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Où est-ce que tu vas dans ta vie ?

Au cas où tu vivrais terré(e) dans une cave au fin fond de l’arctique et que tu tomberais par enchantement sur cet article, on vient de passer en 2016.

Et pour un paquet de personnes, c’est une période de l’année propice à faire le point sur leur vie.

Alors on va profiter du mouvement d’hystérie générale sur les bonnes résolutions (qui tiennent en général jusqu’à février) pour jeter un œil à où est-ce que tu vas dans ta vie, toi, personnellement.

Secouage de *loukoum* en perspective.

Point numéro 1 :

 

La personne que tu es définit la vie que tu mènes

La personne que tu es, c’est toi au moment où tu lis ces lignes. Ce n’est pas toi hier, ce n’est pas toi l’an dernier, ce n’est pas toi quand tu étais à l’école (sauf si tu es à l’école au moment où tu lis ces lignes my dear).

La personne que tu es, ce n’est pas nécessairement la personne que tu étais.

Le truc, c’est que des tas de personnes pensent qu’elles se définissent par ce qu’elles étaient et ce qu’elles ont fait par le passé.

« Je suis comme ça ». « Je sais pas faire ça ». « Je fais toujours ça ». Etc…

Au fond, ce n’est ni bien ni pas bien, c’est juste leur perception d’elles-mêmes. Et c’est une perception super limitante.

Cette mentalité conduit à répéter le passé encore et encore : « Dans la situation X, je fais Y, et j’obtiens Z résultat ».

Une bonne boucle « parce que je suis comme ça ».

Pas de perspective d’évolution. Piétinement intempestif.

Papi Einstein disait :

« Écoute moi bien mon petit strudel aux pommes, la folie c’est se comporter de la même manière et t’attendre à un résultat différent. »

Voilà le nouveau tatouage pour ton front du jour :

« Chaque jour, je détermine qui je suis, et la personne que je suis détermine la vie que je mène »

Et là, on va pousser un peu plus le concept pour que tu n’acceptes pas cette phrase simplement comme telle mais que tu la ressentes vibrer au fond de chacune des particules qui t’animent.

Ce n’est pas une phrase cliché de développement personnel destinée aux hordes de zombie pour qu’elles la répètent comme un mantra dans une transe semi-consciente.

C’est une réalisation profonde qui peut changer le cours de ton existence.

Alors, je vais marteler mon clavier (à plus de 60 mots minutes maintenant nuggets !) jusqu’à ce que le concept soit parfaitement clair pour toi. Et si le concept était déjà clair à tes yeux, ça fera quand même une bonne piqure de rappel de début d’année.

Si tu mènes ta vie en fonction de qui tu étais, tu vas répéter les mêmes schémas de vie et avoir les mêmes résultats que par le passé.

Si tu n’as pas un rond sur ton compte en banque, que tu es gros(se), que tu n’as pas d’ami, que tu détestes ton job, que ta copine ou ton copain te saoule, que tu n’arrives pas à maintenir tes relations plus d’un mois, ou que tu rencontres continuellement une situation qui ne te plaît pas, etc… et bien ça ne va pas changer d’un broc si tu t’identifies à ton passé et que tu agis de la même manière que par ce dernier.

Tu es ce que tu fais à chaque instant.

Alors, certes, tu as des automatismes créés par ton passé.

Par exemple, si tu as l’habitude de manger comme un porc toute la journée et que tu veux perdre du poids : tu ne peux pas être mince à cet instant.

Par contre, tu peux être une personne qui mange équilibré à cet instant. Et quand tu te retrouves face à ce maxi-gâteau au chocolat nappé de foie-gras dans un miam-miam-burger pané dans l’huile enroulé d’une tortilla fourré aux frites et ses 8 boules de glace, tu peux faire le choix de ne pas le manger.

Et ça, c’est la personne que tu es.

Ce genre de choix, tu dois les faire chaque jour. C’est la personne que tu es qui fait ces choix. Pas la personne que tu étais.

La personne que tu étais te donne juste une excuse pour réitérer les choix passés.

Aussi, ne cherche pas à « perdre 50kg », cherche plutôt à « manger équilibré ». Parce que manger équilibré, c’est un choix quotidien. Tu es une personne qui mange équilibré à chaque fois que tu es confronté(e) à de la nourriture.

C’est la même chose pour tous les aspects de ta vie.

