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pleindetrucs.fr, le mode par défaut

Le mode par défaut qui régit ton monde

Quand on est dans une situation de doute, d’inconfort, de stress ou n’importe quoi qui ne soit pas confortable : on a tendance à rentrer dans son « mode par défaut ».

C’est-à-dire qu’on va agir automatiquement en fonction de nos habitudes.

Un exemple simple : Tu es fatigué, tu as faim, tu es un peu énervé, tu veux aller au restau. Dans ce cas-là, c’est fort probable que tu ailles dans un restau que tu connais déjà et que tu aimes bien.

Pourquoi ? Parce que c’est rassurant. Tu vas vers le confort de ce qui est connu.

De cette manière, dans une certaine mesure, tu es en contrôle de la situation. Tu sais que la nourriture va te plaire, tu sais que la serveuse est super sympa et tu as une idée assez précise du prix que tu vas payer.

C’est le mode par défaut.

Et ça s’applique pour tous les domaines, pas seulement la bouffe.

Autre exemple : Tu dois rendre un dossier important au boulot, tu es en retard, ton boss te met la pression. Pif, paf, tu passes en mode par défaut.

Et là, évidemment, le mode par défaut de chacun est différent.

Peut-être que ça te paralyse, que tu te fermes au monde, que tu te focalises sur ta tâche en suant ton stress à grosses gouttes, que ton cœur bat à cent à l’heure, que tu aimerais être ailleurs et que ton cerveau est sur le point d’exploser.

Peut-être que ça t’excite, que tu sens l’occasion de montrer ce dont tu es capable et qu’une énergie vibrante parcours ton corps.

Encore un exemple : Tu es en soirée et tu ne connais pas grand monde, tu aimerais rencontrer des gens.

Un mode par défaut possible : Tu ne parles à personne, tu attends qu’on vienne t’aborder, tu te dis qu’après tout, tu es nouveau(elle) ici et que ce n’est pas à toi de faire le premier pas.

Autre mode par défaut possible : Tu remarques quelqu’un qui te semble sympathique, tu viens te présenter et tu commences à t’intéresser à cette personne, tu lui poses des questions et tu ouvres le dialogue.

Bien sûr, il y a encore des tas et des tas d’autres modes par défaut possibles : tu peux faire des blagues avec tout le monde, tu peux boire comme un trou et ne plus savoir ce que tu racontes, tu peux te plaindre sans cesse, etc…

Ton mode par défaut, c’est ce que tu fais habituellement, en autopilote.

Et évidemment, en faisant un effort conscient, tu peux faire des choses différentes de ton mode par défaut.

Par exemple dans cette soirée tu peux délibérément te « forcer » à aller parler aux autres même si tu ne le fais pas d’habitude.

La puissance du mode par défaut, c’est que tu agis de telle ou telle manière PAR DÉFAUT. Au cas où ce serait pas encore clair pour certains…

Te lever à 5h du matin, tu peux évidemment le faire ponctuellement. Mais lorsque tu le fais tous les jours depuis plusieurs mois, ça devient ton mode par défaut.

Pareil pour aller courir 10km en fin d’aprèm tous les jours.

Pareil pour travailler 1h sur ton projet perso tous les jours.

Tu vois l’idée.

Alors, pourquoi je te parle de ce putain de mode par défaut depuis tout à l’heure ?

Parce que c’est extrêmement important pour déterminer la vie que tu mènes.

Imagine que ton mode par défaut te permette d’être en super bonne santé parce que tu manges équilibré et que tu fais du sport.

Imagine que ton mode par défaut te permette d’assouvir tes besoins psychologiques de connexion parce que tu arrives facilement à créer des liens avec les autres.

Imagine que ton mode par défaut te permette d’avoir une bonne confiance et une bonne estime de toi parce que tu as une discipline qui te permet de mener une vie en accord avec tes valeurs.

Certaines personnes voient la vie comme une succession d’actes isolés.

Ils se disent que dans la mesure où faire une action donnée leur semble super difficile, ils ne veulent pas persévérer dans cette voie.

Par exemple faire 10 séries de 10 pompes avant le petit dèj peut sembler inaccessible pour quelqu’un qui ne fait pas de sport.

Alors que pour quelqu’un qui fait de la boxe depuis des années, c’est un simple échauffement quotidien pour commencer la journée.

En pratique, je pense que les actions isolées n’amènent pas forcément de grands résultats.

