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Le tabou de l’argent : Comment ne pas passer sa vie à la gagner

PLeinDeTrucs.fr

Mais pourquoi tu parles toujours d’argent ? »

La phrase sonnait comme un reproche. Il était un peu plus de 20h, nous étions assis sur l’herbe au bord d’une falaise et le soleil se couchait dans l’océan.

Sur le coup, je ne comprenais pas pourquoi elle me disait ça. J’hausse un sourcil en la regardant. Elle enchaîne : « Tu sais, hier quand on parlait avec T. tu lui as demandé combien il gagnait en tant que surfeur pro ».

« Et alors ? »

« Bin c’est bizarre quand même. Et le jour d’avant t’as demandé à J. combien coûtait sa maison ».

Je souris gentiment. C’est ça qu’elle entendait par « toujours parler d’argent ». Je lui répondis que ça m’intéressait.

Cette remarque, je l’avais déjà entendu une paire de fois. Et je la trouvais étrange : Pour certaines personnes, parler ouvertement d’argent, c’était trop en parler.

C’est vrai que de manière générale, les gens ne parlent pas d’argent. Comme si aborder le sujet réveillait une sombre magie vaudou qui leur brûlait la langue et les oreilles. Et quand le thème est mis sur le tapis ils disent que « pour eux ce n’est pas important »…

Pas important ? Ils sont sous LSD ou quoi ! Ces même gens qui passent leurs journées à bosser pour des ronds. Si l’argent n’était pas important, ils n’auraient rien de mieux à faire ?

Bien sûr que l’argent est important ! Et je connais personne qui cracherait sur un million d’euros. Pas même mes amis hippies.

L’argent est important et c’est en grande partie pour ça qu’on travaille autant. Ne pas le reconnaître, c’est se voiler la face.

Et comme l’argent est important, c’est normal d’y accorder son attention. Comme pour un ami.

Si tu disais d’un ami « il n’est pas important pour moi », tu crois qu’il resterait longtemps à tes côtés ? Bien sûr que non. L’argent, c’est pareil.

L’argent est une composante de la vie en société. Pas la plus importante, loin de là, mais importante quand même. Et c’est donc normal d’en parler.

Quand tu as de quoi te payer un toit sur la tête, de quoi manger et de quoi te divertir, tu peux accorder ta pleine attention à ce qui compte vraiment : tes relations et ton épanouissement personnel.

Il y quelques années, je ne pensais pas vraiment à l’argent. J’avais plus ou moins accepté le statu quo : ne pas parler d’argent, consacrer 5 jours par semaine à en gagner et cotiser patiemment jusqu’à la retraite. Je voyais aucune autre option.

Jusqu’à ce que je me mette à questionner cette « normalité ». À réaliser à quel point c’était étrange de ne pas réfléchir et parler ouvertement d’argent alors que l’essentiel de nos vies éveillées est consacrée à en gagner.

En regardant (enfin) le sujet en face, j’ai cherché des alternatives. C’est comme ça que j’en suis arrivé à entreprendre, à investir, à raffiner mon concept d’Homme Libre au Repos.

Et j’ai réalisé quelque chose : investir son temps, son énergie et son argent pour « comprendre l’argent », c’est un des trucs les plus utiles au monde. Parce que ça te permet de gagner plus d’argent sans faire plus d’efforts. Et par conséquent, ça te libère du temps pour faire d’autres choses : voyager, lire, surfer, passer du temps avec les gens que t’aimes.

Aujourd’hui, j’ai la chance d’en profiter tous les jour. Tout ça parce que j’ai osé briser le tabou de l’argent et commencé à réfléchir au sujet.

C’est pour ça que je parle d’argent. Que je reste à l’affût des opportunités. Que je demande combien coûte une maison dans un quartier qui me plaît.

Il y a des gens qui foncent les yeux fermés dans le tunnel du quotidien sans réaliser que l’essentiel de leur vie glisse entre leurs doigts à la poursuite de l’argent. Et d’autres qui réalisent l’absurdité de la chose et qui y réfléchissent délibérément.

L’argent, c’est pas un sujet mystique à éviter, c’est quelque chose qui fait partie de notre quotidien.

Et selon notre rapport avec lui, il peut nous aliéner ou nous libérer.

