^
Voir :Tous les articlesLe dernier article :
Damien saute en parachute, pleindetrucs.fr

#PC5. Le seul moyen d’atteindre tes rêves (probablement la leçon la plus importante que j’ai apprise)

De tous les #PC, si tu n’en retiens qu’un, il faut que ce soit celui-là.

L’objectif de cet article, c’est que tes idées, tes idéaux, et ta vision idéale de la vie puissent potentiellement devenir concrètes.

Et pour ça, il n’y a pas à se tortiller du *tortifoin*, il n’y a qu’un seul moyen : AGIR.

Ne prends pas ce billet à la légère. C’est pas du tralala.

Si tu ne mets pas ce principe en action, tu n’auras jamais la vie que tu souhaites.

Note bien ceci :

Aucun changement ne va s’opérer dans tu vie si tu n’agis pas dans le sens de ce changement.

C’est tout.

Tu auras beau lire tous les écrits du monde pour profiter à fond de la vie, de la semaine de 4h au pouvoir du moment présent en passant par s’organiser pour réussir, ça ne va pas changer d’un broc ton existence.

Le seul moyen d’avoir ce que tu désires, c’est de te sortir les doigts du *trafalgar rodoïde* et d’agir dans la bonne direction.

Prenons un exemple : la série des #PC.

En mettant en pratique tous les exercices que je partage avec toi dans cette série, ton quotidien peut changer considérablement en quelques semaines.

L’objectif est de faire exploser les limites de ce que tu penses être capable de faire puis te donner les outils nécessaires pour construire ta vie idéale.

Ce n’est ni facile, ni magique.

Actuellement, l’humanité est divisée en deux parties (furieusement inégales, certes) : ceux qui ont lu les #PC (au moins ceux dont j’ai parlé dans la newsletter) et ceux qui ne les ont pas lus.

À la fin de chaque PC (à part le premier), il y a une série d’exercices.

Parmi ceux qui ont lu les PC, on peut encore remarquer au moins trois catégories de personnes :

  • Ceux qui n’ont même pas amorcé l’idée de faire les exercices. Pfff, je suis sûr que ça sert à rien.
  • Ceux qui ont commencé, de loin, et qui se sont rapidement arrêtés. L’eau est trop froide, je rentre à ma maison et je vais regarder la TV.
  • Ceux qui constatent déjà des changements dans leur quotidien.

Petite précision : je souligne que faire les exercices des #PC est seulement un exemple. Peut-être que tu as fait des tas d’autres choses ou lu des tas d’autres blogs/bouquins/astuces pour devenir multi-milliardaire en 3 jours. Dans ce cas, adapte mon propos à ta situation !

Alors pour aujourd’hui, quelques simples questions pour toi.

► De quelle catégorie fais-tu partie ?

► Est-ce que tu veux vraiment avoir des résultats ou est-ce que tu te complais dans une pseudo-recherche d’amélioration de ta vie théorique ?

► Qu’est-ce qui a changé de manière positive et de ton fait dans ta vie depuis 3 mois ?

Prends bien le temps de répondre. Sois honnêtes avec toi-même (#PC4).

Compte 5 bonnes minutes. Vas-y, réponds à ces questions. Maintenant.

Ok ?

La suite :

Je sais qu’une bonne partie des lecteurs et lectrices de ce blog font partie de la catégorie de ceux qui agissent.

C’est la bonne voie. C’est parfois difficile. Ça secoue. Et ça fonctionne.

Il te reste juste à développer quelques compétences et tu taperas le niveau 1. Ça va être énorme.

Si c’est ton cas, tu peux sauter le paragraphe suivant !

*****

Si ce n’est pas ton cas, que tu n’as pas essayé les exercices ou que tu les as effleurés du bout des pieds : tu fais partie de la majorité des gens.

C’est une réaction assez normale et ce n’est pas si grave !

Alors pourquoi tu n’as pas agi ?

  • Peut-être que tout simplement tu n’as pas encore lu les autres #PC ou d’autres sources qui suggèrent des actions à entreprendre et dans ce cas, c’est normal !
  • Peut-être que tu as mieux à faire. Après tout, avoir une vie épanouie est moins important que de regarder ma série préférée.
  • Peut-être que tu ne penses pas que ces exercices vont fonctionner sur toi. Qu’est-ce qu’ils sont bien ces articles, je me demande si ça marche !
  • Peut-être que tu te dis que tu les feras « plus tard ». En ce moment, j’ai trop de boulot. Je ne peux certainement pas débloquer 5 minutes par jour.
  • Peut-être que tu ne veux pas rencontrer de changement dans ton quotidien. Ma copine/mon copain me tuerait…
  • Peut-être que tu flippes sévère. Go #PC3.
  • Etc…

Peu importe la raison en fait… Le fait est que lorsque tu ne passes pas à l’action, tu ne bénéficies que d’une infime partie de ce que je fais passer (ou du message de l’auteur si tu as lu d’autres sources).

L’objectif de ce blog est d’avoir une influence positive dans ton quotidien. Pas seulement de te divertir le temps d’un article. Petite fuite, divertissement Pascalien.

C’est pour ça que j’écris ce billet.

Pour te dire qu’agir, c’est le seul moyen de construire la vie dont tu as envie.

Et bien sûr, quelque part, tu le sais.

Tu espères peut-être sinueusement l’esquiver.

Mais maintenant c’est écrit. Devant tes yeux. Ce n’est pas un secret.

C’est le cinquième principe des #PC.

Tout cet article lui est consacré.

Pour mettre l’emphase dessus.

Pour ne pas que tu y passes à côté.

Agir.

Agir dans le sens des changements que tu veux voir se réaliser.

On en est là :

À l’heure actuelle, peu importe que tu n’aies pas fait les exercices (ou autre chose hein !) ou que tu te sois arrêté peu après avoir commencé.

C’est déjà du passé.

À présent, laisse-toi imprégner de ce nouvel élément : l’action.

Ne cherche plus à l’esquiver.

Confronte-la.

Avec courage (#PC3).

Que ce soient les exercices des #PC, ou n’importe quels conseils que tu peux lire où que ce soit.

Ne te contente pas passivement de les absorber.

Mets-les en pratique. Embrasse-les.

Le torse bombé, les cheveux dans le vent, prêt(e) à croquer la vie à pleine dents.

Pépé Dale Carnegie (pas de jeu de mots mal placé) disait plus ou moins :

« L’inaction engendre le doute et la peur. L’action engendre la confiance et le courage. Si tu veux vaincre tes peurs, reste pas planté à la maison en pensant à elles. Sors d’ici, et commence à te secouer. »

Chaque jour, je me dis qu’il a raison.