À part se suicider ou braquer une banque ou d’autres trucs irréversibles du genre qui sont plutôt des fuites de sa propre réalité qu’autre chose.

Si tu veux atteindre un résultat donné, une action isolée ne te fera pas avancer des masses, il faut que ton mode par défaut te permette de l’atteindre.

À mon avis, c’est méga-important.

Alors, comment tu modifies ton mode par défaut ?

C’est simple :

  • Déjà, tu arrêtes de te plaindre. On s’en fiche que tu penses que c’est parce que ton papa ne t’écoutais pas quand tu étais gamin que tu es devenu timide maladif. On s’en fiche que tu crois que tu ne peux pas poursuivre tes rêves parce que tu dois t’occuper de tes enfants. On s’en fiche que tu aies des problèmes de gestion émotionnelle parce que tu as accumulé un paquet d’échecs dans le passé.

    Quand je dis, « on s’en fiche », c’est pas qu’on n’en a rien à faire, c’est juste que c’est comme ça et qu’on n’y peut rien.

    Alors ça ne sert à rien de s’en plaindre.Ta situation, c’est ta situation. Tu commences de là et tu fais avec.

  • Si tu veux une méthode détaillée et structurée étape par étape : tu lis mon livre, la Danse de l’Air. Facultatif !
  • Tu identifies ton mode par défaut actuel.
  • Tu identifies le mode par défaut qui te permettrait d’atteindre tes objectifs de vie.
  • Tu te donnes un objectif mesurable sur 30 jours pour progresser vers ton mode par défaut ciblé. En te basant sur ton mode par défaut d’aujourd’hui bien entendu. Hein, si tu n’as jamais fait de sport, ne commence pas par faire 100 pompes tous les jours avant le petit dèj, c’est un coup à te démotiver illico.
  • Tu tiens les 30 jours.
  • Puis tu continues.
  • Et bim ! Tu es sur le chemin pour atteindre tes objectifs ! Youpi !

Comme je l’ai dit, c’est simple mais c’est loin d’être facile.

En tout cas, prendre conscience de l’existence et de l’importance du « mode par défaut », ça m’a bien secoué la tronche.

J’espère que ça pourra te servir aussi.

Et avant de finir, je voulais te dire merci.

Merci à toi de lire mes articles. Ça servirait pas à grand-chose que j’écrive si tu ne me lisais pas.

Je sais que vous êtes de plus en plus nombreux à suivre pleindetrucs.fr et c’est vraiment cool.

Donc merci à toi, spécifiquement, qui a lu tout l’article et qui continue de lire ces mots !

C’est génial de partager ces réflexions avec toi. J’ai un max de gratitude.

Et j’aime bien l’idée qu’ensemble on peut aider des gens à se sentir libre dans leurs vies !

Merci de faire partie de l’aventure et qu’on avance ensemble 😉

Bonne journée amig@ et à très vite !

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Pourquoi certaines personnes réussissent ?

Dans la vie, il y des gens qui réussissent.

Et d’autres qui n’y arrivent pas.

Peu importe le sens qu’on accorde au terme réussir.

Il y en a qui sont bons à l’école. D’autres qui se fadent des résultats médiocres toute leur scolarité.

Il y en a qui apprennent la guitare en un mois. D’autres qui abandonnent au bout d’une semaine.

Il y en a qui sont des superstars sociales. D’autres qui n’ont pas d’amis.

Il y en a qui courent des marathons. D’autres qui commencent à fusionner avec leur canapé.

Il y en a qui ont un boulot qu’ils adorent. D’autres qui dépriment chaque matin.

La question du jour, c’est POURQUOI certains réussissent et d’autres non ?

Alors, évidemment les premières réponses qui viennent en tête, c’est :

La motivation et les capacités.

Et c’est clair que ça fait partie de l’équation.

Le truc, c’est que parfois, des gens sont hyper-motivés pour quelque chose, mais ils n’ont aucune progression.

Pour prendre un exemple bien parlant de notre jeunesse : la fille ou le gars qui bosse comme un malade pour avoir de bonnes notes à l’école et qui reste tout juste médiocre.

Ou celui qui veut sincèrement créer son indépendance financière mais qui, en pratique, n’investit son temps et son argent nulle part et reste employé.

Être motivé, ça ne suffit pas.

Alors ça voudrait dire qu’ils n’ont pas les capacités ?

