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Comment trouver sa voie professionnelle quand on se sent hors-cadre

«  Je suis en dernière année d’école d’ingé et je sais pas ce que j’y fous ! »

« J’ai peur de ne jamais réussir à trouver ma voie. D’être un cas désespéré. »

« J’ai peur de passer ma vie à faire des choses qui ne m’apportent aucune satisfaction. »

Comment trouver sa voie professionnelle peut être un sujet flippant pour beaucoup de monde. Je le sais, je suis passé par là.

Peut-être que tu apprends très rapidement et que tu es toujours en recherche de changement pour échapper à l’ennui.

Ou peut-être simplement que ce que tu as fait jusqu’à présent ne réveille pas particulièrement ton intérêt.

Et peut-être que tu imagines que trouver sa voie professionnelle , ça veut dire trouver l’activité dans laquelle tu vas vraiment t’épanouir pour le restant de tes jours.

À mon avis, c’est une grosse connerie.

Dans cet article, je te propose une autre définition de trouver sa voie professionnelle et une piste pour le faire.

Écoute bien ça :

Tu ne peux pas savoir précisément aujourd’hui ce que tu voudras faire dans 10 ans, ni même dans 2 ans ou dans 6 mois.

Il n’y a pas une action/métier qui te correspond parfaitement pour le reste de ta vie.

Pourquoi ?

Parce que tu es un(e) humain(e). Tu n’es pas une machine.

Tu n’es pas programmé(e). Tu n’es pas mono-tâche.

Cependant, ça ne veut pas dire pour autant que tu dois changer de profession toutes les deux semaines.

Pour t’épanouir dans une activité, ce n’est pas l’activité en elle-même qui compte, c’est la raison qui te motive à la faire.

Une motivation externe, comme l’argent ou la peur (carotte et bâton), peut-être satisfaisante sur du court terme mais ne te procure aucun bien-être sur le long terme. Et finit par te défoncer ta santé et ton estime de toi.

En revanche, une motivation intrinsèque, c’est-à-dire faire une action pour le seul plaisir de faire cette action, peut t’apporter une grande satisfaction personnelle.

C’est pour ça que des gens passent des heures à apprendre la guitare, à peindre, à faire du sport sans être payés un kopek : pour le simple plaisir de se surpasser et de progresser dans un domaine.

Je t’invite à regarder cette conférence géniale de Dan Pink pour approfondir le sujet :

Si tu cherches à trouver ta voie professionnelle à travers une activité, tu t’enfonces le doigt dans l’œil jusqu’au coude.

Pour trouver ta voie professionnelle, il te faut trouver ce qui te motive.

Ensuite, ton activité sera l’expression de cette motivation.

Voilà un exemple perso pour illustrer le concept. Avant j’étais dégoûté à l’idée de devoir faire la même chose toute ma vie. Ça ne me donnait pas envie le moins du monde.

Cependant, j’avais et j’ai toujours des motivations qui semblent perdurer. J’adore essayer de comprendre les choses. J’adore communiquer des idées. J’adore aider les autres sur les domaines que je maîtrise. J’adore voir leurs progrès.

Tout ça, c’est une partie des choses qui me motivent.

J’adore aussi voyager, écrire, faire du sport, de la musique et un tas d’autres trucs.

Et ça, c’est une partie des choses que j’aime faire.

Grosse différence.

Les choses que tu aimes faire, ça va et ça vient. Il y a quelques années, j’adorais dessiner, j’adorais faire du basket et du freefight, j’adorais faire la fête, et bien d’autres choses encore.

Maintenant, mes centres d’intérêts ont évolué, pas en mieux ni en moins bien mais en différent. Et dessiner ou faire du basket me plaît toujours, mais je n’ai pas envie de le faire tous les jours.

Si j’avais choisi comme voie professionnelle d’être dessinateur ou basketteur pour la seule finalité de faire ce que j’aimais faire, je me serais planté de chemin.

Parce qu’une fois de plus :

L’activité professionnelle que tu fais est moins importante que pourquoi tu la fais.

Du moment que tu choisis ton activité en fonction de tes motivations profondes et de tes valeurs, tu es libre de l’expression de ces dernières.

