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pleindetrucs.fr Damien Fauché

Comment arrêter de vivre pour les autres : le coup de pied au cul qu’il te faut

« Je dois me raisonner en pensant à mes enfants, à mon mari… À mes chaines invisibles et pourtant si réelles… »

« J’ai peur de décevoir mes parents »

« J’avoue parfois avoir l’impression d’être dans l’obligation de trouver ma vie géniale parce que d’autres la trouvent géniale »

RHAaaaaaah !… Ça me touche à fond ce genre de message.

Je vois exactement de quoi vous parlez.

Et ça craint. Ça craint puissance 100 milliards.

Je le sais, je suis passé par là.

Et tu le sais aussi.

Et pourtant, même si tu as lu 240 trillions de tortillards (ok, tortillard, c’est pas un vrai nombre…) d’articles, de livres et de conseils pour arrêter de vivre pour les autres qui te disent un truc du genre :

« Ta vie, tu n’en as qu’une, profite de chaque instant »

(Genre mon blog quoi ^^)

Et tu as beau avoir intégré qu’arrêter de vivre pour les autres est dans ton intérêt, au final, tu n’arrives pas à mettre ce conseil en pratique.

Tu te sens étouffé(e), prisonnier(e), frustré(e) à bloc.

Alors pourquoi tu n’arrives pas à assumer la vie que tu veux avoir ?

Parce que tu te distances de la réalité.

Tu te dis que ça viendra plus tard, tu te dis que tu as des contraintes (tes enfants, ton travail, ta famille, etc…), tu te dis que c’est pas le bon moment, tu te dis que tu es trop vieux(eille), trop jeune, trop gros(se), pas assez formé(e), pas assez intelligent(e), pas assez blablabla…

Dans cet article, je vais botter des culs sans ménagement pour te montrer un chemin concret pour arrêter de vivre pour les autres.

En 4 petits pas.

 

1er pas – Réalise que tu vas « vraiment » mourir un jour ou l’autre

« Ok, ça je le sais déjà monsieur Rabat-joie… »

Non, tu le sais pas. Tu le sais pas, sinon tu serais en train de vivre tes rêves. (Et si t’es en train de vivre tes rêves alors, cet article n’est pas pour toi, lis plutôt celui-là, il est rigolo)

« Savoir » que tu vas mourir est une chose, ressentir profondément que ton temps de vie est limité en est une autre.

Et puis je suis pas un rabat-joie, biatch !

Ressentir que tu vas « vraiment » mourir un jour est une méga-force, ça te permet de réaliser à quel point ta vie est précieuse et tout ce que tu es capable d’y faire dedans.

Laisse-moi te raconter une petite histoire.

Il y de cela de nombreuses lunes, avant l’an de grâce 2012, j’étais un putain de zombie. Ouais, j’ai dit putain.

J’avançais dans la vie en me demandant ce qui était acceptable ou non. Je faisais mes choix en fonction de ce que « les autres », mes amis, mes collègues, mes parents, mes copines pensaient.

La vérité ?

La vérité, c’est que j’étais un esclave.

Et le pire, c’est que je ne m’en rendais même pas compte !

J’étais en train de mener la vie que « les autres » allaient trouver géniale.

J’étais un produit de mon environnement.

Dans une prison dorée et qui sentait le pet à l’intérieur.

Phoque !

J’aurais pu y rester toute ma vie.

Puis un jour j’ai compris. J’ai compris que j’allais mourir. J’ai compris que chaque jour qui passe est une occasion unique de vivre.

J’ai compris que pour que demain ne soit pas comme aujourd’hui, il fallait que je me bouge.

Alors, écoute-moi bien : tu vas mourir.

Pose-toi un moment (au moins 20 minutes) et penses-y. Ne chasse pas l’idée d’un revers de la main.

Tu vas mourir. Qu’est-ce que tu fous de ta vie ?

Si tu regardes les gens qui prennent leur vie en main, ils ont bien compris ça. Regarde Lyvia par exemple.

 

2ème pas – Ne laisse pas les autres te tuer à petit feu

Ok, je vais considérer que tu as réalisé le caractère éphémère et précieux de ton temps de vie sur Terre.

Maintenant on va parler de tes rêves.

Tu veux créer ton business, changer de boulot, arrêter tes études, te mettre à la moto, quitter ta meuf/ton mec/ton boulot, devenir jongleur(se) avec des hamsters, voyager autour du monde, etc…

Et qu’est-ce qui se met sur le chemin de ces rêves d’après toi ?

« Les autres ».

Le regard des autres.

« Oh, mais qu’est-ce qu’on va penser de moi ? Tout le monde va me haïr et me laisser tomber. Puis je tomberai dans l’alcool et la drogue et je devrais me prostituer pour payer ma dose de crack quotidienne. Je choperai le choléra, la galle et le tétanos, et un aphte. OUAIS, UN APHTE ! »

Ta responsabilité envers les autres.