Je ne pense pas non plus.

À mon avis, la motivation et les capacités sont loin d’être les seules causes de la réussite.

Ce qui différencie surtout quelqu’un qui réussit ce qu’il entreprend et quelqu’un qui échoue, c’est sa capacité à prévoir ce qu’il faut faire pour réussir.

C’est-à-dire sa capacité à comprendre l’implication réelle que demande le succès dans un domaine donné. Que ce soit le succès professionnel, amoureux, social, familial, sportif, etc…

J’aime bien appeler ça : l’épreuve de la réalité.

Par exemple, si tu crois qu’en t’entrainant à la guitare 10 minutes par jour, tu vas jouer comme Jimi Hendrix dans 3 semaines, tu te plantes complètement sur la réalité.

Tu auras beau être hyper motivé(e) et hyper compétent(e), c’est pas ça qui va te permettre de réussir.

Pourquoi ?

Parce que dans ta représentation du succès, il te fallait t’entrainer 10 minutes par jour pendant 3 semaines pour jouer comme Jimi.

Et là, au bout d’une semaine de pratique, avec tes doigts à moitié en compote et tes premiers accords qui sonnent comme un chat à l’agonie, tu réalises que t’étais loin du compte.

Alors soit tu révises ton idée de l’implication nécessaire pour atteindre ton objectif – Par exemple, disons 10 ans de pratique intensive dans le cas où tu aies déjà de grandes dispositions naturelles – soit tu révises tes objectifs – et tu te dis que si t’arrives à jouer « I’m yours » de Jason Mraz d’ici 3 mois, ce sera déjà très bien – soit tu te dis que finalement, tu n’en as pas tellement envie que ça, et tu arrêtes.

Pif, paf, erreur de pronostic au niveau du temps d’implication (entre autre). La réalité l’emporte.

Ça peut aussi être une erreur sur la méthode.

Si tu décides de pratiquer la guitare 8h par jour tous les jours mais que tu penses qu’il faut jouer les accords avec les cheveux et gratter les cordes avec tes omoplates… bon, outre le fait que tu aurais de graves troubles psychiatriques, tu aurais aussi de grandes difficultés à progresser.

C’est pareil pour ceux qui galèrent à l’école.

Peut-être qu’en théorie, ils pensent qu’il suffit de bosser 3h par soir pour progresser. Mais peut-être qu’en pratique, le temps de travail n’est pas le problème, c’est leur manière de l’utiliser.

Et pour celui qui piétine pour créer son indépendance financière, peut-être qu’il croit qu’il lui faut plus de compétences et l’assurance à 100% que son projet va marcher pour enfin se lancer. Mais peut être qu’en pratique, il n’y a jamais d’assurance à 100% qu’un projet va marcher. Peut-être aussi qu’en pratique, il ne pourra acquérir les compétences que lorsqu’il aura commencé.

Dans tous les cas, c’est une erreur sur les attentes et l’implication que demande le succès.

Et là, évidemment, la question qui brûle toutes les lèvres, c’est :

« Ok, jovial camarade, mais comment on fait pour deviner par avance ce qu’il faut vraiment faire pour réussir ? »

Content que tu poses la question mon petit farfadet à la myrtille, on va y répondre en moins de temps qu’il ne faut pour répéter 370 fois : « I’m blue, dabedee dabedaa ».

Peut-être que tu veux apprendre la guitare.

Peut-être que tu veux avoir de bonnes notes.

Peut-être que tu veux courir un marathon.

Peut-être que tu veux créer ton propre business.

Peut-être que tu veux devenir président(e) de la république.

Peu importe.

Il y a des gens qui l’ont déjà fait.

Demande-leur.

Lis-leurs biographies.

Renseigne-toi sur leurs vies.

Tant que tu ne l’as pas fait toi-même, ils savent mieux que toi.

Et si tu veux faire quelque chose que personne n’a jamais fait, il y a des gens qui ont déjà fait quelque chose qui s’en approche.

Ça te permettra déjà de te faire une idée de ce qu’il faut accomplir pour réussir.

Mais peut-être que ça ne suffira pas.

Peut-être que tu devras l’expérimenter toi-même : être confronté en pratique à la réalité.

Et peut-être que cette semaine de guitare avec tes doigts en compote et les feulements félins discordants te seront nécessaires pour réévaluer l’épreuve de la réalité.

