^
Voir :Tous les articlesLe dernier article :

Comment sortir de « la vie normale »

Mon nouveau livre vient de sortir : « La Danse de l’Air« .

À cette occasion, j’ai fait une petite vidéo pour te présenter de quoi il retourne.

J’ai écrit ce livre avec mes tripes et mon cœur et je suis certain qu’il peut avoir un impact dans la vie de beaucoup de gens.

Voilà un peu plus de détails sur le bouquin si ça t’intéresse : La Danse de l’Air

J’espère qu’il va te plaire !

 

Et si la vidéo t’a plu, merci de la partager sur ton mur Facebook pour faire passer le message.

^
Voir :Tous les articlesLe dernier article :
pleindetrucs.fr

Comment voyager pas cher pendant plusieurs mois

Je reçois régulièrement des mails de lectrices et lecteurs qui me demandent comment voyager pas cher pendant plusieurs mois.

Certains envisagent une aventure  pour une période déterminée, d’autres envisagent leur voyage comme un mode de vie durable – comme moi quoi !

Dans cet article, je vais donner un paquet de conseils pour ces deux cas.

Voyager pas cher est un art.

Un art qui demande de la pratique pour être maîtrisé.

Si tu es néophyte en termes de voyage pas cher, commence par t’imprégner de ces quelques principes. Lire la suite…

^
Voir :Tous les articlesLe dernier article :

#BN1. Pourquoi tu risques de ne jamais être heureux ?

Ce premier article de la série des #BN, c’est soit un petit électrochoc pour te rafraîchir les idées, soit un coup de foudre de 10000 volts sur le sommet du crâne.

Tout dépend de ton paradigme actuel.

L’objectif, c’est que tu sois bien conscient(e) de la seule base solide sur laquelle tu peux construire ton bonheur.

Sans ça, tu ne seras probablement jamais heureux(se) bien longtemps.

Sans ça, tu n’expérimenteras qu’un bonheur postiche.

Sansa, la pleurnicheuse de Game of Throne.

C’est parti !

 

Tu es responsable de ton bonheur

Ce n’est pas la responsabilité de ton ou ta partenaire, ce n’est pas la responsabilité de tes parents, ce n’est pas la responsabilité de ton travail, ce n’est pas la responsabilité de tes voisins, ce n’est pas la responsabilité de ce qui t’es arrivé quand tu étais petit.

Ton bonheur, c’est ta responsabilité.

« Oui, mais tu connais pas ma vie, ça a été très dur quand mon père a massacré mes 6 frères et sœurs devant moi avec un rouleau à pâtisserie… »

« Oui, mais tu sais pas comme c’est difficile d’avoir été élevé enchaîné dans une cave, obligé de manger des détritus pour survivre, sans voir la lumière du jour jusqu’à mes 18 ans… »

Je sais, je sais, la vie est dure. Davantage pour certains que pour d’autres.

Chacun à notre échelle, on a vécu des événements traumatiques. C’est comme ça.

Je ne dis pas que c’est de ta faute si tu es né dans une famille où tu étais battu, ou si un chauffard bourré t’est rentré dedans et que tu as perdu l’usage de tes jambes, ou dans une moindre mesure si tu étais le vilain petit canard de la famille.

En revanche, c’est ton entière responsabilité de choisir la manière dont tu réagis face à ces situations.

Autrement dit, une fois que tu es en âge de ne plus être totalement dépendant des autres pour survivre (disons à partir de 16 ans en moyenne), tu es responsable de la vie que tu mènes.

Tu es responsable que ton patron te parle comme à une « flâfluh », tu es responsable de ne pas avoir le boulot qui te plait, tu es responsable que ton partenaire ne montre plus d’intérêt envers toi, tu es responsable d’avoir un gros bide, tu es responsable de ne pas avoir d’argent, tu es responsable de t’être fait(e) agressé(e) dans ton quartier, tu es responsable de vivre chez papa et maman à 30 ans, tu es responsable de ne pas rencontrer quelqu’un, tu es… responsable.

De la même manière, tu es aussi responsable de toutes les choses positives que tu as intégrées dans ton quotidien.

Tu n’es pas responsable des événements qui se produisent, mais tu es responsable de la manière dont tu y réagis.

Ce sont tes réactions à ces événements qui déterminent la vie que tu mènes.