Alors pense à l’argent. Parles-en.

Parce que tes choix financiers déterminent en partie la qualité de la vie que tu vas mener.

– Damien | Investisseur Vaudou

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Le piège de l’identité et mes projets pour la suite

*Lutin*…

Je m’en étais pas rendu compte…

Mais je suis tombé dans un piège.

Ça craint.

J’étais en train de m’enfermer dans une petite boîte.

Voilà comment ça s’est passé :

Jusque-là, tout va bien ! C’est une super aventure.

Et là…

Mine de rien, je réalise que je me dirige de plus en plus du côté « Consultant en business ».

Et dans une certaine mesure c’était une bonne chose… mais tu vas voir où ça m’a mené !

Même si mes propres business et mes investissements me permettent de gagner ma vie…

…une grosse partie de mon temps est consacrée à enseigner l’entrepreneuriat.

Via des formations et via de l’accompagnement perso.

Et d’une part, c’est vraiment cool et gratifiant :

Parce que c’est super valorisant de transmettre mes compétences et voir mes clients trouver à leur tour leurs propres clients et gagner leur vie en faisant ce qu’ils aiment.

Mais d’autre part ça limite considérablement mon identité :

Je deviens principalement un « Consultant en business » et c’est ce qui occupe l’essentiel de mes journées.

Pendant un certain temps, c’était exactement ce que je VOULAIS faire :

Partager au maximum mes compétences en entrepreneuriat et aider mes clients à gagner leur vie hors des sentiers battus.

Et c’était génial parce que j’avais le sentiment d’apporter une approche fraîche et différente de l’entrepreneuriat.

Mais ces derniers temps, le milieu de la formation online a commencé à devenir de plus en plus à la mode.

On voit de plus en plus de formations pour « gagner sa vie sur internet » avec des systèmes « marketing » pour « vendre en boucle ».

Les pubs sur Facebook se multiplient et les promesses sont de plus en plus alléchantes.

Comme s’il suffisait de connaître une « recette secrète » pour gagner des fortunes sans lever le petit doigts.

Je trouve ça débile.

Parce qu’à mes yeux, entreprendre, c’est apporter de la valeur à un public donné.

Pas connaître une série de tactiques préformatées.

Comme s’il suffisait de créer un ebook ou une formation et mettre en place un tunnel de vente pour gagner sa vie online sans se soucier du public que l’on sert et ce qu’on lui apporte.

Ça m’énerve !

Mais ça vend.

Parce qu’un tas de gens sont obnubilés par ces promesses de gain facile.

Alors ils achètent formation sur formation dans l’espoir d’une solution miracle.

Et le milieu de la nouvelle vague d’entrepreneuriat sponsorisée par la pub Facebook commence un peu à me sortir par les yeux.

Petite digression pour te dire à quel point c’est foireux :

Certains « formateurs » encouragent à créer des formations en DEUX jours !

N’importe quoi !!!

Il m’a fallu 5 mois pour créer la formation qui m’as pris le MOINS de temps à créer.

Et ça fait plus de 3 ans que je fais évoluer ma formation Easy Business.

Je ne dis pas que leurs « systèmes » ne marchent pas parce que ça marche au moins pour eux, je dis juste que ça me saoule. Grave.

Bref… le milieu des formations internet est furieusement vicié et on trouve de tout et n’importe quoi.

Fin de la digression ^^

De mon côté, avant même que ça devienne la mode, j’ai créé les formations que j’aurais aimé avoir quand j’ai commencé mon aventure entrepreneuriale.

Et je les ai créées avec mes tripes pour accompagner les dissidents qui veulent se lancer dans leur propre aventure.

Ça s’est fait petit à petit et c’était satisfaisant.

Mais aujourd’hui je me sens coincé dans cette identité de formateur en entrepreneuriat au milieu du brouhaha ambiant.

À partager la scène avec la bande des « magiciens » qui te promettent monts et merveilles sans effort…

…tout en chiant sur ma vision utopique où chaque personne qui le souhaite pourrait développer un business plein de sens afin d’apporter sa touche personnelle autour de soi.

En d’autres termes :

Ce qui avait commencé comme une expédition idéaliste sur des océans peu explorés est devenu un barbotage cacophonique sur la côte d’azur.

