^
Voir :Tous les articlesLe dernier article :
pleindetrucs.fr, sommeil polyphasique Everyman mixte

Thomas D. | Je dors 4h20 par jour depuis plus de 7 mois

Thomas a adopté un rythme de sommeil polyphasique il y a un peu plus de 7 mois.

Il dort à présent 4h20 par jour.

J’ai communiqué avec lui par mail alors qu’il mettait son rythme de sommeil polyphasique en place et nous sommes restés en contact depuis.

En quelques mots, le principe du sommeil polyphasique est le suivant : répartir son temps de sommeil quotidien en plusieurs phases (siestes).

À quoi ça sert ? À libérer du temps.

C’est à ça que ça sert. C’est un moyen de ne plus se dire « je n’ai pas le temps ».

Ça permet de se consacrer aux projets qu’on avait « mis de côté » ou qu’on voudrait « faire un jour ».

Pour en savoir davantage, tu peux faire un tour sur cette page.

Aujourd’hui, je lui ai demandé de nous raconter son expérience.

L’objectif, c’est de te montrer une manière (assez inhabituelle, ok !) de trouver du temps libre.

Il faut prendre en compte que Thomas a vraiment bien réussi son adaptation. Ce n’est pas « facile » de mettre un rythme de sommeil polyphasique en place, et même si des dizaines d’autres personnes ont également réussi, il y en a de nombreuses qui n’y sont pas aussi bien parvenues :

 

Je m’appelle Thomas et je suis actuellement un rythme de sommeil polyphasique Everyman depuis plus de 7 mois et je ne compte pas m’arrêter de si tôt.

C’est à dire que je dors seulement 4h20 par jour.

J’ai pris ce rythme en lisant « Comment dormir 2h par jour sans manquer de sommeil (et autres aventures polyphasiques) » de Damien Fauché.

Je travaille comme aide avec des enfants handicapés et je suis prof à domicile. J’ai près de 30 heures de boulot par semaine.

1. Mise en place

J’ai commencé mon rythme pendant les vacancesParce que j’appréhendais le début. J’ai donc profité du moment que je trouvais opportun pour expérimenter ce mode de sommeil. Je ne savais pas bien comment mon corps allait réagir à la perte de plus de la moitié de sommeil. Si quoique ce soit devenait trop compliqué, j’avais toujours le temps de récupérer avant la reprise de mes activités.

Les premiers jours ont été vraiment difficiles, surtout le troisième, à partir de là, j’ai commencé à récupérer de mieux en mieux.

Et c’était agréable. Enfin une réussite. Je dois avouer que j’étais plus que méfiant.

Au bout du dixième jour mon rythme était complètement en place. Je pouvais faire des siestes efficaces et récupérer rapidement. C’est là que j’ai compris l’ampleur de ce changement. J’allais enfin pouvoir articuler mes journées comme JE choisissais.

2. Gestion des contraintes

Je l’ai adapté à mon boulot. Ça a été assez facile dans l’ensemble.

Il faut avouer que j’avais une équipe de travail particulièrement formidable cette année.

Au début, j’ai pas vraiment osé en parlé à l’école. Je disais que je devais passer un appel pour justifier mes allées et venues à ma voiture une à deux fois par jour pour faire mes siestes. Mais bon les bobards c’est bien cinq minutes !

Puis, j’ai commencé à en parler. Mes collègues ont été très compréhensif, interloqués pour certains. Mais ils ne m’empêchèrent pas de me reposer bien au contraire.

Une fois mon petit monde au courant il a été de plus facile de s’organiser.

A voir les réactions des gens, je me pose encore la question de pourquoi je me suis compliqué la vie au début !

3. Ma vie aujourd’hui

J’en ai tiré des tas d’avantages.

Aujourd’hui ma vie est à peu près rythmée ainsi. Je me lève vers 5h. Comme ça je peux voir, la plupart du temps, le lever de soleil. C’est très reposant comme activité !

Je peux prendre le temps de faire mon sport, me détendre, prendre une douche. Ensuite on passe aux activités cérébrales. Une correction de copie d’élève, un cours… Je continue par une session « d’attentions propres ». Je réfléchis à ce que je veux, ce que je vais faire pour avancer. Je me sers des conseils que je lis et que je reçois pour travailler sur moi. Je suis reconnaissant de pouvoir y accorder du temps !