Une idée, tant qu’elle n’est pas mise en pratique, c’est du vent.

Ce n’est pas celui qui a des idées qui fait quelque chose de sa vie.

C’est celui qui les réalise.

*****

Exercices

1. Sors ton carnet.

2. Retrouve l’exercice 6 du #PC4. Si tu ne l’as pas encore fait, c’est l’occasion.

3. Choisis une action déterminée lors de cet exercice. Fais-là. Aujourd’hui.

Concrètement, rien ne remplace l’action.

Il n’y a pas de subterfuges. Pas de raccourcis.

Tu auras beau penser toute ta vie à un gâteau au chocolat, tu ne connaîtras rien de comparable à la sensation de le manger.

La satisfaction est dans l’action.

(4.) Exercice bonus, fais un truc inhabituel cette semaine. Vas dans un nouveau club de sport. Prends un cours de guitare. Parle à un inconnu. Ce que tu veux du moment que c’est un défi pour toi.

 

 

On se rapproche du niveau 1.

Ce sera une référence sur laquelle tu pourras te situer.

Fais les exercices avec attention. Le nouveau monde est juste après.

Quitter ton boulot, être super social(e), faire le tour du monde, ça demande quelques prérequis. Focalise-toi sur les exercices que je te propose aujourd’hui.

C’est pour bientôt.

Dans le prochain #PC, tu verras l’arsenal ultime des compétences à développer pour que tes actions soient couronnées de succès.

Encore un peu d’entrainement. Tu vas t’auto-stupéfier.

 

Note : La semaine dernière, après mon trek dans les Andes, j’ai transformé une vieille idée en action. J’ai sauté en parachute (d’où la photo de cet article), c’était sympa. Maintenant, je sais ce que ça fait.

Note 2 : Et si tu veux une méthode très progressive de passage à l’action, tu peux jeter un œil à mon guide ultime pour profiter de la vie.

^
Voir :Tous les articlesLe dernier article :
Levé de soleil dans les Andes, pleindetrucs.fr

#PC4. Assumer ton existence, ouvrir la porte, regarder devant toi

Fraîche matinée dans la cordillère des Andes.

Alors que le soleil se lève, parfumé du voile enivrant des senteurs de la forêt, je sors mon carnet et rédige avec émotion cette quatrième étape de la série des #PC.

Encore une fois, l’article risque de te secouer.

On va parler de ta vision de la vie. De t’écouter toi-même. Et de t’assumer.

L’objectif de ce billet, c’est que tu assumes pleinement la vie que tu veux mener. Rien que ça.

Pour commencer, on va faire un tour de ton identité, de ta vie, et de ce que tu en penses.

Puis, on va tendre l’oreille et écouter les fausses notes de la réalité.

On verra ensuite ton panel de possibilités pour aborder la manière dont tu veux exister.

Et tu auras à choisir sur quelle voie tu souhaites voyager.

Enfin, avec quelques exercices, tu composera toi-même la symphonie de ta nouvelle identité. Grandiose. Immaculée.

Ça risque d’être intense. Ça risque de faire couler des larmes. Ça risque de te donner une lucidité que tu n’avais jamais envisagée.

Pour le meilleur, prépare la pommade, c’est parti !

 

Là où tu en es

En trois parties : toi-même, ta vie et ce que tu en penses.

1. Toi-même

Ok. Tu es là, pépère, dans ton corps, dans ta tête, à lire tranquillement ces quelques mots.

Quand je te parle de toi-même, tu as une idée plus ou moins précise de qui il s’agit.

Tu te définis probablement quelque part entre l’idée que tu te fais de toi-même, ce que les autres pensent que tu es et ton idée de ce que tu « devrais être », à la fois pour toi-même et pour les autres.

Ça peut devenir un gros *bordilum puducustanciel* en somme.

Alors comme point de départ, je te propose de simplifier tout ça.

Pour y arriver, on met son flux de pensées en pause un instant. On oublie le passé et le futur et on se focalise sur le présent. On essaye de ne pas juger.

Et là : tu es juste exactement comme tu es.

C’est tout.

Avec ton petit bidon, ton sourire de mannequin de mode, tes jambes cagneuses, tes idées politiques, tes goûts personnels, tes émotions, etc…

Si on supprime le référentiel, tu n’es ni beau/belle ni moche, ni intelligent(e) ni stupide, ni grand(e) ni petit(e), etc…

Tu es, tout simplement.

Pas d’excuses.

Inutile d’épiloguer sur le sujet pendant longtemps, ça ne changerait pas grand-chose au moment présent.

Première partie : tu es tel(le) que tu es. Point.

 

2. Ta vie

Maintenant, on prend ce « toi » et on le met dans un environnement, un contexte : c’est ta vie.

Tu as des amis, ou pas. Un(e) partenaire, ou pas. Une famille, ou pas. Un boulot, ou pas. Du temps libre, ou pas. Etc…

Idem, pas de jugement. C’est comme ça.

Partie deux : tu as la vie que tu as. C’est super profond dis-donc !

 

3. Ce que tu en penses

Si on part de là, tout va bien !

On ne juge pas. On est comme on est. On va jouer avec ses copains. Youpi ! C’est trop la fête ! Tralala, on se fait des câlins !

Plus de référentiel. Acceptation totale.

Le truc…

C’est que le référentiel, il est méga présent.

Et il est intrinsèque à ton développement.

C’est le – grondement de tonnerre – conditionnement.

Voir le : #PC1 (au cas où il existe encore des individus sur cette planète qui ne l’ont pas lu).

Ce que tu penses, ça aussi, il faut l’accepter.

Et bien sûr, ça ne veut pas dire cautionner : #PC2. Woaw, c’est fou, on dirait que tu as fait exprès d’écrire ces #PC dans l’ordre !

De cette manière, tu as une vision de toi-même, une vision de ta vie, une vision des autres et une vision de la vie des autres.

Ces visions sont agrémentées de tes peurs (#PC3, le voilà !), de tes désirs, de tes aspirations, de tes émotions, qui semblent plus réelles les unes que les autres et qui pourtant n’existent que dans ta réalité.

Tout ça t’est personnel dans une certaine mesure (une partie est commune au rêve de la société : #PC1)

Partie trois : ton conditionnement te donne un jugement sur toi-même et ta vie.

Ainsi, même si dans l’absolu, sans référentiel, tu es parfaitement parfait(e) tel que tu es, en pratique, ta n’arrives pas à t’en persuader.

Pourquoi ? Parce que nous sommes archi-conditionnés.

En d’autres termes, notre perception de notre identité est intimement liée à notre perception de la réalité.