« Oh, mais j’ai 278 mille milliard de billiotrillons d’enfants (ok, ce nombre n’existe pas non plus…), je peux pas arrêter de travailler comme ça ! Même si je hais profondément mon boulot qui me pompe chaque particule d’humanité qu’il me reste. Je dois continuer sinon je n’aurai pas de quoi leur payer un toit et de quoi se nourrir. »

Ou encore.

« Mon mari/ma femme/ma mère/mon père/mon dindon domestique n’accepterait jamais ça. »

Ok, ok…

Prêt pour le bottage de fesses ?

Qu’ils aillent se faire foutre.

Tous. Sans exception.

« Quoi ? Même mes enfants ? »

Ouais, même tes enfants.

Qu’est-ce que tu vas leur dire à tes enfants ?

« Maman/Papa mène une vie pourrie à son travail, il a dû abandonner ses rêves et la perspective d’être heureux(se) dans sa vie… à cause de toi mon ange. »

Vas-y, dis leur si c’est ce que tu penses. Regarde ta gamine de 7 ans dans les yeux et dis lui que c’est à cause d’elle que tu ne peux pas vivre ta vie comme tu le veux.

Le truc, c’est que ce serait super con de lui dire ça.

Parce que c’est pas vrai.

C’est pas de sa faute. C’est de la tienne.

Si tu travailles dans un job qui te gâche la vie pour subvenir aux besoins de ta famille, c’est de ta faute.

Arrête de te servir des autres comme excuses.

C’est de ta vie qu’on parle.

Assume d’arrêter de vivre pour les autres.

Quand je dis « qu’ils aillent se faire foutre » ça ne veut pas dire que tu dois les laisser tomber ou les abandonner, loin de là.

Ça veut dire que tu ne dois pas te servir des autres comme excuses pour justifier ce que tu fais de ta vie.

Souviens-toi : tu vas mourir.

La meilleure chose que tu puisses faire en attendant c’est de profiter de ta vie.

Ceci étant dit, on peut passer aux choses sérieuses.

 

3ème pas – Accepter d’arrêter de vivre pour les autres

Tu es dans une situation A tout comme je l’ai été : esclave de la volonté et des attentes des autres.

À partir de là, tu as deux options :

  • Rester dans cette situation A pour le restant de tes jours
  • Arrêter de vivre pour les autres et aller vers une situation B, C, D, etc…

Pour changer les choses, la première étape, c’est d’arrêter de rendre les autres responsables.

La seconde, c’est d’assumer ta responsabilité. Peu importe ton âge, ton sexe, ta couleur de peau.

Les excuses légitiment peut-être ta situation, mais elles ne te font pas avancer.

Débarrasse-toi d’elles.

Troisième étape : trouver ce que tu veux faire de ta vie.

Et quatrièmement, avancer vers cette nouvelle destination, un peu plus, chaque jour.

D’ailleurs, pour t’accompagner dans cette aventure, pense à acheter mon livre à l’occasion. Non seulement ça va t’aider à fond et en plus ça me permettra de gagner du fric ! Tout le monde y gagne.

 

Pour rendre le processus bien clair, je te donne deux exemples :

1. Tu détestes ton boulot mais tu en as besoin pour subvenir aux dépenses de ta famille.

Solutions pour arrêter de vivre pour les autres : Commence à chercher un autre boulot, crée un business en parallèle de ton travail, suis des formations dans un domaine qui te plaît, cherche une alternative…

Rien à faire que tu sois crevé le soir et le weekend, ta vie, tu n’en a qu’une, tu te rappelles ?

S’il le faut, arrête de dormir. Ne reste pas dans une situation qui craint. La pire chose à faire, c’est de ne rien faire.

Te plaindre ne te fait pas avancer. Agir, oui.

2. Tu culpabilises de faire de grands changements dans ta vie de peur d’être rejeté(e) par ta famille/ton ou ta partenaire/tes amis.

Solution pour arrêter de vivre pour les autres : Fais-les quand même ! Si les gens t’aiment pour qui tu es vraiment, ils comprendront. S’ils n’acceptent pas tes choix, pourquoi tu voudrais rester avec ces personnes qui ne t’acceptent que parce que tu corresponds à leurs attentes ? Pour ne pas être seul(e) ? C’est ridicule de t’entourer de gardiens de cellule.

Là aussi, je sais de quoi je parle, quand j’ai fait mes choix de vie, un tas de personnes n’ont pas compris dans un premier temps. Certains ont cru que j’étais fou (« Quoi ? Tu quittes ton CDI et tu pars voyager ? T’as pété un câble ou quoi ? »), d’autres ont cru que je les abandonnais (« Et nous alors, tu t’en fiches de nous ? ») : ce n’était ni l’un ni l’autre. Je cherchais juste à donner un sens à ma vie.

J’ai eu des méga disputes. Je me suis retrouvé éloigné d’un tas de personnes. J’ai chialé comme une madeleine. Ça a été vraiment douloureux.

