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pleindetrucs.fr Damien Fauché

Comment arrêter de vivre pour les autres : le coup de pied au cul qu’il te faut

« Je dois me raisonner en pensant à mes enfants, à mon mari… À mes chaines invisibles et pourtant si réelles… »

« J’ai peur de décevoir mes parents »

« J’avoue parfois avoir l’impression d’être dans l’obligation de trouver ma vie géniale parce que d’autres la trouvent géniale »

RHAaaaaaah !… Ça me touche à fond ce genre de message.

Je vois exactement de quoi vous parlez.

Et ça craint. Ça craint puissance 100 milliards.

Je le sais, je suis passé par là.

Et tu le sais aussi.

Et pourtant, même si tu as lu 240 trillions de tortillards (ok, tortillard, c’est pas un vrai nombre…) d’articles, de livres et de conseils pour arrêter de vivre pour les autres qui te disent un truc du genre :

« Ta vie, tu n’en as qu’une, profite de chaque instant »

(Genre mon blog quoi ^^)

Et tu as beau avoir intégré qu’arrêter de vivre pour les autres est dans ton intérêt, au final, tu n’arrives pas à mettre ce conseil en pratique.

Tu te sens étouffé(e), prisonnier(e), frustré(e) à bloc.

Alors pourquoi tu n’arrives pas à assumer la vie que tu veux avoir ?

Parce que tu te distances de la réalité.

Tu te dis que ça viendra plus tard, tu te dis que tu as des contraintes (tes enfants, ton travail, ta famille, etc…), tu te dis que c’est pas le bon moment, tu te dis que tu es trop vieux(eille), trop jeune, trop gros(se), pas assez formé(e), pas assez intelligent(e), pas assez blablabla…

Dans cet article, je vais botter des culs sans ménagement pour te montrer un chemin concret pour arrêter de vivre pour les autres.

En 4 petits pas.

 

1er pas – Réalise que tu vas « vraiment » mourir un jour ou l’autre

« Ok, ça je le sais déjà monsieur Rabat-joie… »

Non, tu le sais pas. Tu le sais pas, sinon tu serais en train de vivre tes rêves. (Et si t’es en train de vivre tes rêves alors, cet article n’est pas pour toi, lis plutôt celui-là, il est rigolo)

« Savoir » que tu vas mourir est une chose, ressentir profondément que ton temps de vie est limité en est une autre.

Et puis je suis pas un rabat-joie, biatch !

Ressentir que tu vas « vraiment » mourir un jour est une méga-force, ça te permet de réaliser à quel point ta vie est précieuse et tout ce que tu es capable d’y faire dedans.

Laisse-moi te raconter une petite histoire.

Il y de cela de nombreuses lunes, avant l’an de grâce 2012, j’étais un putain de zombie. Ouais, j’ai dit putain.

J’avançais dans la vie en me demandant ce qui était acceptable ou non. Je faisais mes choix en fonction de ce que « les autres », mes amis, mes collègues, mes parents, mes copines pensaient.

La vérité ?

La vérité, c’est que j’étais un esclave.

Et le pire, c’est que je ne m’en rendais même pas compte !

J’étais en train de mener la vie que « les autres » allaient trouver géniale.

J’étais un produit de mon environnement.

Dans une prison dorée et qui sentait le pet à l’intérieur.

Phoque !

J’aurais pu y rester toute ma vie.

Puis un jour j’ai compris. J’ai compris que j’allais mourir. J’ai compris que chaque jour qui passe est une occasion unique de vivre.

J’ai compris que pour que demain ne soit pas comme aujourd’hui, il fallait que je me bouge.

Alors, écoute-moi bien : tu vas mourir.

Pose-toi un moment (au moins 20 minutes) et penses-y. Ne chasse pas l’idée d’un revers de la main.

Tu vas mourir. Qu’est-ce que tu fous de ta vie ?

Si tu regardes les gens qui prennent leur vie en main, ils ont bien compris ça. Regarde Lyvia par exemple.

 

2ème pas – Ne laisse pas les autres te tuer à petit feu

Ok, je vais considérer que tu as réalisé le caractère éphémère et précieux de ton temps de vie sur Terre.

Maintenant on va parler de tes rêves.

Tu veux créer ton business, changer de boulot, arrêter tes études, te mettre à la moto, quitter ta meuf/ton mec/ton boulot, devenir jongleur(se) avec des hamsters, voyager autour du monde, etc…

Et qu’est-ce qui se met sur le chemin de ces rêves d’après toi ?

« Les autres ».

Le regard des autres.

« Oh, mais qu’est-ce qu’on va penser de moi ? Tout le monde va me haïr et me laisser tomber. Puis je tomberai dans l’alcool et la drogue et je devrais me prostituer pour payer ma dose de crack quotidienne. Je choperai le choléra, la galle et le tétanos, et un aphte. OUAIS, UN APHTE ! »

Ta responsabilité envers les autres.

