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pleindetrucs.fr, Damien Fauché

Tu devrais créer un easy-business, maintenant (en 4 étapes)

Tu devrais créer un easy-business.

Maintenant.

Ok monsieur Fauché, je veux bien, mais c’est quoi un easy-business ?

Ah, oui, bonne question.

Dans cet article on va voir ce que c’est un easy-business et identifier les 4 étapes clefs pour en créer un.

Un easy-business, c’est une activité professionnelle qui a les propriétés suivantes :

  • Liberté géographique. Tu peux aller où tu veux.
  • Liberté hiérarchique. Pas de patron et pas d’employés.
  • Liberté horaire. Tu bosses quand tu veux.

Et qu’est-ce que tu y gagnes ?

  • Tu choisis sur quoi tu veux travailler. Tu offres ta créativité au monde.
  • Tu ne dépends pas de quelqu’un pour gagner ta vie mais de toi-même. Tu offres directement tes compétences sans intermédiaire.
  • Tu structures tes journées et ta vie comme bon te semble. C’est quand même bien cool.

Et là, j’entends les foules hurler à l’unisson :

« Bin, évidemment qu’on veut un easy-business ! Mais comment on fait ? »

Pas de panique mes loulous, c’est ce dont on va parler aujourd’hui.

En 4 étapes.

 

1. Il faut y croire

Ouep, la première chose à faire, c’est de croire que tu peux y arriver.

La semaine dernière, j’ai regardé Under The Dome (une série américaine). Attention, spoiler dans la ligne qui suit : Dans la saison 2, ils parlent de faire un « acte de foi » pour se jeter dans un trou noir béant (qui est en fait un genre de porte spatio-temporelle vers la liberté).

Créer un easy-business, c’est un peu la même chose : quitter le confort éternel de ce que l’on connaît déjà (notre bon vieux CDI) et sauter dans les méandres d’une cavité insondable. Owmaïgad itsow scayree (Oh my god it’s so scary) !

Pour créer un easy-business, la première question essentielle à te poser, ce n’est pas « est-ce que j’en suis capable ? », c’est :

« Est-ce que je crois que j’en suis capable ? »

La nuance est simple :

Dans la première question, tu interroges tes capacités.

Dans la seconde, tu interroges ta foi en tes capacités.

C’est une distinction super importante.

Par exemple, quand j’ai quitté mon boulot, et même quand j’ai créé mes premières entreprises, je n’étais certainement pas capable de créer un easy-business. Pas les compétences, pas d’idée précise, pas de stratégie…

En revanche, j’ai cru en mes capacités à en développer un. C’est ce qui m’a donné la force de lire des livres exceptionnels, de rencontrer des personnes fantastiques et d’aiguiser mes compétences.

Pour citer mon papy Henri Ford :

« Que tu penses en être capable ou non, gamin, dans les deux cas, tu as raison. »

La phrase résumée : Créer un easy-business est un acte de foi, un pari sur tes propres capacités.

 

2. Trouver l’idée

Les idées, c’est comme de la mauvaise herbe, ça pousse dans tous les sens.

Tu n’en as pas ? Lis un peu plus.

Prends-en une, même si elle n’est pas terrible et c’est parti. On va l’épurer dans le point suivant.

Ce qui compte, c’est que l’idée te plaise.

Formule-la aussi simplement que possible.

Exemple : J’aime la pizza et les voyages. J’aimerais voyager en vendant des pizzas.

Tout le monde peut trouver des tas d’idées à la minute.

Très peu de monde met ces idées en pratique.

Créer un easy-business, ça ne se passe pas dans la tête.

La phrase résumée : Ne te triture pas trop les méninges sur l’idée, choisis-en une et avance.

 

3. Définir le plus petit pas

Hier, je discutais avec un pote. Il a un projet exceptionnel qui implique environ 20000 personnes, la télévision et des personnalités éminentes.

Franchement, le projet est top, et je pense qu’il est capable de le mener à terme. Bonne chance man !