Certes, vu que je me démarque pas mal du lot, je m’en sors plutôt bien…

…mais l’environnement a perdu de son attrait à mes yeux.

Résultat aujourd’hui :

Même si l’entrepreneuriat est toujours MÉGA important dans mon style de vie, ça me gave un peu de parler MAJORITAIREMENT de ça.

Parce qu’il y a un tas d’autres sujets qui m’intéressent !

Notamment EXPÉRIMENTER de nouveaux trucs 😀

Je me suis retrouvé piégé dans le confort de cette identité de consultant/formateur en business en laissant un peu de côté le reste.

Et même si c’est une partie de mon activité que je kiffe et que je veux garder – notamment parce que j’adore ma relation avec mes clients :p − je veux m’accorder plus de temps à explorer plein de trucs (point fr biatch !).

Donc voilà le topo :

Je vais laisser mes formations accessibles tout le temps et je prendrais juste quelques clients en accompagnement sans faire de gros lancements.

C’est mon plan pour le moment.

En parallèle de ça, je vais explorer d’autres pistes de financement hors des sentiers battus, je te raconterai ça au fur et à mesure. Héhéhé ^^

Et je vais re-parler de sujets que j’avais mis un peu de côté parce qu’ils étaient pas directement liés à l’entrepreneuriat.

Genre la gestion des finances et le minimalisme par exemple.

Parce que c’est des aspects méga-importants pour mener une vie libre et pleine de sens.

Ce que tu peux retirer de cet article

Fais gaffe à l’identité que tu te construis.

Parce que ce qui te semble bien à un moment donné peut changer en fonction du contexte extérieur (dans mon cas l’avènement des « formations crées en deux jours » et la « mode de l’entrepreneuriat ») et en fonction de qui tu veux devenir (dans mon cas ne pas m’enliser dans le rôle de formateur/consultant et continuer mes aventures philosophico-entrepreneuriales !).

C’est le genre de réalisations qui ne nous sautent pas au visage sur le coup mais qui nous emprisonnent petit à petit.

Par exemple :

  • Tu es fou(lle) amoureux(se) et au bout de quelques années ta relation se transforme petit à petit en conflit permanent
  • Tu voulais devenir avocat(e) parce que t’avais un désir de justice puis t’as gravi les échelons, t’es devenu juge et malgré le statut social, tu détestes ton boulot qui n’a plus rien à voir avec les raisons pour lesquelles tu avais commencé
  • Tu voulais déménager dans le sud parce que tu voulais du soleil mais tu te retrouves isolé de tes amis et de ta famille et t’arrives pas à t’adapter

Ce qui commençait par une bonne idée est devenu une obligation par habitude.

Et t’as un sentiment moisoche et difficilement descriptible de « qu’est-ce qui a bien pu déconner en cours de route ».

La bonne nouvelle, c’est qu’en étant attentif(ve) à ce sentiment, tu peux identifier ce qui cloche et DÉCIDER d’y agir dessus.

Évidemment, c’est pas facile.

Pas facile du tout même.

Parce que t’es dans une situation ultra-confortable malgré ce picotement désagréable.

Pour reprendre nos exemples :

  • T’es dans une relation de couple que tu connais bien (même si à l’heure actuelle tu en souffres)
  • T’as un boulot prestigieux, respectable et respecté (même si à l’heure actuelle tu en souffres)
  • Tu habites dans un endroit sympa et ensoleillé malgré que tu sois loin de tes proches (même si à l’heure actuelle tu en souffres)

Et de la même manière, ma situation de consultant en business est plutôt cool :

Je peux bosser d’où je veux, je gère mon temps comme je veux, je trouve facilement des clients et j’ai des revenus réguliers.

Mais au fond, j’ai l’impression de ne pas utiliser mon potentiel au maximum et de m’être enfermé dans une activité limitée dans un milieu que je trouve de plus en plus malsain… et dans une certaine mesure, j’en souffre.

Donc c’est pas évident de se distancer de cette identité sécuritaire et d’explorer de nouveaux horizons.

Mais tu sais quoi ?

C’est juste un piège.

Souvent on surévalue le risque de la perte alors qu’en pratique on a strictement aucune idée des probabilités.