Que tu veuilles quitter ton boulot, prendre du muscle, rencontrer quelqu’un, quitter quelqu’un, te faire des amis, partir voyager, te mettre en colère, te soumettre, le choix appartient à la personne que tu es.

Réalise ça et tu pourras rompre n’importe quel cycle établi.

Ça demande des efforts, ça implique parfois de la souffrance, mais c’est une réalisation qui détermine la vie que tu vas mener.

Ce qui nous amène au deuxième point :

 

Quelle vie tu veux mener ?

La plupart des gens ont une réponse bien précise à cette question : « Euh… j’en sais rien… »

Et du coup, c’est à peu près le résultat qu’ils ont.

Si tu ne définis pas la vie que tu veux mener, tu mènes une vie par défaut, grandement déterminée par ton environnement.

Ça peut être très bien si tu t’épanouis dans cette vie-là.

Mais ça peut être un supplice si ce n’est pas le cas.

Ou encore, tout le panel d’options entre les deux.

C’est simple, tant que tu mets cette question de côté « Quelle vie je veux mener ? », même si elle te fait peur, tu ne peux pas sortir de ton cycle de vie actuel ou passé.

Autrement dit, si tu veux des résultats différents que tes résultats actuels (être moins gros(se), en meilleure santé, travailler moins, avoir plus d’argent, etc…), il te faut définir précisément quels résultats tu veux avoir.

Par exemple : « Je veux prendre du plaisir à travailler, gagner suffisamment d’argent pour mener une vie confortable, être en bonne santé physique, avoir des relations saines et stimulantes, et apporter mes compétences afin de contribuer à rendre les autres heureux. »

Tant que tu n’as pas défini la vie que tu veux mener, tu tournes en rond. Les jours passent et tu te diriges vers davantage de passé. Parce que le modèle par défaut de l’humain est de répéter ce qu’il connaît déjà.

Changer de direction demande une certaine force pour briser l’inertie.

Et comme nous l’avons vu dans la partie précédente, c’est la personne que tu es qui définit la vie que tu mènes. C’est la personne que tu es dans l’instant présent qui possède cette force-là.

Alors pour définir la personne que tu es, au lieu de te baser sur la personne que tu étais, tu peux choisir de te baser sur la personne que tu veux être.

Et par extension sur la personne que tu ne veux pas être.

Ton « toi » du futur, ton « toi » idéal, est-ce qu’il mange le méga-gâteau chocolat foie-gras ?

Est-ce qu’il reste au lit toute la matinée à glandouiller ? Est-ce qu’il remet son entraînement pompes-abdos-squats au lendemain ? Est-ce qu’il passe ses soirées à regarder la télé ? Est-ce qu’il passe des heures à comparer le prix des pâtes quand il fait les courses ?

Tu choisis qui tu es, à chaque instant, pour le reste de ta vie.

C’est la bataille épique entre le gâteau aujourd’hui et le ventre plat demain.

Le succès se crée bien avant qu’il ne soit visible.

Et si tu veux avoir un corps de Vénus ou d’Apollon grec, selon ou tu en es, ça peut commencer par des semaines ou des mois d’exercices qui ne se verront pas le moins du monde.

Alors, encore une fois, ne vise pas l’objectif (être musclé(e), mince, riche, sociable, etc…) vise la personne que tu veux être (je fais mon entrainement, je mange équilibré, j’améliore mes compétences monétisables, je communique avec les autres, etc…).

Une personne riche l’est bien avant de toucher ses premiers milliers euros. Un champion olympique l’est bien avant d’être champion départemental. Une personne super-sociable l’est bien avant d’avoir son méga cercle social.

C’est la personne que tu es qui t’amène à tes résultats et non tes résultats qui définissent la personne que tu es.

(Édit : Je viens de relire cette phrase et elle envoie du lourd !)

Et voilà la transition vers le troisième point qui est aussi le titre de cet article (Amazing ! On dirait que c’est fait exprès !) :

 

Où est-ce que tu vas dans ta vie ?

Tu vas dans la direction de la personne que tu es chaque jour.

Tu n’as aucun pouvoir sur la finalité de tes résultats. Tu ne peux pas être riche, zen, connu(e), bon(ne) au piano, etc… du jour au lendemain.

En revanche, tu as le pouvoir de choisir qui tu es à chaque instant.