Heureusement, j’ai fait de bonnes rencontres sur la route.

J’ai lu plein de trucs inspirants. Check Ryan, Alex ou Fabrice pour les voyages par exemple. Steve, Leo et Mark pour les choix de vie. Tim et Seth pour le business.

J’ai accepté d’arrêter de vivre pour les autres.

J’ai assumé ma vie.

Et petit à petit, ces gens qui comptaient pour moi ont commencé à comprendre.

Ils ont réalisé que même si je vivais ma vie selon mes propres termes, je les aimais quand même.

Parce que tu sais quoi ?

L’un n’empêche pas l’autre.

Alors peu importe qu’ils crient, qu’ils pleurent, qu’ils te menacent, réponds leur seulement avec de l’amour.

Dis leur que tu ne fais pas tes choix « contre eux », même si ça bouscule leurs croyances (par exemple qu’il faut un CDI et avoir des enfants avant 30 ans…), mais parce que c’est important pour toi (par exemple travailler à ton compte et ne pas être pressé d’avoir des enfants…).

Ne te rends pas malheureux(se) à cause des gens qui t’aiment. Eux, ils ne veulent pas que tu souffres.

La meilleure chose que tu puisses faire pour toi et pour les autres, c’est de t’épanouir.

Et si des êtres humains ne veulent pas que tu t’épanouisses, qu’ils aillent se faire foutre. Ouais, je le redis et je le redirai encore !

Tu te porteras mieux sans eux.

S’ils se soucient de ton bien-être, peu importe leur réticence initiale, ils comprendront.

Une fois que tu as pleinement réalisé que tu peux arrêter de vivre pour les autres, même avec la boule au ventre et les genoux qui tremblent, tu peux amorcer la transformation.

 

4ème pas – Réapprendre à marcher

Écoute bien cette question, tatoue-la sur ton front :

« Qu’est-ce que je peux faire aujourd’hui pour avancer sur le chemin de mes rêves ? »

Oui, arrêter de vivre pour les autres, ça fait flipper.

Oui, tu as des responsabilités.

Oui, tu as peur de décevoir les autres.

Non, ce ne sont pas des excuses.

Trouve un moyen de remplir tes responsabilités d’une autre manière.

Tu crois que tes enfants préfèrent une maman/un papa qui travaille 60h par semaine dans des conditions pourries pour un salaire minable ou une maman/un papa qui travaille seulement quand il en a envie et qui se régale en gagnant deux fois plus d’argent ?

Le truc, c’est que si tu ne bouges pas ton *big bottle of bear* aujourd’hui, la situation ne va pas changer d’un iota d’ici demain. Arrêter de vivre pour les autres demande de passer à l’action.

Ne te préoccupe pas trop de décevoir les autres.

Tu veux vraiment sacrifier ton temps de vie de peur de ne pas faire plaisir à papa et maman/à ta femme/à ton mari/à ton prof de maths ?

Les gens croient savoir ce qui est bon pour toi parce qu’ils ne connaissent pas d’autres alternatives.

Souvent, ils ne veulent que ton bonheur… alors ils te disent de faire un max d’études « pour trouver un bon boulot », de préférence en médecine, en ingénierie ou en compta, puis ils te disent de trouver un CDI « pour la sécurité »…

La sécurité de quoi ? La sécurité d’avoir une vie de *maerkeskeskeskispassla*.

Ils s’inquiètent que tu ne rentres pas dans le moule. Que tu te brûles les ailes en essayant autre chose. Que tu perdes tout ce que tu as.

Ce qui est sûr, c’est que si tu ne tentes rien, rien ne se passe. Et ce que tu perds dans ce cas-là… c’est chaque minute de ta vie.

On leur a dit ce qu’il fallait faire et ils l’ont fait. Beaucoup sont malheureux mais ils se disent que « c’est ça la vie après tout ».

Mais non ! C’est pas ça la vie !

La vie, c’est exactement ce que tu décides d’en faire.

Et si tu décides de vivre pour plaire aux autres, c’est ta responsabilité, pas la leur.

Arrêter de vivre pour les autres, ça demande du courage. Poooo-kéééé-mooon.

Alors… qu’est-ce que tu peux faire aujourd’hui ?

 

Je sais que cet article est assez bourrin… je t’ai dit 47 mille multivomillards de fois (Ouais, ça existe toujours pas…) que tu allais mourir, et je t’ai dit que tes proches pouvaient aller se faire foutre.

Je sais que mes mots sont forts et peuvent te secouer.

En tout cas, je les ai écrits avec beaucoup d’amour, dans l’intention de t’aider à arrêter de vivre pour les autres.

Ne te formalise pas sur la forme, écoute si le fond raisonne en toi.

Comme je le dis souvent, ta vie, personne ne peut la vivre à ta place.

La plus terrible des prisons, ce n’est pas les autres : c’est toi.