Pour te donner quelques exemples, voilà quelques réactions responsables aux situations précédentes :

Tu es responsable de ne pas avoir le boulot qui te plait.

Réponse de fuite : « Oui, mais c’est un secteur bouché, c’est super difficile. J’ai fait tout ce que j’ai pu. »

Réponse responsable : « Je sais que c’est très dur, il existe cependant des personnes qui font ce métier, il faut que je progresse pour y arriver, probablement en observant ceux qui savent comment faire, c’est une question de temps. »

Tu vois la différence ?

Un autre exemple :

Tu es responsable que ton partenaire ne montre plus d’intérêt envers toi.

Réponse de fuite : « Oui, mais pourtant je fais tout ce que je peux pour lui plaire, je ne le/la contrarie jamais, je suis super attentionné(e) et je n’ai rien en retour »

Réponse responsable : « Il faudrait que je lui dise ce qui me fait souffrir dans notre relation pour qu’on trouve ensemble une solution. Peut-être que notre relation peut être sauvée ou peut-être qu’elle arrive à son terme. »

Et un troisième exemple pour la route :

Tu es responsable de ne pas avoir d’argent.

Réponse de fuite : « Oui, mais c’est super dur de trouver un travail, j’ai déjà tout essayé. Puis il y a mon loyer à payer, ma voiture, mon téléphone portable. »

Réponse responsable : « J’avoue que je dépense énormément d’argent dans les soirées au bar/ma voiture/l’électronique/les produits de beauté/etc… et niveau travail, il n’y a qu’une chose que j’ai envie de faire et je ne fais pas vraiment d’effort pour apprendre autre chose. »

Bon, je crois que vous voyez l’idée.

Évidemment, devenir responsable, ça fait mal au *fallafel rebondis*.

Ça met une claque à l’estime de soi : tout d’un coup, ce n’est plus la faute ni des autres ni de pas de chance, c’est ta responsabilité.

Et même si ça te blesse, c’est la meilleure chose qui puisse t’arriver, parce qu’une fois que tu prends la responsabilité de ce qui t’arrive, tu as le pouvoir d’y agir dessus.

Ça me rappelle ce que disait mon vieux pote Platon au barbecue la semaine dernière :

« Si tu fais en sorte qu’atteindre le bonheur dépende de toi et pas des autres, tu as adopté la meilleure attitude pour vivre une existence heureuse. »

Prendre la responsabilité de ce qui t’arrive, ça veut dire que tu es libre de changer de stratégie sur ce qui te pose problème.

Tu n’as pas d’argent ? C’est que ta stratégie sur ce point n’est pas bonne.

Tu attires les relations de couple dysfonctionnelles ? C’est que ta stratégie sur ce point n’est pas bonne.

Tu es la bonne poire à ton boulot ? C’est que ta stratégie sur ce point n’est pas bonne.

À partir de là, et seulement à partir de là, tu peux commencer à construire ton bonheur.

Tant que tu n’auras pas pleinement réalisé que tu es responsable de la manière dont tu réagis aux situations auxquelles tu es confronté(e), tu seras trimballé comme une poupée de chiffon aux grés des pérégrinations et des facéties du destin.

Prendre consciemment tes responsabilités pour ce que tu vis, c’est la base pour construire un bonheur durable et solide.

Et ça, c’est la base.

C’est juste la base.

Chaque #BN va être de plus en plus intense.

La série sera remplie de réflexions – très différentes et pourtant corrélées – sur un vaste champ de perceptions.

Ces idées, les unes interagissant avec les autres, donneront un tableau d’ensemble émotionnel au delà de la logique cartésienne pour appréhender le bonheur d’une nouvelle manière. Plus tangible. Plus parlante. Plus humaine.

L’objectif est que tu puisses réaliser, avec une clarté que tu n’avais peut-être jamais envisagé, comment être heureux(se) de la manière la plus sensible et la plus sensée.

La prochaine fois, on va s’attaquer à du très lourd aussi : ta place par rapport aux autres.

Ça va chauffer !

^
Voir :Tous les articlesLe dernier article :

#BN. Le bonheur, ça te dirait d’essayer ?

Si tu cherches à être heureux(se) à tout prix, il y a de bonnes chances que tu ne le sois jamais. Paf ! Dans les dents !

Pourquoi ?

Parce qu’il faut bien comprendre ce qu’est le bonheur et comment il fonctionne.