Whaaaaaaaaat ?

Autrement dit, on a l’impression de se percevoir tel que l’on est alors que ce n’est le reflet QUE de notre propre réalité.

C’est une illusion primordiale. On y reviendra beaucoup plus tard. Chaque chose en son temps.

Là, ce qui nous intéresse, c’est de définir qui tu veux être et ce que tu veux faire de ta vie !

Alors résumons rapido avant de passer aux choses sérieuses :

Tu existes. Tu as une vie. Ton mental juge ton existence et ta vie.

Ok ? C’est parti !

 

Les fausses notes de la réalité

De cette manière, il y a des choses chez toi que tu aimes et d’autres que tu n’aimes pas. Il y a des choses dans ta vie que tu aimes et d’autres que tu n’aimes pas.

Ainsi, ton idée de ce qui est bien dans la vie existe quelque part dans ton esprit.

Et même si tu n’arrives pas à définir précisément de quoi il s’agit, tu as un genre de radar qui t’indique si tu es ou non en harmonie.

J’utilise le terme « harmonie » pour désigner l’état dans lequel ta perception de toi-même et de ta vie sont en accord avec ta vision de ce qui est bien dans la vie.

Ce radar, c’est tes émotions. Quand tu te sens mal, c’est que tu n’acceptes pas une situation.

Quand tu prétends qu’une situation te satisfait alors que ce n’est pas vrai, ça produit une fausse note dans ta réalité.

 

Différentes manières d’exister

Pour se sentir en harmonie avec qui tu es et la vie que tu mènes, il existe une myriade de possibilités :

► Se conformer.

C’est-à-dire adapter sa perception de la réalité pour se persuader que la personne que l’on est et la vie que l’on est en train de mener sont en harmonie avec nos pensées.

Pour certains, ça peut marcher. Pour d’autres, le souci, c’est qu’a travers cette perception filtrent les fausses notes de la réalité.

► Ignorer.

C’est-à-dire prétendre que tout va bien et ignorer les fausses notes de la réalité. La vie est belle, je pleure tous les soirs !

► Forcer.

C’est-à-dire être en permanence en recherche d’amélioration. Ne pas prendre le temps d’accepter ce qui est. Courir inlassablement vers la ligne d’arrivée. Modeler sans cesse le monde pour l’adapter à sa propre réalité. Je serai heureux dans 1 an… 5 ans ? 20 ans ? Hum…

Bon… jusqu’à présent, ce n’est pas très reluisant alors voilà deux autres options à envisager :

► Se déconditionner. Lol… On y reviendra plus tard…

C’est-à-dire ne plus prendre en compte absolument tout ce qui nous donne l’illusion de notre identité et aborder l’existence sur un autre plan. Trop hâte de parler de ça !

En pratique, c’est un peu compliqué.

► S’équilibrer.

C’est-à-dire accepter sa propre perception de soi et de sa vie. Accepter qu’il y ait des choses qui ne nous plaisent pas. Décider consciemment de les changer, au jour le jour, dans la bonne direction, celle de l’harmonie.

Et évidemment, il existe un tas d’autres possibilités…

 

Choisir où tu veux aller

On y est !

À l’heure actuelle, ta perception de toi-même en est à un certain point.

Le but de cet article, c’est de te permettre de redéfinir qui tu es et la vie que tu veux mener.

Je t’avais dit que l’article serait intense. C’est maintenant qu’il faut prendre les mouchoirs en papier.

Peut-être que tu te sens complètement enseveli dans ta propre vie.

Peut-être que tu penses être tellement défini, par toi-même et par les autres, que l’idée même d’harmonie sonne comme une chimère dans ton esprit.

Peut-être que tu te sens enfermé derrière le masque qu’on t’a attribué et que tu as accepté de porter. Fais taire le tonnerre et donne la papatte.

Pour te rassurer, tu peux te dire que c’est normal. Tu peux faire des raccourcis : tout ne peut pas être parfait.

Tu peux te dire que tu es un peu gros parce que tu es génétiquement prédisposé. Tu peux te dire que même si ta relation de couple est complètement gangrenée, elle te donne tout de même un sentiment de stabilité. Tu peux te dire que si tu ne trouves que peu voire pas du tout d’intérêt dans le boulot que tu exerces, il permet tout de même de te payer un bon loyer. Ah ! Qu’elle est rassurante la vie de sécurité !

Et plus tu te prélasses dans cette sécurité, plus il devient difficile de la questionner.

Les années passent, lacement, la vie s’écoule, passivement.

Jusqu’à la mort. Sans prendre de risque vraiment. Sans vivre vraiment. Au son des regrets.

Mais ça ne sonne pas juste : ce sont les fausses notes de la réalité.

Et dans le fond, tu l’entends. La suave mélodie de l’harmonie.

À chaque fois qu’elle pointe le bout de son nez, peut-être que tu as pris l’habitude de lui fermer son caquet.

Alors, elle se transforme en complainte lancinante qui vient te hanter.

Et tu continues de l’ignorer. C’est la voie de la facilité.

Ne pas prendre de risque. Ne rien changer. Souffrir, peut-être, mais être familier avec cette souffrance.

C’est une option. Peut-être qu’elle te convient.

En revanche, si ce n’est pas le cas, tu peux tout révolutionner !

Tu peux te dire que ce n’est pas la seule vie à laquelle tu aies accès. Que c’est juste une situation donnée. Qu’elle n’est pas immuable. Et qu’elle n’a aucune légitimité.

Prêt pour l’éclatage de limites ?

 

Exercices

1. Étape un : sors ton bon vieux carnet.

 

2. Retrouves la liste de l’exercice 2 du #PC2.

C’était une liste qui consistait à observer tout ce qui ne te satisfaisait pas dans ton quotidien.

Pour reprendre le vocabulaire d’aujourd’hui, ce sont toutes les fausses notes de votre réalité, tout ce qui ne sonne pas juste.

Si tu n’avais pas dressé cette liste, vas-y. Je t’attends.

C’est bon ?

Fort bien.

Tu peux compléter la liste autant que tu le désires.

 

3. Prends tes responsabilités sur ta situation.

Par exemple, peut-être que ta liste ressemble à ça :

  • Je suis célibataire depuis la nuit des temps
  • J’ai l’impression d’être inutile à mon travail
  • Je me sens rabaissé(e) par mon ami Jean-Bacule (Oula, pas mal ce nom !) à qui tout réussit
  • Etc…

Pour chaque point, assume complètement la situation, peu importe que ton contexte soit épouvantable et que le monde soit ligué contre toi : tu assumes.