Il y a toujours un chemin.

Pas facile à poursuivre, certes.

Qui implique souvent du sang et des larmes.

Mais il y a un chemin.

Tu es libre de l’emprunter.

Sans excuses.

Arrêter de vivre pour les autres.

En gardant cette question en tête :

« Qu’est-ce que je peux faire aujourd’hui pour y avancer ? »

Je te souhaite un max de réussite dans tes projets amig@. Et merci de partager l’article pour en faire profiter tes potes et que je devienne super connu ! Tout le monde aura droit à son bottage de fesses comme ça 😉

Et je te remets un lien vers mon livre : La Danse de l’Air. Tu me remercieras plus tard.

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par Damien Fauché - pleindetrucs.fr

Manifeste : Une brève invitation à gagner ta vie en poursuivant tes rêves

► Nous pouvons changer le monde, chacun à notre échelle.

► Nous pouvons gagner nos vies en améliorant celle des autres.

► Nous pouvons poursuivre nos propres rêves tout en gagnant de l’argent.

Il est temps que chacun d’entre nous se réveille pour faire bouger les choses.

J’ai écrit un manifeste dans lequel je t’invite à gagner ta vie en poursuivant tes rêves tout en ayant un impact positif autour de toi. Enjoy :

► Édit : le livre n’est plus offert, à la place, j’offre un mini-cours pour devenir indépendant(e).

Tu veux contribuer ?

Ce manifeste est complètement gratuit. Si tu veux m’aider à ce qu’il atteigne davantage de monde, merci de le partager avec toutes celles et ceux que ça pourrait intéresser – par email, sur tes réseaux sociaux ou encore sur ton propre blog. Merci ^^

Nous sommes responsables de ce que nous faisons de nos vies

Profite bien de la tienne !

 

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Faire ou ne pas faire le même métier/business toute sa vie

Je reçois régulièrement des mails de personnes qui me disent : « Je ne sais pas si je suis fait(e) pour faire un seul métier » ou encore « J’ai peur de créer mon business autour d’une activité précise et de m’y retrouver bloqué(e) ».

Dans cet article, je partage une idée pour pallier cette inquiétude.

Ce n’est pas ton métier ou ton business qui compte, c’est la raison pour laquelle tu le fais

Ton métier, ou ton business, ça devrait être l’expression de ce qui compte pour toi. Et pas le contraire.

C’est-à-dire que si tu fais kiné, ça devrait être parce que c’est important pour toi d’aider les gens à avoir une bonne santé physique. Et ça ne devrait pas être parce que tu es kiné que tu dois t’occuper de la santé physique des gens.

Tant que tu fais une activité juste pour l’activité en elle-même, ou pour la paye à la fin du mois, quelle que soit ta motivation initiale, tu peux en avoir assez.

Changer de métier est alors la solution de facilité : tu fais quelque chose de nouveau, tu gagnes toujours ton salaire à la fin du mois, tu recommences du début dans une autre entreprise. Encore et encore.

C’est une option.

La limite, c’est d’être sans cesse dépendant(e) d’une entreprise pour te permettre d’exprimer ta créativité.

Et si tu as ce besoin de changer, c’est que tu ne peux pas complètement exprimer ce qui compte pour toi.

Alors quelles sont les solutions ?

Tu peux commencer par définir ce qui compte pour toi.

Beaucoup de personnes ignorent royalement cette réflexion. Elles se disent, « ok, je vois à peu près ce qui compte pour moi et je sais surtout ce que je ne veux pas ».

Elles pensent qu’elles le feront peut-être un jour.

Alors, elles changent d’activité, encore et encore. Je sais de quoi je parle, ces dernières années, j’ai créé des jeux-vidéos, des applications de téléphone mobile, des sites internet, exporté du poivre, fait des chemises sur mesure…

Il est plus instinctif de multiplier les activités que de se pencher sur ce qui nous touche vraiment à la base.

Pourquoi ? Parce qu’on nous a appris qu’il fallait mieux avoir un travail plutôt qu’une passion. Parce qu’on nous a dit que l’informatique/la santé/l’ingénierie ça payait bien. Parce qu’on nous a dit que nos choix étaient limités.

Évidemment, certains ne sont pas d’accord avec cette mentalité (moi le premier), alors la solution évidente est de changer d’activité comme de chemise. En se disant, « je vais trouver mieux ailleurs ».

C’est aussi une « petite fuite ».

Se dédouaner de ce qui compte pour soi parce qu’il n’y a pas de « métier » pour ça.

Voilà ce que je te propose :

Découvre et assume ce qui compte à tes yeux.

Tu peux ensuite le mettre à profit dans un métier qui t’offre la structure nécessaire pour pouvoir l’exprimer.

Si tu trouves un emploi en accord avec tes valeurs profondes, tu n’auras pas envie d’en changer. Imagine que tu fasses à la fois quelque chose qui te passionne, qui aide les autres et qui rende le monde meilleur.