Le truc, c’est que l’investissement en temps et en argent pour réaliser un truc pareil est monstrueux !

Ce n’est pas un easy-business.

Un easy-business implique un minimum de personnes dans sa mise en place. Juste toi idéalement.

Pour poursuivre l’exemple de vendre des pizzas en voyageant, voyons deux alternatives, la première conventionnelle et la seconde en easy-business :

Conventionnelle : Créer des pizzerias de par le monde et aller y travailler quand tu en as envie.

Easy-business : Parcourir le monde avec un camion de pizza/camping-car et créer un twitter pour narrer tes aventures et avoir de la visibilité. Genre le film #Chef de Jon Favreau.

À partir de là, les possibilités sont illimitées, s’arrêter un moment à un endroit, trouver des partenariats avec des maisons d’hôtes (dans ce cas, tu n’as même pas besoin d’un camion !).

Je sais pas pour toi, mais pour moi, l’idée conventionnelle est sympa, et l’idée easy-business est géniale ! Peut-être parce que j’aime les pizzas et les voyages.

Bon, là c’est juste un exemple.

Le point clef de cette partie 3, c’est de faire en sorte que ton idée soit facile à initier et ne dépende pas d’une myriade d’autres personnes. Si ton idée ne s’y prête pas, modifie-la.

Ton idée de base va probablement changer 20 fois avant que ton easy-business ne soit vraiment en place.

Garde seulement en tête que l’essentiel, c’est que l’idée TE plaise toujours.

Si tu veux voyager en vendant des pizzas mais que tu dois gérer 10 employés en permanence, tu ne vas pas voyager (tu seras juste à l’étranger) et tu ne feras pas des pizzas (tu gèreras une bande de personnes qui les fera à ta place).

La phrase résumée : Quelle que soit l’ampleur de ton idée, commence par faire le plus petit pas possible.

 

4. Fais-le

Tu crois que tu peux créer ton easy-business. Tu as une idée. Tu as défini le plus petit pas à faire.

Fais-le.

Do it.

Hazlo.

それを行います

افعلها

Faça.

做到这一点

Chaque jour.

Commence aujourd’hui.

Crée ton site web. Passe un coup de fil. Apprends telle compétence.

Consacres-y au moins une heure par jour. Tous les jours.

N’imagine pas que ça va te prendre une ou deux semaines.

Investis-toi au moins sur trois ans.

C’est comme ça qu’on crée un easy-business.

Pas autrement.

Pas en y pensant pendant des années.

Si tu n’as pas le temps, trouve-le dès aujourd’hui en supprimant certaines activités.

Si tu n’as pas l’argent, trouve-le chaque jour en devenant minimaliste.

La phrase résumée : Créer ton easy-business, ça demande des avancées tangibles, aussi, consacre lui du temps tous les jours, dès aujourd’hui.

 

Dans l’intro, je disais : « Tu devrais créer ton easy-business. Maintenant. »

Mais concrètement, j’en sais rien, je ne te connais pas.

Je pense juste que c’est la manière la plus épanouissante et satisfaisante de mener sa vie professionnelle.

Mais c’est seulement mon avis.

Puis quand je dis « tu », il y a un tas de « tu » :

  • Il y a toi qui lis ces lignes et qui consacres déjà du temps chaque jour à progresser sur le chemin de tes rêves
  • Il y a toi qui vas rester le cul posé sur sa chaise pendant encore 40 ans tout en lisant des tas de bouquins/blogs/magasines tout en te disant que les choses pourraient se passer autrement
  • Il y a toi qui préfères penser que ça ne te concerne pas et que c’est un article pour « les autres »
  • Il y a toi qui es complètement perdu(e) et qui ne sais pas ni quoi faire ni quoi penser
  • Il y a toi qui préfères le confort d’un CDI et d’une voie plus « classique »
  • Il y a toi qui accumules petit à petit le courage de te lancer dans une telle aventure et qui commences à planter tes graines

Il n’y a pas de meilleur « tu », juste des opinions différentes.