« Oh, mais j’ai 278 mille milliard de billiotrillons d’enfants (ok, ce nombre n’existe pas non plus…), je peux pas arrêter de travailler comme ça ! Même si je hais profondément mon boulot qui me pompe chaque particule d’humanité qu’il me reste. Je dois continuer sinon je n’aurai pas de quoi leur payer un toit et de quoi se nourrir. »

Ou encore.

« Mon mari/ma femme/ma mère/mon père/mon dindon domestique n’accepterait jamais ça. »

Ok, ok…

Prêt pour le bottage de fesses ?

Qu’ils aillent se faire foutre.

Tous. Sans exception.

« Quoi ? Même mes enfants ? »

Ouais, même tes enfants.

Qu’est-ce que tu vas leur dire à tes enfants ?

« Maman/Papa mène une vie pourrie à son travail, il a dû abandonner ses rêves et la perspective d’être heureux(se) dans sa vie… à cause de toi mon ange. »

Vas-y, dis leur si c’est ce que tu penses. Regarde ta gamine de 7 ans dans les yeux et dis lui que c’est à cause d’elle que tu ne peux pas vivre ta vie comme tu le veux.

Le truc, c’est que ce serait super con de lui dire ça.

Parce que c’est pas vrai.

C’est pas de sa faute. C’est de la tienne.

Si tu travailles dans un job qui te gâche la vie pour subvenir aux besoins de ta famille, c’est de ta faute.

Arrête de te servir des autres comme excuses.

C’est de ta vie qu’on parle.

Assume d’arrêter de vivre pour les autres.

Quand je dis « qu’ils aillent se faire foutre » ça ne veut pas dire que tu dois les laisser tomber ou les abandonner, loin de là.

Ça veut dire que tu ne dois pas te servir des autres comme excuses pour justifier ce que tu fais de ta vie.

Souviens-toi : tu vas mourir.

La meilleure chose que tu puisses faire en attendant c’est de profiter de ta vie.

Ceci étant dit, on peut passer aux choses sérieuses.

 

3ème pas – Accepter d’arrêter de vivre pour les autres

Tu es dans une situation A tout comme je l’ai été : esclave de la volonté et des attentes des autres.

À partir de là, tu as deux options :

  • Rester dans cette situation A pour le restant de tes jours
  • Arrêter de vivre pour les autres et aller vers une situation B, C, D, etc…

Pour changer les choses, la première étape, c’est d’arrêter de rendre les autres responsables.

La seconde, c’est d’assumer ta responsabilité. Peu importe ton âge, ton sexe, ta couleur de peau.

Les excuses légitiment peut-être ta situation, mais elles ne te font pas avancer.

Débarrasse-toi d’elles.

Troisième étape : trouver ce que tu veux faire de ta vie.

Et quatrièmement, avancer vers cette nouvelle destination, un peu plus, chaque jour.

D’ailleurs, pour t’accompagner dans cette aventure, pense à acheter mon livre à l’occasion. Non seulement ça va t’aider à fond et en plus ça me permettra de gagner du fric ! Tout le monde y gagne.

 

Pour rendre le processus bien clair, je te donne deux exemples :

1. Tu détestes ton boulot mais tu en as besoin pour subvenir aux dépenses de ta famille.

Solutions pour arrêter de vivre pour les autres : Commence à chercher un autre boulot, crée un business en parallèle de ton travail, suis des formations dans un domaine qui te plaît, cherche une alternative…

Rien à faire que tu sois crevé le soir et le weekend, ta vie, tu n’en a qu’une, tu te rappelles ?

S’il le faut, arrête de dormir. Ne reste pas dans une situation qui craint. La pire chose à faire, c’est de ne rien faire.

Te plaindre ne te fait pas avancer. Agir, oui.

2. Tu culpabilises de faire de grands changements dans ta vie de peur d’être rejeté(e) par ta famille/ton ou ta partenaire/tes amis.

Solution pour arrêter de vivre pour les autres : Fais-les quand même ! Si les gens t’aiment pour qui tu es vraiment, ils comprendront. S’ils n’acceptent pas tes choix, pourquoi tu voudrais rester avec ces personnes qui ne t’acceptent que parce que tu corresponds à leurs attentes ? Pour ne pas être seul(e) ? C’est ridicule de t’entourer de gardiens de cellule.

Là aussi, je sais de quoi je parle, quand j’ai fait mes choix de vie, un tas de personnes n’ont pas compris dans un premier temps. Certains ont cru que j’étais fou (« Quoi ? Tu quittes ton CDI et tu pars voyager ? T’as pété un câble ou quoi ? »), d’autres ont cru que je les abandonnais (« Et nous alors, tu t’en fiches de nous ? ») : ce n’était ni l’un ni l’autre. Je cherchais juste à donner un sens à ma vie.