Si ce « métier » n’existe pas, crée-le.

Les choses importantes pour toi, elles ne changent pas tous les jours.

Construis ton activité autour de ces choses-là.

Encore une fois : L’important n’est pas ton métier ou ton business qui compte, c’est la raison pour laquelle tu le fais.

Ignorer ce qui t’anime est extrêmement facile. Regarder ce qui compte pour toi en face est autrement plus compliqué.

Quand tu crées ton business, tu es libre de ce que tu vas proposer. Aussi ne crée pas ton business autour d’un métier (Exemple : je vends des légumes bio) mais autour d’une idée qui te tient à cœur (Exemple : je veux proposer une alternative saine à l’alimentation).

De cette manière, ton « métier » ne sera pas une fin en soi mais un moyen d’exprimer ce que compte pour toi (Exemple : si tu veux proposer une alternative saine à l’alimentation, tu peux effectivement vendre des légumes bio, communiquer sur les bienfaits d’une alimentation saine sur internet, faire des conférences, proposer des campagnes de sensibilisation dans les écoles, et des dizaines d’autres « métiers »).

Pour résumer, si tu ne sais pas si tu es fait(e) pour un seul métier ou si tu as peur de créer ton business pour ne pas t’y retrouver bloqué(e), c’est probablement que tu as peur (inconsciemment ou non) de t’engager sur ce qui compte vraiment pour toi.

Tu préfères probablement te dire que ce qui compte pour toi, c’est de pouvoir changer librement de voie. Et c’est sûrement vrai.

La raison pour laquelle tu penses ça, c’est probablement parce que tu ne sais pas ou n’assumes pas ce qui est réellement important pour toi. C’est plus rassurant d’avancer sans jamais t’y confronter et de pouvoir changer de direction en toute occasion.

En tout cas, si tu sens une « douleur » liée au fait de ne pas trouver ta place : trouver ce qui t’anime, c’est un bon endroit pour commencer à la soigner.

Ça pourrait bien te faire sortir d’une impasse.

Ou tu peux continuer de dire que tu ne sais pas si tu es fait(e) pour un seul business ou métier…

Enfin bref, c’est juste une idée.

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pleindetrucs.fr, sommeil polyphasique Everyman mixte

Thomas D. | Je dors 4h20 par jour depuis plus de 7 mois

Thomas a adopté un rythme de sommeil polyphasique il y a un peu plus de 7 mois.

Il dort à présent 4h20 par jour.

J’ai communiqué avec lui par mail alors qu’il mettait son rythme de sommeil polyphasique en place et nous sommes restés en contact depuis.

En quelques mots, le principe du sommeil polyphasique est le suivant : répartir son temps de sommeil quotidien en plusieurs phases (siestes).

À quoi ça sert ? À libérer du temps.

C’est à ça que ça sert. C’est un moyen de ne plus se dire « je n’ai pas le temps ».

Ça permet de se consacrer aux projets qu’on avait « mis de côté » ou qu’on voudrait « faire un jour ».

Pour en savoir davantage, tu peux faire un tour sur cette page.

Aujourd’hui, je lui ai demandé de nous raconter son expérience.

L’objectif, c’est de te montrer une manière (assez inhabituelle, ok !) de trouver du temps libre.

Il faut prendre en compte que Thomas a vraiment bien réussi son adaptation. Ce n’est pas « facile » de mettre un rythme de sommeil polyphasique en place, et même si des dizaines d’autres personnes ont également réussi, il y en a de nombreuses qui n’y sont pas aussi bien parvenues :

 

Je m’appelle Thomas et je suis actuellement un rythme de sommeil polyphasique Everyman depuis plus de 7 mois et je ne compte pas m’arrêter de si tôt.

C’est à dire que je dors seulement 4h20 par jour.

J’ai pris ce rythme en lisant « Comment dormir 2h par jour sans manquer de sommeil (et autres aventures polyphasiques) » de Damien Fauché.

Je travaille comme aide avec des enfants handicapés et je suis prof à domicile. J’ai près de 30 heures de boulot par semaine.

1. Mise en place

J’ai commencé mon rythme pendant les vacancesParce que j’appréhendais le début. J’ai donc profité du moment que je trouvais opportun pour expérimenter ce mode de sommeil. Je ne savais pas bien comment mon corps allait réagir à la perte de plus de la moitié de sommeil. Si quoique ce soit devenait trop compliqué, j’avais toujours le temps de récupérer avant la reprise de mes activités.

Les premiers jours ont été vraiment difficiles, surtout le troisième, à partir de là, j’ai commencé à récupérer de mieux en mieux.

Et c’était agréable. Enfin une réussite. Je dois avouer que j’étais plus que méfiant.

Au bout du dixième jour mon rythme était complètement en place. Je pouvais faire des siestes efficaces et récupérer rapidement. C’est là que j’ai compris l’ampleur de ce changement. J’allais enfin pouvoir articuler mes journées comme JE choisissais.