« On sait ce qu’on a à perdre mais on sait pas ce qu’on a à gagner » comme dit le vieil adage.

Connerie !

On a aucune idée de ce qu’on a à perdre.

Ne serait-ce que toutes les vies potentielles desquelles on passe à côté.

En revanche ce qui est fort probable, c’est qu’à protéger le status quo, on n’avance pas et on a la (pseudo) garantie que demain sera sensiblement similaire à hier.

Donc quand t’es sur la bonne voie, c’est parfait.

Mais quand tu sens qu’il y a un truc qui déconne, tu peux pas te contenter de faire l’autruche et d’attendre que ça passe.

Parce que les décisions que tu vas prendre aujourd’hui vont forger ton identité et ta vie de demain.

Du coup :

  • Qui tu veux être demain ?
  • Est-ce que ton identité actuelle t’empêche de devenir cette personne ?
  • Et si t’étais déjà cette personne aujourd’hui, qu’est-ce que tu ferais tout de suite ?

Autant de questions qui nous passent subrepticement par la tête et qu’on s’empresse de refouler pour éviter de nous confronter à ce qui est vraiment important pour nous dans le temps qui nous est imparti.

Sur ces bonnes paroles, je vais aller regarder un Stranger Things en bouffant une glace banane-chocolat-noix de pécan histoire de pas trop y réfléchir.

Lol.

Bonne journée nuggets !

– Damien

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Faire ce que tu veux de tes journées

Easy Life : Vers une liberté absolue de ce que tu fais de tes journées

Parfois…

Tu te lèves le matin et t’as pas envie d’aller bosser.

C’est pas que ton job est naze, pas du tout.

Il y a plein d’aspects sympas même.

Et t’as quelques collègues super cool.

Le problème, c’est que tu DOIS te lever chaque matin.

C’est même pas un choix.

C’est juste comme ça : si tu veux garder ton taf, tu dois y aller quasiment tous les jours de ta vie.

Et certains jours, c’est difficile.

T’as cette sensation étouffante de passer ta vie à obéir à des contraintes imposée.

Tu ne fais PAS ce que tu veux de ta vie.

Tu vas au boulot. Jour après jour. Parce que « c’est comme ça ».

Et tu ne vois pas d’autres options.

Rhaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah !

Cette sensation elle m’a pris à la gorge pendant des années.

Pourtant on avait tout fait bien non ?

De bonnes études. Puis on avait trouvé un job.

Et on réalise amèrement que vivre comme un automate entre 9h et 17h n’est pas la voie vers l’épanouissement… Ouch !

Alors on se demande « et s’il y avait une alternative au métro-boulot-dodo à perpétuité ? »

Et on ne trouve pas vraiment de réponse claire…

Juste quelques concepts vagues d’investissements immobiliers, de business en ligne, de cryptomonnaies, et d’autres domaines d’expertise ésotériques.

Résultat : on est encore plus paumés sur la direction à prendre !

Et perso… il me fallait une solution.

Pour moi, continuer de me lever tous les jours comme un somnambule était devenu insupportable.

J’avais la sensation que je vivais dans un tunnel qui allait me précipiter vers la retraite 40 plus tard en ayant fait sensiblement la même chose chaque jour… sans avoir vraiment vécu.

C’était juste ma sensation.

Je sais qu’un tas de gens se plaisent dans leur boulot et c’est super pour eux.

D’ailleurs… je me plaisais bien dans mon taf moi aussi… mais c’était ce manque de contrôle sur mon temps de vie qui me faisait paniquer.

Alors pour m’échapper de la prison du métro-boulot-dodo, j’ai créé ma première entreprise (de jeux-vidéos).

Et je me suis rendu compte que c’était sensiblement la même chose.

J’étais encore pris au piège d’une routine où je ne me sentais pas en contrôle de mes journées.

Avec la pression constante de nos clients (souvent des grosses boîtes) et l’obligation de payer nos employés à la fin du mois…

J’avais l’impression de courir partout.

Et c’était stressant.

Ce que je voulais, c’était pouvoir faire ce que je veux, quand je veux.

Dit comme ça, ça paraissait pas super réaliste.

Mais j’en avais rien à carrer d’être réaliste.