Plus tu observes la réalité, plus tu réalises le véritable prix à payer de chaque chose.

Et tu décideras alors si tu es prêt(e) à le payer.

Tu peux souhaiter un résultat mais ne pas vouloir payer son prix.

Par exemple, j’aimerais dessiner comme Glenn Keane, mais je n’ai pas du tout envie à l’heure actuelle de passer 8h par jour à pratiquer pour y arriver.

L’épreuve de la réalité, ça te permet de réaliser ce qu’il te faut faire pour réussir et choisir si tu veux le faire ou non.

Tant qu’une idée se forme uniquement dans ta tête, tu peux avoir l’illusion du succès.

Tu peux croire dur comme fer que dans 3 semaines, tu joueras comme Hendrix.

Tu peux croire qu’en bossant 1h par jour pendant 1 mois, tu vas gagner 1000€ par mois sur internet.

Tu peux croire qu’en lisant des dizaines de livres de développement personnel, tu vas améliorer ta confiance en toi.

Tu peux croire qu’un jour tu vas découvrir comme par enchantement l’idée parfaite de ce que tu veux faire de ta vie.

Tu peux croire qu’en répétant les choses que tu fais déjà, tu auras des résultats différents.

C’est du flan.

C’est une réalité factice.

Le monde réel est dehors.

Le succès se mesure dans le monde réel.

Et tu auras beau être une personne compétente et motivée, si tu ne te confrontes pas à la réalité, tu n’auras aucun résultat.

Quelques principes à prendre en considération avec des chiffres complètement arbitraires :

  • Si tu veux atteindre un résultat, observe 10 personnes qui l’ont déjà atteint
  • Donne-toi un objectif quantifiable relativement court : 3 mois (Être capable de jouer « I’m yours », avoir défini ce qui te plaît vraiment et avoir créé et vendu un produit ou service dans ce domaine, arriver à courir 22km, etc…)
  • Décompose cet objectif en sous objectifs mensuels
  • Décompose ces sous-objectifs en sous objectifs hebdomadaires
  • Constate précisément là où tu en es à l’heure actuelle
  • Pratique UN MOIS
  • Constate tes résultats
  • Si tu progresses, continue
  • Si tu ne progresses pas (ou trop peu), re-observe les gens qui ont atteint le résultat que tu convoites (ou demande-leur de l’aide) puis change de stratégie
  • Recommence

Le succès, ça se planifie.

Comme le dit tonton Keith Ferrazzi dans « Never Eat Alone » :

« Foirer sa planification, c’est planifier son échec »

Alors pourquoi certaines personnes réussissent ?

Parce qu’elles connaissent le prix à payer pour réussir.

Et qu’elles le payent.

La motivation et les capacités sont juste des bonus.

Mais bon… encore une fois, c’est juste une idée !

Je veux bien ton avis là-dessus dans les commentaires.

Et merci de partager l’article si tu l’as aimé 😉

Ça ne te prendra que quelques secondes, ça pourra m’aider à développer le blog et ça pourrait même aider tes amis ! Merci !

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Mes 54 objets (et quelques idées sur minimalisme)

Comme je suis minimaliste, on me demande souvent ce que j’ai comme possessions matérielles, concrètement.

Alors, j’ai fait une liste.

La voilà :

Habits

  1. T-shirt bleu
  2. T-shirt vert
  3. T-shirt noir
  4. T-shirt gris à manches longues
  5. Chemise
  6. Sweat à capuche
  7. Sweat noir
  8. Veste chaude à capuche
  9. Veste
  10. Jean bleu
  11. Caleçon coloré
  12. Caleçon funky
  13. Caleçon marron
  14. Caleçon bleu-gris
  15. Caleçon noir
  16. Chaussettes noires
  17. Chaussettes noires
  18. Chaussettes noires
  19. Chaussettes noires
  20. Chaussettes grises chaudes en laine
  21. Short de sport bleu
  22. Short beige en toile
  23. Short maillot de bain rouge

Accessoires

  1. Sac de voyage
  2. Bandeau cheveux noir
  3. Bandeau cheveux Galápagos
  4. Bonnet
  5. Claquettes
  6. Chaussures de sport
  7. Chaussures cuir multifonction (ville, marche, etc…)
  8. Sac d’ultra book 11’
  9. Sac d’ordinateur 17’
  10. Carnet de note (le plus important de tout !)
  11. Stylo noir