Alors arrête de te demander comment trouver ta voie professionnelle et focalise-toi plutôt sur comment trouver ce qui te motive.

À partir de là, tu seras libre de trouver n’importe quelle activité qui satisfasse ces conditions. Je pourrais éventuellement être dessinateur toute ma vie si cela me permet de satisfaire une de mes motivations profondes, par exemple communiquer des idées. Et dans ce cas, ma voie ne serait pas de « dessiner » mais de « communiquer des idées à travers le dessin ».

Et si tu ne trouves pas d’activité qui te correspond, tu pourras alors trouver un moyen en accord avec tes motivations profondes qui te permet d’aider les autres, et tu sauras exactement quelle activité il te reste à créer.

En d’autres termes :

Ce que tu aimes faire, ça peut changer avec le temps.

Ce que tu aimes vraiment : tes motivations profondes, tes valeurs, elles, changent beaucoup moins.

Par exemple si tu as des valeurs humanitaires et un profond respect pour les êtres humains, il y a peu de chances que dans 2 ans, tu commences à exploiter des enfants dans un pays émergeant pour créer des chaussures bon marché.

En revanche, si tu aimes aller en boîte et boire comme un trou, peut-être que dans 2 ans, ça te paraîtra moins intéressant qu’à l’heure actuelle !

Je le répète : tes désirs d’activité peuvent changer facilement, tes valeurs et tes motivations sont plus fermement ancrées.

Alors, au lieu de baser ta voie professionnelle sur les activités que tu peux faire, essaye de la baser sur tes motivations profondes et tes valeurs.

Évidemment, ça demande davantage de réflexion que de choisir bêtement un job après l’autre, mais j’imagine que si tu as lu cet article jusque-là, c’est que tu n’es pas n’importe quel quidam qui ère dans l’existence comme un zombie, et que tu as déjà le courage de réfléchir à ce genre de choses.

J’espère que cette piste te fera cogiter.

Et si tu n’étais pas arrivé(e) à trouver ta voie professionnelle jusque-là, maintenant, tu as une explication de pourquoi. Ce n’était pas vraiment ta faute. Juste une conception erronée du travail que nous envoie la société.

Tu es humain. Tu as un pouvoir énorme si tu as le courage de l’utiliser.

Ta voie ne se définit pas par un métier.

Ta voie se définit par qui tu es et qui tu veux être.

Tu n’as pas à vivre comme les autres s’y attendent.

Et merci de partager l’article amig@ ! Ces idées, c’est aussi les tiennes. Vive les dissidents !

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Bilan 2015 – Projets 2016

Et hop, encore une bonne grosse année au compteur !

La suivante arrive à toute allure, peu importe qu’on y soit préparé ou non.

Alors, je me dis que c’est un bon moment pour faire une pause, une petite rétrospective des 365 jours passés, histoire de voir ce qui a compté pour prendre un peu de recul et dessiner les contours de l’avenir vers lequel se diriger.

Bien entendu, je t’invite à faire la même chose : poser un regard frais sur 2015 afin de te donner des pistes pour 2016.

Pour ma part, je voudrais vous dire à tous un méga-merci.

C’est génial d’être lu par des gens aussi cool, volontaires, créatifs et enthousiastes que vous.

Alors, merci de me lire. Merci de partager mes idées. Et merci pour tous vos mails, ça me fait super plaisir 😉 J’essaye de répondre à tout le monde, même si j’en reçois parfois beaucoup (des fois 30 par jour !) et que certains atterrissent dans mes spams ^^

Vous allez faire des choses exceptionnelles cette année aussi, j’en suis sûr ! Et je compte bien continuer de partager mes idées sur le blog pour vous y aider !

Tout comme l’année dernière, je réalise que le plus important dans ma vie, c’est de me connecter aux autres et de vivre avec eux leurs joies et leurs peines tout en partageant les miennes.

Et là, je vais placer un paquet de trucs personnels et émotionnels, alors si tu veux aller direct à la fin pour voir le programme de 2016, tu es libre de sauter les prochains paragraphes !