Créer un easy-business, ce n’est pas pour tout le monde.

Et même si des gentils messieurs et mesdames te disent que c’est facile et qu’il te suffit d’y penser très fort pour que ça se réalise, ça ne te rend pas forcément service.

Ce n’est pas « facile ». Ça ne va pas se faire « en y pensant ».

Il y a deux types de personnes, celles qui se sortent les doigts du *culiguli culigula* et celles qui les gardent bien au chaud.

Créer un easy-business, ça concerne les personnes de la première catégorie.

 

Si tu as des questions pour t’aider à créer ton easy-business, elles sont les bienvenues dans les commentaires.

Et si tu es vraiment motivé(e) pour créer ton easy-business, que tu as commencé à y bosser dessus et que tu veux m’en parler pour qu’on explore ton champ des possibles… et seulement dans ce cas… tu peux envisager de suivre ce lien.

Dans tous les cas, pense à partager l’article et liker ma page Facebook pour montrer à tes copains comme je suis trop cool !

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5 choses que l’école nous a apprises involontairement (et qui défoncent ton cerveau)

Admettons-le : notre système éducatif, c’est de la *mer, l’océan, les vagues, tout ça*.

De la merde. Ok, c’est dit !

Le principe est le suivant : il y a une liste de choses à savoir – des dates « importantes » de l’histoire jusqu’à l’expression du patrimoine génétique, en passant par des formules mathématiques, des bases d’anglais et un tas d’autres machins – et il faut être capable de les restituer.

En gros :

Faire rentrer les mêmes informations dans la tête de tout le monde et vérifier qu’elles y sont bien stockées

Avec des tests, brevet, bac, licence, master, doctorat et tout le tintouin. 

Étymologiquement, l’éducation, c’est l’action de « guider hors de ».

Cependant, dans « notre éducation », c’est absolument le contraire : on nous guide dans une boîte. Bien conforme. Bien conditionnée.

Alors, certes on nous guide aussi hors du « non-savoir ». Mais on nous guide aussi vers un savoir ultra-conforme et standardisé défini en amont, fixe et enseigné comme une vérité absolue.

Notre système d’éducation n’en est pas un, c’est un système de conditionnement.

Quand Socrate, Aristote et toute la bande des barbus en jupette ont pensé au système éducatif, ils avaient en tête le développement de l’individu : ils voulaient enseigner à leurs élèves comment penser par eux-même et trouver des réponses à leurs questionnements (psychologiques, scientifiques, politiques, etc…).

Ils ne voulaient pas leur bombarder le crâne avec une série de choses à connaître par cœur.

À l’heure actuelle, on en est là.

Et si ce n’était que ça, ça pourrait aller encore…

Dans cet article, je te propose une petite analyse toute mignonne de 5 choses que l’école nous a appris involontairement et qui défoncent notre cerveau. Youpi !

Et bien sûr, pour chacune d’entre elles, je vais revêtir mon slip par-dessus mon pantalon et mon masque de justicier pour proposer deux trois conneries afin de pallier ce défonçage mental. Lire la suite…

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Comment voyager pas cher pendant plusieurs mois

Je reçois régulièrement des mails de lectrices et lecteurs qui me demandent comment voyager pas cher pendant plusieurs mois.

Certains envisagent une aventure  pour une période déterminée, d’autres envisagent leur voyage comme un mode de vie durable – comme moi quoi !

Dans cet article, je vais donner un paquet de conseils pour ces deux cas.

Voyager pas cher est un art.

Un art qui demande de la pratique pour être maîtrisé.

Si tu es néophyte en termes de voyage pas cher, commence par t’imprégner de ces quelques principes. Lire la suite…

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plongée aux Galapagos, pleindetrucs.fr

Je le ferai un jour…

« Woaw ! Ça a l’air génial !! Je le ferai un jour !! »

On a tous pensé ça un paquet de fois dans nos vies.