Technologie

  1. Ultra book 11’
  2. Ordinateur 17’
  3. Enceinte portative bluetooth
  4. Clef USB
  5. Enregistreur audio
  6. Micro-cravate
  7. Écouteurs
  8. Caméra appareil photo waterproof
  9. Trépied caméra
  10. Téléphone cassé mais qui fonctionne
  11. Chargeur universel
  12. Chargeur d’ordinateur portable

Toilette

  1. Trousse de toilette
  2. Brosse à dent
  3. Ciseaux
  4. Pince à épiler
  5. Serviette

Et bien sûr les savons, shampoings, dentifrices, déodorants et autres consommables qui ne sont pas à proprement parler des « possessions ».

Loisir

  1. Guitare cassée avec un bon son
  2. Housse de guitare
  3. Rubik’s cube (et ouais !)

À noter aussi que je suis propriétaire d’un appart meublé que je loue à l’heure actuelle. Il n’est pas dans la liste parce que ce n’est pas quelque chose que j’utilise et que je transporte au quotidien.

Donc, voilà : 54 objets.

Je pourrais bien en avoir 70 ou 200. C’est pas le nombre qui compte.

Ce qui m’intéresse, c’est de ne pas m’encombrer de matériel inutile.

De ne pas « acheter pour acheter » et avoir 37 pulls que je ne mets jamais.

Peut-être qu’un jour, j’aurais davantage de choses. Peut-être pas.

Le minimalisme n’est pas une contrainte.

C’est plutôt une envie.

L’envie de se focaliser sur l’essentiel et de faire un maximum de place à tout ce qui n’est pas matériel.

Alors, certes, ce n’est pas pour tout le monde.

En tout cas, ça permet d’avoir des résultats sympatoches.

Et si ça t’intéresse, j’ai écrit cet article pour devenir minimaliste.

Bonne journée amig@ !

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*Phoque* trouver sa passion

Tu te dis peut-être que si tu trouvais ta passion et que tu parvenais à en vivre, ce serait la panacée.

Tu ferais enfin un travail que tu aimes. Ton quotidien serait pur bonheur et fini les soucis.

La patate tous les matins. Chanter en sortant du lit. Pas de patron i tutti cuanti.

Ça, c’est le concept.

Seulement le concept.

Dans cet article, je vais tartiner une bonne couche de réalité sur le gâteau.

En mode ninja.

Premièrement : « trouver ta passion ».

Haha…

Hahahaha !

HAHAHAHAHAHAAAAAH !!!

Ok, je me calme.

Bon… à mon avis, on ne trouve pas sa passion.

La passion, c’est pas un truc qui se cherche, c’est quelque chose qui t’apparaît tellement évident que tu ne vois que ça.

Si tu avais une passion bien distincte, tu le saurais déjà.

Ça ne sert à rien de se triturer les méninges avec ça.

Et si tu n’as pas de passion dévorante, c’est pas grave amig@ !

Moi non plus j’en ai pas.

On est des gens (plus ou moins) normaux. Et c’est très bien comme ça.

Il y a quelques cas extrêmes qui savent exactement ce qu’ils veulent et qui n’en démordent pas. C’est super rare. C’est assez flippant.

C’est OK de ne pas être comme ça.

*Phoque* trouver sa passion !

En revanche, il y a des tas de choses que tu aimes.

Et ça, c’est une bonne base pour trouver/créer un travail qui te plaît.

Ce que tu aimes, en y réfléchissant un peu, tu le sais déjà.

Ce n’est pas une activité mystérieuse à découvrir, c’est devant tes yeux, tous les jours.

Qu’est-ce que tu fais de ton temps libre ?

Des trucs qui te plaisent, j’imagine. Sinon tu ne les ferais pas.

Obviously my wonderful schpetzle !

Alors, peut-être que tu fais de la cornemuse, peut-être que tu fais du poney, peut-être que tu lis des BD, peut-être que tu joues aux jeux vidéos toute la journée, peut-être que tu sculptes des autobus en papier mâché, etc…

En tout cas, dans une certaine mesure, ça te plaît.

Alors autant partir de là pour choisir ton activité.