Déjà, merci à mon incroyable Yoyo de m’apporter sa joie de vivre intarissable, ses éclats de rire et son sourire qui font chavirer la plus sombre journée en un instant suspendu, paisible, lumineux et confortable. Merci d’être là et de briller devant moi avec ta légèreté et ton enthousiasme.

Merci à mes amis d’être présents, ceux avec qui je parle chaque jour comme ceux qui restent dans un coin de ma tête, même lorsque vous êtes à des milliers de kilomètres. Je sais pas si vous vous rendez compte à quel point vous êtes précieux pour moi. Sur chaque chose que j’accomplis, il y a votre empreinte. Merci.

Merci à mes parents pour leur soutien inconditionnel, même si je sais que je ne fais pas les choix de vie les plus « classiques ». Merci d’accepter ça. Je suis fier de vous avoir.

Merci à toutes les personnes que j’ai rencontrées, en France comme ailleurs, sur le net ou en vrai. Merci pour ces moments magiques, en stop sur le toit d’un camion, sous une tente givrée dans la Cordillère des Andes, autour d’un bon repas cuisiné ensemble, ou derrière nos écrans à discuter. Merci d’avoir partagé un fragment d’existence avec moi. Merci pour votre ouverture. C’était une année du tonnerre !!

De manière un peu plus concrète, voilà un certain nombre de trucs que j’ai fait :

  • J’ai publié au minimum un article par semaine toute l’année (et j’en suis assez fier parce que c’est pas évident de tenir le rythme quand t’es paumé au milieu des montagnes Boliviennes sans aucune connexion internet !)
  • J’ai écrit deux livres (ok, un et demi vu que j’avais commencé celui sur le sommeil polyphasique fin 2014) dont ma méthode détaillée de 201 pages pour profiter à fond de la vie
  • J’ai fait quelques treks de plusieurs jours en haute montagne (jusqu’à 4750 mètres à Punta Union au Pérou)
  • J’ai voyagé pendant 6 mois en Amérique du sud
  • Je suis allé au Machu Picchu
  • Je suis allé aux Galápagos ! Et vu des tas d’animaux incroyables
  • J’ai plongé avec des requins marteaux
  • J’ai sauté en parachute
  • J’ai appris l’espagnol
  • J’ai un peu progressé en guitare
  • J’ai commencé le piano (même si je suis nul pour l’instant ^^)

Il y a aussi un tas de choses que je n’ai pas faites et un tas d’autres sur lesquelles je me suis planté. Je me suis retrouvé dans des grosses galères. J’ai parfois bossé comme un malade (plus de 16h par jour) sur le blog et les livres. Je me suis énervé. J’ai eu peur. J’ai douté.

Et tout ça fait bien sûr partie de l’équation. Chaque accomplissement implique son lot d’investissement.

On a rien sans rien comme le dit le vieil adage !

Ensuite, c’est à chacun d’en tirer des apprentissages.

Je pense que la vie, c’est une vision de l’esprit et qu’il faut s’équiper d’une bonne paire de lunettes.

Je pense que pour se sentir bien, il faut vivre en accord avec ses valeurs et ses croyances.

Je pense que poursuivre ses rêves est une belle manière de vivre.

Et pour cette année 2016, je vais faire de mon mieux pour t’aider à en accomplir certains :

  • Gagner de l’argent en faisant ce que tu aimes (sans nécessairement quitter ton boulot dès le début) – Je prévois même une formation en 3 mois (bon, c’est juste un projet… c’est pas pour demain quoi ^^)
  • Mieux gérer ton argent – Économiser, consommer moins, investir, etc…
  • Trouver du temps – Pour mieux t’organiser, souffler et atteindre tes objectifs

Bien sûr, je compte encore voyager (là, je suis en France pour au moins un mois, peut-être plus !), probablement au Japon (mais j’en sais rien en fait ^^), et je continuerai de te donner des conseils de voyage !

Et souviens-toi que peu importe qu’on soit en 2015, 2016 ou 2060, c’est pas le numéro de l’année qui va t’apporter de la satisfaction dans ta vie, c’est ce que tu vas faire de cette année.

2016 sera une belle année seulement si tu fais en sorte qu’elle le soit.