Puis avec le temps passe l’envie.

Les ambitions du passé se transforment en rationalisation.

« De toute façon, je ne pense pas que ça aurait été aussi bon… »

Et on se retrouve au même point.

Coincé dans notre quotidien.

L’objectif de cet article, c’est que tu arrives vraiment à réaliser les projets que tu comptes « faire un jour ».

On va d’abord voir pourquoi on pense qu’on fera toutes ces choses lorsque le moment sera venu, puis on verra pourquoi ce moment ne vient jamais, et enfin, on déterminera comment faire en sorte que ce moment arrive.

Pour une fois, c’est assez facile à mettre en place !

Go !

 

L’illusion du futur

« Mon pote Jean-Clume a fait de la plongée avec des tortues aux Galapagos ! J’aimerais trop en faire aussi un jour ou l’autre. »

« Excellent ce concert, un jour, je me mettrai à la guitare »

« Tu te souviens de Christoufline ? Mon ancienne collègue de boulot. Elle a créé sa propre entreprise de bijoux fantaisie et elle gagne sa vie comme ça, c’est super non ?! Un jour, je créerai mon propre business aussi. »

Sur le coup, ça semble une bonne idée.

Sur le coup, tu en as vraiment envie.

Cependant, même s’il est authentique, c’est juste ton sentiment immédiat.

Tu en as envie maintenant.

Plus le temps passe, plus l’envie s’étiole.

Ce n’est ni une bonne chose, ni une mauvaise chose.

C’est un effet du temps.

Comme ce dernier s’écoule et que tu ne te diriges pas vers ton objectif, le cerveau, pour rendre ça plus supportable rationalise ton envie.

« Finalement, ça ne me disait pas plus que ça… »

Et en pratique, tu n’as pas réalisé ce que tu souhaitais faire.

Tu ne t’es pas enrichi(e) de cette expérience dont l’idée même t’avait fait(e) vibrer.

Ton cerveau a légitimé ton manque d’action.

Tout est rentré dans l’ordre.

Tu ne « l’as pas fait un jour. »

Tu ne le feras probablement jamais.

 

Pourquoi ?

Parce que l’imagination de cet évènement futur laisse de côté un tas de détails importants.

Ces détails importants sont ceux qui permettent de rendre l’action possible.

Par exemple, quand tu penses à ton pote qui fait de la plongée avec des tortues au Galapagos, tu imagines les rayons chauds du soleil qui filtrent à travers l’eau cristalline, tu imagines de grandes créatures se déplaçant élégamment le long de coraux colorés, tu t’imagines en apesanteur dans cet univers sous-marin enchanteur.

Et effectivement, c’est à peu près à ça que ressemble l’expérience.

Les détails que tu as probablement mis de côté sont de cet ordre : pour aller plonger avec les tortues, il me faut déjà atteindre un certain niveau en plongée et suivre une formation pendant au moins 3 jours, puis il me faut aller aux Îles Galapagos (ou un endroit où il y a des tortues), tout ça a un prix, puis j’ai seulement 4 semaines de vacances par an et en général, je préfère me reposer pendant ce temps-là.

Il y a un tas d’autres détails que tu n’as pas inclus dans ton image mentale. Les 2h de bateau pour te rendre au spot de plongée, l’instructeur un peu je m’en foutiste qui ne te met pas en confiance, la fatigue du décalage horaire, etc…

C’est toutes ces précisions qui t’empêchent d’arriver à « ce jour ».

Chacune d’entre elles a un rôle à jouer dans la réalisation de ton projet.

Chacune d’entre elles a un prix à payer.

 

Comment « le faire un jour » ?

En te penchant sur les détails puis en déterminant une date d’accomplissement.

Pour atteindre un objectif (ou une envie), il te faut avancer progressivement vers ce dernier.