Par exemple :

Je suis célibataire depuis la nuit des temps = Je n’ose pas aborder les personnes qui me plaisent

Ce n’est peut-être pas la véritable bonne réponse mais c’est une idée de réponse qui résonne en toi. De cette manière, tu as une piste que tu peux exploiter. Par exemple en utilisant la technique de division en plusieurs étapes de l’exercice du #PC3.

Si tu penses juste que tu es célibataire parce que tu n’as pas de chance. Bin là, tu ne peux rien faire et tu n’as rien compris à l’article. Retourne à la case départ.

De manière générale, tu sais très bien ce qui ne va pas, tu entends la mélodie. Tu as le choix de lui faire la part belle ou de prétendre ne pas l’entendre.

Reproduis le processus de responsabilité pour tous les points de la liste.

J’ai l’impression d’être inutile à mon travail = Je ne sais pas ce qu’on attend de moi et je n’ose pas demander de peur de passer pour un(e) naze

Je me sens rabaissé(e) par mon ami Jean-Bacule à qui tout réussit = je n’ose pas tenter ce qu’il ose tenter et au lieu d’essayer ces mêmes choses et de lui demander conseil, je râle contre son succès

Tu vois l’idée.

Ça peut faire mal à l’égo. Mais ça donne une vrai base sur laquelle s’appuyer.

 

4. Prends un moment de calme, disons 10 minutes. Assumes tes envies. Fais place à tout ce qui crépite en toi, qui grouille et qui veut craquer. Lâche-toi. Vide ton sac. Note tout ça. Sans te censurer.

  • Je veux être mince/musclé
  • Je veux grossir
  • Je veux plaire aux femmes/hommes
  • Je veux voyager
  • Je veux quitter mon job
  • Je veux sortir de cette relation malsaine
  • Je veux passer plus de temps avec mon poney
  • Etc…

Écoute-toi. Assume-toi.

La personne à laquelle il est le plus facile de mentir, c’est à soi-même.

Le souci, c’est qu’au fond, même si on veut se persuader du contraire, il reste toujours la petite flamme de l’harmonie.

Alors, rends-toi ce service. Écoute-toi.

Pour que ta vie soit sereine.

 

5. Décide de vivre en harmonie. Ne fuis pas la mélodie. Fais-lui de la place. Chaque jour. Reconnais-là et permets lui de s’exprimer.

Prends tes grandes décisions en conséquences :

  • Je ne veux plus de cette relation
  • Je ne veux plus cette pression
  • Je ne veux plus de ce travail
  • Je veux faire une activité qui me stimule
  • Je veux rencontrer quelqu’un
  • Je veux avoir du temps libre
  • Je veux voyager

Accepte. Relève la tête. Cherche comment faire. Agis.

C’est illusoire de penser que ces choses vont arriver toutes seules.

Ça va te demander du courage de les réaliser.

Et tu sais que c’est ce que tu veux.

Attention toutefois à ne pas te perdre dans la recherche de ta mélodie.

Le but n’est pas de la rendre parfaite.

Le but est d’éliminer les notes les moins agréables.

Le bonheur n’est pas un objectif à atteindre, c’est un chemin.

Agir sur ta mélodie, c’est déjà le bonheur.

Peu importe l’issue.

 

6. Une fois ta mélodie définie, décompose-la en actions concrètes, à la manière de l’exercice 3 du #PC3.

Qu’est-ce que tu peux faire aujourd’hui pour t’en approcher ? Un tout petit pas. Avec courage.

 

Je conclus cette article alors que le soleil va se coucher. J’y aurais passé ma journée , j’espère qu’il t’aura aidé.

La prochaine fois, on va se prendre un grand coup de réalité dans la face, je partagerai la plus importante leçon que j’ai apprise jusqu’à aujourd’hui : le seul moyen d’atteindre tes rêves.

En attendant, si l’article t’a plu, tu peux le partager en cliquant sur les boutons ci-dessous. J’espère qu’il va en secouer quelques uns. Merci amig@ de faire passer le mot.

^
Voir :Tous les articlesLe dernier article :

#PC3. Développer la plus importante des compétences

Ladies and Gentlemen,

Bienvenue dans ce #PC3 qui va réveiller dans votre poitrail un instinct guerrier issu des profondeurs de la terre.

Ce sera la clef pour t’ouvrir les portes d’une aube nouvelle. Mysticisme activé !

L’objectif de cet article, c’est de te permettre de développer la plus importante des compétences, celle qui va te permettre de façonner ton existence à ta convenance : le courage.

C’est pas un sujet à prendre à la légère.

Parce que cette compétence joue un rôle giganto-monstruous dans la manière dont ta vie va se dérouler. Et je pèse mes mots nuggets !

Dans un premier temps, je vais te donner une petite définition de ce qu’est le courage. Faut commencer par là pour qu’on parle bien de la même chose…

Ensuite, on verra le seul moyen de développer ton courage. Pour arrêter de se voiler la face une bonne fois pour toute et savoir quoi faire…

Et pour finir, tu pourras te confronter aux exercices les plus effrayants que tu puisses imaginer. Mwhahahahaha !

Go !

 

1. Qu’est-ce que le courage ?

Déjà, le courage, ce n’est pas seulement braver le danger en te jetant sans crainte dans un immeuble en flammes pour sauver un bébé d’une fin aussi tragique que douloureuse.

Le courage, tu y es confronté(e) tous les jours.

Le courage, c’est agir de la manière dont tu le désirerais quand tu es dans une situation qui te fait flipper.

Le courage, c’est d’aller dire à quelqu’un qui te martyrise depuis des années que tu n’acceptes pas qu’il te traite comme il le fait.

Le courage, c’est de pouvoir chanter en public.

Le courage, c’est d’aller parler à cette fille ou ce mec qui te plaît.

Syncope cette sentence pour t’enivrer de son sens :

Le courage… ce n’est pas l’absence de peur… c’est la capacité à agir tout en ressentant la peur.

C’est tout. Les gens ne sont pas courageux parce qu’ils n’ont pas peur.

Les gens sont courageux parce qu’ils agissent AVEC la peur.

Quelqu’un de courageux, c’est quelqu’un qui se confronte régulièrement à ses peurs et qui les affronte malgré la terreur qu’elles lui inspirent, malgré son envie de fuir, malgré son rythme cardiaque qui augmente et sa sensation de défaillir.

La peur ne disparaît jamais complètement.

Cependant, avec la pratique, les plus grandes terreurs peuvent se transformer en de légers picotements.

C’est ta capacité à affronter tes peurs qu’il faut développer.

C’est ça : le courage.

 

2. Développer ton courage

On y est !