Et ce sont ces 15 minutes de sport, ces 20 minutes consacrées à ton business, ces 10 minutes de piano aujourd’hui qui vont t’emmener progressivement vers 30 minutes de sport, 2h sur ton business et 20 minutes de piano par jour, puis de plus en plus pour éventuellement, un jour ou l’autre, te donner un corps puissant et en pleine santé, une activité lucrative qui te plaît, une sensibilité musicale accrue et atteindre les résultats que tu avais imaginés.

Alors pour cette année, comme pour toutes les suivantes, ne te préoccupe pas tellement d’atteindre tel ou tel résultat, préoccupe-toi surtout d’être la personne que tu veux devenir.

Le résultat se manifestera éventuellement à un moment ou à un autre lorsque tu te comportes comme une personne qui obtient ce genre de résultats. Pas par magie. Mais grâce à ta persévérance. Et quelles que soient tes attentes personnelles.

C’est exactement ce vers quoi tu vas dans ta vie.

La semaine prochaine, on parlera du prix à payer pour devenir la personne que tu veux être et si tu en as le courage, je te montrerai comment payer ce prix.

2016 va bombarder sévère. Accroche-toi à ton slip.

Et merci de partager l’article amig@, ça compte 😉

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Bilan 2015 – Projets 2016

Et hop, encore une bonne grosse année au compteur !

La suivante arrive à toute allure, peu importe qu’on y soit préparé ou non.

Alors, je me dis que c’est un bon moment pour faire une pause, une petite rétrospective des 365 jours passés, histoire de voir ce qui a compté pour prendre un peu de recul et dessiner les contours de l’avenir vers lequel se diriger.

Bien entendu, je t’invite à faire la même chose : poser un regard frais sur 2015 afin de te donner des pistes pour 2016.

Pour ma part, je voudrais vous dire à tous un méga-merci.

C’est génial d’être lu par des gens aussi cool, volontaires, créatifs et enthousiastes que vous.

Alors, merci de me lire. Merci de partager mes idées. Et merci pour tous vos mails, ça me fait super plaisir 😉 J’essaye de répondre à tout le monde, même si j’en reçois parfois beaucoup (des fois 30 par jour !) et que certains atterrissent dans mes spams ^^

Vous allez faire des choses exceptionnelles cette année aussi, j’en suis sûr ! Et je compte bien continuer de partager mes idées sur le blog pour vous y aider !

Tout comme l’année dernière, je réalise que le plus important dans ma vie, c’est de me connecter aux autres et de vivre avec eux leurs joies et leurs peines tout en partageant les miennes.

Et là, je vais placer un paquet de trucs personnels et émotionnels, alors si tu veux aller direct à la fin pour voir le programme de 2016, tu es libre de sauter les prochains paragraphes !

Déjà, merci à mon incroyable Yoyo de m’apporter sa joie de vivre intarissable, ses éclats de rire et son sourire qui font chavirer la plus sombre journée en un instant suspendu, paisible, lumineux et confortable. Merci d’être là et de briller devant moi avec ta légèreté et ton enthousiasme.

Merci à mes amis d’être présents, ceux avec qui je parle chaque jour comme ceux qui restent dans un coin de ma tête, même lorsque vous êtes à des milliers de kilomètres. Je sais pas si vous vous rendez compte à quel point vous êtes précieux pour moi. Sur chaque chose que j’accomplis, il y a votre empreinte. Merci.

Merci à mes parents pour leur soutien inconditionnel, même si je sais que je ne fais pas les choix de vie les plus « classiques ». Merci d’accepter ça. Je suis fier de vous avoir.

Merci à toutes les personnes que j’ai rencontrées, en France comme ailleurs, sur le net ou en vrai. Merci pour ces moments magiques, en stop sur le toit d’un camion, sous une tente givrée dans la Cordillère des Andes, autour d’un bon repas cuisiné ensemble, ou derrière nos écrans à discuter. Merci d’avoir partagé un fragment d’existence avec moi. Merci pour votre ouverture. C’était une année du tonnerre !!