Alors, je te souhaite d’accomplir les choses qui te tiennent à cœur, réaliser tes rêves, surmonter tes peurs, rire, jouer, prendre les gens que tu aimes dans tes bras, apprécier les rayons du soleil sur ta peau et croquer des fruits délicieux !

Personne ne peut le faire à ta place.

Je te souhaite une excellente année 2016 amig@ !

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Comment surmonter la peur de l’échec

Peut-être que tu es parfois en prise au terrible : « Je vais pas y arriver ». L’effroyable peur de l’échec.

Que ce soit pour créer ton propre business, commencer la guitare, apprendre une nouvelle langue ou partir tout(e) seul(e) à l’autre bout de la planète, la peur de l’échec pointe le bout de son nez.

Il y a cette voix dans ta tête qui te dit « Et si ça ne marchait pas » et « Je n’ai pas envie de faire tous ces efforts pour RIEN » ou encore « Je ne sais pas comment passer à l’étape suivante » ou tout simplement « J’ai peur de l’échec ».

Et cette voix, elle te retient de passer à l’action, comme des chaînes invisibles et pourtant très solides.

Aujourd’hui, je te propose un moyen de les faire exploser.

Et là, il y a deux trucs à prendre en compte :

Premièrement, la peur de l’échec ne s’en va jamais. Paf dans ton * fuchsbau* !

Deuxièmement, tu peux quand même surmonter ta peur de l’échec. Ouf, on a eu chaud !

Échouer, c’est quelque chose d’assez commun en somme.

Par exemple, un bébé qui apprend à marcher échoue des dizaines de fois, voire des centaines avant de tituber maladroitement sur ses petites gambettes. Un jour, éventuellement, il arrive à marcher.

Tout processus d’apprentissage est similaire.

Personne n’a la science infuse.

Les échecs amènent au succès.

Papi Winston Churchill présente les choses sous cet angle :

« Le succès c’est d’aller d’échec en échec sans perdre ton enthousiasme gamin. »

Alors évidemment, ça fait peur de se planter.

Et c’est là que je te présente le code secret que j’utilise pour surmonter la peur de l’échec :

N’envisage pas l’échec.

Ça ne veut pas dire que tu ne vas pas échouer. Perso, je me ramasse la gueule trois fois par semaine !

Ça veut dire que quand tu commences un truc, n’importe quoi, tu le fais de tout ton cœur sans envisager que tu vas échouer.

Comme le disait mon prof de judo, Jean-Claude Yoda :

« N’essaie pas. Fais-le, ou ne le fais pas. Il n’y a pas d’essai. »

Quand j’ai quitté ma situation « confortable » CDI, BMW, villa pour créer mon entreprise de jeux-vidéo et bosser avec une ONG au Cambodge, tout le monde m’a demandé horrifié : « Olala mais si ça ne marche pas, que tu n’arrives pas à t’en sortir, comment tu vas faire ? »

Et ma réponse : « Plan B : pas de plan B ».

Alors là, attention, j’introduis une méga-nuance : ça ne veut pas dire que je faisais ça sur un coup de tête, ni que je sautais dans la gueule du loup sans aucune préparation, loin de là.

Ça veut dire que je ne me laissais pas d’autre issue possible que la réussite. En pratique, j’avais un matelas financier assez confortable, et je savais très bien que je pouvais toujours retrouver un travail d’employé en cas de grosse galère.

Le truc, c’est que ce n’était pas réellement une option que je m’autorisais à prendre.

Si tu t’autorises à échouer, tu vas échouer.

Pourquoi ?

Parce que ton cerveau envisage une fuite dans l’échec.

Du genre « Si je n’y arrive pas, je peux toujours faire ceci ou cela ».

Et la dure et froide vérité, c’est que tu vas échouer. Des tas de fois. Tout comme j’ai échoué des tas de fois.

Mais ce n’est pas grave. Parce que ce n’est pas une fin en soi.

Nouveau tatouage pour ton front :

« L’échec n’est pas une fin en soi, c’est une étape vers la réussite »

– Damien Fauché, pleindetrucs.fr. Auto-citation power !

Concrètement, tu vas te manger les dents cinquante fois. Tu vas te dire que c’est trop dur. Tu vas vouloir abandonner.

Ça fait partie du processus.