Pour développer ton courage, il y’a pas 36 solutions… y’en a une seule : il faut affronter tes peurs.

Et là, le slip de certaines personnes commence à se tinter d’une couleur sombre, quelque part entre l’ocre et le noir.

Relax ! Take it eeeeee-eeeeasy ! Comme le disait mon cher collègue, le philosophe Mika en 2006.

Tu ne peux pas arriver et botter le *curibadoum intersticiel* de tes plus grandes craintes tout d’un coup du jour au lendemain.

Ce serait comme commencer la muscu en te chargeant à 100kg au développé couché. Le premier jour. À froid.

Ce serait super *con* (bon… là j’ai mis le vrai mot).

Les peurs sont propres à chacun.

Certains bonshommes que j’ai rencontrés sont capables d’affronter un ours à main nu (façon de parler) mais n’arrivent pas à décrocher un mot face à une fille qui leur plaît.

En d’autres termes, ce qui est flippant pour toi ne l’est pas forcément pour un autre.

Pour reprendre notre exemple de la muscu : chaque machine correspond à une activité de la vie réelle.

Peut-être que tu es très bon(ne) à la presse à cuisse : parler en public.

Peut-être que tu es archi-nul(le) au rameur : être sincère avec ton conjoint.

C’est ton point de départ. À toi. À toi seul(e).

À partir de là − pour rester dans la métaphore − il te reste à travailler tes faiblesses physiques : ton courage.

Pourquoi ?

Pour que les situations qui ne te conviennent pas puissent changer.

Bien sûr tu as toujours le choix.

Prenons par exemple une situation un peu pourrave : ton patron déverse sa bile sur toi… tous les jours… et t’en as ras le bol.

Tu peux accepter dans la souffrance et sans moufter de peur de « perdre » ton job OU tu peux développer progressivement ta capacité à faire changer cette situation.

Évidemment, ça fait un peu peur.

Mais c’est encore toi qui vois !

Et c’est la même chose pour n’importe quelle situation.

Pour travailler ton courage, continuons le parallèle avec la muscu : considère ton courage comme un muscle.

Il ne va pas phénoménalement se développer en une séance. Cela demande de la régularité, de l’application, et de la persistance.

Alors, on prend une grande respiration. On regarde l’objectif à atteindre (c’est toi qui te le fixe !) : par exemple 100kg au développé couché (ou quitter ton boulot ou avoir une grosse conversation dans ton couple parce qu’il y a un truc qui cloche).

Puis on commence l’entrainement, en fonction de là où on en est, peut-être soulever 30kg, peut-être 10kg.

Suffisamment pour que ce soit difficile. Pas trop pour ne pas se blesser. Et on recommence. Tous les jours.

Parce que c’est seulement passant à l’action que tu vas augmenter ton courage. Pas seulement en y croyant très fort en en attendant passivement (Cf. #PC2 !).

Ok, et comment je peux faire ça en pratique ?

En fonction de TA situation.

En fonction de TES peurs.

En fonction de TES objectifs.

Je t’ai préparé 4 petits exercices à customiser à ta sauce.

Ils te permettront d’augmenter ton COURAGE. Et de regarder dans les yeux ce qu’il te reste à faire pour passer de ta situation actuelle à ta situation idéale.

Ils font un peu flipper… mais ils sont diablement efficaces !

T’es libre de les commencer dès aujourd’hui et d’avoir tes premiers résultats avant ce soir. Évidemment… ça dépend de l’heure à laquelle t’es en train de lire ces lignes XD

3. Attends, mais si je fais preuve de courage, comme tu dis, je risque de perdre tout ce que j'ai !

Ouep !

C'est ça qui est flippant.

En affrontant tes peurs, tu t'ouvres la voie vers un univers de possibilités.

Tu te donnes l'opportunité de vivre ce qui te tiens le plus profondément à cœur.

Et tu mets en jeu toute la sécurité de ta routine.

Tu risques de perdre ta situation actuelle.

Donc, c'est à toi de choisir :

Ne pas regarder ailleurs et rester dans le confort de tes habitudes même celles qui te font souffrir ou lever la tête et prendre le risque d'une vie meilleure.

Personne n'est à ta place. Et personne ne peut savoir ce qui est le mieux pour toi.

En lisant les exemples de l'exercice 3, un tas de gens peuvent penser : "Hoho, à ce rythme-là, tu vas vite te faire virer !" ou "Et là, tu te fais larguer pour sûr !".

Et effectivement, ce sont des éventualités.

Se faire virer d'un boulot ingrat, ce serait juste la possibilité de commencer à s'épanouir dans une autre activité. Sortir d'une relation dysfonctionnelle, ce serait la possibilité d'en commencer une autre, plus saine.

La plupart de nos peurs naissent du conditionnement : "Si tu perds ton travail, c'est la ruine, c'est la mort" "Si tu te sépares de ton couple, c'est la honte, c'est un échec"

Tout ça, c'est juste une vue du rêve de la société. Pas de ton rêve personnel. Cf. #PC1.

Regarde les choses sous cet angle :

Envisage le pire du pire, est-ce si terrible ? Est-ce que ça va te tuer ?

Si c'est le cas, alors joue la sécurité. Sinon, qu'est-ce qui t'empêche d'agir ?

La réponse, tu la connais... c'est ton courage.

Il ne faut pas chercher à rajouter des années à sa vie, mais plutôt essayer de rajouter de la vie à ses années."
- Tonton Oscar Wilde

Ton courage, c'est la compétence la plus importante que tu puisses développer.

Parce que − comme je te le disais dans l'introduction − c'est ça qui va déterminer l'existence que tu mènes.

Tu peux toujours prétendre que ce n'est pas vrai, que tout va changer pour le mieux sans que tu n'aies jamais à affronter ce qui te fait flipper... mais au fond... tu sais que ce serait juste te leurrer.

Sans courage, tu auras beau connaître le langage de la société et des Hommes (Cf. #PC2), c'est pas ça qui va te permettre de le maîtriser.

Parce qu'il te faudra ce *lutin* de courage pour passer à l'action !

Alors, tu peux une nouvelle fois décider :

Te résigner face aux situations qui ne te conviennent pas en te disant que c'est pas si grave…

OU…

…tu peux sortir ton carnet, faire les exercices, extérioriser tes peurs et apprendre à les dompter.

Courageusement.

À cœur ouvert.

Tu peux vivre comme une autruche, ou comme un lion.

C'est toi qui décides.

Faire les exos de ce chapitre, ce sera la validation de l'étape 3.

Ensuite, direction le #PC4 !

Dedans, je vais te montrer comment assumer pleinement la vie que tu veux mener, et tes désirs, sans te mentir à toi-même.