De manière un peu plus concrète, voilà un certain nombre de trucs que j’ai fait :

  • J’ai publié au minimum un article par semaine toute l’année (et j’en suis assez fier parce que c’est pas évident de tenir le rythme quand t’es paumé au milieu des montagnes Boliviennes sans aucune connexion internet !)
  • J’ai écrit deux livres (ok, un et demi vu que j’avais commencé celui sur le sommeil polyphasique fin 2014) dont ma méthode détaillée de 201 pages pour profiter à fond de la vie
  • J’ai fait quelques treks de plusieurs jours en haute montagne (jusqu’à 4750 mètres à Punta Union au Pérou)
  • J’ai voyagé pendant 6 mois en Amérique du sud
  • Je suis allé au Machu Picchu
  • Je suis allé aux Galápagos ! Et vu des tas d’animaux incroyables
  • J’ai plongé avec des requins marteaux
  • J’ai sauté en parachute
  • J’ai appris l’espagnol
  • J’ai un peu progressé en guitare
  • J’ai commencé le piano (même si je suis nul pour l’instant ^^)

Il y a aussi un tas de choses que je n’ai pas faites et un tas d’autres sur lesquelles je me suis planté. Je me suis retrouvé dans des grosses galères. J’ai parfois bossé comme un malade (plus de 16h par jour) sur le blog et les livres. Je me suis énervé. J’ai eu peur. J’ai douté.

Et tout ça fait bien sûr partie de l’équation. Chaque accomplissement implique son lot d’investissement.

On a rien sans rien comme le dit le vieil adage !

Ensuite, c’est à chacun d’en tirer des apprentissages.

Je pense que la vie, c’est une vision de l’esprit et qu’il faut s’équiper d’une bonne paire de lunettes.

Je pense que pour se sentir bien, il faut vivre en accord avec ses valeurs et ses croyances.

Je pense que poursuivre ses rêves est une belle manière de vivre.

Et pour cette année 2016, je vais faire de mon mieux pour t’aider à en accomplir certains :

  • Gagner de l’argent en faisant ce que tu aimes (sans nécessairement quitter ton boulot dès le début) – Je prévois même une formation en 3 mois (bon, c’est juste un projet… c’est pas pour demain quoi ^^)
  • Mieux gérer ton argent – Économiser, consommer moins, investir, etc…
  • Trouver du temps – Pour mieux t’organiser, souffler et atteindre tes objectifs

Bien sûr, je compte encore voyager (là, je suis en France pour au moins un mois, peut-être plus !), probablement au Japon (mais j’en sais rien en fait ^^), et je continuerai de te donner des conseils de voyage !

Et souviens-toi que peu importe qu’on soit en 2015, 2016 ou 2060, c’est pas le numéro de l’année qui va t’apporter de la satisfaction dans ta vie, c’est ce que tu vas faire de cette année.

2016 sera une belle année seulement si tu fais en sorte qu’elle le soit.

Alors, je te souhaite d’accomplir les choses qui te tiennent à cœur, réaliser tes rêves, surmonter tes peurs, rire, jouer, prendre les gens que tu aimes dans tes bras, apprécier les rayons du soleil sur ta peau et croquer des fruits délicieux !

Personne ne peut le faire à ta place.

Je te souhaite une excellente année 2016 amig@ !

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Comment surmonter la peur de l’échec

Peut-être que tu es parfois en prise au terrible : « Je vais pas y arriver ». L’effroyable peur de l’échec.

Que ce soit pour créer ton propre business, commencer la guitare, apprendre une nouvelle langue ou partir tout(e) seul(e) à l’autre bout de la planète, la peur de l’échec pointe le bout de son nez.

Il y a cette voix dans ta tête qui te dit « Et si ça ne marchait pas » et « Je n’ai pas envie de faire tous ces efforts pour RIEN » ou encore « Je ne sais pas comment passer à l’étape suivante » ou tout simplement « J’ai peur de l’échec ».

Et cette voix, elle te retient de passer à l’action, comme des chaînes invisibles et pourtant très solides.

Aujourd’hui, je te propose un moyen de les faire exploser.

Et là, il y a deux trucs à prendre en compte :

Premièrement, la peur de l’échec ne s’en va jamais. Paf dans ton * fuchsbau* !

Deuxièmement, tu peux quand même surmonter ta peur de l’échec. Ouf, on a eu chaud !

Échouer, c’est quelque chose d’assez commun en somme.

Par exemple, un bébé qui apprend à marcher échoue des dizaines de fois, voire des centaines avant de tituber maladroitement sur ses petites gambettes. Un jour, éventuellement, il arrive à marcher.

Tout processus d’apprentissage est similaire.

Personne n’a la science infuse.

Les échecs amènent au succès.