Ensuite ça dépend. Parfois aller au marché, simplement me balader, lire un bouquin, me préparer un bon petit déj´. La cuisine à une place importante dans ma vie. Mon ancien problème est que je n’arrivais pas à lui accorder le temps nécessaire. Mais ça, c’était avant !

Quoi qu’il en soit je prend mon temps pour chaque chose. De manière à commencer la journée du mieux que je puisse.

Un exemple concret :

Que je connaisse, il y en a bien peu qui peuvent se targuer (sans prétention aucune) de pouvoir vivre certaines de mes journées !

Prenons l’exemple de samedi. Au niveau de mes activités prévues, rien de plus flamboyant que d’habitude. Le rituel du matin : course et préparation d’un petit déj continental, exercices physiques, un peu de lecture, mes « attentions propres », mes ablutions pour un total de 4h. Du coup quand la ville de réveille sur les coups des 9/10h j’ai validé tout ça.

J’ai donc tout mon temps pour commencer à organiser, étape par étape, tout mon voyage de la journée.

10h30 je reçois un coup de fil d’un élève. Il aurait besoin d’un cours cet après-midi car après il part. Pas de souci. Je laisse ce que je suis en train de faire. Je prépare mon cours, ça me prend une bonne heure.

A la fin mon père m’appelle. Il a besoin de moi et m’incite en contre partie à manger chez lui. « Ok j’arrive ». Je file, je l’aide, on prépare puis mange, je fais mon cours. Il est 16h je rentre et valide mes objectifs de préparation.

Nous sommes samedi, ce soir j’ai un festival sur Marseille. Je dois m’occuper de toute la logistique des personnes venant avec moi.

Aux termes de mes arrangements, il me reste 2 bonnes heures. J’en utiliserai une partie pour réfléchir sur moi et une autre pour me mettre à jour de mes séries. Le soir j’irai comme convenu à mon festival. J’y arrive plus d’une demie heure en avance.

Plusieurs aléas sont venus se coller à cette journée. Le fait d’avoir plus de temps m’a permis non seulement de tout concilier, mais surtout, de ne pas me rajouter le moindre stress. Je savais tout au long de la journée que le temps ne me manquerait pas !

Conclusion

Ce rythme polyphasique Everyman est génial pour moi. Malgré ma désorganisation et mon flegme si caractéristique, j’arrive à faire bon nombre d’activité extra BMD (boulot métro dodo). Bon, la partie métro n’a jamais fait partie de mon quotidien puisque je vis dans un bled tellement évolué technologiquement que c’est à peine s’il y a des bus, m’enfin.

Évidemment, il y a aussi des difficultés pour suivre un tel rythme : le décalage social, la « contrainte » des siestes, la phase d’adaptation. Ce n’est peut-être pas un rythme pour tout le monde.

Pour ma part, je suis nettement plus serein. Je me souviens de la plupart de mes rêves et ce pendant plusieurs jours. Ah oui, ça, c’est une révolution ! Avant mon rythme Everyman, j’ai souvent eu un sommeil très profond, trop même. Du coup je n’étais même pas sur d’avoir rêvé tellement j’avais « cassé le lit ». À présent, si vous saviez à quel point c’est agréable et (j’ai pas les mots pour décrire ça…) indescriptiblement bien de s’en souvenir. De garder en mémoire, plusieurs jours durant, les sensations, jusqu’à ce jour, exclusivement positives, de ses rêves !

Même si je ne dors que 4h20 par jour, je dis souvent que je passe mon temps a dormir. C’est tellement bon la phase où on perd pied, où on déconnecte et où on recharge les batteries. Personnellement je la vis 4 ou 5 fois par jour.

Voilà ce que le sommeil polyphasique m’a apporté. Merci Damien.

***

Encore une fois, j’insiste, mettre en place un rythme de sommeil polyphasique n’est pas « facile ». Et comme le dit aussi Thomas, ce n’est peut-être pas un rythme pour tout le monde.

En revanche, comme son cas est un super exemple d’adaptation, je me suis dit que ça stimulerait celles et ceux qui sont assez oufs pour se lancer dans l’aventure polyphasique.