2. Gestion des contraintes

Je l’ai adapté à mon boulot. Ça a été assez facile dans l’ensemble.

Il faut avouer que j’avais une équipe de travail particulièrement formidable cette année.

Au début, j’ai pas vraiment osé en parlé à l’école. Je disais que je devais passer un appel pour justifier mes allées et venues à ma voiture une à deux fois par jour pour faire mes siestes. Mais bon les bobards c’est bien cinq minutes !

Puis, j’ai commencé à en parler. Mes collègues ont été très compréhensif, interloqués pour certains. Mais ils ne m’empêchèrent pas de me reposer bien au contraire.

Une fois mon petit monde au courant il a été de plus facile de s’organiser.

A voir les réactions des gens, je me pose encore la question de pourquoi je me suis compliqué la vie au début !

3. Ma vie aujourd’hui

J’en ai tiré des tas d’avantages.

Aujourd’hui ma vie est à peu près rythmée ainsi. Je me lève vers 5h. Comme ça je peux voir, la plupart du temps, le lever de soleil. C’est très reposant comme activité !

Je peux prendre le temps de faire mon sport, me détendre, prendre une douche. Ensuite on passe aux activités cérébrales. Une correction de copie d’élève, un cours… Je continue par une session « d’attentions propres ». Je réfléchis à ce que je veux, ce que je vais faire pour avancer. Je me sers des conseils que je lis et que je reçois pour travailler sur moi. Je suis reconnaissant de pouvoir y accorder du temps !

Ensuite ça dépend. Parfois aller au marché, simplement me balader, lire un bouquin, me préparer un bon petit déj´. La cuisine à une place importante dans ma vie. Mon ancien problème est que je n’arrivais pas à lui accorder le temps nécessaire. Mais ça, c’était avant !

Quoi qu’il en soit je prend mon temps pour chaque chose. De manière à commencer la journée du mieux que je puisse.

Un exemple concret :

Que je connaisse, il y en a bien peu qui peuvent se targuer (sans prétention aucune) de pouvoir vivre certaines de mes journées !

Prenons l’exemple de samedi. Au niveau de mes activités prévues, rien de plus flamboyant que d’habitude. Le rituel du matin : course et préparation d’un petit déj continental, exercices physiques, un peu de lecture, mes « attentions propres », mes ablutions pour un total de 4h. Du coup quand la ville de réveille sur les coups des 9/10h j’ai validé tout ça.

J’ai donc tout mon temps pour commencer à organiser, étape par étape, tout mon voyage de la journée.

10h30 je reçois un coup de fil d’un élève. Il aurait besoin d’un cours cet après-midi car après il part. Pas de souci. Je laisse ce que je suis en train de faire. Je prépare mon cours, ça me prend une bonne heure.

A la fin mon père m’appelle. Il a besoin de moi et m’incite en contre partie à manger chez lui. « Ok j’arrive ». Je file, je l’aide, on prépare puis mange, je fais mon cours. Il est 16h je rentre et valide mes objectifs de préparation.

Nous sommes samedi, ce soir j’ai un festival sur Marseille. Je dois m’occuper de toute la logistique des personnes venant avec moi.

Aux termes de mes arrangements, il me reste 2 bonnes heures. J’en utiliserai une partie pour réfléchir sur moi et une autre pour me mettre à jour de mes séries. Le soir j’irai comme convenu à mon festival. J’y arrive plus d’une demie heure en avance.

Plusieurs aléas sont venus se coller à cette journée. Le fait d’avoir plus de temps m’a permis non seulement de tout concilier, mais surtout, de ne pas me rajouter le moindre stress. Je savais tout au long de la journée que le temps ne me manquerait pas !

Conclusion

Ce rythme polyphasique Everyman est génial pour moi. Malgré ma désorganisation et mon flegme si caractéristique, j’arrive à faire bon nombre d’activité extra BMD (boulot métro dodo). Bon, la partie métro n’a jamais fait partie de mon quotidien puisque je vis dans un bled tellement évolué technologiquement que c’est à peine s’il y a des bus, m’enfin.

Évidemment, il y a aussi des difficultés pour suivre un tel rythme : le décalage social, la « contrainte » des siestes, la phase d’adaptation. Ce n’est peut-être pas un rythme pour tout le monde.

Pour ma part, je suis nettement plus serein. Je me souviens de la plupart de mes rêves et ce pendant plusieurs jours. Ah oui, ça, c’est une révolution ! Avant mon rythme Everyman, j’ai souvent eu un sommeil très profond, trop même. Du coup je n’étais même pas sur d’avoir rêvé tellement j’avais « cassé le lit ». À présent, si vous saviez à quel point c’est agréable et (j’ai pas les mots pour décrire ça…) indescriptiblement bien de s’en souvenir. De garder en mémoire, plusieurs jours durant, les sensations, jusqu’à ce jour, exclusivement positives, de ses rêves !