J’ai eu des méga disputes. Je me suis retrouvé éloigné d’un tas de personnes. J’ai chialé comme une madeleine. Ça a été vraiment douloureux.

Heureusement, j’ai fait de bonnes rencontres sur la route.

J’ai lu plein de trucs inspirants. Check Ryan, Alex ou Fabrice pour les voyages par exemple. Steve, Leo et Mark pour les choix de vie. Tim et Seth pour le business.

J’ai accepté d’arrêter de vivre pour les autres.

J’ai assumé ma vie.

Et petit à petit, ces gens qui comptaient pour moi ont commencé à comprendre.

Ils ont réalisé que même si je vivais ma vie selon mes propres termes, je les aimais quand même.

Parce que tu sais quoi ?

L’un n’empêche pas l’autre.

Alors peu importe qu’ils crient, qu’ils pleurent, qu’ils te menacent, réponds leur seulement avec de l’amour.

Dis leur que tu ne fais pas tes choix « contre eux », même si ça bouscule leurs croyances (par exemple qu’il faut un CDI et avoir des enfants avant 30 ans…), mais parce que c’est important pour toi (par exemple travailler à ton compte et ne pas être pressé d’avoir des enfants…).

Ne te rends pas malheureux(se) à cause des gens qui t’aiment. Eux, ils ne veulent pas que tu souffres.

La meilleure chose que tu puisses faire pour toi et pour les autres, c’est de t’épanouir.

Et si des êtres humains ne veulent pas que tu t’épanouisses, qu’ils aillent se faire foutre. Ouais, je le redis et je le redirai encore !

Tu te porteras mieux sans eux.

S’ils se soucient de ton bien-être, peu importe leur réticence initiale, ils comprendront.

Une fois que tu as pleinement réalisé que tu peux arrêter de vivre pour les autres, même avec la boule au ventre et les genoux qui tremblent, tu peux amorcer la transformation.

 

4ème pas – Réapprendre à marcher

Écoute bien cette question, tatoue-la sur ton front :

« Qu’est-ce que je peux faire aujourd’hui pour avancer sur le chemin de mes rêves ? »

Oui, arrêter de vivre pour les autres, ça fait flipper.

Oui, tu as des responsabilités.

Oui, tu as peur de décevoir les autres.

Non, ce ne sont pas des excuses.

Trouve un moyen de remplir tes responsabilités d’une autre manière.

Tu crois que tes enfants préfèrent une maman/un papa qui travaille 60h par semaine dans des conditions pourries pour un salaire minable ou une maman/un papa qui travaille seulement quand il en a envie et qui se régale en gagnant deux fois plus d’argent ?

Le truc, c’est que si tu ne bouges pas ton *big bottle of bear* aujourd’hui, la situation ne va pas changer d’un iota d’ici demain. Arrêter de vivre pour les autres demande de passer à l’action.

Ne te préoccupe pas trop de décevoir les autres.

Tu veux vraiment sacrifier ton temps de vie de peur de ne pas faire plaisir à papa et maman/à ta femme/à ton mari/à ton prof de maths ?

Les gens croient savoir ce qui est bon pour toi parce qu’ils ne connaissent pas d’autres alternatives.

Souvent, ils ne veulent que ton bonheur… alors ils te disent de faire un max d’études « pour trouver un bon boulot », de préférence en médecine, en ingénierie ou en compta, puis ils te disent de trouver un CDI « pour la sécurité »…

La sécurité de quoi ? La sécurité d’avoir une vie de *maerkeskeskeskispassla*.

Ils s’inquiètent que tu ne rentres pas dans le moule. Que tu te brûles les ailes en essayant autre chose. Que tu perdes tout ce que tu as.

Ce qui est sûr, c’est que si tu ne tentes rien, rien ne se passe. Et ce que tu perds dans ce cas-là… c’est chaque minute de ta vie.

On leur a dit ce qu’il fallait faire et ils l’ont fait. Beaucoup sont malheureux mais ils se disent que « c’est ça la vie après tout ».

Mais non ! C’est pas ça la vie !

La vie, c’est exactement ce que tu décides d’en faire.

Et si tu décides de vivre pour plaire aux autres, c’est ta responsabilité, pas la leur.

Arrêter de vivre pour les autres, ça demande du courage. Poooo-kéééé-mooon.

Alors… qu’est-ce que tu peux faire aujourd’hui ?

 

Je sais que cet article est assez bourrin… je t’ai dit 47 mille multivomillards de fois (Ouais, ça existe toujours pas…) que tu allais mourir, et je t’ai dit que tes proches pouvaient aller se faire foutre.

Je sais que mes mots sont forts et peuvent te secouer.

En tout cas, je les ai écrits avec beaucoup d’amour, dans l’intention de t’aider à arrêter de vivre pour les autres.