Pour en savoir un peu plus sur le guide, ça se passe par là :

 

Comment dormir 2h par jour sans manquer de sommeil

^
Voir :Tous les articlesLe dernier article :
pleindetrucs.fr, Damien Fauché

Tu devrais créer un easy-business, maintenant (en 4 étapes)

Tu devrais créer un easy-business.

Maintenant.

Ok monsieur Fauché, je veux bien, mais c’est quoi un easy-business ?

Ah, oui, bonne question.

Dans cet article on va voir ce que c’est un easy-business et identifier les 4 étapes clefs pour en créer un.

Un easy-business, c’est une activité professionnelle qui a les propriétés suivantes :

  • Liberté géographique. Tu peux aller où tu veux.
  • Liberté hiérarchique. Pas de patron et pas d’employés.
  • Liberté horaire. Tu bosses quand tu veux.

Et qu’est-ce que tu y gagnes ?

  • Tu choisis sur quoi tu veux travailler. Tu offres ta créativité au monde.
  • Tu ne dépends pas de quelqu’un pour gagner ta vie mais de toi-même. Tu offres directement tes compétences sans intermédiaire.
  • Tu structures tes journées et ta vie comme bon te semble. C’est quand même bien cool.

Et là, j’entends les foules hurler à l’unisson :

« Bin, évidemment qu’on veut un easy-business ! Mais comment on fait ? »

Pas de panique mes loulous, c’est ce dont on va parler aujourd’hui.

En 4 étapes.

 

1. Il faut y croire

Ouep, la première chose à faire, c’est de croire que tu peux y arriver.

La semaine dernière, j’ai regardé Under The Dome (une série américaine). Attention, spoiler dans la ligne qui suit : Dans la saison 2, ils parlent de faire un « acte de foi » pour se jeter dans un trou noir béant (qui est en fait un genre de porte spatio-temporelle vers la liberté).

Créer un easy-business, c’est un peu la même chose : quitter le confort éternel de ce que l’on connaît déjà (notre bon vieux CDI) et sauter dans les méandres d’une cavité insondable. Owmaïgad itsow scayree (Oh my god it’s so scary) !

Pour créer un easy-business, la première question essentielle à te poser, ce n’est pas « est-ce que j’en suis capable ? », c’est :

« Est-ce que je crois que j’en suis capable ? »

La nuance est simple :

Dans la première question, tu interroges tes capacités.

Dans la seconde, tu interroges ta foi en tes capacités.

C’est une distinction super importante.

Par exemple, quand j’ai quitté mon boulot, et même quand j’ai créé mes premières entreprises, je n’étais certainement pas capable de créer un easy-business. Pas les compétences, pas d’idée précise, pas de stratégie…

En revanche, j’ai cru en mes capacités à en développer un. C’est ce qui m’a donné la force de lire des livres exceptionnels, de rencontrer des personnes fantastiques et d’aiguiser mes compétences.

Pour citer mon papy Henri Ford :

« Que tu penses en être capable ou non, gamin, dans les deux cas, tu as raison. »

La phrase résumée : Créer un easy-business est un acte de foi, un pari sur tes propres capacités.

 

2. Trouver l’idée

Les idées, c’est comme de la mauvaise herbe, ça pousse dans tous les sens.

Tu n’en as pas ? Lis un peu plus.

Prends-en une, même si elle n’est pas terrible et c’est parti. On va l’épurer dans le point suivant.

Ce qui compte, c’est que l’idée te plaise.

Formule-la aussi simplement que possible.

Exemple : J’aime la pizza et les voyages. J’aimerais voyager en vendant des pizzas.

Tout le monde peut trouver des tas d’idées à la minute.

Très peu de monde met ces idées en pratique.

Créer un easy-business, ça ne se passe pas dans la tête.

La phrase résumée : Ne te triture pas trop les méninges sur l’idée, choisis-en une et avance.

 

3. Définir le plus petit pas

Hier, je discutais avec un pote. Il a un projet exceptionnel qui implique environ 20000 personnes, la télévision et des personnalités éminentes.

Franchement, le projet est top, et je pense qu’il est capable de le mener à terme. Bonne chance man !

Le truc, c’est que l’investissement en temps et en argent pour réaliser un truc pareil est monstrueux !

Ce n’est pas un easy-business.