Même si je ne dors que 4h20 par jour, je dis souvent que je passe mon temps a dormir. C’est tellement bon la phase où on perd pied, où on déconnecte et où on recharge les batteries. Personnellement je la vis 4 ou 5 fois par jour.

Voilà ce que le sommeil polyphasique m’a apporté. Merci Damien.

***

Encore une fois, j’insiste, mettre en place un rythme de sommeil polyphasique n’est pas « facile ». Et comme le dit aussi Thomas, ce n’est peut-être pas un rythme pour tout le monde.

En revanche, comme son cas est un super exemple d’adaptation, je me suis dit que ça stimulerait celles et ceux qui sont assez oufs pour se lancer dans l’aventure polyphasique.

Pour en savoir un peu plus sur le guide, ça se passe par là :

 

Comment dormir 2h par jour sans manquer de sommeil

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pleindetrucs.fr, Damien Fauché

Tu devrais créer un easy-business, maintenant (en 4 étapes)

Tu devrais créer un easy-business.

Maintenant.

Ok monsieur Fauché, je veux bien, mais c’est quoi un easy-business ?

Ah, oui, bonne question.

Dans cet article on va voir ce que c’est un easy-business et identifier les 4 étapes clefs pour en créer un.

Un easy-business, c’est une activité professionnelle qui a les propriétés suivantes :

  • Liberté géographique. Tu peux aller où tu veux.
  • Liberté hiérarchique. Pas de patron et pas d’employés.
  • Liberté horaire. Tu bosses quand tu veux.

Et qu’est-ce que tu y gagnes ?

  • Tu choisis sur quoi tu veux travailler. Tu offres ta créativité au monde.
  • Tu ne dépends pas de quelqu’un pour gagner ta vie mais de toi-même. Tu offres directement tes compétences sans intermédiaire.
  • Tu structures tes journées et ta vie comme bon te semble. C’est quand même bien cool.

Et là, j’entends les foules hurler à l’unisson :

« Bin, évidemment qu’on veut un easy-business ! Mais comment on fait ? »

Pas de panique mes loulous, c’est ce dont on va parler aujourd’hui.

En 4 étapes.

 

1. Il faut y croire

Ouep, la première chose à faire, c’est de croire que tu peux y arriver.

La semaine dernière, j’ai regardé Under The Dome (une série américaine). Attention, spoiler dans la ligne qui suit : Dans la saison 2, ils parlent de faire un « acte de foi » pour se jeter dans un trou noir béant (qui est en fait un genre de porte spatio-temporelle vers la liberté).

Créer un easy-business, c’est un peu la même chose : quitter le confort éternel de ce que l’on connaît déjà (notre bon vieux CDI) et sauter dans les méandres d’une cavité insondable. Owmaïgad itsow scayree (Oh my god it’s so scary) !

Pour créer un easy-business, la première question essentielle à te poser, ce n’est pas « est-ce que j’en suis capable ? », c’est :

« Est-ce que je crois que j’en suis capable ? »

La nuance est simple :

Dans la première question, tu interroges tes capacités.

Dans la seconde, tu interroges ta foi en tes capacités.

C’est une distinction super importante.

Par exemple, quand j’ai quitté mon boulot, et même quand j’ai créé mes premières entreprises, je n’étais certainement pas capable de créer un easy-business. Pas les compétences, pas d’idée précise, pas de stratégie…

En revanche, j’ai cru en mes capacités à en développer un. C’est ce qui m’a donné la force de lire des livres exceptionnels, de rencontrer des personnes fantastiques et d’aiguiser mes compétences.

Pour citer mon papy Henri Ford :

« Que tu penses en être capable ou non, gamin, dans les deux cas, tu as raison. »

La phrase résumée : Créer un easy-business est un acte de foi, un pari sur tes propres capacités.

 

2. Trouver l’idée

Les idées, c’est comme de la mauvaise herbe, ça pousse dans tous les sens.

Tu n’en as pas ? Lis un peu plus.

Prends-en une, même si elle n’est pas terrible et c’est parti. On va l’épurer dans le point suivant.

Ce qui compte, c’est que l’idée te plaise.

Formule-la aussi simplement que possible.

Exemple : J’aime la pizza et les voyages. J’aimerais voyager en vendant des pizzas.

Tout le monde peut trouver des tas d’idées à la minute.

Très peu de monde met ces idées en pratique.

Créer un easy-business, ça ne se passe pas dans la tête.

La phrase résumée : Ne te triture pas trop les méninges sur l’idée, choisis-en une et avance.

 

3. Définir le plus petit pas

Hier, je discutais avec un pote. Il a un projet exceptionnel qui implique environ 20000 personnes, la télévision et des personnalités éminentes.

Franchement, le projet est top, et je pense qu’il est capable de le mener à terme. Bonne chance man !

Le truc, c’est que l’investissement en temps et en argent pour réaliser un truc pareil est monstrueux !