Ça va chialer dans les chaumières.

Mais ça va te faire un bien fou : parce que tu sauras dans quelle direction avancer.

Prépare le paquet de mouchoirs !

^
Voir :Tous les articlesLe dernier article :
Damien et le gang des surfeurs

#PC2. Avoir un IMPACT – Les règles du jeu

Si tu veux passer ta vie à faire ce qui te tiens vraiment à cœur sans te sentir IMPUISSANT(E)…

…il va te falloir suffisamment d’IMPACT pour façonner ton environnement.

En d’autres termes, il te faut être capable de transformer ta situation actuelle en ta situation idéale.

Logicos pepitos ?

Well…

…Ça va pas se faire tout seul.

Cependant, la plupart des gens négligent complètement cet aspect là.

Ils imaginent que leur vie va changer du jour au lendemain par l’avènement impromptu d’un événement inattendu. Genre gagner au loto ou rencontrer l’âme sœur. Du coup… ils attendent. Longtemps. Encore. Et encore.

Attendre

C’est complètement illusoire.

Ils sont dans l’expectative d’une possibilité infinitésimale : ils attendent qu’une cause extérieure change leur vie de la manière dont ils le souhaitent alors qu’ils n’ont aucun impact sur cette cause.

C’est un peu comme attendre chez toi sans rien faire que ton/ta partenaire idéal(e) se présente à ta porte avec un ticket de loto gagnant… Pas totalement impossible mais très peu probable !

En revanche, il existe un moyen beaucoup plus efficace et concret de modifier ton existence : impacter ton environnement.

C’est-à-dire : avoir une réelle influence sur le contexte dans lequel tu vis.

Relis bien cette phrase, écris-la à l’encre de chine sur les murs de ton salon et imprègne-t-en :

« Pour passer ma vie à faire ce que j’aime, il faut que je sois en mesure d’impacter mon environnement. »

C’est ta capacité à impacter ton environnement ou à le subir qui va déterminer ton existence.

1. Ta situation actuelle

Pour prendre la responsabilité de ton existence, la première étape est d’accepter ta situation actuelle.

Attention : accepter ne veut pas dire cautionner.

Par exemple, si tu marches dans une *shflatzeul* de canidé, ça n’a aucun intérêt de t’énerver : de toute façon c’est fait. Accepte-le. Ensuite tu peux agir : ne pas cautionner d’avoir de la *flâflûh* de chien sur ta chaussure et décider de l’enlever.

Tu vois la nuance ?

De la même manière, si ton patron te parle super mal, c’est un fait. Accepte-le. En revanche, tu n’as pas à le cautionner et tu peux agir en conséquence : front kick dans sa face ou autre subtil subterfuge pour qu’il prenne conscience du désagrément occasionné.

Tu vois le principe. Ça s’applique à toutes les situations : ton couple bat de l’aile, tes parents t’imposent leur vision du monde, tes enfants te manquent de respect, tes collègues se moquent de toi, etc… accepte-le. Agis en conséquence. D’une manière adaptée. Le front kick ne résout pas tout !

Don Draper Explosion

2. La société

Étape deux, comprendre les règles du jeu.

Dans le premier chapitre :  Le #PC1, je te parlais du conditionnement et du rêve de la société. Si t’as pas encore lu l’article, lis-le NOW. Je t’attends :p

C’est bon ?

Nickel, c’est reparti !

La société est un mastodonte et que tu le veuilles ou non, tu en fais partie. Du moment que tu interagis avec d’autres personnes, même si tu es un(e) hippie rebelle et que tu vis dans la forêt en mangeant des cailloux, tu as un rôle pondérateur qui fait partie de l’ensemble de la société.

Nous définirons ici par le terme « société » le milieu qui définit les comportements, les lois et les règles qui régissent la vie des individus qui la composent. Enfin bref, tu comprends de quoi il s’agit…

La société met en avant certaines caractéristiques et en fait l’apologie : richesse financière, beauté du corps, célébrité, talent, etc…

Ce sont les caractéristiques standards sur lesquelles les masses se calquent. Avec plus ou moins de succès. Avec plus ou moins de frustration.

D’ailleurs, c’est justement l’encensement et la répression de certains désirs individuels qui permet de maintenir un ordre social fonctionnel dans une société complexe. Pour schématiser : le but ultime dans la vie sociétale, c’est d’avoir un bon travail, une belle maison, un mariage, des enfants et une grosse voiture !

Une fois que l’individu associe ses désirs individuels avec l’ordre social, ont dit qu’il est parfaitement socialisé.

Et même si les standards valorisés sont discutables, ils sont tels qu’ils sont. Alors comme dans la première étape : accepte-le !

Ton impact dans la société sera plus grand si tu es une bombe richissime super connue que si tu es notre ami de l’exemple précédent, le farfadet rachitique qui mange des cailloux dans la forêt.

Une petite note tout de même : je ne dis pas que l’une ou l’autre de ces situations est mieux que l’autre. En effet, Kaspierre (appelons comme ça notre mangeur de cailloux) peut être en parfaite harmonie avec ses valeurs et être bien plus épanoui que Plumette (notre magnifique star fortunée… qui a un peu un prénom de *flâflûh* quand même) qui pourrait être dépressive chronique, accro aux amphétamines et à Sicret Stouri.

Ainsi, il est primordial de prendre conscience que tes possibilités d’avoir de l’impact dans la société sont largement supérieures lorsque tu corresponds aux caractéristiques révérées.

Par exemple : tu auras plus de facilité à voyager dans de bonnes conditions si tu as de l’argent. Tu auras plus de facilité à faire une rencontre amoureuse si tu es superbe. Tu seras plus facilement admiré(e) si tu as du talent. Et ainsi de suite.

C’est comme ça que la société fonctionne. Ce n’est ni bien, ni mal. C’est juste comme ça.

Tu peux bien sûr te plaindre continuellement que la société va de travers, mais ça ne fera pas avancer quoi que ce soit pour autant !

Je le répète avec d’autres termes : pour avoir de l’impact sur la société, il faut dans une certaine mesure en adopter le langage.

Ça ne signifie pas t’identifier toi-même aux règles de la société, ça signifie simplement en connaître et en maîtriser le langage.

Par exemple, si tu apprends à parler chinois, cela ne fait pas forcément de toi un(e) chinois(e). En revanche, ça te permettra d’évoluer plus facilement en Chine.

C’est seulement de cette manière là que tu pourras passer ta vie à faire ce qui te tiens à cœur sans te sentir IMPUISSANT(E).

Ce n’est pas une cause extérieure et fantasmagorique qui va t’apporter ta vie idéale sur un plateau. C’est toi-même.