Ne te formalise pas sur la forme, écoute si le fond raisonne en toi.

Comme je le dis souvent, ta vie, personne ne peut la vivre à ta place.

La plus terrible des prisons, ce n’est pas les autres : c’est toi.

Il y a toujours un chemin.

Pas facile à poursuivre, certes.

Qui implique souvent du sang et des larmes.

Mais il y a un chemin.

Tu es libre de l’emprunter.

Sans excuses.

Arrêter de vivre pour les autres.

En gardant cette question en tête :

« Qu’est-ce que je peux faire aujourd’hui pour y avancer ? »

Je te souhaite un max de réussite dans tes projets amig@. Et merci de partager l’article pour en faire profiter tes potes et que je devienne super connu ! Tout le monde aura droit à son bottage de fesses comme ça 😉

Et je te remets un lien vers mon livre : La Danse de l’Air. Tu me remercieras plus tard.

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par Damien Fauché - pleindetrucs.fr

Manifeste : Une brève invitation à gagner ta vie en poursuivant tes rêves

► Nous pouvons changer le monde, chacun à notre échelle.

► Nous pouvons gagner nos vies en améliorant celle des autres.

► Nous pouvons poursuivre nos propres rêves tout en gagnant de l’argent.

Il est temps que chacun d’entre nous se réveille pour faire bouger les choses.

J’ai écrit un manifeste dans lequel je t’invite à gagner ta vie en poursuivant tes rêves tout en ayant un impact positif autour de toi. Enjoy :

► Édit : le livre n’est plus offert, à la place, j’offre un mini-cours pour devenir indépendant(e).

Tu veux contribuer ?

Ce manifeste est complètement gratuit. Si tu veux m’aider à ce qu’il atteigne davantage de monde, merci de le partager avec toutes celles et ceux que ça pourrait intéresser – par email, sur tes réseaux sociaux ou encore sur ton propre blog. Merci ^^

Nous sommes responsables de ce que nous faisons de nos vies

Profite bien de la tienne !

 

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Faire ou ne pas faire le même métier/business toute sa vie

Je reçois régulièrement des mails de personnes qui me disent : « Je ne sais pas si je suis fait(e) pour faire un seul métier » ou encore « J’ai peur de créer mon business autour d’une activité précise et de m’y retrouver bloqué(e) ».

Dans cet article, je partage une idée pour pallier cette inquiétude.

Ce n’est pas ton métier ou ton business qui compte, c’est la raison pour laquelle tu le fais

Ton métier, ou ton business, ça devrait être l’expression de ce qui compte pour toi. Et pas le contraire.

C’est-à-dire que si tu fais kiné, ça devrait être parce que c’est important pour toi d’aider les gens à avoir une bonne santé physique. Et ça ne devrait pas être parce que tu es kiné que tu dois t’occuper de la santé physique des gens.

Tant que tu fais une activité juste pour l’activité en elle-même, ou pour la paye à la fin du mois, quelle que soit ta motivation initiale, tu peux en avoir assez.

Changer de métier est alors la solution de facilité : tu fais quelque chose de nouveau, tu gagnes toujours ton salaire à la fin du mois, tu recommences du début dans une autre entreprise. Encore et encore.

C’est une option.

La limite, c’est d’être sans cesse dépendant(e) d’une entreprise pour te permettre d’exprimer ta créativité.

Et si tu as ce besoin de changer, c’est que tu ne peux pas complètement exprimer ce qui compte pour toi.

Alors quelles sont les solutions ?

Tu peux commencer par définir ce qui compte pour toi.

Beaucoup de personnes ignorent royalement cette réflexion. Elles se disent, « ok, je vois à peu près ce qui compte pour moi et je sais surtout ce que je ne veux pas ».

Elles pensent qu’elles le feront peut-être un jour.

Alors, elles changent d’activité, encore et encore. Je sais de quoi je parle, ces dernières années, j’ai créé des jeux-vidéos, des applications de téléphone mobile, des sites internet, exporté du poivre, fait des chemises sur mesure…

Il est plus instinctif de multiplier les activités que de se pencher sur ce qui nous touche vraiment à la base.

Pourquoi ? Parce qu’on nous a appris qu’il fallait mieux avoir un travail plutôt qu’une passion. Parce qu’on nous a dit que l’informatique/la santé/l’ingénierie ça payait bien. Parce qu’on nous a dit que nos choix étaient limités.

Évidemment, certains ne sont pas d’accord avec cette mentalité (moi le premier), alors la solution évidente est de changer d’activité comme de chemise. En se disant, « je vais trouver mieux ailleurs ».

C’est aussi une « petite fuite ».

Se dédouaner de ce qui compte pour soi parce qu’il n’y a pas de « métier » pour ça.

Voilà ce que je te propose :

Découvre et assume ce qui compte à tes yeux.