Un easy-business implique un minimum de personnes dans sa mise en place. Juste toi idéalement.

Pour poursuivre l’exemple de vendre des pizzas en voyageant, voyons deux alternatives, la première conventionnelle et la seconde en easy-business :

Conventionnelle : Créer des pizzerias de par le monde et aller y travailler quand tu en as envie.

Easy-business : Parcourir le monde avec un camion de pizza/camping-car et créer un twitter pour narrer tes aventures et avoir de la visibilité. Genre le film #Chef de Jon Favreau.

À partir de là, les possibilités sont illimitées, s’arrêter un moment à un endroit, trouver des partenariats avec des maisons d’hôtes (dans ce cas, tu n’as même pas besoin d’un camion !).

Je sais pas pour toi, mais pour moi, l’idée conventionnelle est sympa, et l’idée easy-business est géniale ! Peut-être parce que j’aime les pizzas et les voyages.

Bon, là c’est juste un exemple.

Le point clef de cette partie 3, c’est de faire en sorte que ton idée soit facile à initier et ne dépende pas d’une myriade d’autres personnes. Si ton idée ne s’y prête pas, modifie-la.

Ton idée de base va probablement changer 20 fois avant que ton easy-business ne soit vraiment en place.

Garde seulement en tête que l’essentiel, c’est que l’idée TE plaise toujours.

Si tu veux voyager en vendant des pizzas mais que tu dois gérer 10 employés en permanence, tu ne vas pas voyager (tu seras juste à l’étranger) et tu ne feras pas des pizzas (tu gèreras une bande de personnes qui les fera à ta place).

La phrase résumée : Quelle que soit l’ampleur de ton idée, commence par faire le plus petit pas possible.

 

4. Fais-le

Tu crois que tu peux créer ton easy-business. Tu as une idée. Tu as défini le plus petit pas à faire.

Fais-le.

Do it.

Hazlo.

それを行います

افعلها

Faça.

做到这一点

Chaque jour.

Commence aujourd’hui.

Crée ton site web. Passe un coup de fil. Apprends telle compétence.

Consacres-y au moins une heure par jour. Tous les jours.

N’imagine pas que ça va te prendre une ou deux semaines.

Investis-toi au moins sur trois ans.

C’est comme ça qu’on crée un easy-business.

Pas autrement.

Pas en y pensant pendant des années.

Si tu n’as pas le temps, trouve-le dès aujourd’hui en supprimant certaines activités.

Si tu n’as pas l’argent, trouve-le chaque jour en devenant minimaliste.

La phrase résumée : Créer ton easy-business, ça demande des avancées tangibles, aussi, consacre lui du temps tous les jours, dès aujourd’hui.

 

Dans l’intro, je disais : « Tu devrais créer ton easy-business. Maintenant. »

Mais concrètement, j’en sais rien, je ne te connais pas.

Je pense juste que c’est la manière la plus épanouissante et satisfaisante de mener sa vie professionnelle.

Mais c’est seulement mon avis.

Puis quand je dis « tu », il y a un tas de « tu » :

  • Il y a toi qui lis ces lignes et qui consacres déjà du temps chaque jour à progresser sur le chemin de tes rêves
  • Il y a toi qui vas rester le cul posé sur sa chaise pendant encore 40 ans tout en lisant des tas de bouquins/blogs/magasines tout en te disant que les choses pourraient se passer autrement
  • Il y a toi qui préfères penser que ça ne te concerne pas et que c’est un article pour « les autres »
  • Il y a toi qui es complètement perdu(e) et qui ne sais pas ni quoi faire ni quoi penser
  • Il y a toi qui préfères le confort d’un CDI et d’une voie plus « classique »
  • Il y a toi qui accumules petit à petit le courage de te lancer dans une telle aventure et qui commences à planter tes graines

Il n’y a pas de meilleur « tu », juste des opinions différentes.

Créer un easy-business, ce n’est pas pour tout le monde.

Et même si des gentils messieurs et mesdames te disent que c’est facile et qu’il te suffit d’y penser très fort pour que ça se réalise, ça ne te rend pas forcément service.

Ce n’est pas « facile ». Ça ne va pas se faire « en y pensant ».

Il y a deux types de personnes, celles qui se sortent les doigts du *culiguli culigula* et celles qui les gardent bien au chaud.