Tu peux croire que ça va se passer autrement, que le monde ne fonctionne pas comme ça, mais tu sais que c’est juste une excuse pour ne pas voir la réalité en face.

3. Les rapports humains

Enfin, la troisième partie pour avoir de l’impact sur ton environnement va encore au-delà du système de la société.

Il s’agit de comprendre les comportements sociaux qui régissent les rapports humains.

En plus des caractéristiques standards véhiculées par la société, il existe des caractéristiques spécifiques auxquelles nous réagissons fortement en tant qu’être humain.

C’est ce qui fait que nous avons envie de suivre certaines personnes alors que d’autres ne nous inspirent pas confiance. C’est ce qui fait que certaines personnes nous paraissent sympathiques et d’autres dangereuses. C’est ce qui fait que nos rapports aux autres sont si riches et si différents.

Ce sont toutes les caractéristiques qui nous permettent de nous sociabiliser (différent de se socialiser hein ! Socialiser = Rapport à la société. Sociabiliser = Rapport aux autres humains).

Certaines d’entre elles sont généralement attrayantes : le charisme, la confiance en soi, l’expertise, la gentillesse, l’empathie…

Charisme

D’autres le sont beaucoup moins : la mauvaise humeur, la colère, le mépris…

Note : Certains pourraient faire la remarque que beaucoup de ces comportements sont aussi corrélés aux qualités que la société met en avant (valorisation des extravertis, de l’humilité, de la réussite…). C’est probablement vrai !

Pour avoir un impact sur ton environnement, il te faut sélectionner les caractéristiques les plus UTILES puis les développer. Ça aussi c’est essentiel.

Ça n’a rien à voir avec enfiler un masque ou ne pas être toi-même, c’est plutôt obtenir une trousse à outils de compétences qui te permet d’évoluer confortablement dans un milieu donné.

Un des premiers outils, c’est le langage par exemple : comme je te le disais un peu plus tôt, si tu veux vivre en Chine, apprendre le chinois peut-être un outil utile.

Et de la même manière si tu veux avoir des relations profondes et sincères avec les gens, entraîner ton honnêteté et ta vulnérabilité peuvent être des outils utiles.

Idem : si tu veux gagner de l’argent, devenir exceptionnel(le) dans un domaine peut être un outil utile.

Etc !

Alors pour synthétiser tout ça…

4. Comment avoir un impact sur ton environnement ?

Trois paramètres à prendre en compte :

  1. Ta situation actuelle
  2. La société
  3. Les rapports humains

En partant de ta situation actuelle et en développant progressivement chez toi les caractéristiques valorisées par la société et les comportements sociaux les plus efficaces, tu augmenteras ta capacité à avoir de l’impact sur ton environnement.

Ça ne signifie pas te résigner à te conformer aux diktats extérieurs. Ça signifie apprendre le langage qui régit majoritairement le monde, sans faire l’amalgame avec ton identité.

Une fois que tu acceptes et comprends comment les choses fonctionnent, tu es parfaitement libre de choisir si tu veux les appliquer ou non.

Certaines ne te conviendront pas. D’autres oui.

De cette manière, tu peux transformer ta situation actuelle en ta situation idéale.

Et surtout, tu n’es plus en attente d’un événement salvateur externe.

Tu es EN CONTRÔLE. Biatch !

Ok, et comment je développe tout ça en pratique ?

Petit à petit, une chose après l’autre, chaque jour.

Pour commencer, je t’ai préparé quelques exercices en bonus de ce chapitre 2.

Il y en a 6. Chacun te prendra 5 minutes.

Ils te permettront d’augmenter ton IMPACT sur ton environnement. Et de te sentir davantage PUISSANT(E) par la même occasion !

T’es libre d’en faire un par jour ou tous d’affilés.

Tu en es à l'étape 2 du FAT guide des #PC sur la Prise de Contrôle de ton mental.

Quelle que soit ta situation actuelle, si tu t'investis pleinement dans cette manière de voir le monde − et que tu mets en application les exercices − tu auras des résultats spectaculaires d'ici quelques mois :

  • De la clarté sur ce que tu VEUX au plus profond de toi
  • Plus de confiance en toi pour agir en fonction de tes VALEURS
  • Une harmonie entre qui tu veux être et la vie que tu mènes

Parce que souviens-toi :

Personne ne peut mener ta vie à ta place. Il n'y aura pas d'intervention magique. Ta vie s'écoule sans interruption.

Tu peux faire l'autruche et ignorer ta responsabilité dans ton existence, ou tu peux commencer maintenant à avoir un impact sur ta vie :

Procure-toi un carnet, commence les exercices, passes-y au moins 5 minutes aujourd'hui. Recommence demain. Recommence pendant 7 jours.

Ce sera la validation de l'étape 2.

Dans le prochain chapitre, le #PC3, je vais te montrer comment développer la plus importante des compétences, celle dont découlent tous tes résultats à venir

Ça va être intense. Tu vas suer. Mais ça t'ouvrira un nombre infini de possibilités !

AUSSI…

Si t'as pas le temps de TOUT lire tout de suite… pas de soucis nuggets… je suis en train de t'agencer ce guide des #PC dans un bon gros ebook PDF avec un tas de bonus (notamment des exercices et des checklists avec les points essentiels !).

Comme ça tu pourras le télécharger direct sur ton ordi ou ton tel et le bouquiner au besoin :

Et si tu trouves ce guide utile :
Partage-le !

^
Voir :Tous les articlesLe dernier article :
Damien Fauché PleinDeTrucs.fr

#PC1. Décide de ce que tu vas faire de ta vie

Dans ce FAT guide (7 chapitres biatch !) sur les prises de contrôle de ton cerveau (#PC)

…je te propose tout d’abord une petite balade au pays du conditionnement.

Dit comme ça, ça sonne pas folichon à plein tube pour un premier chapitre mais détrompe-toi mein klitze klein apfel shtrudel :

L’objectif de cet article, c’est de te faire sentir la caresse du vent de la liberté au-delà du gros nuage nauséabond qui émane de l’asphalte et du béton de la prétendue normalité.

En gros, ça va t’apporter une bonne bouffée d’air frais et te mettre en jambe pour amorcer la domination totale de ton mental. Mwahahahaha !!!

D’ici la fin de ce chapitre #1, tu seras en face d’un choix. Le premier de la série. Ta réponse déterminera probablement le reste de ta vie. Rien que ça ^^

L’idée d’aujourd’hui, c’est que notre société n’est pas une forme ultime de légitimité.

As-tu accepté le « rêve » ?