Tu peux ensuite le mettre à profit dans un métier qui t’offre la structure nécessaire pour pouvoir l’exprimer.

Si tu trouves un emploi en accord avec tes valeurs profondes, tu n’auras pas envie d’en changer. Imagine que tu fasses à la fois quelque chose qui te passionne, qui aide les autres et qui rende le monde meilleur.

Si ce « métier » n’existe pas, crée-le.

Les choses importantes pour toi, elles ne changent pas tous les jours.

Construis ton activité autour de ces choses-là.

Encore une fois : L’important n’est pas ton métier ou ton business qui compte, c’est la raison pour laquelle tu le fais.

Ignorer ce qui t’anime est extrêmement facile. Regarder ce qui compte pour toi en face est autrement plus compliqué.

Quand tu crées ton business, tu es libre de ce que tu vas proposer. Aussi ne crée pas ton business autour d’un métier (Exemple : je vends des légumes bio) mais autour d’une idée qui te tient à cœur (Exemple : je veux proposer une alternative saine à l’alimentation).

De cette manière, ton « métier » ne sera pas une fin en soi mais un moyen d’exprimer ce que compte pour toi (Exemple : si tu veux proposer une alternative saine à l’alimentation, tu peux effectivement vendre des légumes bio, communiquer sur les bienfaits d’une alimentation saine sur internet, faire des conférences, proposer des campagnes de sensibilisation dans les écoles, et des dizaines d’autres « métiers »).

Pour résumer, si tu ne sais pas si tu es fait(e) pour un seul métier ou si tu as peur de créer ton business pour ne pas t’y retrouver bloqué(e), c’est probablement que tu as peur (inconsciemment ou non) de t’engager sur ce qui compte vraiment pour toi.

Tu préfères probablement te dire que ce qui compte pour toi, c’est de pouvoir changer librement de voie. Et c’est sûrement vrai.

La raison pour laquelle tu penses ça, c’est probablement parce que tu ne sais pas ou n’assumes pas ce qui est réellement important pour toi. C’est plus rassurant d’avancer sans jamais t’y confronter et de pouvoir changer de direction en toute occasion.

En tout cas, si tu sens une « douleur » liée au fait de ne pas trouver ta place : trouver ce qui t’anime, c’est un bon endroit pour commencer à la soigner.

Ça pourrait bien te faire sortir d’une impasse.

Ou tu peux continuer de dire que tu ne sais pas si tu es fait(e) pour un seul business ou métier…

Enfin bref, c’est juste une idée.

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Le plus gros risque que tu puisses prendre de ta vie

Dans la plupart des situations qui nous font souffrir au quotidien, la tendance générale est à l’inaction.

Que ce soit une vie morne et monotone, un travail déplaisant, une relation de couple qui bat de l’aile, une relation parentale/filiale conflictuelle, une solitude exacerbée, etc…

L’idée dominante est que si on ne fait rien : ça ne peut pas empirer.

On reste dans du « connu ».

On conserve les bribes d’amour polluées de notre relation plutôt que de risquer de les perdre.

On conserve l’argent gagné à la force de l’ennui et du désespoir plutôt que de risquer de le perdre.

On conserve la sécurité d’une vie creuse et décevante plutôt que de risquer de la perdre.

C’est le mode de protection standard. Le mode zombie.

Toutes les blessures du quotidien renforcent notre positionnement : ne pas agir.

Pourquoi ?

Parce que la souffrance encourue n’engendre pas une réaction radicale.

C’est le principe du terrorisme.

Blesser suffisamment pour ébranler l’adversaire (dans le cas de tes souffrances, toi-même) mais pas suffisamment pour déclencher une guerre totale (dans ton cas un passage à l’action ou un changement de comportement).

Le terrorisme est l’une des pires formes de destruction. Insidieuse. Perfide. Qui s’immisce au plus profond pour causer des dommages internes.

Dans le cas des attentats terroristes, les intrications sont extrêmement complexes car leurs retombées impliquent des vies humaines. Les réactions doivent donc être mesurées avec minutie. Et même si le sujet est d’actualité, ce n’est pas celui que je vais développer dans l’article.

Ce dont je vais te parler, c’est des implications de la non-réaction sur ta propre vie par rapport à tes peurs, tes doutes et tes souffrances.

En d’autres termes, l’inaction face à ton propre terrorisme (les choses qui te blessent profondément mais n’entraînent pas de réaction radicale).

Le terrorisme, vu de l’extérieur est inacceptable. Alors pourquoi s’inflige-t-on tant de blessures destructrices au quotidien sans amorcer de réaction ?

La réponse est simple : parce que notre propre système de défense est la plupart du temps déréglé.

L’école, la société et les médias nous apprennent que nous ne sommes pas assez bons et que nous devons accepter notre condition (et gagner de l’argent et avoir un travail respectable pour montrer notre valeur).