Papi Winston Churchill présente les choses sous cet angle :

« Le succès c’est d’aller d’échec en échec sans perdre ton enthousiasme gamin. »

Alors évidemment, ça fait peur de se planter.

Et c’est là que je te présente le code secret que j’utilise pour surmonter la peur de l’échec :

N’envisage pas l’échec.

Ça ne veut pas dire que tu ne vas pas échouer. Perso, je me ramasse la gueule trois fois par semaine !

Ça veut dire que quand tu commences un truc, n’importe quoi, tu le fais de tout ton cœur sans envisager que tu vas échouer.

Comme le disait mon prof de judo, Jean-Claude Yoda :

« N’essaie pas. Fais-le, ou ne le fais pas. Il n’y a pas d’essai. »

Quand j’ai quitté ma situation « confortable » CDI, BMW, villa pour créer mon entreprise de jeux-vidéo et bosser avec une ONG au Cambodge, tout le monde m’a demandé horrifié : « Olala mais si ça ne marche pas, que tu n’arrives pas à t’en sortir, comment tu vas faire ? »

Et ma réponse : « Plan B : pas de plan B ».

Alors là, attention, j’introduis une méga-nuance : ça ne veut pas dire que je faisais ça sur un coup de tête, ni que je sautais dans la gueule du loup sans aucune préparation, loin de là.

Ça veut dire que je ne me laissais pas d’autre issue possible que la réussite. En pratique, j’avais un matelas financier assez confortable, et je savais très bien que je pouvais toujours retrouver un travail d’employé en cas de grosse galère.

Le truc, c’est que ce n’était pas réellement une option que je m’autorisais à prendre.

Si tu t’autorises à échouer, tu vas échouer.

Pourquoi ?

Parce que ton cerveau envisage une fuite dans l’échec.

Du genre « Si je n’y arrive pas, je peux toujours faire ceci ou cela ».

Et la dure et froide vérité, c’est que tu vas échouer. Des tas de fois. Tout comme j’ai échoué des tas de fois.

Mais ce n’est pas grave. Parce que ce n’est pas une fin en soi.

Nouveau tatouage pour ton front :

« L’échec n’est pas une fin en soi, c’est une étape vers la réussite »

– Damien Fauché, pleindetrucs.fr. Auto-citation power !

Concrètement, tu vas te manger les dents cinquante fois. Tu vas te dire que c’est trop dur. Tu vas vouloir abandonner.

Ça fait partie du processus.

Et un beau jour, tu vas voir que tous tes efforts ont payé.

Tu vas encaisser un chèque de 8000€.

Tu vas voir un levé de soleil sur la Cordillère des Andes et ce sera juste parfait.

Tu vas partager un repas avec des minorités autochtones dans l’arrière-pays Chinois et tu t’y sentiras comme chez toi. Cf. photo en haut de l’article.

Et à ce moment-là, tu réaliseras que chaque seconde de doute qui t’a mené jusqu’ici en valait la peine.

Ce qui est sûr, c’est que si tu ne tentes rien, rien de nouveau ne va arriver.

Comment surmonter la peur de l’échec ?

En l’accueillant à bras ouvert.

Voilà le script que tu peux te graver au fond de ton être :

« Oui, je vais me planter. Non, ce n’est pas une fin en soi. L’échec est seulement une étape vers le succès et peu importe le nombre de fois où je vais échouer, à la fin, j’atteindrai mon objectif. Il n’y a pas d’autre option ».

La société nous encourage à ne pas prendre de risque, à ne rien tenter pour ne pas se taper la honte de nos échecs. C’est naze.

Vivre, c’est prendre des risques mesurés. Pas des risques mortels, hein, on est bien d’accord.

Quand je dis « pas de plan B », ce n’est pas tout à fait exact. Prépare tout de même une solution de secours (et prépare-la bien). Par contre, ne l’envisage pas comme une option possible en cas de difficulté. Considère-la plutôt comme un échappatoire en cas de catastrophe.

Quand un avion décolle, il y a un plan B qui implique des masques à oxygène, des parachutes, des pertes humaines et des centaines de milliers d’euros de dommages matériels. Les plan B, ça pue du *brushmol*.

Si tu décolles, c’est pour arriver à destination.

Souris. Profite de la vie. Maintenant.

Je te souhaite une bonne continuation dans tes projets !