La valse des tortues dans une mer limpide n’arrive qu’après avoir appris à harnacher ta combinaison et maîtrisé les consignes de sécurité.

Comment envisager les détails dans ce cas ?

Ce n’est pas facile (possible ?) par toi-même.

Le futur a bien trop de données qui échappent à notre imagination.

La meilleure manière est de demander à quelqu’un qui a déjà fait ce que tu souhaites faire.

Que ce soit plonger, jouer de la guitare, ou créer ton business.

Ces personnes-là peuvent imaginer avec précision les détails puisqu’elles les ont déjà réalisés.

Si tu veux plonger un jour, le premier conseil qu’elles pourraient te donner est de trouver un club de plongée (en France, au Galapagos ou n’importe où sur la planète).

Ça s’applique à absolument tous les domaines.

Si tu veux commencer le Yoga, renseigne-toi dès maintenant auprès de quelqu’un qui maîtrise bien le sujet.

Si tu veux devenir balèze en cours ou réussir un concours important, lis un livre qui peut t’y aider.

Si tu veux trouver du temps pour te consacrer à de nouvelles choses, envisage d’expérimenter le sommeil polyphasique.

Comment déterminer une date d’accomplissement ensuite ?

En fonction de ces détails, tu peux estimer dans combien de temps tu penses voir l’objectif se réaliser.

S’il te faut 3 jours de formation pour être capable de plonger avec les tortues, et que tes prochaines vacances sont dans un mois, alors détermine que tu feras ta formation à ce moment-là. En attendant, c’est à toi de mettre en place les conditions pour que ça se réalise. En  l’occurrence, réserver ta formation dans un centre de plongée autorisé.

Ce n’est plus une vague idée de « je le ferai un jour », ça devient « je vais apprendre à plonger le mois prochain » (ou demain, ou l’année prochaine).

Plus l’échéance est proche, plus les probabilités de réaliser ton objectif sont grandes. Puisque plus le futur est éloigné, plus il est flou.

À partir de là, n’attends pas pour faire le premier pas.

Ça instaurera l’inertie qui te permettra de te diriger vers ton objectif.

Demande à un ami ou cherche sur le web un club de plongée sympa, trouve un numéro de téléphone, appelle, pose tes questions, prends rendez-vous, etc…

Le processus est lancé !

 

Si tu souhaites « faire un jour » quoi que ce soit, ne laisse pas l’illusion du futur te faire croire que ça apparaîtra dans ta vie par enchantement.

Toute action d’amplitude naît d’actions plus petites.

Tu ne sauras jamais jouer de la guitare si tu n’achètes (loues, empruntes, fabriques) pas une guitare !

Identifie les détails qui te permettront d’accomplir ton objectif en demandant à ceux qui les ont déjà réalisés.

Détermine une date pour atteindre cet objectif.

Commence à y agir dessus dès aujourd’hui.

C’est comme ça que tu y parviendras.

J’espère que cet article t’aidera à faire un jour tout ce que tu as envie de faire !

 

Et bien sûr, s’il t’a plu, partage-le sur ton mur Facebook, sur Twitter ou sur ton propre blog. En espérant qu’il puisse aussi aider tes amis. Ton rôle est important.

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Deviens milliardaire en 6 secondes grâce à la bourse

La bourse… un monde impitoyable et mystérieux où les fortunes se font et se défont à une vitesse ahurissante.

Pour vous en parler, j’ai invité quelqu’un qui maîtrise vraiment bien le sujet.

Je laisse la plume à Maxime, un de mes meilleurs amis, qui mange du Forex, matin, midi et soir depuis 8 ans, pour te parler de tout ça. Il connaît son affaire. Apprécie le style :

La bourse, c’est de l’argent (ou de la dette devrais-je dire) qui s’échange sans que l’on s’en rende compte à une vitesse vertigineuse et avec des montants qui laissent pantois (genre 5 000 milliards de dollars par jour échangés sur le marché des changes). Bof… Lire la suite…