Ce n’est pas un easy-business.

Un easy-business implique un minimum de personnes dans sa mise en place. Juste toi idéalement.

Pour poursuivre l’exemple de vendre des pizzas en voyageant, voyons deux alternatives, la première conventionnelle et la seconde en easy-business :

Conventionnelle : Créer des pizzerias de par le monde et aller y travailler quand tu en as envie.

Easy-business : Parcourir le monde avec un camion de pizza/camping-car et créer un twitter pour narrer tes aventures et avoir de la visibilité. Genre le film #Chef de Jon Favreau.

À partir de là, les possibilités sont illimitées, s’arrêter un moment à un endroit, trouver des partenariats avec des maisons d’hôtes (dans ce cas, tu n’as même pas besoin d’un camion !).

Je sais pas pour toi, mais pour moi, l’idée conventionnelle est sympa, et l’idée easy-business est géniale ! Peut-être parce que j’aime les pizzas et les voyages.

Bon, là c’est juste un exemple.

Le point clef de cette partie 3, c’est de faire en sorte que ton idée soit facile à initier et ne dépende pas d’une myriade d’autres personnes. Si ton idée ne s’y prête pas, modifie-la.

Ton idée de base va probablement changer 20 fois avant que ton easy-business ne soit vraiment en place.

Garde seulement en tête que l’essentiel, c’est que l’idée TE plaise toujours.

Si tu veux voyager en vendant des pizzas mais que tu dois gérer 10 employés en permanence, tu ne vas pas voyager (tu seras juste à l’étranger) et tu ne feras pas des pizzas (tu gèreras une bande de personnes qui les fera à ta place).

La phrase résumée : Quelle que soit l’ampleur de ton idée, commence par faire le plus petit pas possible.

 

4. Fais-le

Tu crois que tu peux créer ton easy-business. Tu as une idée. Tu as défini le plus petit pas à faire.

Fais-le.

Do it.

Hazlo.

それを行います

افعلها

Faça.

做到这一点

Chaque jour.

Commence aujourd’hui.

Crée ton site web. Passe un coup de fil. Apprends telle compétence.

Consacres-y au moins une heure par jour. Tous les jours.

N’imagine pas que ça va te prendre une ou deux semaines.

Investis-toi au moins sur trois ans.

C’est comme ça qu’on crée un easy-business.

Pas autrement.

Pas en y pensant pendant des années.

Si tu n’as pas le temps, trouve-le dès aujourd’hui en supprimant certaines activités.

Si tu n’as pas l’argent, trouve-le chaque jour en devenant minimaliste.

La phrase résumée : Créer ton easy-business, ça demande des avancées tangibles, aussi, consacre lui du temps tous les jours, dès aujourd’hui.

 

Dans l’intro, je disais : « Tu devrais créer ton easy-business. Maintenant. »

Mais concrètement, j’en sais rien, je ne te connais pas.

Je pense juste que c’est la manière la plus épanouissante et satisfaisante de mener sa vie professionnelle.

Mais c’est seulement mon avis.

Puis quand je dis « tu », il y a un tas de « tu » :

  • Il y a toi qui lis ces lignes et qui consacres déjà du temps chaque jour à progresser sur le chemin de tes rêves
  • Il y a toi qui vas rester le cul posé sur sa chaise pendant encore 40 ans tout en lisant des tas de bouquins/blogs/magasines tout en te disant que les choses pourraient se passer autrement
  • Il y a toi qui préfères penser que ça ne te concerne pas et que c’est un article pour « les autres »
  • Il y a toi qui es complètement perdu(e) et qui ne sais pas ni quoi faire ni quoi penser
  • Il y a toi qui préfères le confort d’un CDI et d’une voie plus « classique »
  • Il y a toi qui accumules petit à petit le courage de te lancer dans une telle aventure et qui commences à planter tes graines

Il n’y a pas de meilleur « tu », juste des opinions différentes.

Créer un easy-business, ce n’est pas pour tout le monde.

Et même si des gentils messieurs et mesdames te disent que c’est facile et qu’il te suffit d’y penser très fort pour que ça se réalise, ça ne te rend pas forcément service.

Ce n’est pas « facile ». Ça ne va pas se faire « en y pensant ».

Il y a deux types de personnes, celles qui se sortent les doigts du *culiguli culigula* et celles qui les gardent bien au chaud.

Créer un easy-business, ça concerne les personnes de la première catégorie.

 

Si tu as des questions pour t’aider à créer ton easy-business, elles sont les bienvenues dans les commentaires.

Et si tu es vraiment motivé(e) pour créer ton easy-business, que tu as commencé à y bosser dessus et que tu veux m’en parler pour qu’on explore ton champ des possibles… et seulement dans ce cas… tu peux envisager de suivre ce lien.

Dans tous les cas, pense à partager l’article et liker ma page Facebook pour montrer à tes copains comme je suis trop cool !