Puis il faut réaliser que la recherche du bonheur est une chose très différente du bonheur.

Comment je peux être heureux(se) alors ?

Bin c’est facile : Lire la suite…

^
Voir :Tous les articlesLe dernier article :
Damien saute en parachute, pleindetrucs.fr

#PC5. Le seul moyen d’atteindre tes rêves (probablement la leçon la plus importante que j’ai apprise)

De tous les #PC, si tu n’en retiens qu’un, il faut que ce soit celui-là.

L’objectif de cet article, c’est que tes idées, tes idéaux, et ta vision idéale de la vie puissent potentiellement devenir concrètes.

Et pour ça, il n’y a pas à se tortiller du *tortifoin*, il n’y a qu’un seul moyen : AGIR.

Ne prends pas ce billet à la légère. C’est pas du tralala.

Si tu ne mets pas ce principe en action, tu n’auras jamais la vie que tu souhaites.

Note bien ceci :

Aucun changement ne va s’opérer dans tu vie si tu n’agis pas dans le sens de ce changement.

C’est tout.

Tu auras beau lire tous les écrits du monde pour profiter à fond de la vie, de la semaine de 4h au pouvoir du moment présent en passant par s’organiser pour réussir, ça ne va pas changer d’un broc ton existence.

Le seul moyen d’avoir ce que tu désires, c’est de te sortir les doigts du *trafalgar rodoïde* et d’agir dans la bonne direction.

Prenons un exemple : la série des #PC.

En mettant en pratique tous les exercices que je partage avec toi dans cette série, ton quotidien peut changer considérablement en quelques semaines.

L’objectif est de faire exploser les limites de ce que tu penses être capable de faire puis te donner les outils nécessaires pour construire ta vie idéale.

Ce n’est ni facile, ni magique.

Actuellement, l’humanité est divisée en deux parties (furieusement inégales, certes) : ceux qui ont lu les #PC (au moins ceux dont j’ai parlé dans la newsletter) et ceux qui ne les ont pas lus.

À la fin de chaque PC (à part le premier), il y a une série d’exercices.

Parmi ceux qui ont lu les PC, on peut encore remarquer au moins trois catégories de personnes :

  • Ceux qui n’ont même pas amorcé l’idée de faire les exercices. Pfff, je suis sûr que ça sert à rien.
  • Ceux qui ont commencé, de loin, et qui se sont rapidement arrêtés. L’eau est trop froide, je rentre à ma maison et je vais regarder la TV.
  • Ceux qui constatent déjà des changements dans leur quotidien.

Petite précision : je souligne que faire les exercices des #PC est seulement un exemple. Peut-être que tu as fait des tas d’autres choses ou lu des tas d’autres blogs/bouquins/astuces pour devenir multi-milliardaire en 3 jours. Dans ce cas, adapte mon propos à ta situation !

Alors pour aujourd’hui, quelques simples questions pour toi.

► De quelle catégorie fais-tu partie ?

► Est-ce que tu veux vraiment avoir des résultats ou est-ce que tu te complais dans une pseudo-recherche d’amélioration de ta vie théorique ?

► Qu’est-ce qui a changé de manière positive et de ton fait dans ta vie depuis 3 mois ?

Prends bien le temps de répondre. Sois honnêtes avec toi-même (#PC4).

Compte 5 bonnes minutes. Vas-y, réponds à ces questions. Maintenant.

Ok ?

La suite :

Je sais qu’une bonne partie des lecteurs et lectrices de ce blog font partie de la catégorie de ceux qui agissent.

C’est la bonne voie. C’est parfois difficile. Ça secoue. Et ça fonctionne.

Il te reste juste à développer quelques compétences et tu taperas le niveau 1. Ça va être énorme.

Si c’est ton cas, tu peux sauter le paragraphe suivant !

*****

Si ce n’est pas ton cas, que tu n’as pas essayé les exercices ou que tu les as effleurés du bout des pieds : tu fais partie de la majorité des gens.

C’est une réaction assez normale et ce n’est pas si grave !

Alors pourquoi tu n’as pas agi ?