J’avais cette vision et j’étais décidé à la concrétiser :

  • Je voulais pouvoir gérer mes horaires.
  • Je voulais faire quelque chose qui me plaît.
  • Je voulais avoir un impact positif autour de moi.
  • Et en bonus, je voulais pouvoir faire ça de n’importe où dans le monde.

C’est comme ça que mon concept d’Easy Life est né.

Dans ma quête obsessionnelle de sens et de liberté.

Toutes les autres options étaient des « moyens » d’y arriver.

Gagner sa vie grâce à son blog ? Une possibilité.

Investir dans les cryptomonnaies ? Une autre possibilité.

Parce que la finalité c’est pas juste de gagner de l’argent (même si ça fait partie de l’équation)

C’est d’avoir une vie libre, pleine de sens et sans regrets.

Et développer ton business ou prendre des risques contrôlés, ce sont juste des outils pour y arriver.

L’objectif est d’être pleinement responsable de ce que tu fais de tes journées.

C’est ça qui m’intéresse.

Et c’est là où je t’emmènerai.

Enfin… si ça te branche ^^

Prendre la responsabilité totale de ce que tu fais de tes journées, c’est pas pour tout le monde.

Certains préfèrent être cadrés.

Mais si tu veux créer toi-même ton cadre…

…et définir les frontières de ta liberté

Well, well, well amig@, t’es le(a) bienvenu(e) à mes côtés !

À aucun moment je ne te dirais ce que tu DOIS faire. Je te donne seulement des idées.

Histoire que tu trouves les réponses qui te sont adaptées.

La vie est une aventure et chaque instant qui passe est l’occasion d’en profiter.

Donc pour conclure l’article je te partage les pistes les plus intéressantes que j’ai trouvées pour être le plus RESPONSABLE possible de ce que tu fais de tes journées :

  • Développe ton propre Easy Business (un business simple basé sur talents et centres d’intérêts) qui te permet de te financer – Parce que tant que tu n’es pas responsable de tes rentrées d’argent, tu dépends de directives imposées. C’est probablement le point qui aura le plus gros impact dans ta vie : tu pourras faire un truc que t’aime, en choisissant tes horaires et en gagnant ta vie.
  • Investis ton argent dans des actifs – Parce que l’argent que tu gagnes peut fructifier au lieu de stagner.
  • Réfléchis régulièrement à ce qui compte le plus pour toi et ajuste tes journées en fonction – Parce que notre énergie est limitée et que si tu t’éparpilles, tu vas t’épuiser sans rien concrétiser.
  • Ne laisse pas ta peur et tes doutes contraindre tes décisions – Parce que lorsqu’elle est psychologique, la peur n’est pas une limite, c’est un guide qui te montre la direction où tu as vraiment envie d’aller.

Voilà quelques principes que je trouve importants.

Est-ce que tout ça te parle nuggets ?

Et c’est quoi ton challenge numéro #1 du moment ?

Tiens-moi au jus dans les commentaires !

Bonne journée !

Il est 11h et j’ai fini le boulot pour la journée, je prends mon maillot et mes tongs et je vais surfer :p

– Damien

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Idée Business Rentable

Idée business : 3 étapes pour trouver celle qui TE correspond

Ça y est :

T’en es arrivé à un point de ta vie où tu veux te libérer du métro-boulot-dodo à perpétuité !

C’en est fini d’obéir à des directives imposées, tu veux devenir ton propre patron.

Respect !

Le salariat, ce n’est plus pour toi :p

Idée de business pour quitter son travail

Bien sûr tu appréhendes un peu ce gros changement professionnel mais t’as le courage de te tourner vers l’entrepreneuriat et c’est valeureux de ta part.

Le truc, c’est que pour y arriver, évidemment…

Il te faut déjà une idée de business.

Qu’elle soit rentable.

Et surtout qu’elle soit adaptée à TOI, spécifiquement, en tant qu’individu. Pour que tu puisses y arriver toi-même avec TES propres compétences.

Et pour ça, il ne te suffit pas de choisir une idée d’entreprise un peu au hasard dans une liste de « 157 idées de business » pour te lancer corps et âme dedans et gagner ta vie avec.

Nope.

Loin de là !

Il te faut prendre en considération des paramètres bien plus subtils que l’idée de projet en elle-même.

Parce qu’une idée qui n’est pas applicable dans TA situation ne sert à rien.