Alors, c’est généralement ce que nous faisons.

On se dit qu’on « aimerait bien » que les choses soient autrement mais que ce n’est « pas pour nous ».

On se dit que ce sera mieux l’année prochaine, ou dans deux ans, ou dans dix.

On se dit que ce n’est pas si mal, que d’autres n’ont pas autant de chance.

Alors on continue dans notre lancée, sans initier de changement.

L’objectif de l’article d’aujourd’hui, c’est de chambouler cette perception.

Le plus gros risque que tu puisses prendre de ta vie, c’est de ne rien faire.

Et comme de simples mots n’auront jamais autant d’impact qu’une bonne réflexion bien personnelle de ta part, je vais te poser quelques questions.

Prends bien le temps d’y répondre, ça peut changer ta vie.

Premièrement, considère l’une de tes souffrances actuelles. Ton travail, ta relation filiale, ton couple, ton logement, ta solitude, etc…

Je suis persuadé que tu as déjà envisagé des tas d’options pour bouleverser cette situation. Des tas d’options que tu n’as probablement jamais concrétisées.

Écris cette souffrance sur un morceau de papier. Telle que tu la ressens, sans te juger.

« J’ai l’impression de passer à côté de ma vie en me levant chaque jour pour faire ce boulot que je déteste »

Ou encore « J’ai l’impression de me gâcher la santé à vouloir constamment plaire à mes parents/mon ou ma conjointe/ma patronne sans jamais y parvenir »

Ou encore « Je me sens si seule dans ma vie »

Prends aussi un instant pour faire venir en toi l’émotion associée à cette douleur.

Une fois qu’elle est bien présente, pose-toi alors cette première question.

Si je faisais quelque chose pour changer cette situation, quelle serait la pire chose qui puisse arriver ?

Tu pourrais perdre ton boulot, ton ou ta conjointe, endommager ta relation parentale ou filiale, te faire rejeter par des individus, etc… ?

Quoi d’autre ? Qu’est-ce qui pourrait se passer de pire ?

Note-le.

À partir de cette situation catastrophe, pose-toi la question suivante :

Comment pourrais-je m’en remettre ?

Tu pourrais trouver un nouveau travail, éventuellement dans une autre branche, tu pourrais commencer une nouvelle relation de couple, tu pourrais reconstruire une relation plus saine avec tes géniteurs ou ta progéniture, tu pourrais affiner tes compétences sociales, etc…

Appelons l’enchainement de ces deux évènements (scénario catastrophe + reconstruction), la situation 1.

Note-la sur ton morceau de papier (ou idéalement dans un carnet).

À présent, imaginons que tu ne sois jamais passé(e) à l’action. Pose-toi la question suivante :

Si je ne fais rien pour changer la situation, qu’est-ce qui va se passer dans les prochains temps ?

Imagine que la situation qui te fait souffrir perdure. Ton travail insatisfaisant, ta relation dysfonctionnelle, ta solitude, etc… ?

Imagine ta vie dans un an, deux ans, dix ou vingt ans ?

Si tu es en surpoids et que ça te met mal à l’aise, crois-tu que ce sera différent dans 5 ans ?

Si tu détestes ton travail ? Si tu es célibataire malgré toi ? Si tu ne supportes plus ton ou ta conjointe/ta mère ou ton père ?

Si tu es malheureux(se) dans ta vie actuellement et que tu ne fais rien, crois-tu que ce sera différent dans 20 ans ?

Appelons-ça la situation 2.

Note-la également.

À présent, compare les deux situations.

Qu’en penses-tu ?

Laquelle te semble la plus intéressante pour toi ?

Souvent, le plus gros risque que tu puisses prendre, c’est de ne rien faire.

Et maintenant, j’aimerais ajouter la touche finale, celle qui vient sublimer ta prise de décision, la situation 3 :

Si tu entreprenais une action pour remédier à ta souffrance et que cette action soignait complètement ta douleur ?

Que tu apprécies enfin ton travail ou que tu en trouves un que tu aimes, que tu répares ta relation de couple ou que tu en recommences une sur de nouvelles bases, que tu renforces ton lien familial, que tu rencontres de nouvelles personnes avec qui tu t’entends vraiment bien, etc… ?

Comment ce serait ?

Imagine la situation en détail.

Plonge-t’y dedans.

Alors, quel est le plus gros risque que tu puisses prendre de ta vie ?

J’espère que cet article aura au moins fais vaciller le mode de raisonnement standard qui prône l’inaction pour sauvegarder un existant médiocre.

J’espère que cette réflexion t’aidera à vivre selon tes propres standards.

La vie est éphémère, fragile, et ne tient parfois à pas grand-chose.

Je t’invite à affronter tes peurs.

Je t’invite à prendre le risque d’une vie meilleure.

Je t’invite à vivre tout court.