  • Peut-être que tout simplement tu n’as pas encore lu les autres #PC ou d’autres sources qui suggèrent des actions à entreprendre et dans ce cas, c’est normal !
  • Peut-être que tu as mieux à faire. Après tout, avoir une vie épanouie est moins important que de regarder ma série préférée.
  • Peut-être que tu ne penses pas que ces exercices vont fonctionner sur toi. Qu’est-ce qu’ils sont bien ces articles, je me demande si ça marche !
  • Peut-être que tu te dis que tu les feras « plus tard ». En ce moment, j’ai trop de boulot. Je ne peux certainement pas débloquer 5 minutes par jour.
  • Peut-être que tu ne veux pas rencontrer de changement dans ton quotidien. Ma copine/mon copain me tuerait…
  • Peut-être que tu flippes sévère. Go #PC3.
  • Etc…

Peu importe la raison en fait… Le fait est que lorsque tu ne passes pas à l’action, tu ne bénéficies que d’une infime partie de ce que je fais passer (ou du message de l’auteur si tu as lu d’autres sources).

L’objectif de ce blog est d’avoir une influence positive dans ton quotidien. Pas seulement de te divertir le temps d’un article. Petite fuite, divertissement Pascalien.

C’est pour ça que j’écris ce billet.

Pour te dire qu’agir, c’est le seul moyen de construire la vie dont tu as envie.

Et bien sûr, quelque part, tu le sais.

Tu espères peut-être sinueusement l’esquiver.

Mais maintenant c’est écrit. Devant tes yeux. Ce n’est pas un secret.

C’est le cinquième principe des #PC.

Tout cet article lui est consacré.

Pour mettre l’emphase dessus.

Pour ne pas que tu y passes à côté.

Agir.

Agir dans le sens des changements que tu veux voir se réaliser.

On en est là :

À l’heure actuelle, peu importe que tu n’aies pas fait les exercices (ou autre chose hein !) ou que tu te sois arrêté peu après avoir commencé.

C’est déjà du passé.

À présent, laisse-toi imprégner de ce nouvel élément : l’action.

Ne cherche plus à l’esquiver.

Confronte-la.

Avec courage (#PC3).

Que ce soient les exercices des #PC, ou n’importe quels conseils que tu peux lire où que ce soit.

Ne te contente pas passivement de les absorber.

Mets-les en pratique. Embrasse-les.

Le torse bombé, les cheveux dans le vent, prêt(e) à croquer la vie à pleine dents.

Pépé Dale Carnegie (pas de jeu de mots mal placé) disait plus ou moins :

« L’inaction engendre le doute et la peur. L’action engendre la confiance et le courage. Si tu veux vaincre tes peurs, reste pas planté à la maison en pensant à elles. Sors d’ici, et commence à te secouer. »

Chaque jour, je me dis qu’il a raison.

Une idée, tant qu’elle n’est pas mise en pratique, c’est du vent.

Ce n’est pas celui qui a des idées qui fait quelque chose de sa vie.

C’est celui qui les réalise.

*****

Exercices

1. Sors ton carnet.

2. Retrouve l’exercice 6 du #PC4. Si tu ne l’as pas encore fait, c’est l’occasion.

3. Choisis une action déterminée lors de cet exercice. Fais-là. Aujourd’hui.

Concrètement, rien ne remplace l’action.

Il n’y a pas de subterfuges. Pas de raccourcis.

Tu auras beau penser toute ta vie à un gâteau au chocolat, tu ne connaîtras rien de comparable à la sensation de le manger.

La satisfaction est dans l’action.

(4.) Exercice bonus, fais un truc inhabituel cette semaine. Vas dans un nouveau club de sport. Prends un cours de guitare. Parle à un inconnu. Ce que tu veux du moment que c’est un défi pour toi.

 

 

On se rapproche du niveau 1.

Ce sera une référence sur laquelle tu pourras te situer.

Fais les exercices avec attention. Le nouveau monde est juste après.

Quitter ton boulot, être super social(e), faire le tour du monde, ça demande quelques prérequis. Focalise-toi sur les exercices que je te propose aujourd’hui.

C’est pour bientôt.

Dans le prochain #PC, tu verras l’arsenal ultime des compétences à développer pour que tes actions soient couronnées de succès.

Encore un peu d’entrainement. Tu vas t’auto-stupéfier.

 

Note : La semaine dernière, après mon trek dans les Andes, j’ai transformé une vieille idée en action. J’ai sauté en parachute (d’où la photo de cet article), c’était sympa. Maintenant, je sais ce que ça fait.

Note 2 : Et si tu veux une méthode très progressive de passage à l’action, tu peux jeter un œil à mon guide ultime pour profiter de la vie.