Et là, j’entends vrombir le bruit assourdissant de la réplique :

« Ouieeeuh, mais si je faisais ça tout le temps, j’en aurais marre à un moment. Je préfère que ça reste un plaisir à côtéeeeuh. »

Et là, mes amis :

Gainage des abdominaux. Rotation du bassin. Bras lancé vigoureusement vers l’avant. Le boomerang est lancé. Il décrit une courbe majestueuse dans les airs, il revient… Et paf, dans ta tronche !

À ma connaissance, tu ne peux pas faire un truc qui te plaît à 100% tous les jours.

Non, non, non.

C’est n’importe quoi.

Même si tu avais le boulot de tes rêves, il y aurait toujours des complications de temps à autres. Des jours de galère. Des difficultés. Et des matins où tu n’as pas envie de te lever.

Il n’y a pas de solution miracle. La vie ça ne peut pas être tout rose tous les jours, même si un tas de films veulent te le faire penser.

Alors on en est là :

Te servir de ce que tu aimes pour le transformer en métier.

Ou alors :

Laisser ce que tu aimes à distance de ton activité professionnelle pour que ça reste tel quel immaculé.

Encore une fois, c’est ton choix. Pas le mien. Il n’y en a pas de bon ni de mauvais.

Perso, j’ai choisis de fusionner les deux : ce que j’aime et mon travail.

Je te donne deux exemples pour illustrer.

1. Avant de quitter la « vie normale », j’étais concepteur de jeu vidéo. Et même s’il y avait des tas de contraintes (horaires, choix des projets, etc…), je pouvais de temps en temps faire ce que j’aimais : créer des choses, dessiner…

Ce n’était pas ma « passion » absolue, c’était juste des trucs que j’aimais faire. Dans mon cas, davantage par exemple que faire des comptes ou ranger des paquets.

2. Maintenant, je peux voyager, écrire, aider des tas de personnes et partager des idées. J’adore ça. Et je gagne ma vie avec.

Le truc, c’est qu’il y a des jours de galère, des problèmes techniques, des obstacles imprévus et des difficultés. Et tout ça, ça fait aussi partie de l’équation.

Vivre de sa passion, c’est un concept raccourci.

Une image sexy qui occulte un gros pourcentage de la réalité.

Tu te rappelles ? Le prix à payer.

En pratique, voilà quelques idées clés :

  • Tu n’as pas besoin de trouver ta passion au sens ésotérique du terme
  • Tu peux être passionné(e) par un tas de choses diverses et variées
  • Tu es libre de trouver/créer un travail en fonction de ce que tu aimes

L’étape suivante, c’est de transformer tes centres d’intérêt en métier. C’est-à-dire, gagner de l’argent avec.

Parce que c’est possible.

Même si ton entourage te dit que c’est un meilleur avenir de devenir comptable plutôt que de faire de la BD.

Même si ça implique un prix à payer.

C’est une voie dissidente qui mérite d’être considérée.

Trouver ta passion n’est pas le vrai problème.

C’est une illusion qui te distance de la réalité.

Ça te permet de te dire que si tu la trouvais tout serait plus facile.

Mais si tu regardes dans le fond, tu sais bien que ce n’est pas vrai.

Le vrai problème c’est de trouver le courage de transformer ce que tu aimes en activité.

J’en ai déjà parlé ici.

Et  j’en reparlerai.

Si à l’heure actuelle tu ne vois pas comment gagner de l’argent de cette manière, la bonne nouvelle, c’est que ça s’apprend.

Et si ça te branche, je suis en train de créer tout un programme pour ça !

Avec des vidéos gratuites et un max de contenu.

Pour être tenu au courant, ça se passe par là :

Comment gagner de l’argent en faisant ce que tu aimes

Merci de partager l’article amig@. Mes idées, c’est tes idées, et elles ne peuvent vivre que si elles sont partagées ! Alors merci de cliquer sur les jolis boutons de partage ci-dessous pour que les gens que tu apprécies puissent aussi en profiter !

À très vite 😉

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pleindetrucs.fr, Damien au Chili

La question la plus importante de ta vie

Ok… Si je pose la question : « Qu’est-ce que tu veux vraiment dans la vie ? »

Un tas de personne va me répondre un truc du genre « Oh, bin moi, je veux surtout être heureux(se), être avec des gens que j’aime, profiter de la vie, être en bonne santé, avoir un travail qui me plaît, donner et recevoir beaucoup d’amour ».

Et c’est très bien !