Créer un easy-business, ça concerne les personnes de la première catégorie.

 

Si tu as des questions pour t’aider à créer ton easy-business, elles sont les bienvenues dans les commentaires.

Et si tu es vraiment motivé(e) pour créer ton easy-business, que tu as commencé à y bosser dessus et que tu veux m’en parler pour qu’on explore ton champ des possibles… et seulement dans ce cas… tu peux envisager de suivre ce lien.

Dans tous les cas, pense à partager l’article et liker ma page Facebook pour montrer à tes copains comme je suis trop cool !

^
Voir :Tous les articlesLe dernier article :

#EL1. Une simple habitude pour trouver du temps libre, avancer dans tes projets et te sentir bien

Peut-être que ta vie est bruyante.

Peut-être que tu veux trop de choses.

Peut-être que tu as l’impression de ne jamais avoir le temps.

C’était aussi mon cas.

Je veux ci, je veux ça, il faut que je fasse ceci, qu’est-ce qu’on va penser de moi si je fais ça.

Dans cet article, je te propose une habitude à prendre pour faire taire le bruit.

Évidemment, ça ne va pas se faire simplement en lisant l’article.

Et évidemment, ça ne va pas complètement faire disparaître le bruit.

En revanche, je pense que c’est l’une des habitudes les plus efficaces pour trouver du temps libre, avancer dans tes projets et te sentir bien.

L’habitude est simple.

La mettre en place ne l’est pas forcément.

Je te propose un challenge à la fin, avec deux niveaux de difficulté.

Voilà l’habitude à prendre : Lire la suite…

^
Voir :Tous les articlesLe dernier article :
pleindetrucs.fr, easylife

5 choses que l’école nous a apprises involontairement (et qui défoncent ton cerveau)

Admettons-le : notre système éducatif, c’est de la *mer, l’océan, les vagues, tout ça*.

De la merde. Ok, c’est dit !

Le principe est le suivant : il y a une liste de choses à savoir – des dates « importantes » de l’histoire jusqu’à l’expression du patrimoine génétique, en passant par des formules mathématiques, des bases d’anglais et un tas d’autres machins – et il faut être capable de les restituer.

En gros :

Faire rentrer les mêmes informations dans la tête de tout le monde et vérifier qu’elles y sont bien stockées

Avec des tests, brevet, bac, licence, master, doctorat et tout le tintouin. 

Étymologiquement, l’éducation, c’est l’action de « guider hors de ».

Cependant, dans « notre éducation », c’est absolument le contraire : on nous guide dans une boîte. Bien conforme. Bien conditionnée.

Alors, certes on nous guide aussi hors du « non-savoir ». Mais on nous guide aussi vers un savoir ultra-conforme et standardisé défini en amont, fixe et enseigné comme une vérité absolue.

Notre système d’éducation n’en est pas un, c’est un système de conditionnement.

Quand Socrate, Aristote et toute la bande des barbus en jupette ont pensé au système éducatif, ils avaient en tête le développement de l’individu : ils voulaient enseigner à leurs élèves comment penser par eux-même et trouver des réponses à leurs questionnements (psychologiques, scientifiques, politiques, etc…).

Ils ne voulaient pas leur bombarder le crâne avec une série de choses à connaître par cœur.

À l’heure actuelle, on en est là.

Et si ce n’était que ça, ça pourrait aller encore…

Dans cet article, je te propose une petite analyse toute mignonne de 5 choses que l’école nous a appris involontairement et qui défoncent notre cerveau. Youpi !

Et bien sûr, pour chacune d’entre elles, je vais revêtir mon slip par-dessus mon pantalon et mon masque de justicier pour proposer deux trois conneries afin de pallier ce défonçage mental. Lire la suite…

^
Voir :Tous les articlesLe dernier article :

Es-tu un ninja ?

Un ninja, qu’est-ce que c’est ?

Un ninja est un être humain.

Homme ou femme ou quelque part entre les deux.

Un ninja est libre de la manière dont il utilise ses journées.

Il choisit l’heure à laquelle il se lève.

Ce qu’il mange.

Ce qu’il fait.

Les moments où il a envie de faire la sieste.

Et l’heure à laquelle il va se coucher. Lire la suite…