Et comme d’habitude, si l’article t’a plu, pense à le partager. C’est grâce à l’action de chacun que les idées se propagent. Merci à toi de faire passer le mot.

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4 questions pour savoir si tu devrais changer de travail (et trouver ton travail idéal)

« Il y a un moment où tu devrais commencer à faire ce dont tu as envie. Faire un travail que tu aimes. Te lever avec plaisir le matin. Je pense que c’est de la folie de faire un travail que tu n’aimes pas juste pour faire bien sur ton CV. Ne trouves-tu pas que c’est un peu comme si tu attendais d’être vieux pour être actif sexuellement ? »

― Warren Buffett

Aujourd’hui, j’aimerais te parler d’une chose qui prend beaucoup de temps et d’importance dans la vie de la plupart des gens : le travail.

Plus spécifiquement : ton travail.

L’objectif de cet article, c’est que tu réalises si ton travail actuel (ou celui que tu cherches) vaut la peine que tu le continues (ou que tu continues de le chercher).

Et si ce n’est pas le cas, je vais te présenter des alternatives.

Ton travail occupe et occupera probablement une grande partie de ta vie.

Autant faire en sorte que ces dizaines de milliers d’heures soient agréables à vivre.

Et le seul moyen de rendre ton temps de travail vraiment satisfaisant, c’est de savoir que tu fais quelque chose de bien.

Quelque chose que TU trouves bien.

Par exemple, avoir la conviction profonde que tu aides des gens à profiter de leur vie (coach, animateur(trice) d’évènements, organisateur(trice) de voyages, etc…), ou alors savoir que tu apportes du réconfort à ceux qui en ont besoin (thérapeutes en tout genre, médecin, etc…), ou que tu permets aux gens de se sentir bien (restaurateur(trice), prof de yoga, humoriste, esthéticien(ne), etc…), ou bien que tu aides les gens à devenir meilleurs (professeur(se), coach sportif, maître spirituel, etc…), ou encore que tu aides à comprendre le monde et faire en sorte qu’il devienne un meilleur endroit (chercheur en énergies renouvelables, scientifique, astrophysicien, etc…).

Peu importe ce que c’est, pour être satisfait(e) de ton travail, il faut que tu aies la conviction que ce que tu fais est bien.

Et quand je parle de conviction, cela veut dire que tu en es personnellement persuadé(e).

Prenons par exemple deux boulangers. Les deux apportent sensiblement un service identique.

Cependant, admettons qu’il y en a un qui fait ce métier parce que c’est bien payé et qu’il a ses après-midi de libre et que l’autre fait ce métier parce qu’il aime voir le sourire de ses client lorsqu’ils achètent ses créations.

D’après toi, lequel est le plus motivé à se lever le matin ?

Le second, bien entendu !

Savoir que tu fais quelque chose de bien et le ressentir sont deux choses très différentes.

Tu peux déjà te poser deux questions :

Est-ce que tu penses faire quelque chose de bien dans ton travail ?

Est-ce que tu ressens de la satisfaction à offrir ce que tu offres ?

C’est une bonne réflexion de base pour voir si ton travail te convient.

Mais ce n’est pas tout.

Pour faire quelque chose de bien, et le ressentir, le seul moyen est d’aimer ce que tu fais.

C’est simple :

Tu ne peux pas vraiment faire quelque chose de bien si tu n’aimes pas le faire.

Tu crois que Picasso serait devenu peintre s’il n’aimait pas la peinture ?

Tu crois qu’Einstein aurait inventé toutes ses théories s’il n’aimait pas la physique ?

Tu crois que Michael Jordan serait devenu multiple champion NBA s’il n’aimait pas le basketball ?

Pour avoir la conviction que tu fais quelque chose de bien, il faut que tu aimes ce que tu fais.

La troisième question que tu peux te poser, c’est donc :

Est-ce que tu aimes ce que tu fais dans ton travail ?

Si oui, tant mieux.

Si non, on arrive aux réactions (excuses) les plus fréquentes :

  • « Mais je ne sais pas vraiment ce que j’aime, ni ce que j’ai envie de faire de ma vie, ni quelles sont mes passions, et encore moins quel travail je pourrais faire. »
  • « J’aime tellement de choses, est-ce que j’arriverais réellement à trouver la bonne ? »
  • « Si je trouve mon boulot idéal, je suis pas sûr que ça paye le loyer (et les cours de poney des enfants, les vacances à cap breton, etc…)… »
  • « Euh… je ne pense pas que j’ai les connaissances nécessaires pour faire ce genre de travail. J’aurais l’impression d’être incompétent(e). »
  • « Je suis trop vieux(vieille)/jeune/gros(se)/con(ne)/etc… »
  • « Je sais pas DU TOUT par où commencer… »
  • « Ce ne serait pas gérable du point de vue de ma famille, ils ne l’accepteraient jamais »
  • « Pas le temps ! Trop de chose à faire. Les enfants, la famille, le boulot. Overbooké mon pote ! Je file ! »

Ça te dit quelque chose ?