La plupart des individus qui peuplent notre belle planète bleue veulent la même chose. Tu veux la même chose. Je veux la même chose. Youpi ! Dansons ensemble et faisons-nous des câlins !

Une autre question à te poser – et qui est beaucoup plus intéressante à mon avis – c’est : « À quel point tu es prêt(e) à galérer pour ça ? »

Pif, paf, karaté kick dans ta face !

C’est pas vraiment le genre de questions auxquelles je pensais il y a quelques années. Et que tu te la sois ou non posée, je t’invite chaleureusement à lire la suite de ce frétillant billet.

Voilà notre histoire :

On veut le succès. Les résultats. Le corps de rêve. L’argent facile. La passion au travail. L’Amour avec un grand A.

On ignore le sang et les larmes. La sueur et l’effroi.

On vie avec du rêve plein les yeux. Relayé à grand renfort de médias. De blogs. De vidéos. D’aventures exceptionnelles. De triomphes sans émoi.

C’est de la connerie. De la bonne grosse connerie.

La vie, c’est du risque.

Et il n’y a pas de victoire sans combat.

La question la plus importante à te poser, c’est :

« À quel point tu es prêt(e) à galérer pour avoir ce que tu veux dans la vie ? »

Pour désigner ça, j’aime bien parler du « prix à payer ». C’est un terme cinglant, qui claque et qui fait flipper. Mais au cœur du sujet, c’est bien de ça qu’on parle. Peu importe que la formulation puisse bousculer.

Ce n’est pas seulement qu’on n’a rien sans rien. Ni une question de volonté. C’est juste une constatation simple.

Tu ne peux pas avoir ta liberté géographique et ton indépendance financière si tu n’as pas pris le temps de créer une activité qui t’en donne l’occasion.

Tu ne peux pas trouver l’amour parfait sans aucune complications.

Tu ne peux pas baigner dans le bonheur sans ne jamais mettre quoi que ce soit en question.

Les doutes, les peurs, les prises de décisions, le grand saut en avant, croquer à pleines dents tes passions, toutes ces choses sont des fragments indissociables de l’équation.

Regarder le risque, l’échec, la difficulté, puis leur sourire avec compassion. Et continuer d’avancer, le cœur ouvert, tête haute, en honorant tes émotions, tes valeurs, tes convictions et ta raison.

À mon humble avis, c’est ce qui fait le charme de la vie.

Ne pas savoir. Tenter.

Ne pas fomenter un rêve illusoire. Jouer.

Personne ne peut savoir de quoi demain sera fait.

La pire chose qu’il puisse t’arriver, ce n’est pas de mourir, c’est d’oublier de vivre.

Peu importe ce que tu cherches, seule la vie te donne l’occasion de le trouver.

Comme je le disais dans l’intro, tout le monde veut le bonheur.

Et il existe probablement autant de manières que d’individus pour le rencontrer.

Par exemple, ce qui m’attire c’est une vie simple, libre et connectée. C’est assez banal en somme. Probablement des millions d’autres personnes éprouvent ce même attrait.

On en arrive alors à la question du prix à payer.

Perso, j’ai chamboulé mon monde, je me suis expatrié, j’ai plongé dans l’inconnu et créé plusieurs sociétés, développé des compétences, j’ai perdu des amis en cours de route, j’en ai beaucoup rencontré, j’ai pris beaucoup de plaisir, j’ai été déprimé, j’ai eu des joies et des calvaires, des échecs et des succès.

La route est pavée de verre brisé, d’espoirs utopiques, d’obstacles à surmonter. Cette route, c’est ma vie et peu importe l’incertitude, je veux qu’elle soit belle.

Vivre à fond, sans regret.

Ce n’est peut-être pas la voie la plus facile mais c’est celle que j’ai envie d’emprunter.

Alors, bien entendu je ne peux pas répondre à ta place.

J’espère seulement que cet article te fera aborder une des questions de la vie sous un nouvel aspect :

« À quel point tu es prêt(e) à galérer ? »

Merci d’avoir pris le temps de me lire. J’espère que ça t’aura inspiré. Et si l’article t’a plu, merci d’en faire profiter tes amis. Merci de le partager 😉

Aussi, j’ai créé un programme du tonnerre, tu peux y jeter un œil par ici :

Gagne de l’argent en faisant ce que tu aimes.

En bonus : je t’invite à lire cet article de Mark Manson (en anglais du coup) qui m’a inspiré à écrire celui-ci.