Alors prends-toi une petite boisson (perso, je viens de me servir un thé à la menthe) et pose-toi bien tranquillou pour lire l’article que j’ai concocté pour toi !

Il y a 3 éléments critiques à considérer pour trouver ton idée de business :

  1. Tes dispositions naturelles
  2. Tes compétences existantes et potentielles
  3. La demande du marché (ce pour quoi les gens seraient prêts à payer)

Parce qu’une idée de business qui laisse de côté ne serait-ce qu’une de ces 3 composantes est vouée à l’échec.

Regarde les choses sous cet angle :

Idée de business sans dispositions naturelles

Si l’idée n’est pas basée sur tes dispositions naturelles, tu vas avoir l’impression d’être dans un « effort » permanent et ton entreprise deviendra juste un emploi déguisé en business où tu travailleras à contrecœur.

Je connais bien cette situation : dans mon tout premier business (de jeux-vidéos), je m’étais créé une situation où je passais mon temps à répondre aux moindres désirs des clients à toute heure du jour et de la nuit (vu que j’avais des clients sur un tas de fuseaux horaires différents, des États-Unis au Japon).

Au lieu de mettre à profit mes dispositions naturelles (créativité et capacité à mettre rapidement en application des idées), j’étais devenu une machine à répondre au téléphone. Ouch !

Ça ne me correspondait pas, et je me sentais furieusement sous pression.

Résultat : même si cette activité était intéressante financièrement, elle n’était pas viable à long terme au risque de partir en burnout de l’enfer !

Ensuite…

Idée de business sans compétences

Si l’idée n’est pas basée sur tes compétences existantes ou potentielles, tu vas être incapable de fournir les résultats souhaités par tes clients. Et ton business ne pourra pas fonctionner.

Donc c’est primordial d’identifier lesquelles de tes compétences actuelles tu peux exploiter au mieux ou lesquelles tu peux développer pour que ton activité entrepreneuriale tourne !

Et enfin…

Idée de business sans demande du marché

Si l’idée n’est pas basée sur la demande du marché, tu vas te régaler à bosser sur ton projet et tu seras hyper compétent(e) dessus mais… tu ne vas pas gagner un rond !

Ce qui ne serait pas très pratique pour payer tes factures, te nourrir et même si tu ne cherches pas à gagner des fortunes : avoir de quoi mener une vie confortable !

C’est pour cela que CHACUN des 3 paramètres est essentiel.

Malheureusement, la plupart des idées de business qu’on voit passer dans des listes se focalisent surtout sur des « tendances ».

Genre : « Vendre des produits pour allergiques »… même si l’idée peut être bonne, juste lire cette idée dans une liste ne va pas t’aider, TOI, spécifiquement, à trouver ta vocation profonde.

Résultat ?

On voit pulluler des listes de « bonnes idées » qui ne prennent pas vraiment en compte l’humain dans l’équation.

Et dans le cas de ton projet d’entreprise, l’humain… c’est toi…

…et c’est l’essentiel !

Tu ne veux pas 90 millions d’idées de business, tu en veux juste une. Une qui TE correspond.

Et dans laquelle tu vas t’épanouir, aider au maximum tes clients ET gagner de l’argent.

Pour ça, pas besoin d’une liste d’idées impersonnelles agrémentée du jargon froid et technique de l’entrepreneuriat « classique » qui donne l’impression qu’entreprendre rime avec complexité à tous les étages.

Parce que ce qui t’intéresse, c’est pas de devenir la prochaine multinationale, c’est juste de gagner de l’argent sans dépendre d’un emploi tout en aidant un max de monde.

Il y a une différence considérable entre « avoir un business plan plein de termes compliqués » et savoir vendre tes compétences.

Entreprendre − si on simplifie au max − c’est donner de la valeur aux gens et recevoir de l’argent en retour.

On est d’accord ?

Nickel !

Donc dans la suite de cet article, je te montre comment trouver une idée de business qui TE correspond à travers les 3 paramètres essentiels qu’on a identifiés plus haut :

  1. Tes dispositions naturelles
  2. Tes compétences existantes et potentielles
  3. La demande du marché (ce pour quoi les gens seraient prêts à payer)

Et avant de commencer, je voulais te dire que j’ai compilé un cours offert en 5 micro-leçons qui reprend les points essentiels de l’article. Ça te permettra d’être accompagné dans ton processus de réflexion étape par étape pour trouver ton idée de business. Tu veux jeter un œil à mes réflexions ? Clique ici pour découvrir le cours 😉

C’est parti !