Notre société expose ses STANDARDS et c’est NOUS qui acceptons de nous les imposer pour, sans faire de vague, s’y intégrer.

Depuis l’enfance, de toute part c’est le rêve de cette société qui nous est inculqué, par la télévision et par tous ceux qui l’ont accepté.

« Il faut travailler dur, faire de grandes études, gagner de l’argent, être beau ou belle, mince, cultivé… » La liste est longue. La liste est frustrante. La liste est impossible à être complétée.

Fight Club

Le conditionnement est extrême. Au point même qu’il en devient tabou de le questionner.

C’est comme ça. C’est comme ça que ça marche. Point.

Tous dans la même direction, 5 jours par semaine, à fond la caisse, jusqu’à la tombe !

Pourquoi ?

Parce qu’on a accepté le rêve de la société. Parce que tout le monde semble aller dans cette même direction. Parce qu’on a dit « Oui, c’est ça la normalité ».

Et pourtant… pourtant on se dit qu’il y a quelque chose qui cloche. Chacun dans son monde de verre. Chacun derrière son masque. Chacun noyé dans ses émotions.

Coincé dans son boulot. Coincé dans son couple. Coincé dans son milieu social.

Tout est passé sous silence

« Je ne suis pas normal. » « Les autres ont l’air de savoir comment faire. » « Je ne suis pas à ma place. »

Solitude, peine, souffrance, honte, réjection.

C’est très fin, c’est diffus, ça s’infuse dans nos veines.

Ça suinte et ça pue, ça incite à la haine.

Seul. Seul avec les autres.

Mais heureusement, il y a du bon dans tout ça !

Il y a les amis (parfois), la famille (parfois), le succès (parfois), les vacances (parfois)

On se dit que c’est bien, que ça rend le reste supportable. On peut même être heureux comme ça. C’est une belle compétence que de pouvoir l’accepter.

Cependant, ce n’est pas à la portée de tout le monde.

Accepter la fatalité de son existence, ça demande de faire taire son enfant intérieur, ses rêves, ses aspirations.

Dans ton fort intérieur, y'a un enfant qui pleure

Ça demande aussi de s’imposer de nouveaux rêves, les rêves proposés par la société.

Gentiment, en silence, sans se faire remarquer, préférer la sécurité, toujours.

Tout le monde n’a pas envie de suivre ce chemin là.

C’est ce qui fait que j’écris ces lignes. C’est ce qui fait que tu es en train de les lire.

Parce que pour nous, nos rêves, nos aspirations, on ne veut pas y renoncer.

On veut leur donner de la voix. On veut les faire chanter au-delà du tintamarre imposé.

Et on en a parfaitement le droit.

Regardons les choses sous un autre angle :

Le rêve de la société est une construction standardisée. C’est une vue de l’esprit qui s’est imposée progressivement au fil des années. À travers les époques, les philosophies, les religions.

La société n’a pas raison. Elle est juste majoritairement acceptée.

Ses valeurs sont définies, fixes dans une époque donnée, et révérées.

L’humain idéal de la société est hautement standardisé.

Hautement standardisé dans une société pleine d’individualités.

Comment une norme standardisée pourrait-elle s’appliquer parfaitement à une masse d’individus aussi divers que variés ?

Réponse : Elle ne le peut PAS.

Elle peut simplement toucher le plus grand nombre. Ceux qui ont décidé de ne pas l’interroger.

Alors que faire si l’on n’entre pas dans le moule ?

On peut ouvrir les yeux.

On peut se dissocier du rêve de la société.

On peut accepter de vivre son propre rêve.

On peut commencer à considérer la société comme une amie un peu bornée mais pas méchante.

On peut considérer tous ses bons côtés.

On peut même s’en faire une alliée.

On peut changer notre rôle en son sein sans en être éjecté.

Et petit à petit, par l’exemple, on peut la changer, Elle, avec amour, pour la rendre plus agréable à vivre.

Comment ?

Tout d’abord… en changeant légèrement de paradigme.

Parce que ta vision du monde, c’est ce qui va déterminer tes choix de vie.

Matrix

Et que tes choix de vie, ce sont eux qui vont déterminer la vie que tu mènes au quotidien et la personne que tu es.

Au début de ce chapitre, je te disais que t’allais te retrouver face à un choix qui pouvait bouleverser ta life, en mode furious

Le voici :

1/ Préserver le status quo, accepter « le rêve de la société », oublier cet article et gentiment poursuivre la course à la normalité 

OU

2/ Envisager un instant − le temps des 7 chapitres de ce guide − que ton rêve personnel puisse être distinct de celui de la société et qu’il est tout autant LÉGITIME

C’est juste un choix.

Mais c’est un choix qui peut avoir un impact titanesque sur l’aspect que ton quotidien va prendre.

Imagine qu’en changeant simplement quelques-unes de tes perceptions du monde, tu puisses avoir des résultats complètement nouveaux.

Into the Wild

Comme ne plus avoir à porter de masque et embrasser de tout ton être tes aspirations profondes, sans culpabilité et sans peur.

Pas trop naze huh ?

Dans la suite de ce FAT guide sur les Prises de Contrôle de ton mental (#PC), je te propose juste une manière de voir le monde.

Elle n’est pas meilleure ou pire qu’une autre mais au vu de mon expérience − perso et en tant que coach gourou interplanétaire (ok… je m’emballe un peu !) − elle te permettra d’assumer pleinement ta position par rapport aux attentes des autres

…et elle te permettra surtout de te sentir suffisamment PUISSANT(E) pour avoir le courage de construire ta vie en fonction de TES valeurs…

sans te sentir égoïste ou « pas à ta place » pour autant.

Alors si t’as pas froid aux yeux et que t’es prêt(e) à questionner les mantras de la normalité…

Well, well, well my beautiful Muffins

…alors ce FAT guide est pile poil pour wat 😉

Prépare-toi à dominer majestueusement ton mental sans flipper comme une flippette !

Dans le #PC2, on va voir comment tu peux avoir un impact énorme sur ta vie et ton environnement en maîtrisant le jeu de la société.

Ça va dépoter grave !

Puis il y aura encore 5 autres chapitres pour finir la full maîtrise de ton cerveau (7 en tout donc !) ^^

AUSSI…

Si t'as pas le temps de TOUT lire tout de suite… pas de soucis nuggets… je suis en train de t'agencer ce guide des #PC dans un bon gros ebook PDF avec un tas de bonus (notamment des exercices et des checklists avec les points essentiels !).

Comme ça tu pourras le télécharger direct sur ton ordi ou ton tel et le bouquiner au besoin :

Et si trouves ce guide utile :
Partage-le !