Et un beau jour, tu vas voir que tous tes efforts ont payé.

Tu vas encaisser un chèque de 8000€.

Tu vas voir un levé de soleil sur la Cordillère des Andes et ce sera juste parfait.

Tu vas partager un repas avec des minorités autochtones dans l’arrière-pays Chinois et tu t’y sentiras comme chez toi. Cf. photo en haut de l’article.

Et à ce moment-là, tu réaliseras que chaque seconde de doute qui t’a mené jusqu’ici en valait la peine.

Ce qui est sûr, c’est que si tu ne tentes rien, rien de nouveau ne va arriver.

Comment surmonter la peur de l’échec ?

En l’accueillant à bras ouvert.

Voilà le script que tu peux te graver au fond de ton être :

« Oui, je vais me planter. Non, ce n’est pas une fin en soi. L’échec est seulement une étape vers le succès et peu importe le nombre de fois où je vais échouer, à la fin, j’atteindrai mon objectif. Il n’y a pas d’autre option ».

La société nous encourage à ne pas prendre de risque, à ne rien tenter pour ne pas se taper la honte de nos échecs. C’est naze.

Vivre, c’est prendre des risques mesurés. Pas des risques mortels, hein, on est bien d’accord.

Quand je dis « pas de plan B », ce n’est pas tout à fait exact. Prépare tout de même une solution de secours (et prépare-la bien). Par contre, ne l’envisage pas comme une option possible en cas de difficulté. Considère-la plutôt comme un échappatoire en cas de catastrophe.

Quand un avion décolle, il y a un plan B qui implique des masques à oxygène, des parachutes, des pertes humaines et des centaines de milliers d’euros de dommages matériels. Les plan B, ça pue du *brushmol*.

Si tu décolles, c’est pour arriver à destination.

Souris. Profite de la vie. Maintenant.

Je te souhaite une bonne continuation dans tes projets !

Et si tu veux m’aider à secouer le monde avec ces idées, merci de partager l’article amig@. Les idées ne servent à rien si elles ne sont pas diffusées. Ton rôle est super important 🙂

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par Damien Fauché - pleindetrucs.fr

Manifeste : Une brève invitation à gagner ta vie en poursuivant tes rêves

► Nous pouvons changer le monde, chacun à notre échelle.

► Nous pouvons gagner nos vies en améliorant celle des autres.

► Nous pouvons poursuivre nos propres rêves tout en gagnant de l’argent.

Il est temps que chacun d’entre nous se réveille pour faire bouger les choses.

J’ai écrit un manifeste dans lequel je t’invite à gagner ta vie en poursuivant tes rêves tout en ayant un impact positif autour de toi. Enjoy :

► Édit : le livre n’est plus offert, à la place, j’offre un mini-cours pour devenir indépendant(e).

Tu veux contribuer ?

Ce manifeste est complètement gratuit. Si tu veux m’aider à ce qu’il atteigne davantage de monde, merci de le partager avec toutes celles et ceux que ça pourrait intéresser – par email, sur tes réseaux sociaux ou encore sur ton propre blog. Merci ^^

Nous sommes responsables de ce que nous faisons de nos vies

Profite bien de la tienne !

 

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Damien au Cambodge, pleindetrucs.fr

Mon financement pour mener cette vie-là

Souvent, on me demande où j’ai trouvé l’argent pour mener la vie que je mène.

Dans cet article, je vais expliquer ça.

L’objectif, c’est de te montrer une manière de se financer pour sortir de la « vie normale ».

D’abord en phase de salariat.

Puis en phase d’entreprenariat.

Tu es bien entendu libre de l’appliquer ou non.

 

1. Le salariat

En 2010, au mois de Mars, je termine mes études (BAC S puis licence en arts-lettres-langues et enfin concepteur de jeux vidéo).

Pas le temps de chercher un travail, on me propose du boulot dès la semaine qui suit mon dernier diplôme.

Je plonge dans la vie normale.

Pendant environ 2 ans et demi, je suis employé.

J’ai un salaire moyen, disons 1500€.

Ce qui fait 1500 x 12 = 18000€ par an.

Pendant cette même période (2 ans et demi donc), je mets environ 30000€ de côté. Lire la suite…