 

1/ Tes dispositions naturelles

Tes dispositions naturelles

Toutes les choses que tu as accomplies dans ta vie ont un point en commun :

TOI.

Tu es tel(le) que tu es et c’est le premier point à considérer pour déterminer ton idée de business.

Tu as des forces. Tu as des faiblesses.

Tu as des caractéristiques qui te sont propres.

Si tu es méticuleux(se), rationnel(le) réservé(e), tu ne t’épanouiras pas forcément dans les mêmes tâches que si tu es désordonné(e), créatif(ve) et excentrique !

Le monde du travail a tendance à nous « uniformiser » : ne pas faire ressortir nos aspérités pour entrer dans le moule.

Au contraire, lorsque tu choisis ton idée de business, ce sont tes aspérités qui vont te permettre de sortir du lot.

Donc capitalise dessus !

Ne passe pas au travers de cette étape au risque de te retrouver dans une activité qui ne te ressemble pas.

Il y a des tas de tests en ligne pour t’aider à identifier tes dispositions naturelles.

Un des plus intéressants que je connaisse (et aussi l’un des plus « reconnu » en management) est le test de Myers et Briggs sur les types de personnalités : Clique ici pour découvrir le test (le lien s’ouvre dans un nouvel onglet donc tu pourras le faire après ta lecture 😉 ).

Évidemment, mettre en avant tes dispositions naturelles ne se limite pas à passer quelques tests :

Le plus important est de faire un travail d’introspection profond sur ton identité.

C’est une phase assez intimidante que beaucoup de personnes ne font jamais de leur vie…

…ce qui explique d’ailleurs pourquoi tant de personnes disent qu’elles « aimeraient créer une entreprise » …

…mais n’avancent pas d’un pouce année après année : parce qu’elle ne savent pas qui elles sont ni ce qu’elles veulent.

La différence avec toi, c’est que t’es déterminé(e) à trouver ton idée de business.

Et tu sais que pour la trouver, il te faut passer par un questionnement intensif pour réaliser quelles sont tes dispositions naturelles.

 

2/ Tes compétences existantes et potentielles

Tes compétences actuelles et potentielles

C’est quand même la base : ce que tu PEUX faire pour gagner de l’argent.

Par exemple, si tu n’as jamais touché une ligne de code de ta vie, tu ne vas pas créer le nouveau Facebook du jour au lendemain.

Logique ^^

Cependant…

…au-delà de tes compétences actuelles, le plus important, ce sont tes compétences potentielles.

Regarde :

Disons que tu as fait des études de… peu importe… disons « d’ingénieur ».

Ok ?

Bon.

Et disons que pendant ces études tu as appris à modéliser des objets avec des logiciels de 3D (genre Catia) qui te permettent de mesurer tout un tas de paramètres pour la faisabilité d’un produit.

C’est une compétence.

Et tu la maîtrises plutôt pas mal.

Mais disons que ça te fait royalement chier.

Donc dans ce cas, c’est pas vraiment judicieux de ta part de monter ton entreprise autour de cette compétence-là.

Ce que tu SAIS faire à l’heure actuelle n’est pas la limite de ce que tu peux offrir parce que tu peux apprendre… même bieeeeeeeeen après tes études.

Notamment en capitalisant sur tes dispositions naturelles comme on l’a vu dans le point précédent !

Et ouais, tout est lié nuggets 😉

C’est pour ça que Laure dit que les bilans de compétences ne peuvent pas t’aider à trouver ta voie.

Et dans tous les cas, au-delà de tes compétences actuelles, lorsque tu lances ton propre business, tu vas avoir besoin d’acquérir tout un tas de nouvelles compétences.

Ne serait-ce que pour la partie administrative, la comptabilité et la vente.

DONC :

Détermine les compétences que tu vas pouvoir monétiser (vendre) dans ton business.

Et ne te limite pas à celles que tu as. Même si c’est tout de même une bonne base de réflexion.