Toutes ces réactions, elles sont super communes. Pourtant ce ne sont que des excuses.

Et toutes ces excuses, elles t’empêchent de faire quelque chose que tu aimes vraiment.

Tu n’as pas à poursuivre une vie et un travail que tu n’aimes pas.

Même si ça paraît « sécuritaire ». Même si les autres te disent que c’est mieux pour toi.

Le vrai risque, c’est de passer ton temps de vie à faire un travail qui ne te plaît pas. Et des choses (autre que le travail) qui ne te plaisent pas.

Si tu passes ta vie comme ça, à quel moment tu vas faire de la place à ce qui compte pour toi ?

À quel moment tu vas vraiment vivre TA vie ?

Après ? Quand tu seras mort(e) ?

La vie, c’est maintenant, que tu ne sois pas majeur(e) ou que tu aies plus de 80 ans.

Tu n’as pas à vivre comme les autres s’y attendent.

C’est le credo de pleindetrucs.fr.

C’est mon message pour toi.

C’est mon message pour le monde.

Alors si l’idée de faire un travail et mener ta vie ne te fait pas hurler en disant « WOOOOOOOOOOOAAAAH ! C’est génial ! C’est ÇA que je veux faire de ma vie ! »

Alors CHERCHE ENCORE !

Cherche, chaque jour.

Si tu ne sais pas ce que tu veux faire de ta vie, c’est parce que ton cerveau est endormi.

Endormi par la routine.

Endormi par les médias.

Endormi par le bazar, les pubs, les cadeaux, les gadgets, le bruit.

Endormi par la société et la voix molle des zombies.

Tu n’as pas à vivre une existence semi-consciente.

À moins que tu la cautionnes, que tu passes ta vie à prétendre accepter cette condition.

Puis éventuellement avoir le regret numéro 1 des mourants :

« J’aurais aimé avoir eu le courage de vivre la vie que je voulais vraiment, pas celle que les autres attendaient de moi. »

Cette vie-là, elle convient peut-être à certains…

Alors, la quatrième question que tu peux te poser, c’est :

Est-ce que cette vie semi-consciente et dictée par les autres te convient à toi ?

Si oui… comment tu t’es retrouvé(e) sur mon blog ? Non sérieux ? Je vois pas du tout là.

Si non, je voudrais te montrer une alternative :

Trouver ce que tu aimes et gagner de l’argent en le faisant.

Alors, comment ça marche ?

Étape 1, trouver ce que tu aimes.

Étape 2, trouver comment gagner de l’argent avec.

Étape 3, gagner de l’argent en faisant ce que tu aimes.

C’est simple. Simple mais pas facile. Grosse différence mon pote !

Et ça demande du temps et de l’investissement personnel.

Concrètement, qu’est-ce que tu peux faire aujourd’hui pour te diriger dans cette voie ?

Tu peux passer à l’étape 1 : trouver ce que tu aimes.

Tu peux donc commencer par t’interroger sur ce qui compte vraiment pour toi. Même si tu n’arrives pas à le définir clairement pour l’instant.

Prends une heure et réfléchis à ce qui compte pour toi et comment tu pourrais aider les autres avec ça.

D’ailleurs, si ça t’intéresse que je t’aide avec ça, j’ouvre régulièrement mon programme Easy Business pour t’aider à trouver une offre qui va se vendre, trouver des clients qui vont l’acheter, leur montrer que ce que tu fais et génial et faire rentrer de l’argent sur ton compte en banque.

Clique ici pour en savoir plus sur mon cours de présentation Easy Business.

Tu as le droit d’être exceptionnel(le) et de l’exprimer.

Sans dénigrer les métiers suivants :

Tu imagines Martin Luther King en train de préparer des Big Mac dans un MacDo toute sa vie ?

Ou le Dalaï-Lama travailler à la chaîne dans un abattoir ?

Il est temps de réclamer ton existence, de t’épanouir pour ce que tu es vraiment et d’apporter au monde ce qui te rend remarquable (même si tu ne sais pas encore ce que c’est).

Je pense que le monde serait un meilleur endroit où vivre si chacun mettait ce qui lui tient à cœur à profit.

La mission que je me suis attribuée, c’est de t’aider à trouver et faire un travail que tu aimes.

Pour que chacun puisse rendre le monde meilleur à sa manière.

Je suis un idéaliste ? Et alors ?

C’est comme ça que j’ai envie de vivre ma vie.

Et c’est comme ça que tu as le droit de vivre la tienne !

Bienvenue dans notre révolution.

La révolution des dissidents.

À tout de suite sur ta boîte mail.

Et pense a partager l’article s’il t’a plu.

Merci de m’aider à faire vivre ces idées !