas dans la bonne direction, que tu passes à l’action régulièrement, et que tu t’es préparé(e) à surmonter les périodes creuses – il te reste à être patient(e) et persévérant(e)³.

Alors un jour, à force de ténacité, et sans trop savoir exactement quel a été le point de bascule, le résultat que tu poursuivais apparaîtra plus clairement que jamais :

  • Tu joueras ton premier morceau de guitare
  • Tu seras en pleine conversation en Japonais
  • Tu trouveras ton premier client
  • Tu publieras ton premier bouquin
  • Tu planteras ton premier dunk au basket

Et au fond de toi, tu sauras que ce n’est pas une transformation miraculeuse du jour au lendemain, mais que ce sont tes progrès invisibles qui payent enfin. Parce que chaque minute que t’as investi dans ton objectif t’a fait avancer d’un poil dans sa direction… jusqu’à son accomplissement !

Alors quand les résultats n’arrivent pas aussi vite que tu voudrais, rappelle-toi cette notion de progrès invisible. Parce que ces progrès sont la véritable ossature de l’aboutissement de n’importe quel projet.

Il vaut mieux avancer lentement avec régularité – même quand ces avancées ne se voient pas − que de s’arrêter avant d’avoir franchi la ligne d’arrivée.

J’espère que ça t’aura donné une perspective intéressante pour garder la motivation et savoir quoi faire quand les résultats n’arrivent pas aussi vite que tu le voudrais. Pense bien à graver cette notion quelque part dans ton cerveau pour que ça puisse t’aider non-seulement aujourd’hui, mais aussi pour le reste de ta vie !

En ce moment, je suis rentré en France et je suis en mode immobilier, je cherche un nouveau bien pour moi et je donne un coup de main au brother. En parallèle de ça, je suis en train de préparer la nouvelle session d’Easy Business 2019 pour lancer ton business et devenir indépendant(e) cette année. Je pense y ajouter pas mal de choses : notamment une section sur l’investissement et de nouvelles vidéos de psychologie comportementale pour garder la motivation. Si ça t’intéresse, je te parle de tout ça sur la page Travailler avec moi.

Bonne journée et à bientôt pour de nouvelles aventures !

► Damien

¹ Cherche pas le terme ailleurs, c’est moi qui l’ai inventé ^^.
² J’ai développé une stratégie complète pour surmonter ces phases. Elle s’appelle DRASAA et je la partage dans mon programme La Structure de la Réussite.
³ Ce sont les deux qualités essentielles pour passer ce que l’on appelle les « phases de plateau ».
⁴ Dans la limite de tes capacités maximales : par exemple tu auras plus de mal à jouer en NBA si tu fais 1m60 que si tu fais 2m (quoique Muggsy Bogues l’a fait ^^).