Idéalement, choisis une compétence que tu AS et que tu VEUX encore perfectionner.

Ça peut notamment être une « passion » (même si j’aime pas vraiment ce terme parce qu’il veut dire un peu tout et n’importe quoi) ou un domaine dans lequel tu es balèze, du genre : la photographie, le code, l’enseignement, le graphisme, l’analyse de courbes, un sport, etc…

Parce que lorsque ton business est un support qui te permet de perfectionner des compétences qui t’intéressent, tu te lèves avec plaisir tous les jours pour servir tes clients, même quand c’est difficile 😉

 

3/ La demande du marché (pour avoir une idée business rentable)

Si personne ne veut de ce que tu proposes, tu vas pas gagner un rond.

Et c’est tout de même un point à considérer si tu veux gagner ta vie avec ton business :p

Le problème, c’est que souvent, les gens partent sur une idée qui leur plaît à EUX sans se soucier de si ça va intéresser les autres et de s’ils seraient prêts à payer pour ça :

« Ooooooooh ! Je vais aider les gens à être plus conscient des déchets qu’ils produisent pour préserver notre belle planète ! Vive le zéro-déchet ! »

L’idée est top… mais elle ne correspond à aucune DEMANDE.

Est-ce que les gens VEULENT être plus conscients de leur production de déchets ? Est-ce qu’ils seraient prêts à PAYER pour ça ?

Pas du tout !

En revanche, il y a des gens DÉJÀ conscients de leur production de déchets et qui VEULENT y faire quelque chose.

C’est à ces personnes-là que tu peux VENDRE une solution. Pas à celles qui ne sont pas encore conscientes de leur production de déchets.

Par exemple, tu pourrais leur proposer ton « système pour atteindre le zéro-déchet chez vous » ou encore des « sacs écologiques réutilisables ».

Peu importe !

Mais dans la mesure où il y a une DEMANDE réelle.

Tu vois l’idée ?

Si tu occultes ce point-là, tu vas te retrouver avec un projet qui te rapporte que dalle.

Donc prends bien soin d’y prêter considération en amont 😉

Fais tes recherches pour voir si ton idée se vend.

À notre époque, s’il n’y a pas de concurrence (et que personne ne vend quelque chose de similaire à ton idée), ça ne veut pas dire que tu as trouvé une idée exceptionnelle, ça veut dire qu’il n’y a pas de potentiel financier.

 

Ta prochaine étape pour avoir un business rentable

Faire une recherche POUSSÉE sur ce que tu peux faire pour gagner ta vie sans dépendre de ton emploi.

T’y consacrer à fond pendant une période.

Parce que tant que tu as vaguement le projet de « lancer ton business un jour », chaque nouvelle idée qui se présente chasse la précédente…

…et tu te retrouves avec un tas de pensées contradictoires et AUCUN résultat.

C’est frustrant à mort !

Au contraire, si tu t’investis intensivement pendant quelques temps, ça te donne la possibilité de réellement CONSIDÉRER si tes idées de business sont viables ou non.

Et c’est à partir de là que tu peux définir une piste concrète qui TE correspond pour créer ton alternative à ton boulot.

Tu n’es plus dans un « et si » hypothétique.

Tu es dans une démarche de création.

Tu deviens le héros de ton aventure.

Et tu te sens motivé(e) à fond.

Donc comment t’y prendre pour trouver ton idée de business ?

Pose-toi sérieusement pendant quelques semaines – 3 semaines devraient suffire en passant au moins 3h par semaine sur tes réflexions − et fais passer tes idées à travers les 3 filtres que je t’ai présentés dans cet article : 1/ Tes dispositions naturelles 2/ Tes compétences existantes et potentielles 3/ La demande du marché.

Prends un stylo, une feuille (ou ouvre un doc sur ton ordi ^^), divise ta page en 3 sections correspondantes…

…et commence à noter tes idées dès maintenant !

À toi de jouer nuggets 😉

Je te souhaite un max de réussite dans tes projets,

► Damien

PS : Si tu veux recevoir mon mini-cours en 5 leçons qui approfondit cet article pour t’aider à trouver ton idée de business, clique ici.

PS2 : Et si tu veux discuter de ton projet directement avec moi, tu peux me contacter ici.