Et si tu veux m’aider à secouer le monde avec ces idées, merci de partager l’article amig@. Les idées ne servent à rien si elles ne sont pas diffusées. Ton rôle est super important 🙂

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Comment te connecter avec n’importe qui

Fat news aujourd’hui !

Je viens de terminer mon nouvel ebook. Et je te l’offre gra-tos !

L'art de te connecter aux autres, pleindetrucs.fr

C’est un guide super complet sur les compétences sociales.

Je l’ai écrit parce que vous avez été des tas à me répondre au mail où je vous posais 3 questions et un truc qui revenait souvent dans ce qui vous intéressait, c’était « comment bien communiquer dans la vraie vie ».

Dans ce guide ultime (ouais, Ultime mon pote !), voici ce que tu vas trouver :

► Le secret des personnes « naturellement » sociables

► …et comment tu peux devenir l’une d’entres-elles

► Comment créer un premier contact réussi — gérer les 3 premières secondes

Que dire lors d’une conversation — avec des exemples de conversation mot pour mot

► Les trucs à faire et à ne pas faire dans une conversation

► Comment te comporter en groupe — et comment être un leader

3 astuces fulgurantes pour développer ton charisme

► Comment te faire réellement apprécier

► Comment ne plus être timide et avoir confiance en toi

► Et des tas d’autres trucs

Comment te connecter avec n’importe qui

► Noël est passé. L’offre aussi.

C’est gratuit. C’est cadeau. C’est pour Noël. Gros bisous.

Merci de partager amig@ ! Genre « Damien a sorti un nouvel ebook gratos aujourd’hui. Le livre déchire sa race, lisez-le ! Il est vraiment super sympa ce Damien dis-donc ! » 

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Comment te faire aimer par tout le monde à Noël ?

Les fêtes de Noël approchent et tout le monde cherche le cadeau parfait pour ses proches…

Alors tu vas arpenter les galeries marchandes de la ville et les cyber rayons d’Amazon pour trouver la perle rare.

Et au final, il y a de maxi-probabilités que tu leur offres… un bidule inutile qui va prendre la poussière quelque part.

Eeeeet ouais !

Même si ton intention est bonne. Il y a de grandes chances que ton cadeau soit naze et pourrisse dans un coin.

Prenons la réflexion dans l’autre sens :

Souviens-toi des cadeaux que tu as reçus l’an dernier.

Est-ce qu’ils t’ont vraiment apporté quelque chose dans ta vie cette année ? Est-ce que tu les as vraiment utilisés ? Tous ?

Alors ? Hmmm ?

Exactement.

Et moi non plus d’ailleurs. Je n’ai même pas utilisé une seule fois 99% des cadeaux de l’année dernière (le 1% restant, c’est un t-shirt que je mets de temps en temps mais dont je n’avais pas du tout besoin).

Faut l’avouer, la plupart des cadeaux de Noël sont nazes.

Alors là, tu pourrais me rétorquer, « Oui mais ça fait plaisir les cadeaux ». Et oui, « ça fait plaisir » au moment où on les reçoit.

Et quelques temps après, tous ces jolis présents errent désolés dans les abysses de l’oubli.

En voilà de l’argent bien investi dis-donc ! ATTENTION : ironie.

Alors, évidemment avec la grosse débilité consumériste « il faut » acheter des cadeaux par millier. C’est la publicité, les blogs, les films américains et à peu près tous les médias qui le disent donc ça doit être vrai.

On montre à quel point on aime l’autre en le couvrant de jolis cadeaux inutiles qui vont gentiment se perdre dans le désintérêt le plus total.

C’est n’importe quoi !

L’amour ne s’exprime pas en fonction du montant investi dans les cadeaux.

Et si ton gosse regarde la télé 24h sur 24, c’est sûr qu’il préférera une playstation plutôt qu’une balade en famille. Dans ce cas, mets-lui une bonne tarte dans sa tronche et dis-lui de lire mon blog parce qu’il y a des choses plus intéressantes dans la vie que consommer.

« Regardez tout ce que j’ai eu à Noël ! »

Personne ne s’intéresse vraiment à cet ensemble de tasses à café ni à cette trousse de toilette !

Et même si elle est jolie, personne n’a besoin de cette 40ème veste supplémentaire non plus.

Puis avec 267 bouquins sur leur table de chevet, ce livre en plus aura un bel avenir dans un coin de l’étagère déjà trop pleine.

Bref…

Dans cet article, je te propose quelques idées alternatives pour faire des cadeaux qui font vraiment plaisir.

1. Investis dans les projets de l’autre

Tes proches, ils ont des objectifs. Les plus courageux poursuivent même leurs rêves.

Investir dans leurs rêves, c’est le plus beau cadeau que tu puisses leur faire. Ils te seront extrêmement reconnaissants pour ça.

Ta sœur rêve de partir voyager ? Mets quelques euros dans son billet d’avion.

Un de tes amis est en train de monter son business ? Achète-lui quelque chose.

Tes parents sont débordés avec leur boulot et rêveraient de se reposer un peu ? Nettoie la maison à fond.

C’est simple.

Et si tu ne connais pas les objectifs de tes proches, tu peux leur poser une question du genre : Qu’est-ce que tu rêverais de faire l’année prochaine ? Ensuite, fais de ton mieux pour les aider. Ça c’est un beau cadeau.

Au passage, un message perso pour mes proches, mes amis, ceux qui lisent mon blog depuis longtemps et tous ceux qui ont envie de me faire plaisir à Noël : Je veux pas de nouveau sweat-shirt, de bibelot à la con ni de machine à expresso. Achetez mon livre et lisez-le. Vous serez super content de le lire (parce qu’objectivement, il est trop bien : demandez à ceux qui l’ont lu) et ça me fera quelques euros.

2. Réponds à une requête

Si ton fils de 7 ans te dit (à toi ou dans sa lettre au père-noël) qu’il veut « Oui-oui contre les lapins démoniaques », c’est un bon signe que ça lui ferait plaisir.

Si ta mère te dit qu’elle voudrait une écharpe, idem.

Dans la mesure où le cadeau est clairement défini par l’autre, fonce !

Par contre ne t’amuse pas à deviner ce qui leur ferait plaisir. Les proba sont trop faibles. C’est de l’argent jeté par les fenêtres : l’autre ne sera pas content(e) + tu auras perdu du fric = Nul.

3. Privilégie une expérience plutôt qu’un objet

La plupart des gens pensent qu’un objet physique (genre un pull) a plus de valeur qu’une expérience (genre un repas au restau) parce que l’objet physique reste et l’expérience non.

C’est des conneries.

C’est carrément l’inverse : les expériences rendent plus heureux que les choses. Des tas d’études soutiennent cette idée (,  ou  et tu peux encore en trouver des tonnes).

Alors si tu veux faire plaisir en dépensant ton argent intelligemment, offre plutôt un repas délicieux, une rando au mont Viso ou un saut en parachute plutôt qu’une lampe torche ou une table basse.

4. Offre du fric

Au moins, tu es sûr(e) que l’autre va vraiment s’en servir. Mieux vaut 1€ utilisé librement que 1€ au fond d’un placard.

5. Fais des cadeaux émotionnels

Écris une lettre personnalisée, pas juste trois mots ni une carte postale, mais une véritable lettre où tu exprimes ton amour pour l’autre (que ce soit ta/ton partenaire, ta famille, tes amis). Offre un câlin. Remercie l’autre de faire partie de ta vie. Ce genre de choses.

Ça touche à fond. Ça fait du bien. Les connexions humaines, c’est une des choses les plus importantes à mon avis.

Évidemment, c’est plus difficile d’exprimer sincèrement ses sentiments que de faire deux clics sur Amazon.

En tout cas, je trouve que ce genre de cadeau crée une meilleure connexion et un plus bel échange.

Les mots, les gestes et l’intention exprimée prévalent un million de fois sur un joli gadget bien emballé.

Mais c’est juste mon avis.

J’espère que ce mini-guide pour un Noël alternatif t’aura donné quelques idées. En voilà quelques autres de Leo sur le site d’Olivier.

Et avant de conclure cet article, je voulais te dire : merci de me lire.

Que tu aies découvert mon blog aujourd’hui, ou que tu sois là depuis le début.

Qu’on échange par mail chaque semaine ou que tu ne m’aies jamais contacté.

Que tu sois un ami de longue date ou qu’on ne se soit jamais rencontré.

Ça me touche énormément de savoir que tu accordes de la valeur à mes mots.

Je fais de mon mieux pour te donner un max d’énergie et l’envie de profiter à fond de ta vie.

Et même si Noël ne devrait pas être un prétexte pour donner de soi aux autres parce qu’on peut le faire toute l’année…

Avec gratitude, je te souhaite un joyeux Noël !